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Les Bleus remportent le relais hommes de Ruhpolding ! - L'Équipe de Choc - extrait
L'Équipe
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il y a 11 mois
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de choc du 17/01/2025.
Catégorie
🥇
Sport
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00:00
Allez bonjour à toutes et à tous, on est ravis de vous retrouver pour une équipe de choc raccourcie
00:10
mais pleine également de belles émotions et de bonnes informations. On verra ça tout à l'heure
00:14
déjà avec le parti droit du plateau. Salut Pierre, salut Greg, ça va ? Ça va très bien Claire et toi ?
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Ouais, vous êtes prêts ? Bien sûr, vendredi on est toujours prêts. Prêts à gagner ? Bien sûr,
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un peu d'avance, on s'ennuie un peu mais ça va. Vous allez laisser gagner ça ? Non absolument pas.
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Vous êtes préparés en tout cas. Salut Brac et salut Eric, ça va ? Ça va Claire. Ouais, super.
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Très bien, vous aussi ? Je n'ai rien à dire parce que des fois je suis de l'autre côté donc des fois je gagne
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puis des fois je gagne ici aussi donc je ne sais pas trop quoi penser. Avec moi tu gagneras toujours.
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C'est vrai ? Je me posais la question avant. T'inquiète, je révisais. J'ai hâte en tout cas de sortir les
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pochettes dans quelques instants, ce qu'on prendra bien sûr le temps de jouer malgré l'actus serré.
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On va débriefer le Dakar, bien sûr c'était le dernier jour aujourd'hui mais avant on va revenir
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sur ce qui s'est passé il y a quelques instants à peine sur la chaîne avec Marie Doreen Berg qui
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est restée avec nous. Alors déjà Marie, nous on est ravies que tu sois avec nous.
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Je suis ravie parce qu'apparemment ils veulent qu'on me garde.
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J'ai vu que les saouts ne jouaient pas le niveau face à nous.
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Ah oui, c'est vrai, on pourra la faire jouer Marie.
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Oui, il faut tenter. Marie bientôt, c'est ça.
01:16
Attention le rendez-vous est pris, vous êtes déçus.
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Ah non non, ne commence pas Négatif.
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Ah si, elle ne connait que le biathlon, c'est ça.
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Crois-moi, des fois ça peut aider.
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Allez Greg, on y va.
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Un grand moment plus tôt dans l'après-midi sur la chaîne L'Equipe, un grand moment de biathlon
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pour le biathlon français, les Bleus ont remporté le relais de Ruppelding devant la Suède et l'Allemagne.
01:38
Les Norvégiens échouent au pied du podium, un troisième succès d'affilée.
01:41
C'est tout simplement du jamais vu pour l'équipe de France masculine.
01:44
Emilia Claude a terminé le premier passage en tête avec la Norvège.
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Fabien Claude a creusé un peu plus l'écart.
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Quentin Fillon-Maillat lui a ajouté quelques secondes.
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Fabien Claude pour sa première lui a assuré.
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Emilia Jacqueline a terminé le boulot au classement général.
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La France est en tête avec 270 points, 65 points d'avance sur la Norvège et la Suède.
02:01
A l'arrivée, Fabien Claude était ravi de la performance du quatuor français.
02:04
C'était au micro de Jérémy Hensman.
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Oui, c'est vrai que ça fait quand même du bien de monter tous ensemble sur le podium.
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Je suis super fier de l'équipe, du staff, des techniciens qui ont fait un super boulot.
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On enchaîne donc maintenant de bien garder en tête ce qu'on a fait.
02:19
On ne veut pas se prendre pour des autres.
02:21
Chaque course est différente.
02:23
Juste aujourd'hui, on apprécie.
02:25
Trois victoires en trois relais en Coupe du Monde.
02:27
C'est une première vraiment dans l'histoire pour cette équipe de France.
02:31
En plus, qu'est-ce qu'elle a en plus cette équipe de France techniquement ou sportivement cette année ?
02:36
Cette année surtout, je trouve qu'elle ne s'autorise pas à l'erreur derrière la carabine.
02:41
Moi, j'aime bien la manière dont ils ont construit leur course.
02:45
Chacun est resté à son affaire et a fait les choses de façon très calme, très posée.
02:50
Chose qu'ils ne faisaient pas l'an dernier.
02:52
L'an dernier, il y avait des hésitations, il y avait beaucoup d'erreurs.
