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  • il y a 2 jours
Avec Franck Allisio, député RN des Bouches-du-Rhône et candidat à la mairie de Marseille

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##L_INVITE_POLITIQUE-2025-11-24##

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News
Transcription
00:00Sud Radio, l'invité politique, Jean-François Aquili.
00:07Et votre invité politique, Jean-François Aquili, ce matin, c'est Franck Alizio, député Rennes des Bouches-du-Rhône,
00:12et candidat d'ailleurs, par ailleurs aussi à la mairie de Marseille.
00:15Bonjour Franck Alizio.
00:16Bonjour.
00:16L'un des narcotrafiquants les plus dangereux de France, détenu au QLCO, vous savez, le quartier de lutte contre la criminalité organisée de Vendin-le-Vieil,
00:25fait polémique en obtenant une permission de sortie aujourd'hui pour aller chercher du travail.
00:29Et que dites-vous ce matin de cette décision de justice ?
00:32Qu'elle est évidemment scandaleuse, mais j'ai envie de vous dire, est-ce que ça vous étonne ?
00:36C'est l'énième couac, l'énième scandale en matière de gestion des détenus.
00:44Alors là, évidemment, il y a ce paradoxe énorme, évidemment.
00:48On fait des prisons de haute sécurité avec isolement total, et donc un droit totalement exorbitant du droit commun.
00:56Et puis, le juge d'application des peines applique un droit, du droit commun le plus alimentaire, comme si c'était un petit délinquant.
01:04Enfin, c'est juste hallucinant.
01:05Mais ça m'a fait penser à quelque chose, parce que tout cela a aussi un coût humain et financier.
01:13Si vous saviez, moi, les agents de la pénitentiaire me le disent, les policiers aussi, le coût, l'argent que coûtent ces petites sorties des détenus dangereux,
01:23pour aller tantôt faire je ne sais quoi, là c'était aller rencontrer un employeur, enfin bref.
01:31C'est des dizaines de milliers d'euros, parfois, ils vont traverser la France pour une simple audition qui aurait pu être en visio, en jet privé.
01:37Vous imaginez le coût pour le contribuable, évidemment, tout cela est scandaleux, ça pose la question du juge d'application des peines,
01:47ça pose la question de la cohérence entre la parole et les actes du ministre de la Justice.
01:51Faut-il supprimer, Franck Alizio, le dispositif du juge d'application des peines ?
01:56La question se pose. La question se pose, et je pense qu'il faudrait y réfléchir, c'est une décision qu'il faut prendre collectivement dans la famille politique,
02:08mais je pense qu'aujourd'hui, évidemment, tout cela pose un véritable problème, et surtout l'usage qui en est fait.
02:16Alors vous avez, Franck Alizio, participé samedi à la marche blanche à Marseille contre le narco-trafic,
02:21en hommage à Mehdi Kessassi, tué par des trafiquants, vous n'étiez pas en première ligne, avec les autres personnalités politiques,
02:28le Rassemblement National n'était pas le bienvenu ?
02:31Non, pour le coup, le Rassemblement National était le bienvenu, la famille avait tout à fait convenu que notre place était là.
02:42J'avais d'ailleurs adressé mes condoléances à Mehdi Kessassi.
02:46Non, en revanche, c'est une volonté de ma part de ne pas être dans, excusez-moi l'expression, mais ça ressemble à ça quand on le regarde,
02:53dans le carré VIP.
02:55Parce que moi, je vais vous le dire simplement, quand je vais à des obsèques, comme ça qu'on m'a éduqué, je ne me mets pas devant la famille.
03:04Voilà, quand je vais à des obsèques, je me mets au milieu des Marseillais, en l'occurrence, j'étais au milieu des Marseillais,
03:13et j'ai eu honte, honte pour ceux qui se sont mis en avant, honte pour ceux qui ont fait la belle photo qui va bien, honte pour ceux qui étaient là.
03:22Vous parlez de qui ? Des personnalités présentes ?
03:23Des personnalités politiques présentes, bien évidemment.
