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00:59Bonjour, je m'appelle Eva Banzuzi et je suis la rédactrice en chef de la chaîne YouTube Infocratie.
01:17Alors je voudrais intervenir pour un peu donner mon opinion et mon sentiment sur ce procès auquel j'ai assisté.
01:23Il y a une question qui se pose qui, à mon avis, est celle de savoir si c'est le procès de la liberté d'expression aujourd'hui
01:31et si c'est le procès des réseaux sociaux.
01:35En tout cas, c'est l'argumentaire qui a été utilisé par Aurélien Poirson-Atlant, dit Zoé Sagan.
01:41Et c'est aussi l'argumentaire du coup développé par son avocat, Juan Branco.
01:46En tout cas, c'était anciennement son avocat puisqu'il a été suspendu 48 heures avant le procès par le barreau des avocats de Paris.
01:53Il s'agit aussi de savoir est-ce qu'on peut utiliser Internet pour critiquer le pouvoir ?
02:04Est-ce que le pouvoir supporte d'être critiqué par tout le monde sur Internet ?
02:09Ou est-ce que le pouvoir est en capacité finalement de museler Internet dans sa totalité
02:15afin de ne pas supporter la critique et la satire ?
02:19Puisque c'est aussi l'argumentaire utilisé par Aurélien Poirson-Atlant.
02:23Aurélien Poirson-Atlant dit qu'il ne fait que la satire du pouvoir
02:26et qu'un magazine comme Charlie Hebdo, par exemple, est tout à fait autorisé à faire la même chose.
02:32Donc pourquoi pas lui ?
02:34Il y a des prévenus qui disent qu'ils ne savent pas pourquoi ils sont là
02:38et qu'ils ne sont pas des spécialistes ni des médias, ni du droit,
02:42ni de l'Internet d'ailleurs, qui ne sont que des twittos finalement.
02:46Et ça pose la question de la dissymétrie du pouvoir,
02:50c'est-à-dire est-ce que le pouvoir peut se permettre de s'attaquer à des gens qui n'en ont pas ?
02:55Donc c'est aussi une question du pouvoir politique en France qui se pose.
02:59Et il faut aussi se rendre compte que sur l'affaire de la transidentité éventuelle de Brigitte Macron,
03:07il n'y a pas que ça qui dérange, ce n'est même pas ça en fait qui dérange.
03:12La question est de savoir est-ce qu'on a affaire à un secret d'État et à un mensonge d'État, oui ou non.
03:17Mais d'un autre côté, il faut aussi se interroger sur quelles sont les preuves et les éléments dont on dispose
03:25pour accuser Brigitte Macron, non seulement de faits pénalement répréhensibles comme de la pédocriminalité,
03:32mais aussi d'être une femme trans.
03:35Il faut aussi s'interroger sur comment est-ce qu'on utilise les canaux de communication
03:39pour s'en prendre aux gens avec éventuellement des preuves ou non.
03:44Et c'est ça aussi, outre le fait que peut-être le pouvoir pourrait nous cacher quelque chose,
03:49il faut aussi s'interroger sur est-ce que nous qui avons une théorie,
03:54est-ce que nous avons les éléments et les preuves pour pouvoir engager notre responsabilité en diffamation
03:59sur notre théorie aussi.
04:02Et il s'agit du coup de sensibiliser aux personnes au fait de faire attention à ce qu'on dit sur Internet
04:07puisque le risque de procès en diffamation n'est jamais nul en réalité que l'affaire soit vraie ou fausse.
04:14On peut prendre partie civile comme d'habitude,
04:21donc pour envoyer une pétouille à l'œil de la juridiction.
04:25Excusez-moi, je crois que je partais aussi.
04:37Bravo !
04:38Bravo !
04:40Bravo !
04:41Allez, allez !
04:44On y va !
04:45Moi j'aimerais qu'on revienne sur l'enquête factuelle de Xavier Boussard
04:55qui n'a pas été interrogé jusqu'à présent.
04:58Parce que là le procès, c'est Xavier Boussard qui a fait l'enquête factuelle
05:04qui pose question au couple présidentiel et on n'a pas de réponse à ces questions.
05:08Exactement !
05:09Et c'est ce qui crée le doute finalement et toutes ces interrogations.
05:14Là il n'y a pas harcèlement !
05:15Pourquoi Xavier Boussard dans son livre « Becoming Brigitte » fait une enquête factuelle ?
05:20Très factuelle avec des preuves circonstanciées, une recherche réelle.
