- il y a 8 heures
Le résumé de toute l'actualité et des faits marquants de la journée
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00:00Bienvenue dans votre édition de la nuit.
00:03Ravi de vous retrouver à la une de l'actualité.
00:05Sébastien Lecornu salue le travail de concertation mené avec les forces politiques
00:10après l'adoption de la partie recette du projet de budget de la sécurité sociale.
00:15Un vote décisif qui s'est joué à peu.
00:17166 voix pour, 140 contre les détails dès le début de ce journal.
00:22A Nanterre, cette bagarre qui indigne dans une école entre dealers.
00:25Ce mardi, une altercation a éclaté entre quatre individus
00:28avant que l'un d'entre eux ne trouve refuge dans un établissement scolaire.
00:31Deux suspects ont été interpellés, une enquête est en cours.
00:34Dans ce journal également, on évoquera les logements squattés
00:37et un reportage édifiant de nos équipes en Seine-Saint-Denis.
00:40Vous entendrez à la fois la propriétaire,
00:42mais aussi la personne qui occupe illégalement l'appartement.
00:46Et puis dans la page sport, focus sur l'événement de la journée,
00:49le tirage au sort de la Coupe du Monde de football 2026.
00:52L'équipe de France affrontera le Sénégal, la Norvège et un barragiste intercontinental.
00:58C'était un scrutin à suspense,
01:02mais l'Assemblée nationale a finalement adopté en seconde lecture
01:05la partie recette du projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2026.
01:10Un vote crucial où 239 des 577 députés étaient absents.
01:16Les débats peuvent donc se poursuivre.
01:18Sarah Varni.
01:19C'est une respiration pour le gouvernement.
01:23L'Assemblée nationale a adopté dans un scrutin à 26 voix près
01:26la partie recette du budget de la sécurité sociale.
01:29Pour 166, contre 140, l'Assemblée nationale a adopté.
01:33Bravo à tous !
01:34Un résultat serré qui est perçu comme un avertissement pour le gouvernement,
01:38mais aussi comme une réussite.
01:40Cette étape importante reflète le travail de concertation
01:43mené avec les différents groupes et les compromis proposés.
01:46L'exécutif avait cherché à concilier les positions du Parti Socialiste
01:50et des groupes Horizons et les Républicains
01:52sur la question sensible de la hausse de la CSG sur le capital.
01:56Les députés adoptent une version amoindrie de cette hausse,
01:59particulièrement attendue par la gauche,
02:01mais désapprouvée par la droite.
02:03Le rendement attendu, lui, sera en baisse,
02:05passant de 2,8 milliards d'euros dans sa version initiale
02:08à 1,5 milliard d'euros, selon le gouvernement.
02:11Ce n'est pas le budget idéal qui est en train de se co-construire,
02:14mais c'est un budget de compromis,
02:16forcément insatisfaisant pour les uns et les autres,
02:18qui ne fait pas peser un effort sur nos concitoyens.
02:23Le rejet de la partie recette du budget de la sécurité sociale
02:27aurait empêché les députés d'examiner la partie dépense,
02:30ce qui aurait conduit à 29 ou 30 milliards d'euros de déficit
02:33pour la Sécu de 2026, selon le Premier ministre,
02:36contre les 20 milliards d'euros espérés par le gouvernement.
02:39Les débats se poursuivent avant le vote global du texte prévu mardi prochain.
02:45Et plus tard dans la soirée, ce vendredi,
02:47l'Assemblée a rétabli la suspension de la réforme des retraites
02:51qui avait été supprimée au Sénat.
02:53En première lecture, le vote global sur le texte est prévu, lui, mardi.
02:57Écoutez, à ce sujet, Agnès Panier-Runacher,
02:59députée ensemble pour la République du Pas-de-Calais.
03:02On fait des dépenses de 3,6 milliards d'euros
03:06et ça veut dire qu'au fond, à la fin, c'est toujours les travailleurs qui payent.
