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  • il y a 4 jours
Michel Bonnet et Jean-Jacques Devaux - La Classe - Octobre 1988

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😹
Amusant
Transcription
00:00C'est le bonnet Jean-Jacques II.
00:03Un peu plus, un peu plus.
00:07Pour ça qu'il s'appelle bonnet maintenant.
00:09Je me suis fait lécheux au rum.
00:11Alors vous savez quand on regarde un film à la télévision, le soir, chaque journal vous donne un résumé ou le début du film pour vous donner ou ne pas vous donner l'envie de regarder le film.
00:19C'est très intéressant.
00:20Et donc nous avons décidé avec Michel de vous donner le résumé selon les différents journaux.
00:23Et tout d'abord le seul journal sérieux, Télestars.
00:26Bien sûr.
00:27Bravo.
00:27Alors le film de ce soir est un film célèbre.
00:29Il s'agit de la grande illusion.
00:31Alors si vous avez manqué le début, la scène se passe pendant la guerre de 14-18.
00:35Les Allemands ont fait prisonnier Gabin et Pierre Freinet dans le camp de détenus.
00:39Ils rencontrent Dalio, un juif immigré.
00:41Gabin et Dalio arrivent à s'échapper grâce au sacrifice de Pierre Freinet.
00:44Mais ils sont poursuivis par le directeur du camp, Éric Von Strohren.
00:49Notre quatre étoiles.
00:51Alors dans l'humanité, ça donne à peu près ça.
00:53Deux camarades sympathiques, Gabin Dalio, travailleurs volontaires chez Messerschmitt, sont envahis dans une prison allemande pour apprendre à gérer un camp de dissidents.
01:03Notre code, deux marteaux, trois fossiles.
01:05Alors dans la vie catholique, c'est autre chose.
01:07En ce temps-là, Gabin était cubini et chouisse avec le père Dalio.
01:11Tous les deux partent en pèlerinage en Allemagne sur les conseils du pape Pidis, aimé du dieu Hitler.
01:17Ils étaient très copains.
01:18Le bon Éric Von Strohren prie le juif, le rompit et dit à ses disciples.
01:23Prenez et mangez, faites-le-ci en mémoire de moi.
01:26Alors notre code, trois hosties.
01:29Dans le journal détective, ça donne à peu près ceci.
01:31L'horreur débute ainsi.
01:34Deux forcenés, Gabin et Dalio, excédés par leur beau-père alcoolique, Pierre Freinet, violent Éric Von Strohren sans lui enlever sa minerve.
01:42Notre avis, pas assez de sang pour faire un bon film.
01:46Notre code, deux gouttes démoglobées.
01:48Alors dans le journal Guépier, deux copines, Gabin et Dalio, sont poursuivies par un jeune et faible blond.
01:55Non, c'est pas toi Olivier, c'est pas toi.
01:58Le blondiné poursuit les deux folles car il va leur faire un gros câlin.
02:02Que les filles se rassurent, ils se feront sûrement prendre.
02:05Notre avis, trois capotes.
02:08Et dans Tiers-C Magazine, ça donne à peu près ça.
02:11La course vient de partir, Gabin est en tête, Dalio est derrière.
02:15Ah, ça sonne, Pierre Freinet est à la faute.
02:17Oui, mais voici que t'arrives, Éric Von Strohren, Kazakh verte, Minerve blanche.
02:22Oui, et voici les résultats, premier branche-trois, deuxième diamant, troisième Dalio.
02:26Alors, dans le journal Minute...
02:28Ils se marinent, ils se marinent !
02:30Salon prix des Françaises !
02:32Alors pour ceux qui ne parlent pas l'allemand, on peut trouver la traduction dans les journaux de R100.
02:40Alors je lis dans les journaux, l'histoire débute ainsi.
02:43Le film se passe pendant la guerre 14-18.
02:45Les gens des Allemands ont fait prisonnier deux saloperies de traîtres à la France, Gabin et Pierre Freinet.
02:50Dans un camp, les deux terroristes se mettent en chouille avec un youp indouteux.
02:55Grâce au sacrifice inutile de Pierre Freinet, le sale juif et le traître réussissent à s'échapper.
03:00Mais rassurez-vous, nos amis de la Gestapo vont les rattraper.
03:03Et pour notre note, préférez-vous à nos journaux habituels.
03:06Merci à tous.
03:06Oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh oh
03:36Alors, il n'y aurait que 13, tiens, ça vous apprendra, c'est tout ce que j'ai à dire.
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