Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 8 heures
«Je voudrais qu'on se souvienne de tous les gens dont la vie a été ruinée par ce type», a martelé le dirigeant d'un cabinet de conseil, Philippe de Gestas. Il faisait référence au baron de la drogue ayant obtenu une permission pour rencontrer un employeur.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Elle est double en réalité. La personne du juge, je ne le connais pas et je ne me permettrai pas d'avoir un avis sur lui à ce stade.
00:06Mais on sait bien qu'il y a des juges qui appliquent le droit de manière tout à fait idéologique.
00:10Mais on peut aussi se poser la question des règles parce que j'imagine quand même que ce juge d'application des peines s'est appuyé sur des règles de droit
00:17pour prendre ses décisions et on les connaît. Et comme toujours, elles sont toujours très favorables aux détenus parce qu'on passe...
00:25En fait, on a inversé le problème en France. C'est-à-dire qu'en fait, la victime aujourd'hui, c'est le détenu parce que c'est très dur d'être en prison.
00:31Moi, je voudrais qu'on se souvienne de tous les gens dont la vie a été ruinée par ce type qui est un des plus gros trafiquants de drogue.
00:40Et ces victimes se comptent probablement en milliers. Et c'est toujours l'inversion. La victime est toujours celui qui est en prison.
00:46Et donc moi, j'interroge les règles d'application qu'on applique pour l'administration.
00:55Merci d'avoir regardé cette vidéo !
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations

1:10
À suivre
CNEWS
il y a 38 minutes