03:26Il y a qui ?
03:26Eh bien, tous les élus de gauche qui ont fait le déplacement, les écologistes, les socialistes qui ont fait le déplacement depuis Paris pour venir,
03:33mais également le personnel politique local marseillais, ils ont tous une lourde responsabilité dans la situation de Marseille aujourd'hui.
03:39Ils ont tous une lourde responsabilité, et ils sont venus prendre des photos, je ne vais pas citer, mais j'ai vu un directeur de campagne,
03:49d'un des candidats, aller se jeter sur les journalistes pour faire le maximum de sons et d'images.
03:54Franchement, c'était indécent, et malheureusement, c'est à l'image de cette classe politique marseillaise et nationale
04:01qu'il faut aujourd'hui, qu'on le veuille ou non, dégager pour redresser Marseille et pour redresser la France.
04:06Vous avez dit, si Marseille tombe, la France tombera.
04:10Marseille est-elle, vis-à-vis du narcotrafic, une ville perdue ?
04:15Écoutez, je vous le disais, Marseille tombe du fait de l'action des politiques.
04:22J'espère que Marseille n'est pas encore totalement tombée, c'est-à-dire pourra être relevée.
04:29Mais c'est évident que Marseille, de tout point de vue, de tout point de vue,
04:32on parle du narcotrafic aujourd'hui, mais on pourrait parler de l'insécurité plus largement.
04:36Vous savez que le taux d'homicide à Marseille est le double du taux d'homicide national.
04:41Et x10, x10 dans les quartiers nord.
04:44Mais on pourrait parler également de l'habitat indigne,
04:47on pourrait parler également de toute une série de choses, de l'état de nos écoles.
04:52Aujourd'hui, Marseille est abandonnée par les pouvoirs publics, encore une fois,
04:55les pouvoirs publics nationaux et locaux.
04:59Vous avez vu la citation de Benoît Payon, le maire de Marseille, dans la tribune.
05:02Je le cite, la République a pris un coup, mais elle en rendra dix.
05:06A propos du meurtre de Médic et Sassi, la réponse est au niveau ?
05:09Mais évidemment que non, évidemment que non.
05:12On parle d'un maire dont la grande préoccupation,
05:16je parle du maire de Marseille, le socialiste,
05:18M. Payon, dont la grande préoccupation depuis cinq ans,
05:21ça a été de chercher ou installer une salle de shoot à Marseille.
05:25Et la défendre bec et ongle, à un moment donné,
05:26ses amis socialistes, elles voulaient même l'installer au pied de la bonne maire.
05:30Et au niveau national, c'est évidemment exactement pareil.
05:34Je vous rappelle, c'est l'un des scandales que je ne cesse de dénoncer depuis cet événement.
05:39De 2017 à 2020, on a perdu des policiers nationaux à Marseille,
05:46alors même que le trafic de drogue explosait, que l'insécurité explosait,
05:52on a perdu 300 policiers nationaux qu'on n'a même pas récupérés à l'heure où je vous parle.
05:57Si le RN est au pouvoir demain, en 2027, qu'est-ce que vous faites contre le narcotrafic ?
06:03Quel est votre plan ?
06:05C'est simple, la drogue, elle vient de quelque part, elle va quelque part.
06:09Donc, la drogue, que ce soit le cannabis ou la cocaïne,
06:13elle ne pousse pas dans la garrigue provençale, elle vient de l'étranger.
06:1780 à 90% de la drogue est importée.
06:20Qu'est-ce que vous faites ?
06:21Se pose la question, évidemment, du contrôle des frontières.
06:25Et vous avez notre réponse, il faut rétablir le contrôle des frontières.
06:28Il y a un problème d'importation des produits et aussi importation de la main-d'oeuvre.
06:31Ça aussi, c'est une omerta, c'est un silence.
06:34On ne veut pas faire un lien entre immigration et trafic de drogue,
06:38comme ils ne veulent pas faire, socialiste et macroniste,
06:41de lien entre insécurité et immigration, entre terrorisme et immigration.