05:25Il n'y a pas de réponse.
05:27Il n'y a pas de réponse.
05:28Il n'y a pas de réponse.
05:29Parce qu'elle est au-dessus de ça.
05:30Ça relève de là dont elle avait privé, c'est ça ?
05:32Pardon, nous on est journaliste.
05:33Oui, mais je pose des questions.
05:35Je sens l'implicite dans vos questions.
05:38Ils n'ont pas de parti pris, t'inquiète pas.
05:39C'est des vrais journalistes.
05:41Et pour le coup, Xavier Boussard est largement mentionné pour des audiences.
05:45Oui, mais il n'a pas été mis en cause.
05:47Mais ce n'est parce que là on parle d'un procès en cyberharcèlement.
05:50Cyberharcèlement, oui.
05:52Mais il est mentionné à de nombreuses reprises, que ce soit par les prévenus ou par les magistrats.
05:56Là, hier, moi j'ai assisté au pressé, c'était pour 9 tweets.
06:00On ne peut pas qualifier de harcèlement pour une personne qui a fait 9 tweets.
06:05Ça demande une répétition.
06:07Le harcèlement, que ce soit le cyberharcèlement ou le harcèlement tout court,
06:11c'est la répétition tous les jours, tous les jours, tous les jours, tous les jours,
06:14pendant des années.
06:16Effectivement, là, 9 tweets, il y a quand même une surqualification.
06:21Hier, vous utilisez le terme transgenre.
06:23Vous répétez partout.
06:25Mais ceci n'est pas le parti d'audition d'aujourd'hui.
06:28Moi, depuis hier, vous tous médias qui oubliez 1 minute 30,
06:34les petits résumés du procès, vous étiquettez toutes les personnes qui sont là.
06:39Vous mettez les termes transgenres, homophobes.
06:43Vous associz toutes les personnes qui n'ont rien à voir.
06:46Depuis 4 ans, Natacha Rey subit la même chose à harcèlement.
06:50Cependant, on posait la question à M. Noki, qui répond à Mme Brigitte,
06:54pourquoi il ne fait pas un communiqué de presse que ces termes transgenres
06:59ne soient pas prononcés dans les cours, ne soient pas dans les résultats du procès.
07:07Aucun procès n'était statué sur termes transgenres, homophobes, etc.
07:12Le terme, c'est transphobes.
07:14Transphobes, pas que transphobes, transgenres.
07:17Mais vous, depuis 4 ans, vous harcèlez toute la population avec millions de vœux
07:22en propagande mauvaise information.
07:26J'ai vu que votre publication d'hier sur les tweets, sur un compte,
07:30j'ai pris la capture d'écran.
07:32Je n'y vais pas souvent parce que je n'ai pas ton à ça.
07:34J'ai ma santé, que je dois me soigner.
07:36J'ai sorti du cancer, miraculé.
07:38Donc, j'ai regardé qu'un compte a relayé votre petite vidéo.
07:45Et sur ce compte-là, il y a 150 messages grossophobes,
07:50femmesophobes, 150.
07:52J'ai compté 150 messages, je me suis arrêté juste là.
07:55Maintenant, vous, journaliste, faites le travail, je vous prie.
07:58Faites le travail, regardez.
07:59Si vous voulez, je vous communique.
08:01Allez sur ce compte-là, je vais juste terminer.
08:03Sur ce compte-là, il y a milliers de vœux.
08:05Il est lié à 150 personnes.
08:08Vous cliquez sur chaque de ces comptes-là.
08:10Il y a milliers de vœux.
08:11Et ça, c'est juste un seul compte, sur X,
08:14que plus personne ne regarde.
08:15Donc, vous avez une responsabilité énorme.
08:17Posez une question à l'avocat,
08:19M. Noki qui représente Mme Brigitte.
08:23Posez-lui une question pourquoi il n'y a pas où communiquer
08:26depuis quatre ans à propos des termes transgenres.
08:28Pourquoi vous répétez, c'est écrit, il y a tellement de preuves,
08:31les journaux, dans les médias, vous utilisez ces termes
08:34qui ne sont pas inclus dans le procès.
08:36Le procès ne parle pas de cela du tout.
08:38Donc, posez la question à l'avocat de Mme Macron,
08:42qui a complètement le droit de faire cette plante-là.
08:45Et moi, j'espère que maintenant,
08:46Mme Macron aussi va agir pour les citoyens.
