Paroles : J. Dubreuil / Damien Berrard
Musique : Damien Berrard
Prise de son, mixage, réalisation : Damien Berrard
Avec l'aimable participation de Daniel Berrard à l'accordéon.
Vous étiez beau et j’étais là
Petite fille, jeune insouciante
Premier éclair, le cœur qui bat
Premiers frissons, parfum de menthe.
L’enfance est lourde et puis l’amour
Nous porte pour la première fois
M’approcher de vous dans la cour
Vous retenir tout près de moi.
J’attendais grandir le courage
Mon cœur de môme était fragile
Parler d’amour à tous les âges
Comme parfois c’est difficile.
Et puis voilà que tout bascule
Nos âmes vibrent à l’unisson
De l’aurore jusqu’au crépuscule
Je vous écris dans mes chansons…
Que les amoureux courent ensembles
Après les ailes du destin
Se tiennent la main, les gestes tremblent
S’aiment et s’amusent, ne disent rien,
Ils courent, ils dansent puis ils grandissent
Ils dansent, ils s’aiment puis ils vieillissent
Le souvenir des premiers jours
Les a suivis comme l’amour,
Et le temps défile, éphémère
L’enfance frôle nos mémoires
J’ai fait ce rêve un jour sur terre
Je me souviens parfois, le soir.
Vous étiez beau et j’étais là
A vos côtés, drôle d’amante
Premier éclair, le cœur qui bat
Premiers frissons, parfum de menthe.
Je me souviens de ce temps là,
C’était hier, enfin je crois.
Musique : Damien Berrard
Prise de son, mixage, réalisation : Damien Berrard
Avec l'aimable participation de Daniel Berrard à l'accordéon.
Vous étiez beau et j’étais là
Petite fille, jeune insouciante
Premier éclair, le cœur qui bat
Premiers frissons, parfum de menthe.
L’enfance est lourde et puis l’amour
Nous porte pour la première fois
M’approcher de vous dans la cour
Vous retenir tout près de moi.
J’attendais grandir le courage
Mon cœur de môme était fragile
Parler d’amour à tous les âges
Comme parfois c’est difficile.
Et puis voilà que tout bascule
Nos âmes vibrent à l’unisson
De l’aurore jusqu’au crépuscule
Je vous écris dans mes chansons…
Que les amoureux courent ensembles
Après les ailes du destin
Se tiennent la main, les gestes tremblent
S’aiment et s’amusent, ne disent rien,
Ils courent, ils dansent puis ils grandissent
Ils dansent, ils s’aiment puis ils vieillissent
Le souvenir des premiers jours
Les a suivis comme l’amour,
Et le temps défile, éphémère
L’enfance frôle nos mémoires
J’ai fait ce rêve un jour sur terre
Je me souviens parfois, le soir.
Vous étiez beau et j’étais là
A vos côtés, drôle d’amante
Premier éclair, le cœur qui bat
Premiers frissons, parfum de menthe.
Je me souviens de ce temps là,
C’était hier, enfin je crois.
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