00:07 Maki impose au Forceps la prolongation de son mandat.
00:11 Vous le déconnez, en tout cas, la présidentielle se tiendra le 15 décembre 2024.
00:17 Renseignement du journal du groupe des médias.
00:19 Tribune, en tout cas, dédiquer les éléments du GIGN.
00:23 Les éléments du GIGN pénètrent dans les bicycles et délogent.
00:28 C'est-à-dire en un tour de clé, les députés.
00:33 Déloger les députés dans les bicycles au nom de qui ou de quoi ?
00:37 Quoi qu'il en soit, Tribune continue de nous apprendre que l'Assemblée nationale a été sous haute tension.
00:44 Au tension maître de la situation d'hier, libération l'est.
00:48 En tout cas, le journal dédiqué, le PDC Benobo Gbengar,
00:54 supprime l'élection présidentielle du 25 février 2024.
00:58 Ainsi, le report voté au Forceps,
01:03 maintenant par la force de l'MBAM,
01:06 même s'il a dit que l'Observateur l'obs,
01:10 sans contour ni détour d'indiquer à sa une adoption de la proposition de loi constitutionnelle,
01:15 c'est passé à la question de savoir comment ?
01:20 Le GIGN évacue l'opposition.
01:24 Benobo Gbengar et le PDS mutualisent leurs 105 voix.
01:29 A haute intelligible voix qu'il conviendrait de lire l'autre point important du journal du groupe Future Media.
01:36 On se dirige vers un embruyament juridique et politique.
01:41 Politiquement parlant, ça sent le nefferembab.
01:45 S'agit-il de mbam rour, mbam seuf ou de mbam al ?
01:48 Pour l'instant, chute quotidienne d'indiquer report de la présidentielle de février 2024.
01:52 L'Assemblée nationale cautionne la tenue du scrutin renvoyé au 15 décembre 2024.
01:58 Dakar sous haute surveillance policière explique toujours chute quotidienne.
02:02 Le journal du groupe chute communication d'ajouter l'opposition expulsée de la salle par le GIGN.
02:09 Le conseil constitutionnel dernier arbitre dans cette histoire.
02:13 L'histoire retiendra ce qu'on peut lire à la une du mandat quotidien ce matin.
02:18 Le journal de parler d'élection présidentielle avant de soulier l'Assemblée nationale en pleine crise.
02:23 Un report acté pour le 15 décembre 2024.
02:27 Face à cette situation carabinée de chute carabinée, démocratiquement parlant.
02:33 Dieu envoya Bougane Guetadi ou le bulldozer du landénau politique sénégalais.
02:39 Le mandat continu de parler d'appel à la mobilisation de Bougane Guetadi.
02:45 En tout cas, le leader incontestable de la philosophie de dire Bill le Hi ou le Hi tel le Hi.
02:56 Makissa est illégitime à partir du 2 avril.
03:00 Pour comprendre que le bulldozer du landénau politique sénégalais n'est pas un homme politique de la petite semelle.
03:08 Il suffit de prendre Tribune quotidienne ce matin.
03:11 Le journal du groupe des médias de soulier Bougane Guetadi revient sur la dérogation de l'article 31 dans la constitution.
03:20 Pour dire à qui veut et à qui ne veut le savoir qu'à compter du 2 avril, Makissa sera président illégitime de chez illégitime.
03:30 Au sénégalais et au sénégalais, il y a dans le point actuel la sortie magistrale, pour ne pas dire monumentale, voire cardinale et même chirurgicale signée Bougane Guetadi.
03:42 Qui revient ? Qui revient à la charge.
03:44 Chargée à bout portant, chargée à bout portant, Nyangal national universel mondial.
03:48 Voilà ce que fait le leader incontesté et incontestable de la philosophie comme ce mot.
03:53 Bougane Guetadi en l'occurrence en déclarant à partir du 2 avril, Makis sera un président illégitime.
04:01 Propos de Bougane Guetadi, nous Bougane Guetadi allure dans le point actuel ce matin.
04:06 Bon, toujours au chapitre des touilles, pour ne pas dire les missiles Scud et des Tomahawk, comprenez les bombes à fragmentation.
04:12 Les bombes à fragmentation signées le bulldozer du landero politique sénégalais.
04:16 Bougane Guetadi, on peut le dire soutenu par des députés soumis et opportunistes.