03:08Et les travailleurs vont payer peut-être pour des retraités
03:11qui ont des retraites supérieures à leur salaire.
03:15Je rappelle qu'aujourd'hui, beaucoup de travailleurs français sont au SWIC
03:19et que les propositions que faisait le Bloc central,
03:22c'était de rentrer dans le détail de cette année blanche,
03:24évidemment d'accompagner les plus vulnérables,
03:26mais peut-être de faire en sorte aussi
03:28que ceux qui avaient la chance, et c'est très bien pour eux,
03:31d'avoir des pensions de retraite, par exemple, à 2 000, voire même 2 500 euros,
03:36puissent contribuer à l'effort collectif
03:40et peut-être faire en sorte que ce ne soient pas toujours les mêmes qui payent,
03:43et c'est toujours les travailleurs,
03:44toujours ceux qui supportent les charges sociales aujourd'hui.
03:46A Nanterre, à présent, je vous le disais en titre,
03:50les règlements de comptes s'exportent jusque devant les écoles.
03:54Ce mardi, une bagarre entre 4 individus a éclaté
03:56avant que l'un d'entre eux ne trouve refuge dans un établissement scolaire.
04:00Selon les premiers éléments, la victime a été frappée et menacée avec une arme.
04:04Deux suspects ont été interpellés.
04:06L'enquête est en cours sur place.
04:07Régine Delfour et Maloro et le récit de Félix Pérolas.
04:10Il est aux alentours de 13h30 ce mardi,
04:14dans cette école du quartier Picasso à Nanterre.
04:17Un jeune homme sans domicile fixe fait irruption dans l'établissement,
04:20cherchant à échapper à 3 individus encagoulés.
04:24Selon une source policière,
04:25l'individu déclare avoir été séquestré dans un hall d'immeuble
04:28avant d'être menacé avec une arme
04:31et de se faire voler sa sacoche.
04:33D'après la mairie, il le pourchasse,
04:35le rattrape dans l'école
04:37et le frappe dans la cour
04:38sous les yeux des enfants de maternelle.
04:41Même s'il y en a qui n'ont pas été témoins,
04:43on a entendu les bruits, les cris.
04:45Pour les enfants, qu'est-ce qui se passe ?
04:46C'est quand même choquant.
04:48On dit qu'on laisse nos enfants en sécurité
04:49et au final, c'est pas trop ça.
04:53On a un peu peur pour les laisser.
04:55L'école est mitoyenne d'une tour,
04:57bien connue des autorités
04:58pour son point de deal important.
05:00Le quartier Pablo Picasso
05:01fait l'objet dans le cadre de la labellisation
05:04de Nanterre comme ville de sécurité renforcée
05:07à la demande du ministre de l'Intérieur
05:08et du préfet de police
05:10d'une sécurisation extrêmement forte.
05:12Ce qui est certain,
05:13c'est que nous sommes mobilisés
05:15pour éviter que des faits de cette nature
05:17se reproduisent
05:18et de nous attaquer au mal à la racine.
05:21Et le mal à la racine,
05:22c'est le trafic de drogue.
05:23Désormais, deux policiers municipaux
05:26seront présents chaque matin devant l'école
05:28et une équipe de médiateurs
05:30sera présente à chaque sortie.
05:32À ce stade,
05:33deux individus ont été interpellés.
05:34À Talens, près de Bordeaux,
05:37un point de deal s'installe régulièrement
05:39depuis trois ans.
05:40C'est la troisième fois
05:41que les forces de l'ordre interviennent
05:43pour le démonter
05:44de nouvelles équipes
05:45qui se mettent en place
05:46dans cette cité gangrénée.
05:48La police va intensifier sa présence.
05:51Reportage signé Jérôme Rampenoux.
05:53Dans ce quartier d'une ville
05:54périphérique de Bordeaux,
05:56un point de deal a été démonté
05:57par les forces de l'ordre
05:58en début de semaine.
