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  • il y a 1 heure
Naïma M’Faddel, essayiste : «Il n'y a pas de détresse sociale en France». Elle réagissait sur le statut de nourrice, que les trafiquants «embauchent» moyennant finance, pour qu'elle stocke la drogue, l'argent ou les armes d'un réseau chez elle. Pour Naïma M’Fadel, être enrôlé dans ce secteur n’est pas lié à la détresse sociale. 

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Transcription
00:00Ce qui me gêne moi c'est quand on parle que, en fait, ces gens-là, parce qu'ils sont dans le besoin, c'est pour ça qu'ils sont enrôlés dans la drogue,
00:13parce qu'ils sont en détresse sociale. C'est pas vrai. Dans un pays comme la France, il n'y a pas de détresse sociale.
00:19Il y a énormément d'aides sociales. On est un état de providence le plus généreux au monde.
00:25Quand vous êtes par exemple parent célibataire, vous avez des aides, vous les additionnez.
00:29Donc c'est pour ça que c'est insupportable, parce que finalement...
00:31C'est ce que disent les avocats.
00:33Oui, mais c'est l'avocat qui dit ça, mais on finit par croire que finalement, ils n'ont pas le choix.
00:38Je regrette, il y a le choix de l'honnêteté.
00:39Non, mais c'est un choix de vie, il y a le libre-arbitre aussi.
00:42Même si les gens peuvent être vulnérables, avoir des difficultés, mais oui, il y a des sucesses, il y a des choses.
00:47Il est dans son rôle. L'avocat, et je voudrais même rajouter qu'aujourd'hui, c'est pas forcément des petites jeunettes qui cachent ça.
00:53Au contraire.
00:54Vous avez des mères de famille, sociologiquement, évidemment.
00:56Mais le phénomène s'est accentué.
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