Anaïs Chevalier-Bouchet vers la retraite ? "Je n’ai pas pris de décision pour la suite"
- il y a 2 ans
Anaïs Chevalier-Bouchet vers la retraite ? "Je n’ai pas pris de décision pour la suite"
Et si, plus qu’une page, l’équipe de France de biathlon devait clôturer un chapitre entier à la fin de la saison. Après les annonces des départs à la retraite de Simon Desthieux et d’Anaïs Bescond à l’issue de la saison, le clan tricolore pourrait également voir Anaïs Chevalier-Bouchet tirer sa révérence.
Interrogée ce jeudi à l’issue du sprint, conclu à la cinquième place, sur sa capacité à endosser désormais le rôle de doyenne dans le groupe dames, l’Iséroise de 29 ans a avoué : « Je ne vais pas avoir le choix. Mais surtout, je n’ai pas pris de décision pour la suite. Je veux laisser la saison se terminer, prendre du repos. J’ai besoin de me poser et de réfléchir. Je prendrai ma décision quant il faudra. »
La biathlète licenciée aux Sept-Laux n’a jamais caché son envie de profiter de sa famille, et de sa petite fille Emie, née en octobre 2019. « Devenir maman a changé ma vision du sport et de ma vie en général, confiait-elle cet été. Quand ça se passe bien, je sais que j'ai fait le bon choix, ça donne une motivation en plus. Quand ça se passe mal, je me dis que je ferais mieux d'être à la maison. Ce n'est pas toujours facile pour moi, c'est un peu culpabilisant parce que je ne suis pas une maman qui est toujours avec sa fille. Mais c'est une question d'organisation et je sais que ça ne dure qu'un temps. »
Biathlète des grands rendez-vous, avec deux médailles lors des Jeux olympiques de Pékin en février et deux autres lors des Mondiaux de Pokljuka l’an passé, Chevalier-Bouchet ne se voit toutefois pas étirer le fil indéfiniment : « Je pense ne pas me tromper quand je dis que je ne serai pas aux Jeux olympiques 2026 », tranche-t-elle. Elle pourrait toutefois être tenté par un nouveau défi avec des Mondiaux à Oberhof, l'un des sites les plus mythiques du biathlon, en février prochain.
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Toutes les informations contenues dans la vidéo ne nous appartiennent pas du tout. Il peut appartenir aux individus ou aux organisations les plus nobles. Nous l'utilisons uniquement comme matériel d'information pour la communauté
Nous utilisons en vertu de : Clause de non-responsabilité relative au droit d'auteur, section 107 de la loi sur le droit d'auteur de 1976. "L'utilisation équitable" est autorisée à des fins telles que la critique, les commentaires, les reportages, l'enseignement, les bourses et la recherche.
Les sources des matériaux sont collectées auprès de la presse et des réseaux sociaux aux États-Unis sur la base de la politique d'utilisation équitable « Fair use for news reporting »
(https://www.youtube.com/
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Interrogée ce jeudi à l’issue du sprint, conclu à la cinquième place, sur sa capacité à endosser désormais le rôle de doyenne dans le groupe dames, l’Iséroise de 29 ans a avoué : « Je ne vais pas avoir le choix. Mais surtout, je n’ai pas pris de décision pour la suite. Je veux laisser la saison se terminer, prendre du repos. J’ai besoin de me poser et de réfléchir. Je prendrai ma décision quant il faudra. »
La biathlète licenciée aux Sept-Laux n’a jamais caché son envie de profiter de sa famille, et de sa petite fille Emie, née en octobre 2019. « Devenir maman a changé ma vision du sport et de ma vie en général, confiait-elle cet été. Quand ça se passe bien, je sais que j'ai fait le bon choix, ça donne une motivation en plus. Quand ça se passe mal, je me dis que je ferais mieux d'être à la maison. Ce n'est pas toujours facile pour moi, c'est un peu culpabilisant parce que je ne suis pas une maman qui est toujours avec sa fille. Mais c'est une question d'organisation et je sais que ça ne dure qu'un temps. »
Biathlète des grands rendez-vous, avec deux médailles lors des Jeux olympiques de Pékin en février et deux autres lors des Mondiaux de Pokljuka l’an passé, Chevalier-Bouchet ne se voit toutefois pas étirer le fil indéfiniment : « Je pense ne pas me tromper quand je dis que je ne serai pas aux Jeux olympiques 2026 », tranche-t-elle. Elle pourrait toutefois être tenté par un nouveau défi avec des Mondiaux à Oberhof, l'un des sites les plus mythiques du biathlon, en février prochain.
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