11-SEPTEMBRE: LE DROIT AU DOUTE

Est-il  permis de remettre en question  la version officielle du 11-Septembre ? Huit ans après les attentats qui ont dévasté le sol américain, l’interrogation est devenue scandaleuse. Alors que de plus en plus de citoyens à travers le monde contestent le récit conventionnel de cet évènement,  l’expression publique du doute est désormais sacrilège. Selon le rang  social que vous occuperez, elle vous vaudra au mieux les ricanements de quelques ignorants, au pire l’adversité d’opposants déterminés à ne pas débattre du sujet.

Nous sommes allés interroger deux personnalités qui témoignent, chacune dans son domaine de compétence, d’une volonté manifeste de s’engager afin d’alerter les citoyens sur les anomalies et les incohérences de la version officielle.
 
Ancienne représentante démocrate, pendant douze ans, au Congrès américain et candidate aux élections présidentielles de 2008 pour le parti des Verts, Cynthia McKinney, figure dissidente par excellence de la vie politique US, s’est entretenue avec nous sur l’importance de saisir toute l’histoire de l’Administration Bush pour mieux appréhender la nature du 11-Septembre. A ses côtés, formant un tandem iconoclaste, le scientifique danois Niels Harrit, nous a fait part également de son rejet catégorique de la version officielle, et plus particulièrement du rapport du NIST (National Institute of Standards and Technology, agence gouvernementale chargée de l‘étude de l‘écroulement des tours) , allant jusqu’à détailler les indices permettant, selon lui, d’affirmer que les 3 immeubles -et non pas 2- effondrés le 11-Septembre à New York ont sciemment fait l’objet d’une démolition contrôlée et préméditée.
 
Un reportage de Hicham Hamza
Entretiens réalisés avec John Paul Lepers
Images : Hicham Hamza et Matthieu Martin
Montage : Olivier Joube

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