05:59Un soulagement pour les habitants.
06:01Je pense qu'il faut les arrêter
06:02avant que ça prenne trop d'ampleur.
06:04La vie est tellement dure
06:04et l'argent est tellement facile à gagner.
06:06Quand on est dans les appartements,
06:08s'ils ne nous embêtent pas
06:09dans les escaliers
06:10ou les entrées,
06:12on ne voit rien.
06:12C'est la troisième opération
06:13de ce type,
06:14menée dans ce bâtiment.
06:16À chaque fois,
06:17un nouveau point
06:17vient s'installer
06:18avec de nouvelles équipes.
06:19C'est en général
06:20un habitant
06:21sur un appartement
06:22qui crée le point de deal.
06:24Tous les autres résidents
06:25de la tour
06:26subissent ce contexte.
06:28C'est un site
06:29qui s'y prête
06:30à la résurgence
06:31de ces points de deal.
06:32Résurgence
06:32que l'on veut absolument
06:34prendre en compte.
06:34Pour la municipalité,
06:36il faut maintenant
06:36travailler en profondeur
06:37avec tous les partenaires.
06:38On avait vraiment
06:39des cris au secours
06:40des habitants
06:41qui nous disaient
06:42qu'on a des contrôles d'identité.
06:44En fait,
06:44c'était vraiment des dealers
06:45qui parfois aussi
06:46faisaient des contrôles d'identité.
06:47Et maintenant,
06:48il va y avoir aussi
06:48un travail important,
06:49c'est de travailler
06:50avec les bailleurs
06:50parce qu'on sait très bien
06:52que si on veut
06:52se débarrasser durablement
06:54de cela,
06:54il faut aussi exclure
06:56les personnes
06:57qui,
06:57juste au-dessus,
06:58sont aussi les complices
06:59de ce trafic de drogue.
07:00Les forces de l'ordre
07:01vont maintenir la pression
07:02et la présence
07:03dans le quartier.
07:04Des opérations de contrôle
07:05sont étendues
07:06aux commerces alentours.
07:07Des commerces
07:08qui peuvent servir
07:08à blanchir l'argent.
07:11Cette histoire
07:12à Bagnolet,
07:13en Seine-Saint-Denis,
07:13à présent,
07:14un appartement
07:15est squatté
07:15depuis le mois de juin.
07:17Sandrine,
07:18la propriétaire,
07:18a porté plainte
07:19et attend impuissante
07:20de pouvoir retrouver
07:22son logement.
07:22Pendant le reportage,
07:23notre reporter
07:24a pu la rencontrer
07:25ainsi que la personne
07:26qui occupe illégalement
07:27son bien.
07:28Un échange hallucinant
07:29recueilli par Fabrice Elsner
07:31et raconté
07:31par Noémie Hardy.
07:33Moi,
07:33je serai dans la même
07:34situation que toi.
07:35On rentre dans mon logement,
07:35je comprends tout à fait.
07:36Mais t'attaques pas à moi.
07:38Un échange
07:38qui paraît irréel.
07:40La squatteuse
07:40de 31 ans
07:41explique à la propriétaire
07:43Sandrine
07:44qu'elle quittera
07:45son appartement
07:45dès qu'elle pourra.
07:47En attendant,
07:48il faudra faire avec.
07:49Si j'avais une solution
07:50une paquette magique,
07:51je pars.
07:52Mais malheureusement,
07:52je ne peux pas.
07:54Même si je veux
07:54prendre un Airbnb,
07:55vous connaissez
07:56les prix d'Airbnb ?
07:57Ce n'est pas un truc
07:58long de durée.
07:59Quand la propriétaire
08:00et son amie
08:00lui demandent de partir,
08:02elle devient menaçante.
08:03Tu crois que ça m'arrange
08:04de squatter ta maison
08:04et de ne pas te payer
08:05à loyer tous les mois
08:06comme tout le monde ?
08:06Oui.
08:07Tu crois ?
