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  • il y a 15 heures
DANIEL CHARLES-ALFRED, l'un des internationaux pionniers des Antilles. Footballeur professionnel Martiniquais, des années 50/60, qui a conquis la France du football. Le défenseur central au physique imposant, un grand gabarit avec des grandes jambes.
Daniel Charles-Alfred en 1964 est le troisième joueur des Antilles-Françaises sélectionné en équipe de France, après son compatriote Martiniquais Xercès Louis (1954) et un autre Martiniquais : Paul Chillan (1963). Marius Trésor avait pour modèle Daniel Charles-Alfred, Marius Trésor le dit lui-même dans un reportage de 1978, extrait du reportage dans cette vidéo.
SAVOIR PLUS, ARTICLE & VIDEO=>https://www.newstropiques.com/2025/11/daniel-charles-alfred-footballeur_06895943.html

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00:00Musique
00:30Vous permettez messieurs que nous reprenions ce micro, je vois que l'appétit va fort bien, comme le moral de cette équipe de France que nous retrouvons à Rueil alors que cette équipe de France dîne au premier soir de son stage.
00:51Je continue à discuter messieurs, je vous en prie. Henri Guérin, j'aimerais s'il vous plaît que vous vous leviez car il est bien difficile pour les téléspectateurs de vous voir tant ce banquet se présente. Est-ce que vous pouvez venir par ici de façon à ce que nous soyons face à la caméra ?
01:10Henri Guérin qui va communiquer, venez par ici Henri, Henri Guérin qui va communiquer l'équipe de France telle qu'elle a été formée ce matin par Georges Verriest.
01:20Faites face à la caméra, reculez-vous quelque peu, voilà, Henri pouvez-vous nous communiquer cette équipe de France ?
01:26Eh bien, dans les buts nous avons Pierrot Bernin, à l'arrière Cazolari, Arteléza, Charles-Alfred et Chorda, au milieu du terrain Staco, et alors là, hésitation, nous sommes accordés même pas 48 heures, 24 heures de réflexion pour choisir entre Pierre-Bin et notre ami Benel.
01:47Devant nous avons Lech, Combin, Dinalo et à l'aile gauche, Rambert.
01:51Bien, cette équipe de France, nous devons vous demander plusieurs explications à son sujet.
01:57Tout d'abord, pour le poste de gardien, on parlait beaucoup d'Aubourg ces derniers temps.
02:01Bien sûr, je pense que la décision a peiné, quelque peu a peiné, enfin, nous connaissons Marcel et il l'a pris du bon côté, mais il était difficile pour nous aussi d'éliminer Pierre-Oubert qui lui, bien sûr, n'avait pas des mérités d'une part,
02:17et qui, d'autre part, avait permis à Saint-Etienne ces derniers temps d'accrocher le titre de champion de France.
02:23Marcel Aubourg a le temps, il l'a très bien compris et il sait maintenant que...
02:31C'est lui le successeur.
02:32Voilà, il est très prêt.
02:33Il s'allume. Il est aussi prêt qu'on se trouvait Vignal de Daruil lors de la Vendée-Vocée.
02:37Je crois que c'est l'histoire des successions de gardiens de but dans l'équipe de France.
02:40Très bien. Nous avons donc épuisé le rôle du gardien. Dans la ligne arrière, un nouveau venu, Charles-Alfred.
02:46Charles-Alfred, oui, Charles-Alfred, c'est un garçon auquel nous pensions sérieusement en début de saison,
02:51puisque lorsque Leron nous a quittés l'an dernier, nous avions envisagé Marion, Charles-Alfred.
02:57Marion, absent, nous pensions toujours à Charles-Alfred.
03:00Charles-Alfred avait carté les Aux-Pumus et à ce moment-là, sur les conseils de Kader Firoud,
03:06Charles-Alfred devenait indisponible, handicapé par des ennuis de vertuil.
03:13Jean-Alfred, en ce qui concerne les demi, vous nous avez dit Staco et, de l'autre côté, Bonnel ou Herbin.
03:20Pourquoi cette hésitation ?
03:21Eh bien, là, compte tenu de ce que nous attendons maintenant, de cette équipe,
03:26qui bien sûr va être tout de même très sérieuse dans le jeu défensif,
03:31je pense aussi que là, il faut un homme qui soit apte à remplir les pourvoyeurs de balles.
