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Les vendeurs à la sauvette prennent de plus en plus de place dans les rues de certains quartiers parisiens, notamment dans le 18e arrondissement où ce sont les femmes qui font la loi. 

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Transcription
00:00Sur des cartons ou des caisses retournées, les étals des vendeurs à la sauvette sont nombreux.
00:05A quelques mètres parfois des commerces, ils proposent des marchandises à des prix qui défient toute concurrence,
00:10criant des tensions avec les commerçants de la rue.
00:13Interrogés, ils n'ont pas souhaité nous répondre par peur de représailles.
00:17A Châteaurouge, les rues Dejean, Doudoville et Poulet forment un marché à ciel ouvert,
00:21tenu pour la plupart par des femmes d'origine subsaharienne.
00:24Vous avez beaucoup de femmes qui sont issues de cette communauté qui proposent des produits d'ailleurs qui sont souvent interdits en France.
00:36Je pense à des blanchisseurs de peau, à des crèmes particulières.
00:40Des produits illicites, mais aussi beaucoup d'alimentaires qui restent sur les trottoirs et qui gênent les riverains.
00:45C'est vrai que vous sortez du métro Châteaurouge, les soirs d'hiver un peu humides,
00:49vous avez toute l'odeur des grillades des vendeurs à la sauvette.
00:53Ce n'est pas très agréable.
00:55La rue est nettoyée, à mon avis, pas suffisamment souvent par rapport à son usage ici spécifiquement.
01:01Le 18e arrondissement de Paris dispose d'une brigade spécifique des sauvettes et contrefaçons,
01:06comprenant 17 agents de police qui interpellent, verbalisent et saisissent les marchandises.
01:11Grâce à ce dispositif, 250 verbalisations ont été réalisées en 2025 contre 200 en 2024.
01:17Une amélioration, mais les vendeuses finissent toujours par revenir sur place.
01:23Sous-titrage Société Radio-Canada
01:25Sous-titrage Société Radio-Canada
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