André Grimaldi : "Aujourd'hui la ministre a le choix d'adapter les modes de financement à l'activité"

Bruno Le Maire, ministre de l'Économie et des Finances : "J'encourage les entreprises à se déclarer en activité partielle. Je pense que c'est aujourd'hui la solution la plus efficace."

Agnès Buzyn, ministre de la Santé : "Nous avons confié aux partenaires sociaux le soin de définir les moyens d'arriver à l’équilibre financier. Si la conférence de financement n'aboutit pas à un compromis, il est prévu que l'État prenne la main."

Nicolas Hulot : "Il va falloir adapter l'agriculture aux contraintes d'aujourd'hui"

Sibeth Ndiaye : "Si aujourd'hui notre pays peut se permettre des dépenses importantes pour soutenir l'activité économique, c'est parce que nous avons été des fourmis au début du quinquennat"

Frances Haugen : "Toutes les démocraties sont vulnérables par rapport aux choix que fait Facebook aujourd'hui."

"Nous sommes aujourd'hui 5% en dessous du niveau de l'activité pré-Covid. C'est beaucoup, mais c'est moins grave que ce qu'on pouvait craindre" (François Villeroy de Galhau)

Agnès Buzyn sur le revenu universel d'activité : "Aujourd'hui, les personnes les plus précaires ont recours à une multitude de guichets, à la fin quand on est décrocheur du système, on est épuisé"

Aujourd'hui, "je suis complètement libre de mes choix artistiques", confie Pomme

Barbara Pompili : "Concrètement, aujourd'hui, il y a zéro nouveau réacteur nucléaire programmé en France. Par contre, il y a des options sur la table. Le choix se fera après ce quinquennat."

Cécile Duflot (Oxfam France) :"Les dirigeants d'aujourd'hui vivent sur un ancien logiciel, et ne sont pas ceux qui vivront les conséquences de leurs choix politiques"

Benoît Hamon : "Aujourd'hui, on hiérarchise l'horreur. Moi je ne fais pas de choix entre Daesh et Bachar El-Assad."

Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef : "On a fait le choix, en France et en Europe, de taxer le "made in France" ou le "made in Europe" de façon disproportionnée. On le paie aujourd'hui."

Emmanuel Hirsch : "On a eu un consentement présumé, quand on a été face à la déferlante, on n'avait pas d'autre choix, et on a privilégié le moindre mal. Ce qui est dramatique aujourd'hui, c'est qu'on a une suspicion à l'égard de ceux qui dirigent."

Agnès Buzyn, ministre de la Santé, sur la réforme des minimas sociaux et le revenu universel d'activité : "Il est hors de question de faire des économies sur les aides sociales"

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique : "Le nucléaire, on l’a encore pour un bout de temps (en 2035 il y en aura encore 50 %), après il y aura un choix : est-ce qu’on arrête ou est-ce qu’on continue ?"

Lionel Jospin, ex-Premier ministre parle d'"archaïsme économique : "La désillusion, et l'incertitude qui s'est répandue, sont liés aux choix faits par Emmanuel Macron"

Roxana Maracineanu, ministre des Sports, échange avec une auditrice footballeuse : "La réalité, c'est que foot reste un sport machiste, il faut le dire. La Fédération française de football va devoir faire un choix"

Olivier Véran, ministre de de la Santé : "On a fait un choix rigoureux d'avoir des masques grand public qui filtrent 70% à 90% des particules. Si faire un masque avec un t-shirt servait à quelque chose, on l'aurait dit."

Ségolène Royal, ex-ministre de l'Environnement, sur ceux qui ont refusé le jeu de l'union des écologistes pour les prochaines européennes :" Ils auront des comptes à rendre (..) Ce choix politique est une faute grave"

Nathalie Loiseau, ministre des Affaires européennes : "Aujourd'hui, rien n'est clair sur le Brexit"

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