Mohamed Salah traverse la plus grave crise de son ère à Liverpool. Relégué sur le banc lors des trois derniers matches de Premier League, il a explosé après le nul à Leeds en accusant le club de le « jeter sous le bus » et en dénonçant des promesses non tenues. Ses déclarations publiques ont déclenché une onde de choc : critiques de Rooney et Carragher, presse anglaise hostile et inquiétude croissante quant à son avenir.
La situation s’est encore détériorée lorsque Liverpool l’a écarté du groupe pour le déplacement à Milan en Ligue des champions. Arne Slot, surpris par la violence des propos de son joueur, a confirmé la sanction tout en évoquant la possibilité d’un retour. Pendant ce temps, Salah a publié une image de lui seul dans la salle d’entraînement, alimentant l’idée d’une rupture profonde.
Le contexte sportif, marqué par une saison décevante et un rendement en forte baisse, pèse aussi dans la perception générale. L’ailier égyptien, autrefois figure majeure du titre 2024-2025, voit son héritage remis en cause à mesure que la tension monte autour d’Anfield. En parallèle, l’Arabie saoudite se positionne déjà comme une piste sérieuse, prête à tout pour attirer Salah dès le mercato d’hiver.
La direction de Liverpool se retrouve ainsi face à une décision lourde, entre gestion de crise et préservation de l’institution. À ce stade, la question dépasse le terrain : elle concerne l’image d’une légende qui risque de quitter le club sur une note amère.
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