02:54
On les sentait très ouverts et perméables à ce qui les entourait.
02:58
Cette fois-ci, ils sont beaucoup plus concentrés sur ce qu'ils doivent mettre en place justement
03:02
pour mettre les balles au centre et ça marche.
03:04
J'aime bien cette manière de faire parce que c'est une manière qui est stable.
03:07
C'est quelque chose qui fonctionne et qui fonctionnera toujours.
03:11
Comment on travaille ça ?
03:13
Après, il y a beaucoup d'années d'expérience aussi, mais ça se travaille.
03:17
Il y a un petit changement par rapport à l'année dernière ?
03:19
L'an dernier, ils ont énormément travaillé la vitesse de tir, parfois peut-être au détriment de la qualité.
03:24
Cette année, tout simplement, ils sont revenus sur des choses plus standards,
03:27
à rester concentrés sur des choses qui fonctionnent, des choses très simples en fait.
03:33
C'est une manière de faire qu'ils connaissent parce qu'ils le travaillent depuis tout petit,
03:37
mais qu'ils avaient peut-être mis un peu de côté justement pour travailler la vitesse de tir.
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On va laisser le plateau, bien sûr, te poser des questions.
03:44
Je sais que tu adores ça en plus.
03:46
Jérémy Hansman, oui, on va voir Jérémy Hansman.
03:48
Bien sûr, j'ai plein de questions.
03:50
Parce que Jérémy, qui est notre envoyé spécial, va peut-être nous expliquer un petit peu
03:57
ce qui se passe aussi humainement finalement dans cette équipe et dans ce relais.
04:02
Je ne te vois pas Jérémy, mais j'imagine que tu es là.
04:07
Salut Claire, oui, je suis bien là, on est bien là avec Victor Coudreau.
04:10
Oui, la dimension humaine et la vie de groupe, c'est aussi une dimension importante de leur succès.
04:16
Vous savez, on leur a laissé une caméra en début de semaine pour qu'ils filment un peu leur intimité,
04:22
leur moment de groupe.
04:23
Et en fait, on constate que chaque biathlète de l'équipe de France Masculine participe à cette vie de groupe.
04:29
Ils ont acheté par exemple un jeu de fléchettes, ils jouent énormément tous ensemble.
04:34
Donc ça peut faire sourire, mais en fait c'est aussi une des clés de leur succès et de leur réussite collective.
04:40
C'est aussi le fruit d'un travail qui a été entamé il y a un an et demi, un peu plus,
04:45
par Simon Fourcade et Jean-Pierre Hamatte, les entraîneurs de l'équipe de France,
04:48
et qui porte ses fruits cette saison.
04:50
En course individuelle, c'est 11 podiums, les bleus de l'équipe de France,
04:55
avec 5 garçons différents qui sont montés sur la boîte cette saison.
04:59
Et ça se retrouve finalement en relais avec 3 victoires,
05:03
et ils sont en train de marquer l'histoire du biathlon français, ces bleus.
05:07
Je précise d'ailleurs que ça a encore marché, on a changé perrot par Emilien Claude aujourd'hui,
05:11
ça a quand même bien fonctionné également.
05:13
Pierre, tu avais une multitude de questions.
05:15
Parce que Marie nous explique qu'en fait, ils sont venus à des...
05:19
Je me demande pourquoi ils ne l'ont pas fait avant en fait.
05:21
Parce que tu crois qu'ils ont poussé un peu trop loin justement,
05:24
leur recherche, la façon de tirer vite,
05:27
ils sont un peu dispersés sur différents trucs,
05:30
et là j'ai l'impression qu'ils prennent du plaisir simplement en fait.
05:34
Alors après il y a différentes choses.
05:36
Déjà nous on marche beaucoup par saison olympique,
05:39
c'est-à-dire qu'on est un sport quand même olympique,
05:41
et on prépare une saison olympique durant 4 ans.
05:43
Donc bien sûr chaque année il y a des championnats du monde,
05:45
il y a des objectifs personnels à aller chercher,
05:47
il y a une coupe du monde qui se passe avec un gagnant, etc.
05:49
Mais quand même il y a une préparation qui se fait sur 4 ans,
05:52
et sur 4 ans on peut se permettre des années justement,
05:55
pour pouvoir progresser l'année suivante,
05:57
et bien de travailler quelque chose qui nous manque.