08:49ces 10-11 personnes, parce que moi, je veux juste une seule,
08:52qu'elle va mener une enquête contre ces 150 personnes
08:58qui ont propos clairement inqualifiables.
09:03Donc, j'espère que maintenant, en égalité des droits,
09:05voilà, on est là.
09:06Hier, j'étais là pour la première partie.
09:08J'écoutais.
09:09J'étais très ravi de voir que le débat se porte vraiment
09:11entre les avocats et la justice.
09:14Je suis passionné par ce débat.
09:17Toutes les avocats sont serrés la main.
09:19Ils ont été respectueux.
09:20Le président du tribunal était respectueux.
09:23Et j'ai compris qu'on assiste, en fait, à débats.
09:25On pose la question sur la constitutionalité.
09:28On pose la question, est-ce que le visa de ce procès,
09:31aujourd'hui, est-ce que c'est une bonne qualification?
09:35Parce que, comme hier, M. D'Angléans informait le président,
09:40il a parlé du procès, M. Guéhan, qui a insulté, injuré un magistrat.
09:46Et, en effet, son procès était réqualifié.
09:49On a parlé des libertés de presse.
09:52Aujourd'hui, en fait, donc, vous, vous, journaliste,
09:54vous avez cette formidable opportunité.
09:57Tirez aussi, nous apprenons d'autres choses dans ce procès.
10:00Vous pouvez parler exactement de ça.
10:03La différence entre la qualification, le visa de ce procès,
10:07et la problématique qui était évoquée hier.
10:09Vous étiez présents.
10:10Moi, j'aurais aimé d'autendre ce débat de votre part.
10:13Voilà, il y a ce procès qui s'est basé sur cette visa-là.
10:17Maintenant, on a donné l'exemple que, normalement,
10:20il devait être qualifié en tant que procès de liberté de presse,
10:23liberté de parole.
10:24Donc, je vous prie, faites ce travail.
10:27Vous êtes présents comme moi.
10:29Moi, je trouve ça passionnant.
10:31Et je trouve que c'est très bien qu'en fait, il y a ce débat.
10:34Par contre, je ne comprends pas pourquoi
10:36dizaines de personnes sont ensemble.
10:38Je ne vois aucun lien entre cette personne.
10:40Je ne comprends pas pourquoi madame qui a l'USEMI,
10:43il n'a même pas l'argent pour se déplacer.
10:46Elle est convoquée ici.
10:48Pourquoi cette personne qui habite en Provence, ailleurs,
10:50sont convoquées à Paris ?
10:52Pourquoi on ne leur permet pas, devant tribunaux,
10:55dans leur région, se présenter, s'ils peuvent,
10:58si leur santé est présente ?
10:59Je ne comprends pas.
11:00Pardon, monsieur, on n'est pas là pour juger.
11:02On n'est pas là pour juger.
11:04Non, mais cette affaire, elle a différents éléments.
11:07Et je vous explique que, déjà, hier, j'étais assis là
11:10et j'ai appris beaucoup de choses.
11:11J'ai appris qu'il y a soucis.
11:13Et je n'ai rien appris de votre propos.
11:16J'ai juste vu le message que vous avez propagé hier
11:19et j'ai vu l'impact que vous créez sur X et d'autres,
11:22même Google.
11:24Parce que c'est votre petite coupure de 1 minute rassemblée
11:29que vous faites avec l'étiquette,
11:32les noms que vous utilisez.
11:34Déjà, vous ne devrez pas faire ça
11:36parce qu'on a besoin d'apaisement.
11:38On est dans une période de guerre.
11:40Donc, le conflit est extrêmement grave.
11:42Notre pays traverse des crises majeures,
11:44graves, gouvernementales, etc.
11:46Alors, restez objectifs.
11:48N'accusez pas les gens qui sont pendant le procès.
11:51Laissez l'avocat s'exprimer.
11:53Posez la question à le représentant de Mme Macron.
11:57Histoire, pourquoi vous avez mis
11:59dans le reportage de dimanche et hier
12:0210 titres.
12:05Mais posez la question.
12:07Mais moi, je vous respecte.
12:09Mais je vous respecte.
12:10Et je vous remercie pour cette question.
12:11Mais je vous dis attention
12:13parce que vous avez constaté
12:15que l'étiquette que vous avez mise sur cette PPP...
12:17C'est notre travail.
12:18Parfois, on doit faire un résumé.
12:19Résumé, mais pas étiqueter les gens
12:22qui sont proponent l'audition.