06:46Eh bien oui, tous les points d'île autour, dans le centre-ville de Marseille,
06:51sont tenus par des mineurs clandestins qui sont recrutés le matin même,
06:56Gare Saint-Charles.
06:57Bon, à partir de là, je rétablis les frontières,
07:00et évidemment, je m'occupe de l'autre bout, c'est-à-dire où va la drogue ?
07:03Il y a des consommateurs.
07:04Les consommateurs, que faites-vous ?
07:05Vous allez chercher les consommateurs, Franck Alésio ?
07:07Évidemment, il faut démultiplier.
07:08Aujourd'hui, vous avez une chance, en 47 ans, d'être contrôlé.
07:16Si vous êtes consommateur, évidemment qu'il faut renforcer les contrôles.
07:20Renforcer le dépistage, vous voyez, à Marseille, dans une ville comme la nôtre,
07:23où on parle d'Omerta, où on parle peut-être de liens entre les politiques
07:28et les trafiquants et le trafic de drogue.
07:32Un dépistage systématique ne me choquerait pas.
07:35Un dépistage systématique du personnel politique, pourquoi pas ?
07:39Enfin, à un moment donné, on a un devoir d'exemplarité.
07:42Vous voulez faire du dépistage des élus marseillais ?
07:45Oui, moi, ça ne me choquerait pas.
07:47Moi, je m'y prêterais à partir de là.
07:50Vous êtes à Marseille, dans une situation où on doit montrer l'exemple,
07:52où on doit montrer notre engagement total.
07:54Ce serait symbolique, évidemment, ce serait symbolique, mais à Marseille, chez moi,
07:59moi, je ne donne pas des leçons, je dis juste à Marseille, chez moi, aujourd'hui,
08:03compte du notre engagement personnel de chacun, on devrait pouvoir arriver à des mesures symboliques comme ça.
08:10Donc, je parle de contrôle renforcé, de dépistage renforcé, je parle de sanctions renforcées.
08:15Moi, quelqu'un, c'est possible en plus, ça, ça a déjà été fait,
08:19quelqu'un qui se retrouve en détention de drogue, ou ayant consommé de la drogue,
08:24ou allant acheter de la drogue, on devrait lui saisir immédiatement son véhicule.
08:28Vous verrez que c'est plus efficace que les petits 200 euros d'amende qu'on change à payer en réalité.
08:35Des élus marseillais, vous dites ce matin, franco-lisio.
08:37Oui, montrant l'exemple du personnel politique, des collaborateurs politiques,
08:42bref, de ceux qui, aujourd'hui, sont là, normalement, pour combattre ce fléau,
08:45par tous les moyens, en montrant également l'exemple.
08:48D'un mot, Emmanuel Macron, de retour bientôt à Marseille,
08:51c'est la suite de son plan Marseille en grand.
08:53Que dites-vous ? Qu'attendez-vous ?
08:55Rien. Rien. Je ne m'attends à rien, et je pense que je serai quand même déçu.
08:59Parce qu'on est à la dixième visite du président de la République,
09:02à la trente-sième visite du ministre de l'Intérieur,
09:05au dixième plan en antidrogue, annoncé à Marseille,
09:09et il ne se passe rien, si c'est pour faire ça, qu'il reste à Paris.
09:13Voilà. Il y a des décisions fermes à prendre.
09:16Nous nous avons proposé, avec Marine Le Pen, l'état d'urgence à Marseille,
09:19aussi longtemps qu'il le faut.
09:21Il y a évidemment toute une série d'autres mesures.
09:23On a parlé des consommateurs, on a parlé du contrôle de nos frontières,
09:27et on pourrait parler également de la saisie des biens,
09:29de la méthode italienne qui saisit les biens systématiquement,
09:32des grands trafiquants, avant même jugement.
09:35Il y a mille choses à faire, ils ne font rien, ou presque rien.
09:38Franck Alizio, un sondage Cluster 17 pour Politico,
09:42vous donnant tête au premier tour à 29%,
09:44à égalité avec Martine Vassal...
