00:00Ce qui est sidérant, c'est vraiment tout ça pour ça.
00:02Moi j'ai regardé hier, j'avais quasiment le fou rire, parce qu'il n'y a rien.
00:08Vous avez appris des choses sur vous-même ?
00:09Alors, je resitue pour les auditeurs d'Europe 1, on parle du complément d'enquête hier soir sur France 2 à charge contre CNews.
00:15Bon, il y a une révélation, c'est vrai, fracassante, que j'ai apprise hier soir.
00:19J'aime beaucoup Nicolas Sarkozy, c'est vrai.
00:22J'ai appris ça, je suis démasqué, puisque c'est vrai, j'ai trouvé sa mise en détention inique.
00:28et je l'ai dit à l'antenne.
00:31Mais il n'y a rien, et surtout, ce qui a été terrible dans la journée d'hier,
00:36c'est que le cœur de la démonstration du reportage d'hier, c'est d'expliquer que le pluralisme n'est pas respecté.
00:44Or, à 17h ou 18h hier, l'ARCOM, gendarme de l'audiovisuel, a démenti cette information, ou cette fake news de RSF.
00:54Ce qui a mis en panique nos amis de complément d'enquête, qui ont été obligés de retirer, je ne sais combien de minutes d'antenne de leur reportage,
01:03à deux heures de la diffusion.
01:04Ils ne l'ont pas d'ailleurs enlevé lors de l'échange avec Philippe Ballard,
01:10mais c'est le cœur de leur démonstration.
01:12Et l'ARCOM leur dit non, non, CNews respectent le pluralisme politique.
01:18Donc évidemment, cette enquête fait pchit, on se demande souvent où passe l'argent des Français.
01:25Parait-il que le reportage a coûté 400 000 euros.
01:27Le service public de l'audiovisuel, c'est 4 milliards.
01:30Je pense que c'est une vraie question.
01:32Est-ce que ces économies-là, les Français, il faut le savoir,
01:36ce que vous avez vu hier soir, c'est que votre argent serait coûté 400 000 euros.
01:39Est-ce que l'argent des Français doit passer à ça ?
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