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  • il y a 7 minutes
Les grandes rixes qui mobilisaient auparavant “des dizaines de jeunes” se sont quasiment volatilisées, le préfet Patrice Latron fait le bilan du plan anti-bandes à La Réunion.

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Transcription
00:00Opération comme celle que vous voyez aujourd'hui, depuis qu'on a lancé l'antibande, il y en a eu 900.
00:05Un cycle de concentration des efforts, c'est-à-dire, on s'est concentré sur les six communes de la Réunion,
00:11il y a des qui étaient confrontés à ce problème de bande, trois en zone gendarmerie, trois en zone police.
00:18Un phénomène, un principe également d'individualisation, c'est-à-dire, on a cassé l'anonymat, les gens se réfugiaient derrière la bande.
00:26Eh bien, nous, on est rentrés dans le détail de ce qu'il y a dans la bande et nous avons créé une cellule antibande
00:32qui est dirigée par le directeur de mon cabinet, qui se réunit tous les 15 jours et qui fait du traitement individuel.
00:39Le traitement individuel, c'est quoi ? C'est de dire, on a pris sur une opération, les forces de l'ordre ont interpellé sur une opération
00:46quelqu'un qui était en action de bande, c'est-à-dire en affrontement, en trafic, on relève son identité
00:53et dans ces réunions, on va faire un balayage complet de sa situation à Vili Spatib en relation avec les parquets.
01:02Donc, dans cette cellule antibande, il y a ces contrôles de situation pour déboucher sur des situations administratives.
01:09Il y a actuellement 150 personnes à la Réunion qui sont suivies par cette cellule antibande.
01:17Sur ces 150, la moitié sont des mineurs. Donc, ce n'est pas parce qu'on est mineur qu'on n'est pas suivi
01:22et ce n'est pas parce qu'on est mineur qu'on ne va pas s'en pendre la famille.
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