09:47Non, à égalité avec Benoît Payon.
09:48Avec Benoît Payon, pardonnez-moi.
09:52Vous dites quoi ? Vous pouvez remporter Marseille aujourd'hui ?
09:54C'est la stratégie aujourd'hui du RN de tenter,
09:57je dis bien tenter, de gagner des grandes villes ?
10:01Mais moi je le fais d'abord en tant que Marseillais,
10:03je le fais d'abord pour ma ville,
10:05je le fais d'abord parce que je considère que ma ville est dans un tel état,
10:08et que ce personnel politique l'a mis dans un tel état,
10:10encore une fois, gauche et macroniste confondus,
10:13qu'il faut aujourd'hui, je m'engage avec mes tripes pour ma ville,
10:17et évidemment avec mes convictions,
10:19évidemment avec ma famille politique,
10:21et aujourd'hui, je pense que le Rassemblement National,
10:25et tous ses alliés, et tous les Marseillais qui nous rejoignent aujourd'hui,
10:27parce qu'il y a des LR, il y a des gens de toutes couleurs politiques qui nous rejoignent,
10:31nous pouvons gagner Marseille, et nous allons gagner Marseille.
10:34Vous avez face à vous Sébastien Delogu, de la France Insoumise,
10:38qui peut faire des scores dans les quartiers, Franck Alizio ?
10:41Tout à fait, dans les quartiers, vous savez, aux dernières européennes,
10:44LFI, qui avait pour seul slogan « Free Palestine »,
10:47a fait 53%, 53% dans les quartiers nord,
10:50les quartiers nord, c'est un quart à un tiers de Marseille.
10:53Que dites-vous de sa campagne ?
10:54Que sa campagne va ressembler à ce que fait LFI depuis des années,
11:01je vous rappelle qu'ils veulent désarmer la police,
11:03je vous rappelle qu'ils veulent supprimer les caméras individuelles aux surveillances,
11:05alors que je souhaite faire tout l'inverse,
11:07je souhaite multiplier le nombre de policiers municipaux par trois,
11:10le nombre de caméras de surveillance par deux,
11:11c'est un danger, et demain, M. Delogu,
11:14peut-être le premier adjoint de M. Payet en cas de victoire,
11:17c'est pour ça qu'il faut se mobiliser,
11:18c'est pour ça qu'il ne faut pas se tromper au second tour,
11:21ni au premier tour, nous pouvons gagner,
11:23nous pouvons relever Marseille,
11:25et si Marseille se relève, la France se relèvera un an à plus tard.
11:28Franck Alizio, vous êtes partie des 404 députés
11:33qui ont voté contre le volet recette du budget à l'Assemblée nationale,
11:38quelle est la logique ?
11:39Vous faites voter une loi contre les multinationales,
11:42et vous votez contre à la fin.
11:44Où est la logique ?
11:45On vote pour les choses que l'on considère,
11:47sur les propositions et les amendements
11:49qu'on a considérés comme justes.
11:51Non, comme juste, il fallait, comment dire,
11:54voter pendant deux mois,
11:56dans ces cas-là, il ne faut pas avancer le budget au Parlement.
11:58Voter pendant deux mois, on vote sur ce qu'on nous propose.
12:01Et au final, on a toujours annoncé dès le début
12:03qu'on était contre ce budget.
12:04Nous, nous avions un contre-budget, quand j'entends des contre-vérités
12:07selon lesquelles on a voulu augmenter les impôts.
12:10Non, on avait un contre-budget.
12:12Si Jordan Bardella avait été Premier ministre, au moment où je vous parle,
12:15il y aurait un budget qui aurait proposé 45 milliards de baisse d'impôts,
12:1955 milliards de baisse de dépenses.
12:21Vous voyez, c'était un budget de bon père de famille
12:23qui visait à redresser la France,
12:24qui visait à rendre le pouvoir d'achat aux Français,
12:26permettait à nos entreprises d'investir
12:28et de créer de l'emploi et de la richesse.
12:29Voilà ce qu'était le projet de budget du Rassemblement National
12:33présenté par Marine et Jean-Citane.