12:23Absolument.
12:24Il y a présumé innocence.
12:27Et quand je vous...
12:29Et quand je...
12:30Non mais...
12:31Je vous signale...
12:32Je vous signale qu'il y a...
12:33Oui, vous l'avez dit, des étiquettes.
12:35Ce qu'on attend, c'est que les magistrats...
12:36Attends juste une minute.
12:37Ce qu'on attend, c'est que les magistrats
12:38soient d'une neutralité et d'une impartialité absolue.
12:41Ce qui n'a pas été totalement le cas hier
12:45parce qu'ils ont induit le fait que Mme Macron
12:47était une justiciable comme tout le monde.
12:49Voilà.
12:50Et le maître, je ne sais plus qui...
12:54Elle l'a très bien souligné.
12:55C'est complètement faux.
12:57Une plainte pour cyberharcèlement d'un individu lambda
13:00comme vous et moi
13:01va être systématiquement classé sans suite.
13:03Et bon, il faut user de...
13:06Alors que là, c'est rétroactif.
13:07Ça arrive directement, etc.
13:09Ça, ça a été souligné.
13:10Moi, je trouve le procès lunaire...
13:14Chaque personne est complètement différente.
13:19Voilà.
13:20Monsieur Bertrand Scholler et Aurélien Atlan,
13:26elles sont vraiment à part des autres personnes.
13:29J'ai l'impression que les autres personnes
13:31ont vraiment été piochées...
13:33Enfin, je ne sais pas.
13:34Pour faire peur, pour empêcher les gens.
13:36Alors que j'ai regardé Twitter en arrivant ici.
13:39Mais je veux dire, il y a beaucoup plus de personnes...
13:42Quitte à faire un procès, beaucoup plus de personnes...
13:45Enfin, on est à 6 millions, non ?
13:476 millions de personnes devraient être sur les bancs dans ce cas-là.
13:51Si on est vraiment...
13:52Il n'y a pas 6 millions de personnes qui retweetent ce cas-là du Macron.
13:55Bah si, apparemment, ça a été évoqué.
13:57De retweets...
13:58Voilà, parce que là, on accuse aussi sur des retweets.
14:00Des retweets.
14:01On donne une intention à ces retweets.
14:06Voilà.
14:07Le fait que ces personnes retweetent, c'est forcément qu'ils adhèrent à ces retweets, etc.
14:13Ok.
14:14Donc...
14:15Et...
14:16Et...
14:17Ils auraient aimé voir Madame...
14:19À cette audience, apparemment, sa fille se présente.
14:22Je ne sais pas...
14:23On a des...
14:24Faire un autre commentaire.
14:25Rajoutez sur les commentaires.
14:26Hein.
14:27Moi, je considère que c'est le peuple français qui est harcelé, qui est traumatisé.
14:32Parce que notre chère Brigitte devrait, depuis très longtemps, prouver très facilement que c'est faux.
14:39Moi, personnellement, je suis persuadé, parce que j'aime bien regarder.
14:43Je suis analytique.
14:44Je suis ingénieur.
14:45J'ai fait les choses.
14:46Et j'aime bien la vérité.
14:47Et bien, je suis persuadé qu'effectivement, Brigitte est un homme.
14:51Voilà.
14:52Et je ne suis pas le seul.
14:53Alors, j'espère que je ne vais pas avoir de procès.
14:55Liberté d'expression.
14:57Là, vous n'êtes pas un réseau, vous.
14:59Non.
15:00Hein.
15:01Vous n'êtes pas...
15:02Vous n'êtes pas X.
15:03Hein.
15:04Voilà.
15:05Non.
15:06C'est important de bien comprendre que la France, le peuple français, est traumatisé par ça.
15:11Et traumatisé par l'affaire Covid, qui a été vraiment de l'ingénierie sociale.
15:16Et là, avec ces pseudos, comment dire, tribunaux, c'est de l'ingénierie sociale pour
15:23empêcher les gens de s'exprimer sur les réseaux sociaux.
15:26Je redis.
15:27Et je redis.
15:28Internet, c'est un échange d'opinion.
15:30Il n'y a rien d'autre.
15:31Il ne faut pas exagérer.
15:32Merci.
15:33Alors, depuis ce matin, j'ai assisté à la défense de M. Bertrand Scholler.
15:39J'ai trouvé impérial, vraiment très bon, très posé, très calme et qui a bien expliqué
15:44les choses.