08:08Je ne sais pas.
08:09Ah oui,
08:09mais tu ne connais pas
08:10ma situation.
08:11Il n'a pas jugé.
08:12Le studio est occupé
08:14illégalement depuis juin.
08:16Impossible pour Sandrine
08:17d'y rentrer.
08:18Dans mon studio,
08:19mes meubles,
08:20je n'ai plus accès
08:21à toutes mes affaires.
08:23Je suis obligé
08:24de rester à l'écart.
08:26Après plusieurs demandes
08:27pour récupérer son appartement,
08:29une plainte déposée,
08:31des mails envoyés
08:32au procureur,
08:33Sandrine se retrouve
08:34dans une impasse.
08:35J'ai été complètement
08:36abandonnée
08:36de la justice.
08:37Je vous le dis,
08:38je suis abandonnée.
08:39J'aimerais bien
08:40être aidée,
08:41être entendue,
08:42être comprise
08:43que je suis une victime
08:46et que je ne suis pas
08:46la coupable.
08:48Il y a les impôts,
08:49les charges foncières,
08:51les taxes en tout genre,
08:53l'électricité aussi.
08:55Parce que je continue
08:56de payer
08:57pendant qu'elle est chez moi.
08:58La période n'aide pas.
09:00Sandrine craint
09:01que la situation
09:01dure jusqu'à la fin
09:03de la trêve hivernale,
09:04le 31 mars 2026.
09:07Dans l'Indre,
09:08une voiture est entrée
09:09en collision
09:10avec un car scolaire.
09:11Ce vendredi matin,
09:12à son bord,
09:13huit enfants de maternelle.
09:14sortie indemne
09:15de cet accident,
09:16la conductrice
09:17du véhicule léger
09:18est en revanche décédée.
09:19Le ministre des Transports,
09:20Philippe Tabarro,
09:21adresse toutes ses condoléances
09:23à sa famille
09:23et à ses proches.
09:24Une enquête est en cours
09:25pour déterminer
09:27les circonstances
09:27exactes de l'accident.
09:30L'État réclame
09:32la suspension
09:32de Chine
09:34pour une période
09:34de trois mois.
09:36Le tribunal judiciaire
09:37de Paris
09:37rendra sa décision
09:38le 19 décembre prochain
09:40à ce sujet.
09:41La plateforme chinoise
09:42considère de son côté
09:43cette action comme hors sujet
09:44et irrecevable
09:45car les produits issus
09:46des vendeurs tiers
09:47ne sont plus disponibles.
09:48Les produits en question,
09:49on le rappelle,
09:50des poupées
09:50à caractère pédopornographique
09:52ou encore des armes
09:53de catégorie A
09:54qui avaient conduit
09:54l'État à agir en justice.
09:56On écoute la réaction
09:57des avocats
09:58de la branche française
09:59de Chine.
10:00Notre client
10:01a retiré immédiatement
10:02tous les produits illicites.
10:04Ça fait plus d'un mois maintenant.
10:06On est sur un dossier
10:07pour lequel
10:07la DGCRF
10:08a considéré
10:09qu'il n'y avait pas lieu
10:10à injonction.
10:11On est heureux
10:11d'avoir pu développer
10:12nos arguments devant le tribunal.
10:14On nous a laissé le temps
10:15d'expliquer les questions complexes
10:16relatives à la fois
10:18à la situation des plateformes,
10:20à l'application
10:20de questions complexes
10:22de droits européens
10:23et de droits français.
10:25Donc maintenant,
10:25on va attendre la décision.
10:26On ne spécule en rien.
10:28Et pendant ce temps,
10:29et comme toujours,
10:30on reste à la disposition
10:31des autorités
10:32pour échanger
10:33et dialoguer avec elles
10:34dans le respect du droit.
10:36Au chapitre international,
10:37Emmanuel Macron
10:38poursuit sa visite
10:39en Chine
10:40et continue
10:40d'agir pour la paix
10:41en Ukraine.