03:39Bien sûr, Roby...
03:41Ce n'est pas son rôle à Saint-Etienne, tellement.
03:43Pas tout à fait, encore qu'il décroche volontiers, mais si Roby est bien au point, il peut rendre ce service-là.
03:51D'autre part, il y a la constance de Bonnel qui nous fait hésiter.
03:57C'est pourquoi nous avons accordé 24 heures de réflexion, d'une part, pour prendre contact avec ces deux garçons-là,
04:02et aussi, peut-être avec nos entraîneurs, certainement même.
04:05Bien.
04:05En attaque, Lech garde sa place et nous retrouvons, comme vous l'aviez dit,
04:10rentrés de deux joueurs, Dinalo et Rambert, qui comptent chacun une sélection.
04:14Et oui, puisque nous avons choisi une organisation défensive très sérieuse,
04:21Lyon, qui a l'habitude de jouer dans cette organisation,
04:25il apparaît là que Rambert, associé à Dinalo, peuvent très bien être les pourvoyeurs de notre Linnestore.
04:34Vous trouvez, enfin quand je dis vous, c'est l'équipe de France que vous représentez,
04:37vous trouvez devant une tasse très difficile tenter d'obtenir ces qualifications pour les demi-finales de la Coupe d'Europe des Nations
04:42en battant la Hongrie chez elle par 3 buts d'écart. Cela semble impossible ?
04:45Cela semble impossible, impossible sur le papier, mais vous savez qu'en sport et en football en particulier,
04:52on peut toujours espérer, nous ne le sommes absolument pas.
04:54J'ai eu des contacts cet après-midi avec mes camarades de l'équipe,
04:58et je puis vous assurer que, d'ailleurs vous voyez l'ambiance,
05:01ils sont absolument décidés à prendre de toutes leurs chances.
05:03Ce sera difficile, mais rien n'est impossible, je ne le réponds pas.
05:07En tout cas, vous, en tant qu'entraîneur de l'équipe de France, vous y croyez ?
05:09Bien, il le faut, si je ne le croyais pas, je ne devrais pas...
05:12Bien, mais Guérin, je vais vous laisser finir sur quoi, et je vais aller retrouver le capitaine,
05:15car Pierre Bernard reste le capitaine.
05:16Bien entendu.
05:17Bien, merci. Nous allons donc retrouver Pierre Aubernard.
05:20Piero, je m'excuse, je vais vous demander, avant la salade, de vous lever,
05:24car sans ça, les téléspectateurs ne vont pas pouvoir vous voir.
05:28Vous êtes capitaine de cette équipe de France, Pierre Aubernard.
05:32Vous avez vécu ce match France-Hongrie mieux que quiconque.
05:35Est-ce que vous pensez très franchement, et bien franchement, que l'équipe de France garde une chance ?
05:40Bien, vous savez, en sport et en football en particulier,
05:44tant qu'un match n'est pas joué, une chance existe toujours d'un côté ou de l'autre.
05:49Nous avons deux buts de retard.
05:51C'est très compromis, étant donné que le premier match a eu lieu en France,
05:55mais il est faux de penser que nous n'avons absolument aucune chance pour le match retour à Budapest.
06:01Je pense que même si la chance est minime, notre devoir à nous, c'est de la courir.
06:05Et vous pensez que le fait de retrouver dans cette équipe de France des garçons comme Dinalo ou comme Rambert,
06:13qui n'ont qu'une sélection, Dinalo avait été très heureux contre les Hombrois,
06:17au contraire, Rambert avait été assez malheureux lors de sa première sélection,
06:20ça va donner une certaine cohésion à la ligne d'attaque, puisque nous retrouvons 3 Lyonnais sur 4 ?
06:24Ça j'en suis sûr, d'autant qu'ils mettent ici une très bonne ambiance, c'est 3 Lyonnais.
06:30Espérons que sur le T1, ils mettront la même ambiance et que tout s'enchaînera.
06:35D'autre part, je souhaite à Dinalo d'être encore plus heureux qu'il a été contre la Hongrie pour son premier match.