05:59
Ils ont peut-être mis en lumière,
06:01
on tire, on pêche un petit peu par rapport au tir,
06:04
parce qu'on est un peu trop lent,
06:06
on aurait peut-être 2 secondes à gagner par tir,
06:08
et du coup on va travailler ça, on va travailler ça, on va travailler ça.
06:11
Et des fois peut-être quand on bascule un peu...
06:13
Voilà, après ils sont les premiers pénalisés,
06:17
des fois justement à faire des choses au détriment de la qualité,
06:22
et à un moment donné faire la saison dernière,
06:24
il n'y avait pas la même ambiance aussi,
06:26
parce que dans la difficulté c'est toujours...
06:30
Et puis répondre aux questions des journalistes,
06:32
pourquoi la course n'est pas bien passée,
06:34
pendant 40 courses, c'est compliqué aussi.
06:36
Donc il y a une belle dynamique cette année,
06:38
il y a une saine émulation au sein de l'équipe de France,
06:40
on voit que les résultats ne sont pas aussi portés juste par une personne,
06:44
mais par vraiment un collectif, et c'est ça qui est fort.
06:46
Les filles aussi d'ailleurs ?
06:47
Chez les filles aussi.
06:48
Je pense que les garçons se sont servis aussi...
06:50
On va se tirer ?
06:51
Et ça c'est chouette aussi, girl power.
06:54
Donc je pense que c'est vraiment un ensemble de choses,
06:57
et on ne peut pas dire que ça ne leur a pas servi.
07:01
Finalement l'ensemble d'une carrière, tu te fais des expériences,
07:04
et puis tu essayes de tirer profit de chaque expérience
07:07
pour le mettre à ton actif.
07:09
Eric ?
07:11
Juste sur la construction du relais,
07:13
il se fait très tôt, en préparation très avant,
07:19
ou c'est vraiment sur la forme du moment,
07:21
ou sur la forme de la compétition ?
07:23
La composition du relais se fait avec l'ensemble du staff,
07:28
donc à la fois avec les athlètes, mais aussi les entraîneurs.
07:31
Tu ne passes pas ça sur une saison,
07:32
tu passes vraiment sur un moment précis,
07:34
où tu te dis de forme ?
07:36
Ça dépend.
07:37
Ça peut permettre d'avoir une belle densité au sein d'une équipe,
07:40
ça peut permettre de mettre certains athlètes au repos,
07:43
comme ça a été le cas d'Eric Pierrot aujourd'hui.
07:46
Une saison c'est long, c'est vraiment une quarantaine de courses,
07:50
des fois c'est long à digérer,
07:52
et c'est une richesse de pouvoir se permettre de faire des impasses
07:55
pour préparer la suite.
07:56
Et là finalement on a remplacé un bonhomme par un autre,
07:58
et un bon bonhomme par un autre bonhomme,
08:00
donc ça c'est chouette aussi.
08:03
Petite question ?
08:04
Parce que j'entendais parler de team building,
08:06
de fleu de fléchettes, tout ça,
08:08
est-ce que c'est quelque chose qui est complètement nouveau,
08:10
ou est-ce que ça se faisait déjà avant quand même ?
08:12
Parce que pour moi c'est quand même la base,
08:14
justement quand on est dans un groupe,
08:16
quand on évolue avec des coéquipiers,
08:18
et qu'on évolue tous ensemble très souvent,
08:20
est-ce que c'est quelque chose qui se faisait…
08:21
Je vais répéter la question,
08:22
parce que visiblement ton micro a un petit souci.
08:24
D'accord.
08:25
Je me demandais si le team building était une habitude,
08:27
ou pas, je crois qu'on t'a boycotté toute l'émission.
08:29
C'est pas grave, c'est pas grave.
08:31
Je peux crier sinon.
08:32
On va régler ça pendant que Marie répond.
08:34
Pas de problème.
08:35
Alors, moi j'ai connu plusieurs époques
08:38
où il n'y a pas forcément besoin d'être une bande de potes
08:40
pour gagner un relais.
08:41
Voilà, ça c'est des fois l'idée classique qu'on peut se faire,
08:45
on se dit, ils s'entendent tous bien, donc ils gagnent.
08:47
Et s'ils ne s'entendaient pas, ils gagneraient.
08:49
Ça reste un sport individuel.
08:50
Ça reste l'addition de quatre courses individuelles.