12:35Jamais la censure, vous allez laisser les choses en l'état.
12:37C'est désormais acquis.
12:38Il n'y aura jamais de censure.
12:40Nous, nous censurons systématiquement.
12:42Maintenant, c'est aux socialistes qui ont fait ce budget en réalité.
12:45C'est aux socialistes qui pèsent 1,5% des Français
12:47de se décider sur cette censure.
12:49Nous, nous censurons systématiquement ce gouvernement.
12:53Marine Le Pen l'a annoncé et répété.
12:55Ultime question avec vous, Franck Alizio.
12:57Nous évoquions les municipales.
12:57Robert Ménard, qui est soutenu par, désormais,
13:00les Républicains à Béziers.
13:02Est-ce que le divorce est consommé avec lui ?
13:04Qui était votre soutien, qui était un ami de Marine Le Pen.
13:07Est-ce que le RN lui oppose une liste ?
13:08Est-ce que vous allez aller au bout de cette logique ?
13:11Nous verrons.
13:12J'avais cru non, mais je ne suis pas dans les ultimes décisions
13:16de la Commission Nationale d'Investiture.
13:19C'est à Jordan Bardella de le décider.
13:20Nous avions décidé, je crois me souvenir,
13:23pour faire un geste de ne pas être de candidat
13:26face à Robert Ménard.
13:27Preuve que nous tendons toujours la main au RN.
13:30Maintenant, évidemment, s'il ne la saisit pas
13:32ou s'il fait l'inverse de ce qu'il nous avait dit,
13:35la question se pose.
13:36C'est dommage parce que Robert Ménard
13:38fait de bonnes choses dans sa ville.
13:40Je pense notamment à la brigade municipale anti-stup,
13:43qui est également faite par Louis Alliot à Perpignan.
13:46Robert Ménard devrait être avec nous,
13:48mais devrait aussi respecter un allié comme nous
13:52qui en a fait un maire il y a quelques années.
13:55Merci à vous, Franck Alizio.
13:56Merci à vous.
13:58Merci Jean-François qui dit y aller.
14:00Dans un instant, vous commentez 0 826 300 300.
14:04L'actualité, vous avez la parole comme chaque jour,
14:06vous le savez, sur Sud Radio.
14:08C'est aussi vous, évidemment, qui faites l'actualité.
14:11L'un des détenus les plus dangereux de France
14:12qui obtient une permission de sortie
14:14pour aller chercher du travail.
14:15Normalement, il est sorti tout à l'heure à 7h.
14:17Il doit faire un aller-retour pour voir un employeur.
14:20En tout cas, c'est ce qui est dit.
14:21L'un des détenus les plus dangereux.
14:23Comment vous prenez cette décision de la justice ?
14:28Vous trouvez que c'est scandaleux ?
14:30Que c'est compréhensible ?
14:31Ou que le système est à revoir ?
14:32J'aimerais vous entendre.
14:33Est-ce que vous êtes favorable aussi au retour
14:35d'un service militaire volontaire ?
14:39Ça devrait être annoncé cette semaine par Emmanuel Macron.
14:43Eh bien, écoutez, là, vous réagissez.
14:460 826 300 300.
14:47Vous y êtes favorable, tiens, au passage, vous, Franck Alésio,
14:51un service militaire volontaire ?
14:53Je ne veux pas faire la peine au président public,
14:55mais ça existe déjà.
14:55On peut très bien s'engager.
14:56C'est vrai.
14:57Voilà.
14:57Donc, une fois de plus, au président public,
14:59ce P2M, ça existe déjà.
15:01Quiconque veut faire son service militaire en France
15:03peut le faire volontairement.
15:05Voilà.
15:05Donc, sur le principe, je suis d'accord.
15:08D'autant plus que ça existe déjà.
15:09Bon, voilà.
15:10C'est de la com', quoi.
15:11Exactement.
15:11Merci.
15:12Allez, dans un instant, vous réagissez.
15:14Sous-titrage Société Radio-Canada
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