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  • il y a 7 heures
Alors qu'un détenu s'est évadé lors d'une sortie escalade organisée hors des murs de la prison, Aleksandar Nikolic, porte-parole du RN, livre son analyse : «Ce n'est pas aux impôts des victimes de financer les activités des détenus».

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Transcription
00:00Que même philosophiquement, on peut se poser la question,
00:02cette sortie pour faire de l'escalade, on parle de réinsertion,
00:05il va devenir preuve d'escalade ?
00:06Quel est le rapport avec la réinsertion ?
00:08Ceux qui vont au planétarium, celui de Rennes, il va devenir spationaute ?
00:11Je veux dire, à un moment, les moyens qui sont mis sur ce qu'on appelle la réinsertion,
00:16c'est-à-dire un avantage pour des détenus qui ont commis parfois des faits graves
00:18et qui sont dangereux sur de la formation,
00:21moi je préférais qu'on les mette sur la reconstruction justement des victimes,
00:24qu'eux ont un privilège, c'est-à-dire pour se reconstruire professionnellement parfois,
00:29psychologiquement, et il y a vraiment, je pense que la prison est galvaudée,
00:35c'est-à-dire que normalement la prison, c'est la peur de la sanction,
00:38et il faut que la prison serve à punir l'objectif de réinsertion,
00:42vous savez, il y a 479 000 emplois non pourvus dans notre pays,
00:46si ces prisonniers, quand ils sortent ensuite, ils ont envie de se reconstruire,
00:49et bien qu'ils aillent travailler sur ces emplois non pourvus,
00:53qu'ils se reconstruisent par des formations qu'ils vont payer eux-mêmes,
00:56mais ce n'est pas aux impôts des victimes de devoir financer justement ces prisonniers.
01:00C'est ça, c'est ça, c'est ça.
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