10:43Le chef de l'État
10:43pointe toujours
10:44la Russie
10:45dans son discours
10:46et évoque
10:46les relations
10:47avec les États-Unis.
10:48On écoute
10:49le président de la République.
10:50Nous ne sommes pas
10:51dans une situation
10:52qui ramène la Russie
10:53autour de la table.
10:54C'est pourquoi nous croyons
10:55qu'il faut maintenir
10:56l'effort de guerre,
10:57poursuivre les pourparlers
10:58qui préparent la paix,
10:59mais accroître
11:00la pression
11:00en particulier
11:01sur l'économie russe
11:03pour conduire
11:03cette dernière
11:04à revenir
11:05à la table des négociations.
11:06Il ne faut surtout céder
11:07à aucun esprit
11:08de division
11:09entre Européens
11:10et entre Américains.
11:11Nous avons besoin
11:12des États-Unis d'Amérique
11:13pour avoir la paix.
11:15Les États-Unis d'Amérique
11:16ont besoin de nous
11:17pour que cette paix
11:18soit robuste et durable.
11:19Et donc,
11:20il n'y a pas de schéma
11:21dans lequel
11:22la paix durable
11:24en Ukraine
11:24se fait
11:25sans un travail conjoint
11:26des Européens,
11:28des Américains,
11:29des Canadiens,
11:30des Australiens,
11:30des Japonais,
11:31de tous ceux
11:31qui sont autour
11:32de cette table
11:32et qui sont dans
11:33cette coalition des volontaires.
11:34Et Américains
11:36et Ukrainiens
11:36disent justement
11:37ce vendredi soir
11:38que tout progrès
11:39réel vers la paix
11:40dépend de Moscou.
11:42Les États-Unis,
11:42eux, justement,
11:43ont mené
11:44une nouvelle frappe
11:45dans le Pacifique
11:45contre un bateau
11:46soupçonné
11:47d'être utilisé
11:48par des narco-trafiquants.
11:50Un tir
11:50qui a causé
11:51la mort de 4 personnes
11:52selon l'armée américaine.
11:54Cette campagne
11:54militaire de Donald Trump
11:56qui dure
11:56depuis plusieurs mois déjà
11:57suscite
11:58de vives critiques
11:59de l'opposition démocrate
12:00Sarah Varni.
12:01En l'espace
12:04de quelques secondes,
12:05ce bateau
12:06est pulvérisé
12:07par une frappe
12:07américaine
12:08tuant 4 personnes.
12:10Une opération
12:11justifiée
12:12par l'armée américaine
12:13sur son compte X.
12:14Les services
12:15de renseignement
12:15ont confirmé
12:16que le navire
12:17transportait
12:17des stupéfiants
12:18illicites
12:19et transité
12:19par une route
12:20connue
12:20pour le trafic
12:21de drogue
12:21dans l'Est
12:22du Pacifique.
12:234 narco-terroristes
12:24à bord du navire
12:25ont été tués.
12:26Une nouvelle escalade
12:27des tensions
12:28entre le Venezuela
12:29et les Etats-Unis
12:30qui multiplient
12:31depuis plusieurs mois
12:32des frappes
12:32contre des embarcations
12:34sans jamais fournir
12:35de preuves
12:35de leur lien
12:36avec le narcotrafic.
12:38Au total,
12:3887 personnes
12:39sont décédées.
12:41En septembre dernier,
12:42une double frappe
12:43américaine
12:43contre un navire
12:44avait causé
12:44la mort
12:45de 11 personnes
12:46dont des survivants.
12:48Une opération
12:48dont la légalité
12:49est de plus en plus
12:50critiquée.
12:51Ce que j'ai vu
12:53dans cette pièce
12:54a été l'une des choses
12:56les plus perturbantes
12:57que j'ai vu
12:57de tout mon temps
12:58passer au service
12:59du public.