06:41Et à Rambert, je lui souhaite de faire un match bien meilleur qu'il n'a fait contre la Pologne.
06:46lui-même est d'accord là-dessus, il nous a promis de faire un grand match.
06:50En tout cas, l'opinion du capitaine que vous êtes, c'est une opinion tout de même tentée d'optimisme.
06:56Optimisme, bien sûr, on va dire que c'est un faux optimisme, on peut dire,
07:01mais je pense qu'on n'a rien à perdre, il faut tenter la chance, si on veut, de notre saison.
07:09Si vous marquez les premiers, cela risque d'être très bon.
07:12Oui, et puis même si on ne marque pas les premiers, on peut prendre un but,
07:15et puis on peut en marquer deux ou trois par la suite, ça, ce n'est pas grave.
07:19Pierrot, je vous remercie beaucoup, je vous laisse à votre salade
07:21et je vais aller retrouver l'un des nouveaux sets.
07:25Vous avez quelque chose à dire, Marcel Aubourg ?
07:27Non, non, rien, merci, rien de spécial.
07:28Non, non, rien, si vous avez quelque chose à dire, vous pouvez.
07:31Parle trop, parle trop.
07:32Et Artigas, il faudrait que M. Artigas s'en ait un peu Chorda, là.
07:36Artigas, c'est l'entraîneur de Bordeaux.
07:39Chorda, pourquoi Artigas doit-il vous surveiller ?
07:42Ben, parce que...
07:44Regardez, regardez, regardez là-bas.
07:46Au Bourg, dit que je bois du vin.
07:47Au Bourg, dit que c'est vrai ?
07:48Non.
07:49C'est normal, si à Bordeaux, vous ne buviez pas de vin.
07:53Charles Alfred, levez-vous, s'il vous plaît,
07:56de façon à ce que...
07:57De façon à ce que les téléspectateurs fassent connaissance avec vous.
08:02C'est ça.
08:04Charles Alfred, vous êtes l'un des nouveaux de cette équipe de France,
08:07vous êtes même le nouveau.
08:09Oui, je suis le nouveau, c'est ma première sélection.
08:12C'est votre première sélection, tout à l'heure ?
08:13Vous avez payé le champagne à tous vos camarades.
08:17Oui, j'ai payé trois moutons de champagne.
08:20C'est la coutume qui veut ça.
08:22Oui.
08:23Vous allez jouer dans cette équipe de quelques amis centres comme vous jouez à Nîmes.
08:26Oui, oui.
08:27Ça vous convient ?
08:28Oui, très très bien, impeccable.
08:29Allons-y en a !
08:30Vous soyez, vous êtes tenus !
08:33Est-ce que le fait de débuter dans un match aussi difficile
08:36que celui qui attend l'équipe de France à Budapest ne vous gêne pas ?
08:39Non, pas du tout.
08:41On le sait, pour nous c'est facile, il faut gagner.
08:45Il faut gagner par trois buts d'écart.
08:46Trois buts d'écart, ou quatre, ou cinq.
08:49Vous voyez, vous avez vu l'ambiance qui reste.
08:51Oui, c'est adapté tout de suite ici.
08:52Oui, tout de suite, ce sont les collèges qu'on est très bien.
08:56Vous les connaissez tous ?
08:57Pourtant, vous faites ici voisinage avec les hommes du Nord, Piumy et Staco.
09:00Ah, mais là, je ne le savais même pas.
09:03Est-ce qu'il y a Piumy ?
09:04Non, mais il boit bien de la bière, Charlo, là.
09:07On ne le voit pas à Cader.
09:08Non, il n'y a pas moi.
09:10Eh bien, vous voyez, l'ambiance est excellente au sein de cette équipe de France.
09:14Il ne nous reste plus qu'à souhaiter que cette ambiance soit aussi bonne samedi soir à Budapest,
09:19puisque le match a lieu samedi après-midi.
09:22Nous allons rendre l'antenne donc à Cognac-Jé,
09:25en vous rappelant que vous avez assisté à la fin du repas de l'équipe de France
09:28depuis le bingalo de la Chelle à Rueil-Malmaison,
09:31où la famille Chauvin accueille toujours avec joie l'équipe de France de football.