15:45Qu'est-ce que je peux dire ? C'est difficile de retrouver.
15:48Alors, après, on a droit à des plaidoiries très longues, très lénifiantes, notamment
15:53de M. le fils de Jorinoki, pour la partie civile.
15:58Donc, qui en fait, justifiait presque ce qu'a dit la partie civile de M. Espic, je crois,
16:04c'est un CV en partie civile et qui, finalement, a dit des choses très justes. Il a dit que
16:09cette loi sur le cyberharcèlement, en fait, avait été créée exprès pour ce procès.
16:17C'est-à-dire qu'on a mis une affaire quand même incroyable et toute la presse internationale
16:20est finalement bien présente, peut pouvoir en attester. C'est-à-dire qu'on a un fait unique.
16:26C'est-à-dire que la partie civile a créé intentionnellement une loi sur le cyberharcèlement
16:32exprès pour ce procès-là. En nous faisant croire au début, c'était une loi pour le cyberharcèlement
16:38des élèves, enfin des jeunes, des adolescents. Et en fait, c'était une loi faite ad hoc pour ce procès.
16:47Et d'ailleurs, le fils de Jorinoki, je ne sais pas comment il s'appelle, a bien expliqué ça
16:53très très très très très longuement, avec un interminable développement que d'ailleurs
16:58le président a essayé de raccourcir pour expliquer que vraiment, dans les moindres détails,
17:03cette loi concernait bien chacun des dix prévenus. Donc c'est un fait quand même assez remarquable.
17:10Et d'ailleurs, de nombreux commentateurs ont souligné que pendant que ce procès de deux jours a lieu,
17:17eh bien, sans doute, de très nombreux adolescents en détresse ont vu leur plainte refusée, écartée,
17:26c'est Monsieur Espich, je crois qu'il a dit ça, écartée d'un revers de main sans même aucune expression.
17:31Alors moi-même, j'ai dû porter plainte dans un commissariat pour un propos qui m'avait été envoyé pour insultes, homophobes, racistes et menaces.
17:42Et je n'ai aucune nouvelle de ma plainte. C'est-à-dire, des gens qui ne sont pas protégés par la police en quatre heures sur vingt-quatre,
17:48comme Madame Macron, eh bien, ces plaintes ne sont pas étudiées.
17:55Et d'ailleurs, je me posais une simple question très technique, mais là, du fait qu'il y a une rafle, la rafle du twittodrome d'hiver,
18:03pour paraphraser une expression spéciale, une expression connue, eh bien, ces dix prévenus, en fait, se retrouvent ensemble sur deux jours,
18:12et chacun, dont certains sont extrêmement modestes, doit donc payer des avocats non pas pour un jour, mais pour deux jours complets.
18:20Et ça leur fait un préjudice à eux, le fait de devoir payer ses avocats.
18:24Donc cette question, j'aimerais venir la poser à un avocat pour savoir ce qu'il en est exactement.
18:28Voilà, donc, eh bien, écoutez, on n'a pas eu sinon le principal intéressé, c'est-à-dire Jean-Michel Trevue, il n'est pas là.
18:35On a appris que le Jean-Michel Trevue, enfin, on ne sait pas lequel des deux, se portait particulièrement bien.
18:40C'est Madame Tiffanouzière qui l'a dit, elle l'a vu il y a six mois, on ne sait pas duquel elle parle.
18:44Alors, dans ses considérations, pourquoi ce monsieur ne s'est pas présenté aux multiples procès qu'il a intentés ?
18:51Maintenant, il a disparu de la circulation, mais il a intenté des procès.
18:54Il a présenté sa carte d'électeur, mais s'il était en si bonne forme, comme l'a dit sa soi-disant nièce,
19:00pourquoi ne s'est-il pas présenté aux différents procès ? Pourquoi n'était-il pas venu en curieux ici ?
19:04Pourquoi n'a-t-il pas participé à une séance de prise de vue, ordonnancée par Madame Milnarchand ?
19:09Donc ce sont des questions quand même très intéressantes que ce procès a soulevé.
19:16Voilà, j'ai encore plein de choses à dire, mais non.
19:19On est fatigué, maintenant on doit encore trois heures, et c'est vraiment interminable. Voilà.
19:24Merci.
19:25Merci.
19:26Merci.
19:27Merci.
19:28Merci.
19:29Merci.
19:30Merci.
19:31Merci.
19:32Merci.
20:01Merci.
20:03Merci.
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