13:00Il y a deux individus
13:01clairement en détresse
13:03sans moyens
13:04de locomotion
13:05qui ont été tués
13:06par les Etats-Unis.
13:10Pour justifier
13:10ces frappes,
13:11Donald Trump
13:12accuse son homologue
13:13vénézuélien
13:14Nicolas Maduro
13:15d'être à la tête
13:16d'un cartel de drogue.
13:17Ce que dément
13:18formellement ce dernier
13:19qui dénonce lui
13:20une tentative
13:21des Etats-Unis
13:22de renverser
13:23son pouvoir.
13:25L'Union Européenne
13:26inflige une amende
13:27de 120 millions d'euros
13:28à X le réseau social
13:29d'Elon Musk.
13:30La plateforme
13:31était accusée
13:31de tromperie
13:32sur l'utilisation
13:33de ces coches bleues
13:34censées certifier
13:34les sources d'informations
13:35mais également présentes
13:37aussi sur des publicités.
13:38Il s'agit de la première sanction
13:39prononcée par la Commission Européenne
13:41dans le cadre du règlement
13:42sur les services numériques.
13:43La loi FAR
13:44adoptée il y a deux ans
13:45pour lutter
13:45contre les contenus illégaux
13:47et dangereux en ligne.
13:50Retour en France
13:50avec ses inquiétudes
13:51dans l'enseignement supérieur
13:53de plus en plus
13:53de fautes de syntaxe,
13:55d'orthographe
13:55et autres sont constatées
13:56à l'écrit
13:57un triste écho
13:58au constat du ministre
13:59de l'éducation nationale
14:00sur la baisse
14:01de niveau global
14:02des élèves français
14:03le mois dernier.
14:04On voit tout cela
14:05avec Anaïs Bauché.
14:08Un véritable effondrement.
14:10C'est le terme
14:10qu'emploie Alain Joyeux
14:12enseignant en classe préparatoire
14:13dans les colonnes du Parisien
14:14pour désigner le niveau
14:15d'orthographe
14:16et de grammaire
14:16de ses étudiants.
14:17En prépa,
14:18la quasi-totalité
14:19des élèves
14:19a une mention
14:20très bien et bien
14:21et on se retrouve
14:21avec des copies
14:22de 6 pages
14:23qui contiennent
14:2360 à 70 fautes.
14:25On observe
14:26une nette dégradation
14:26depuis 3 ou 4 ans.
14:28Un constat
14:28que fait également
14:29Jean Soma,
14:30le directeur
14:30du département
14:31sciences humaines
14:32et communications
14:32d'une école d'ingénieurs,
14:34estime que 20%
14:35à peine de ses élèves
14:36ont une maîtrise
14:36très correcte
14:37de l'orthographe
14:38et du vocabulaire.
14:3915% ont un niveau
14:40satisfaisant.
14:41On ne peut pas
14:41devenir cadre
14:42et ne pas maîtriser
14:43l'orthographe
14:44et la grammaire.
14:47Le projet Voltaire,
14:48une plateforme accessible
14:49en ligne
14:49ou les méthodes
14:50à l'ancienne
14:51avec le Becherel
14:52ou les dictées.
14:53Selon une étude
14:53publiée par l'OCDE,
14:55malgré la progression
14:56du niveau d'instruction
14:57en France,
14:57le temps d'études
14:58de la lecture,
14:59l'écriture et la littérature
15:00est seulement de 16%
15:01en classe secondaire
15:02contre 25% en moyenne
15:04dans les pays
15:04de l'OCDE.
15:06Sur les routes françaises,
15:08ce retour inattendu.
15:09L'État envisage
15:10de réintroduire
15:11les flashes lumineux
15:12sur certains radars
15:13automatiques
15:13depuis 2019.
15:15Un quart d'entre eux
15:15utilisent une technologie
15:17infrarouge,
15:17invisible à l'œil nu.
15:18Les explications
15:19de Chloé Tarka.
15:21Une contravention
15:22inattendue
15:23et pour cause.