09:35Ici Rueil, à vous, Cognac-Jé.
09:40Bon, disons, j'ai quand même à l'entraînement appris à tacler,
09:45d'abord en regardant faire par les journaux, en regardant les gestes de Caillebel
09:51et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
09:56Bon, disons, j'ai quand même à l'entraînement appris à tacler,
10:02d'abord en regardant faire par les journaux, en regardant les gestes de Caillebel
10:07et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
10:13Et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
10:25Mesdames, Mesdemoiselles, Messieurs, bonjour.
10:27Ici, le stade Vélodrome du Parc des Princes,
10:30où vous pénétrez alors que la musique des gardiens de la paix
10:33fait patienter les quelques 30 000 spectateurs
10:36qui sont venus en ce 11 novembre pour assister
10:39à la rencontre internationale de football France-Norvège.
10:43Rencontre très importante, puisque rencontre où il y a un enjeu
10:46et quel enjeu, puisque ce match s'inscrit dans le groupe 3
10:50des éliminatoires de la prochaine Coupe du Monde de football
10:54qui aura lieu en 1966 en Grande-Bretagne.
10:59Les Français opèrent en maillot blanc.
11:02Peut-être un petit peu pour vous, amis téléspectateurs,
11:05car il est bien plus facile de reconnaître une équipe
11:07qui joue avec des maillots blancs,
11:09surtout lorsque l'autre opère en maillot rouge.
11:13Les Français qui sont à gauche en blanc.
11:15Le gardien Pierre-Aubourg ayant un superbe maillot jaune.
11:19Les Norvégiens à droite pour l'instant en survêtement.
11:22Et nous allons entendre les hymnes nationaux.
11:26Et tout d'abord, bien sûr, honneur à nos invités, l'hymne norvégien.
11:30Pour l'équipe de France,
11:39Aubourg de Lyon est dans les buts.
11:41Arrière-droite, Djorkaev de Lyon.
11:43Arrière-gauche, Chorda de Bordeaux.
11:46Demi-droite, numéro 4, Artéléza de Monaco.
11:50Demi-centre, arrière-centrale, numéro 5, Charles-Alfred de Nîmes.
11:54Demi-gauche, ferrier-capitaine de Saint-Étienne.
11:57Hélier-droite, lèche de Lens.
12:00Intérieure-droite, bonnel de Valenciennes.
12:03Avant-centre, Guy de Saint-Étienne.
12:05Inter-gauche, herbain de Saint-Étienne.
12:08Et hélier-gauche, rambert de Lyon.
12:12Le speaker officiel confirme la composition de ces deux équipes.
12:18Laissez-moi encore vous dire, avant le coup d'envoi,
12:20qui sera donné par les Norvégiens, à droite,
12:23que l'arbitre est M. Adair de l'Irlande du Nord,
12:28assisté de M. Morrison et Smith,
12:31qui sont également des Irlandais du Nord.
12:46Comme vous avez pu le constater,
12:47il y a de l'ambiance au Parc des Princes cet après-midi.
12:51Un public qui est tout prêt à vibrer aux exploits d'une équipe de France
12:55dont on attend une victoire cet après-midi.
12:58Ne nous le cachons pas.
12:59Le coup d'envoi est donné.
13:01Les Norvégiens à droite, maillot foncé, culotte blanche.
13:04Les Français à gauche, maillot blanc, culotte bleu marine.
13:09Le joueur le plus chevronné, tête de Charles-Alfred.
13:11Ferrier, contre-attaque pour la France.
13:15Donne à Herbin.
13:16Mauvaise passe à Herbin, mais Bonnel récupère cette balle.
13:20Donne en profondeur pour Guy.
13:23Charles-Alfred maintenant.
13:26Charles-Alfred pour Lech.
13:29Lech, Bonnel, tête de Bonnel à nouveau pour Lech dans le rond central.
13:32Ferrier.
13:32Tout cela est joli à l'œil, bien joué de la part des Français.
13:38Il continue à entrer des spectateurs au Parc des Princes
13:41et je crois que maintenant il y a près de 35 000 personnes ici cet après-midi.
13:46Contre favorable à Olsen, Chorda a pu passer à Charles-Alfred.
