#MattiaFilice #locomotive #littératureparisienne
https://gotopnews.com/post/1448833
Mattia Filice signe un premier roman qui ne ressemble à aucune autre: une épopée ébouriffée pour dire la vie quotidienne d'un chauffeur de train. "Mécano" recueille mille histoires des petits et grands événements qui se déroulent dans les stations et sur les pistes. Un poème épique, autobiographie, une auto-fiction, roman choral, un pastiche de film noir, histoire initiative, en bref OVNI littéraire traversé par plusieurs citations et références culturelles. C'est ce que Mattia Filice a écrit comme premier roman.Parce qu'il était nécessaire de trouver une forme spécifique à écrire sur un sujet qui n'apparaît généralement pas dans la littérature française: la vie quotidienne d'un chauffeur de train, ce qui est Filice pendant dix-huit ans, tout comme son narrateur, son double. Un roman d'aventure Il fallait dire le rythme oppressif, les nuits passées à conduire, la vitesse était nécessaire de dire aussi la peur, le danger qui attend toujours celui qui est par inadvertance avec une minute d'inattention. Quelle forme de l'épopée se traduit très bien, dans un roman d'aventure où chaque page est une épreuve pour croiser.Extreme Tension transporte "mécanicien", et jusqu'à la dernière page, nous ne lâchons pas. L'humour est partout présent, personnages distribués et dans les reflets d'un narrateur plein d'auto-marquerie.Filice, qui à un autre moment était projectionniste une salle d'art et d'essai pour financer études cinéma, a également fourré son texte la référence au cinéma genre, décryptable ou non, qui ajoute une couleur drôle à certaines scènes, anecdotes la vie quotidienne qui, sous son stylo, deviennent des aventures grandioses dignes d'un occidental. Un "pudding littéraire" "Dès le début, je voulais écrire sur cette expérience. Je ne trouvais pas la bonne forme. Le faire avec une prose dans un grand bloc me semblait opposition à tout ce qui se passait.Je ne veux pas en faire un simple témoignage. Je voulais quelque chose de composite mais cela m'a pris un certain temps pour que cela se matérialise ", explique Mattia Filice. Le monde des chemins de fer est composite. La meilleure façon de peindre un portrait était de faire un pudding littéraire pour entendre toutes les voix à la station. Mattia Filice "Peu à peu, j'ai réalisé que j'avais frotté épaules avec des gens accomplissaient quotidiennement des actes héroïques", a-t-il dit.Un roman qui a choisi mille histoires jeunes et de vieilles se déroulent dans stations et sur pistes.Là où vieux sages enseignent aux jeunes fous cordes la profession. Une œuvre politique C'est surtout le collectif qui fascine l'auteur. Son livre, loin d'être un simple témoignage, est une œuvre politique. Une grève qui paralyse le trafic est l'un des moments clés. Nous voyons tous ces gens s'organiser, parlant dans leLes assemblées, se révélant mutuell
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Mattia Filice signe un premier roman qui ne ressemble à aucune autre: une épopée ébouriffée pour dire la vie quotidienne d'un chauffeur de train. "Mécano" recueille mille histoires des petits et grands événements qui se déroulent dans les stations et sur les pistes. Un poème épique, autobiographie, une auto-fiction, roman choral, un pastiche de film noir, histoire initiative, en bref OVNI littéraire traversé par plusieurs citations et références culturelles. C'est ce que Mattia Filice a écrit comme premier roman.Parce qu'il était nécessaire de trouver une forme spécifique à écrire sur un sujet qui n'apparaît généralement pas dans la littérature française: la vie quotidienne d'un chauffeur de train, ce qui est Filice pendant dix-huit ans, tout comme son narrateur, son double. Un roman d'aventure Il fallait dire le rythme oppressif, les nuits passées à conduire, la vitesse était nécessaire de dire aussi la peur, le danger qui attend toujours celui qui est par inadvertance avec une minute d'inattention. Quelle forme de l'épopée se traduit très bien, dans un roman d'aventure où chaque page est une épreuve pour croiser.Extreme Tension transporte "mécanicien", et jusqu'à la dernière page, nous ne lâchons pas. L'humour est partout présent, personnages distribués et dans les reflets d'un narrateur plein d'auto-marquerie.Filice, qui à un autre moment était projectionniste une salle d'art et d'essai pour financer études cinéma, a également fourré son texte la référence au cinéma genre, décryptable ou non, qui ajoute une couleur drôle à certaines scènes, anecdotes la vie quotidienne qui, sous son stylo, deviennent des aventures grandioses dignes d'un occidental. Un "pudding littéraire" "Dès le début, je voulais écrire sur cette expérience. Je ne trouvais pas la bonne forme. Le faire avec une prose dans un grand bloc me semblait opposition à tout ce qui se passait.Je ne veux pas en faire un simple témoignage. Je voulais quelque chose de composite mais cela m'a pris un certain temps pour que cela se matérialise ", explique Mattia Filice. Le monde des chemins de fer est composite. La meilleure façon de peindre un portrait était de faire un pudding littéraire pour entendre toutes les voix à la station. Mattia Filice "Peu à peu, j'ai réalisé que j'avais frotté épaules avec des gens accomplissaient quotidiennement des actes héroïques", a-t-il dit.Un roman qui a choisi mille histoires jeunes et de vieilles se déroulent dans stations et sur pistes.Là où vieux sages enseignent aux jeunes fous cordes la profession. Une œuvre politique C'est surtout le collectif qui fascine l'auteur. Son livre, loin d'être un simple témoignage, est une œuvre politique. Une grève qui paralyse le trafic est l'un des moments clés. Nous voyons tous ces gens s'organiser, parlant dans leLes assemblées, se révélant mutuell
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