15:24Depuis plusieurs années,
15:26certains radars
15:26ne déclenchent plus
15:27le fameux flash blanc
15:29lors d'un excès
15:30de vitesse.
15:31En effet,
15:31les nouveaux modèles
15:32de radars
15:33Tourelle
15:34utilisent un flash
15:35infrarouge
15:36invisible
15:37à l'œil nu.
15:38Installés en hauteur,
15:40ils sont capables
15:40de surveiller
15:41plusieurs voies
15:42à la fois
15:43et de détecter
15:44la vitesse.
15:45Mais selon le Figaro,
15:46le flash visible
15:47pourrait réapparaître
15:49sur ce type de radar.
15:51La volonté du gouvernement,
15:52c'est de remettre en place
15:53un flash
15:55qui permettrait
15:56à l'automobiliste,
15:57un,
15:57de savoir
15:57qu'il a été verbalisé
15:58et deux,
15:59de pouvoir modifier
16:00son comportement
16:01en abaissant sa vitesse.
16:03Quel est le principe
16:04du radar
16:04quand on y réfléchit ?
16:06C'est de faire respecter
16:07les limitations de vitesse,
16:08pas de piéger les gens
16:09et de leur envoyer
16:10un faire-part
16:11en boîte aux lettres
16:11trois semaines
16:12ou un mois après.
16:12La proposition devrait
16:14faire l'objet
16:14de tests
16:15dans les prochains mois
16:16avant une éventuelle
16:18généralisation.
16:20Et puis cette belle image
16:21pour finir,
16:22la ville de Lyon
16:22s'illumine progressivement,
16:24pas pour Noël
16:24mais pour la fête
16:25des Lumières
16:26du 5 au 8 décembre.
16:2723 oeuvres lumineuses
16:28seront exposées
16:29sur plusieurs places
16:30emblématiques de la ville,
16:31au parc de la Tête d'Or
16:32notamment où se tiendra
16:33la principale innovation
16:34de cette édition,
16:35un spectacle de drones.
16:36Chaque année,
16:37le festival attire
16:38près de 2 millions
16:38de spectateurs.
16:39Allez, restez bien avec nous
16:43tout de suite,
16:43c'est le journal des sports.
16:47On ouvre donc ce journal des sports
16:48avec le tirage au sort
16:49de la Coupe du Monde
16:50de football 2026
16:51qui avait lieu
16:52à Washington.
16:53L'équipe de France
16:54sera dans le groupe I
16:55et affrontera
16:56le Sénégal,
16:57la Norvège
16:57et un qualifié
16:58des barrages
16:59entre le Suriname,
17:01la Bolivie et l'Irak.
17:02Les hommes de Didier Deschamps
17:03pourraient retrouver l'Allemagne
17:04dès les huitièmes de finale
17:06dans le pire des scénarios.
17:06Regardez d'abord
17:07la réaction du sélectionneur français
17:09justement.
17:09C'est un groupe solide,
17:11dense.
17:11On ne connaît pas
17:12le dernier adversaire encore
17:13mais en ayant le Sénégal
17:14et la Norvège,
17:15évidemment que ce groupe I
17:16fait partie des plus difficiles
17:17si ce n'est le plus difficile
17:19mais bon,
17:19c'est la Coupe du Monde.
17:20On sait à quoi s'attendre.
17:22On écoute également
17:22une légende du football français
17:24qui a réagi sur notre antenne
17:26au tirage des Bleus.
17:26L'équipe de France,
17:29elle ne va pas trembler
17:30dans ce groupe.
17:32Je pense que les autres équipes
17:33qui tremblent.
17:34Après, il faut toujours
17:35respecter les adversaires.
17:37Enfin, disons que
17:38c'est un groupe
17:41qui est à la portée.
17:41Je pense que Didier Deschamps
17:42a su mener à chaque fois
17:44cette équipe de France.
17:46Il ne faut pas oublier
17:47que lui-même a participé
17:48à la Trois Coupes du Monde.