13:50A signalé que c'est le premier match international qui se déroule au Parc des Princes
13:54avec les nouveaux poteaux de but.
13:56Les poteaux de but ronds.
13:58Les Italiens ont mis ces poteaux à la mode dans le football international
14:01et un peu partout maintenant, ce sont eux que l'on voit sur les terrains.
14:06C'est un détail, mais il peut avoir son importance.
14:08Des Français est absolument incontestable en ce début de match.
14:11Charles-Alfred a donné en avant.
14:14Charles-Alfred, faute de Charles-Alfred que l'arbitre n'a pas pénalisé.
14:19C'est trop lent tout cela de la part des Norvégiens
14:21et Charles-Alfred a pu dégager.
14:24Charles-Alfred, Djorkaef.
14:26Djorkaef se fait contrer par Seman.
14:28Bonnel est là.
14:28Les Français jouent très groupés en ce début de match.
14:32Charles-Alfred.
14:35Rambert.
14:37Herbin.
14:37Bien joué de la part de Rambert, ça.
14:39Centre en retrait.
14:42Et tête de Rambert qui marque le but.
14:46Très bien joué de la part des Français.
14:48Et c'est Rambert qui marque le premier but français
14:51à la 17ème minute du match au terme d'une action collective absolument remarquable.
14:59En profondeur pour Berg, l'avant-centre ici en position d'Elié gauche.
15:02Si la balle ne sort pas, si Charles-Alfred l'a dégagé en tout.
15:07Charles-Alfred.
15:09Charles-Alfred.
15:10Johansen encore aux prises avec Charles-Alfred.
15:13Johansen est un des deux avant-centres du 4-2-4 Norvégiens.
15:16Il a complètement manqué sa balle là et n'a pas surpris Charles-Alfred.
15:19Bonnel.
15:21Djorkaëf.
15:22Djorkaëf glisse à Charles-Alfred qui lui va glisser à Aubourg.
15:28Il est difficile de se défaire de Charles-Alfred lorsqu'il vous marque de près.
15:34Charles-Alfred.
15:36Charles-Alfred de la tête.
15:38Donné à Chorda.
15:39Johansen.
15:40Se fait prendre par Charles-Alfred.
15:42Lèche.
15:46Charles-Alfred.
15:49Ah !
15:50Fasse manquée de Charles-Alfred qui immédiatement s'est racheté.
15:55Erbin.
15:56Et Charles-Alfred à son tour concède le corner.
15:59Charles-Alfred.
16:01Je pense qu'en écoutant la musique de la garde républicaine,
16:05vous allez pouvoir récupérer après ces 45 premières minutes.
16:08Et j'espère de tout cœur vous retrouver dans une dizaine de minutes pour la deuxième mi-temps.
16:13A tout à l'heure donc.
16:14On s'est prudé.
16:20On s'est prudé.
16:22On s'est prudé.
16:32On s'est prudé.
17:02...
17:32J'ai quand même à l'entraînement appris à tacler,
17:53d'abord en regardant faire, par les journaux, en regardant les gestes de Caïbel,
17:59et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
18:04Bon, disons que j'ai quand même à l'entraînement appris à tacler,
18:09d'abord en regardant faire, par les journaux, en regardant les gestes de Caïbel,
18:15et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
18:20Et en me basant sur un gars comme Charles Alfred.
18:25Il y avait ce Xercesque, je l'ai connu, il m'a connu, et puis il me conseillait.
18:35C'était M. L'Intouchable.
23:08Johansen, reprise avec Charles-Alfred.
23:18Charles-Alfred un peu sonné, mais Charles-Alfred est de robuste constitution
23:24et il faudra plus que ça pour le mettre hors combat.
23:30Charles-Alfred, Berg qui donne en profondeur à Johansen,
23:34qui redonne à Berg l'intervention de Charles-Alfred, heureusement.
23:38Faute de main de Berg l'avant-centre, mais l'arbitre l'a vu.
23:45Olsen, l'hélié droit en position d'avant-centre.
23:48Johansen, Seyman, tête de Charles-Alfred.
23:55Chorda écarte le danger, d'autant plus que les Français ont dominé.
23:59Tire manqué de Chorda, Charles-Alfred.
24:02Sous-titrage Société Radio-Canada
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