04:21 Makis s'agrippe à son malheur. Malheureusement, un homme averti en vaut deux.
04:26 Et c'est Bougane Guetadi qui semble rappeler à qui le doigt dans le tribune quotidien.
04:31 En tout cas, ça vaille de souligner ce qu'il a l'air de souligner à savoir, j'en appelle à la magistrature et aux forces vives.
04:38 Et aux forces vives, et aux forces vives à prendre leur responsabilité.
04:43 Et c'est en toute responsabilité que l'évidence quotidienne nous livre.
04:48 Le coup de pied dans la fourmilière pour ne pas dire le pari dans la barre.
04:51 Si Bougane Guetadi, en tout cas, à la une du journal, il s'agit du chocassement, du chocassement de saouaille.
04:56 Le leader incontesté et incontestable, pour ne pas dire inévitable, et incontournable de la philosophie.
05:00 Comme ce Bob qui dira à compter du 2 avril, Makisal deviendra un président illégitime de chez Illegitim.
05:09 Voilà, voilà, voilà, voilà, bon, sommes-nous tentés de nous dire qu'à cela ne tienne, et bien qu'à cela ne tienne.
05:14 L'évidence quotidienne, et bien l'évidence quotidienne pour ceux qui relèvent du report, et bien du report de la présidentielle.
05:19 De nous informer, et bien de nous informer que le mouvement national des enseignants républicains, dirigé de main de maître par Maïbouna Sissokho Houm.
05:26 Salue, et bien salue la responsabilité et le courage, et bien le courage des députés.
05:31 En tout cas, et bien en tout cas, députés, et bien députés du comportement d'une certaine opposition à l'hémicycle.
05:36 Voilà la posture de Maïbouna Sissokho Houm, du mouvement national des enseignants républicains.
05:41 Allée dans l'évidence quotidienne ce matin, ce matin.
05:44 Le journal en tout cas de nous renseigner que là aussi, Sissokho Houm, Maïbouna, coordonnatrice nationale du mouvement national des enseignants républicains.
05:51 Et bien mérite probablement des wakoumbes, des wakoumbes, de la part, et bien de la part de son mentor Makisal.
05:56 Makisal qui aura probablement, et bien probablement, un intérêt particulier, de chez particulier, allé, et bien allé là ce quotidien ce matin.
06:03 Ce matin, le journal a parlé de corruption, et bien de corruption au conseil constitutionnel, histoire d'indiquer, histoire d'indiquer la démission,
06:09 la démission logique de Bagno Kamara et compagnie s'impose.
06:13 Détail, waouh, waouh, et Amadouba, et bien Amadouba dans tout ça.
06:17 En tout cas, tribune quotidienne, tribune quotidienne pour sa part de révéler, report, et bien report, de la présidentielle, la candidature, et bien la candidature d'Amadouba.
06:24 La candidature d'Amadouba, compromise.
06:27 Est-ce à dire que tchafengih mafé biyakouni yaké, et bien yaké, pour Amadouba, pour l'instant, et bien pour l'instant, intéressons-nous au point actuel qui revient en long et en large sur la séparation.
06:37 La séparation entre Abdullatif Koulibaly et Makisal, en tout cas, les vraies raisons, et bien les vraies raisons d'une démission.
06:43 Voilà ce que révèle le point actuel. Le journal, et bien le journal, en tout cas, de soumier le soutien à son frère magistrat du conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Koulibaly,
06:50 et sa proximité, et bien et sa proximité avec Amadouba ont pesé, et bien ont pesé sur la balance, en tout cas.
06:55 Il a été nommé ministre à plusieurs reprises contrairement, et bien contrairement à Abou Abel Tchab, racine Thala, et Ibrahim Ndoye, soutien historique, et bien soutien historique de Makisal,
07:04 qu'on a tenu autour justement de cette situation.
07:07 Sinon, ce que nous livre le point actuel, à savoir, Latif Koulibaly, et bien Latif Koulibaly n'avait pas soutenu, alors là, pas du tout soutenu, du tout, du tout soutenu, Makis 2012.
07:16 Bon, restons avec le point actuel pour terminer. Le journal d'afficher les propos de Youssou Nour, à savoir, la situation, et bien la situation du pays.
07:25 M'inquiète. Bon, fait que, mon cosy bole, ou le péché, mon cosy bole, en tout cas, me la tchédong, me la tchédong de, tchéï alla, fou du diabati.
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