17:49Il en a gagné deux
17:50comme joueur et comme entraîneur.
17:52Donc, je crois que justement,
17:54j'ai évoqué ce match
17:55contre Sénégal
17:56qui reste à mauvais souvenir
17:57et je pense que ça,
17:59ça n'alliera pas
18:00de la part de cette équipe
18:02de France actuellement
18:03de ne pas prendre
18:04avec beaucoup de considérations
18:05ses adversaires.
18:07En Formule 1,
18:08le dernier Grand Prix
18:08de la saison à Abu Dhabi
18:10approche à grand pas.
18:11Lando Norris
18:12a dominé les deux séances
18:14d'essais libres
18:14devant son coéquipier
18:16Oscar Piastri
18:16seulement 11e.
18:17Max Verstappen,
18:18lui, a signé
18:19le deuxième meilleur chrono
18:20derrière la McLaren
18:21du Britannique.
18:22Avant les qualifications
18:23de ce samedi,
18:24qui sera le mieux placé
18:25dans la quête du titre
18:25de champion du monde ?
18:27Élément de réponse
18:27avec Mathilde Espinas.
18:30Il y a le tic-tac,
18:31celui du compte à rebours
18:32avant l'ultime rendez-vous
18:33de la saison de Formule 1
18:34dimanche à Abu Dhabi.
18:35Le 24e et dernier Grand Prix
18:37qui sacrera le champion du monde.
18:39Et il y a la tactique
18:40au sein de McLaren.
18:42Team où jamais encore
18:43l'un des deux pilotes
18:43n'a été privilégié.
18:45Et si c'était pour ce 7 décembre
18:46à la radio des Monoplastes Orange ?
18:49C'est un cas de figure
18:50où Oskar Piastri
18:52se trouvant devant
18:53l'Ainne de Norris
18:53mais ne pouvant plus
18:55être sacré champion du monde
18:56sera peut-être appelé
18:58à laisser passer son coéquipier
18:59qui lui,
19:00en le doublant sur la piste,
19:01vous m'avez compris,
19:02pourrait lui devenir champion du monde.
19:03Si la saison 2025 et le circuit
19:05de Yasmarina livreront
19:07leurs réponses
19:07aux alentours de 16 heures,
19:09le leader du championnat
19:10lui s'en est fait l'écho
19:11hier devant la presse.
19:12Le grand patron des oranges,
19:37quant à lui,
19:38se voulant de toute façon réaliste.
19:40Apporté à l'écurie du sud-ouest de Londres,
19:58son premier titre pilote depuis 2008,
20:01voilà l'objectif de McLaren.
20:03Farouchement décidé,
20:04a privé Max Verstappen et Red Bull
20:06d'une cinquième couronne pilote consécutive.
20:10Un week-end pour le titre
20:11qui s'annonce palpitant
20:12et la bonne nouvelle,
20:13c'est qu'il sera à suivre
20:13sur les antennes du groupe Canal.
20:15Le programme ce samedi,
20:16donc les essais 3 à 11h15,
20:18suivi des qualifications à 14h40.
20:21Puis dimanche,
20:22la grande bataille de la saison
20:23à Abu Dhabi,
20:24donc à 13h55.
20:26Rendez-vous au premier virage,
20:27comme dirait Julien Fébraud.
20:28Voilà pour l'essentiel de l'actualité.
20:34Je vous rappelle le titre principal.
20:36Sébastien Lecornu salue
20:37le travail de concertation
20:39mené avec les forces politiques
20:40après l'adoption de la partie recette
20:42du projet de budget
20:43de la sécurité sociale.
20:45Un vote décisif qui s'est joué à peu.
20:47166 voix pour, 140 contre.
20:49Restez bien avec nous,
20:50on se retrouve dans quelques instants
20:51pour une nouvelle édition.
20:52Retrouvez tous nos programmes
20:56et plus sur CNews.fr
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