08:52
Donc j'ai un peu connu tous les cas de figure,
08:54
c'est-à-dire des personnes qui s'entendent plus ou moins bien,
08:57
mais qui ensemble arrivent à faire une belle performance.
08:59
Après, c'est toujours plus sympa quand il y a une scène ambiance.
09:02
Ça apporte toujours une plus-value.
09:04
Ça apporte toujours une plus-value parce qu'on se fait confiance.
09:07
Et là, je trouve vraiment dans cette équipe,
09:10
il y a vraiment une scène émulation.
09:11
C'est-à-dire qu'on ne sent pas quatre individualités alignées au départ
09:16
et puis peu importe ce que fait l'autre, moi j'essaie de faire ma course.
09:18
On sent vraiment qu'ils ont tous à cœur de bien faire pour eux,
09:21
mais aussi pour l'ensemble de l'équipe.
09:23
Et ça, ça transpire.
09:25
Et toi, tu sens qu'un groupe s'est créé pour les années à venir ?
09:28
Après, oui.
09:29
Moi, je sens qu'un groupe s'est créé et puis surtout,
09:31
là, on a des garçons qui sont tous dans la même catégorie d'âge, grosso modo.
09:36
Il y a très peu d'écart d'âge entre…
09:39
Non, je dis ça, mais ce n'est pas vrai.
09:41
Eric, il est très jeune, mais ça fait déjà longtemps qu'il est là.
09:43
Du coup, j'ai l'impression qu'il est plus vieux que ce qu'il en a l'air.
09:47
Oui, il est complètement intégré.
09:48
Mais en fait, ils sont quand même dans le même état d'esprit.
09:51
Ils sont joueurs.
09:54
Moi, c'est agréable en ce moment de les voir parce que, encore une fois,
09:59
ce n'est pas quatre individualités.
10:01
On sent qu'il y a un collectif qui s'est créé.
10:03
Marie, demain, il y a une toute dernière question.
10:05
Juste pour rebondir sur ce qu'elle disait,
10:07
mais c'est plus facile de faire un changement de dernière minute
10:10
quand tu as préparé tout ça et qu'il y a plus d'ambiance dans un groupe.
10:13
Oui, comme mentalement.
10:14
Et puis surtout, quand on sait qu'il y a d'autres athlètes qui sont aussi solides,
10:17
qui sont capables de prendre la place d'un autre
10:20
sans que ça ait une incidence sur le résultat.
10:22
Ça passe vite, Marie.
10:24
Non ? Tu n'as pas l'impression ?
10:25
De quoi ?
10:26
De que le temps est passé super vite avec nous, finalement.
10:28
C'est déjà fini ?
10:29
Il est très bien, le temps avec vous.
10:31
Non, j'ai une toute dernière question quand même.
10:33
Demain, il y a le relais féminin, justement, à 12h50.
10:35
Qu'est-ce que tu attends, toi, à ton avis, des Bleus ?
10:38
Qu'elles fassent la même chose.
10:40
Point.
10:41
Point.
10:42
C'est possible.
10:43
Non, elles sont très fortes aussi.
10:45
Les Bleus sont clairement favorites.
10:48
Même si elles n'ont pas encore gagné autant que les garçons sur les relais.
10:52
Mais elles sont clairement favorites.
10:54
Après, elles savent faire.
10:56
J'imagine qu'elles vont nous montrer des belles choses.
10:58
Après, c'est un relais...
11:00
Comment ?
11:01
Inédit.
11:02
C'est-à-dire que c'est pareil.
11:03
On va avoir des nouvelles filles qui ne sont pas d'habitude au départ du relais
11:06
qui disputeront le relais demain.
11:08
C'est un super teasing.
11:09
Donc, 12h50, demain, avec Marie de Ruinberg
11:12
qui sera bien gardée par l'équipe Biathlon, je m'en assure.
11:14
Marie Faumé.
11:15
En tout cas, tu es la bienvenue dans l'équipe de choc.
11:17
C'est toujours un plaisir de discuter avec toi.
11:20
Nous, on va parler Dakar juste après la pub avec Adrien Van Beveren
11:24
qui a terminé deuxième de l'étape et troisième du classement en général.
11:27
C'est de la moto, bien sûr.
11:28
On aura plein de questions.
11:29
Surtout, on fera un bilan puisque c'était la dernière étape aujourd'hui.
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