«On savait que Dominique Strauss-Kahn était entreprenant et qu’il aimait bien la gente féminine. Ce qu’il n’a caché à personne. Ceci étant, jamais personne n’avait ressenti cette agressivité qui lui serait reproché aujourd’hui. Il faut laisser sa défense s’organiser (…). Il nie en bloc cette agressivité, cet acte de violence. C’est à l’enquête (…) et la justice Américaine d’apporter ses appréciations (…). Il faut garder de la lucidité, de la retenue (…). Que la justice soit faite.»