- il y a 2 jours
Retrouvez le replay de l'Équipe de Greg du 14/11/2025.
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00:00:00bonsoir à toutes et à tous et bienvenue en direct sur la chaîne l'équipe il est 18h20 voyez là
00:00:05derrière hop c'est le week-end et la calife pour la coupe du monde c'est presque l'amérique c'est
00:00:09l'équipe de grec saison 5 épisodes 60 ça commence maintenant bonsoir à vous j'espère que tout le
00:00:24monde est en pleine forme une émission raccourci mais alors qu'il va être très très intense on
00:00:29est là jusqu'à 20 heures casting 5 étoiles ce soir enfin six puisqu'il ya six étoiles des montantes
00:00:34et défilantes autour de la table démerdez-vous pour savoir qui est bonsoir camille mccali ça va bien
00:00:41très bien bonsoir carême benani vous dites casting 6 étoiles tous les soirs en fait bonsoir greg je
00:00:45vous regarde et vous dites 6 étoiles 5 étoiles tous les j'y pense pas chaque soir c'est fou bonsoir bruno
00:00:49salomon salut greg bonsoir bonsoir de l'autre côté olivier bossard bonsoir olivier j'ai voulu si c'est
00:00:55bonsoir jim voilà l'étoile qui alors je tiens à dire fait l'émission tous les soirs par whatsapp avec
00:01:00moi il joue au jeu il explique il fait les débats mais ce soir il va pouvoir le faire et même à la
00:01:05maison hyper c'est ça qu'il va pas commencer à chauffer comme ça ne le chauffez pas tout de suite
00:01:10permettez qu'on dise bonsoir à romain mais non non roman les copains en régie
00:01:16égocentré de a à z allez voici tout de suite le sommaire de cette émission lancé sur des bonnes
00:01:24bases l'amérique nous voilà on peut faire retentir joe d'assens si on avait les droits on le ferait
00:01:28mais mbappé ne sera pas en azerbaïdjan on vous en parlera la france a gagné 4 0 hier contre l'ukraine
00:01:34et c'est donc qualifié tranquillement donc mbappé pas en azerbaïdjan mais il a 26 ans il a mis 400
00:01:40il ya un moment ça ça pose quand même son homme donc on en parlera on a un buteur paraît-il autour
00:01:46de la table ce soir c'est vrai on verra ce que jibri l'en pense je pense qu'il est impressionné quand
00:01:51même le conseil de classe on va revenir sur le match de cher qui de lycée de canté d'équité qu'il ya
00:01:57pas mal de choses à dire et évidemment de kilian bappé et puis didier deschamps va devoir choisir un
00:02:03camp de base ça tombe bien on a un ancien bleu c'est le même que le buteur figurez vous qui sait
00:02:07à combien la base peut-être important pourquoi le camp de base est essentiel pour réussir une coupe
00:02:12du monde on va en parler tout à l'heure avec adrien courrouble nous offrira son pourquoi c'est une
00:02:17façon de lancer en quelque sorte la coupe du monde tom charavino sera avec nous nous sommes
00:02:21vendredi ça va être acide ça va être rigolo ça va être bien il y aura le zapping on jouera
00:02:25aux survivants on y va tout de suite pour l'immanquable du soir
00:02:28romain les bleus arrive à bakou on part en azerbaïdjan absolument ils voyagent aujourd'hui
00:02:37les joueurs de l'équipe de france et il n'y a pas qu'il y en mbappé dans ce groupe de l'équipe de
00:02:41france le capitaine des bleus a été exempté la fff a communiqué ce matin et mbappé souffre toujours
00:02:46d'une inflammation de la cheville droite qui nécessite des examens donc il ne va pas à
00:02:51à bakou il rentre à madrid directement eduardo camavinga touché à l'isquio gauche il était
00:02:56indisponible hier il rentre aussi dans la capitale espagnole et puis manu conné qui
00:02:59sera suspendu dimanche après son carton jaune reçu hier n'est pas dans le groupe non plus
00:03:03c'est une surprise pour vous qu'il n'y ait pas giannbappé quand même pour en azerbaïdjan très
00:03:07honnêtement un peu quand même pour le nombre de buts possiblement à marquer il va le
00:03:13battre ce record de vieillir ou il est touché à la cheville il semblait pas touché à la
00:03:18cheville hier soir à l'issue de la rencontre honnêtement ça je vais dire que c'est un
00:03:24échange de bons procédés entre le real madrid et l'équipe de france il n'y a plus d'enjeux
00:03:27l'équipe de france est qualifiée il ya beaucoup d'échéances il ya beaucoup de matchs il faut
00:03:32garder cette fraîcheur là pour lui c'est un leader c'est le leader de l'équipe de france et si on peut
00:03:37s'en passer d'une s'il est en azerbaïdjan il aurait débuté je vois pas l'intérêt de le prendre pour le
00:03:42laisser sur le banc et faire jouer d'autres personnes d'autres profils donc honnêtement là il ne sera
00:03:46pas là ça permettra des profils comme mateta et qui ticket de de prendre la place et c'est pas
00:03:50plus mal on part à bakou puisque ça y est il est arrivé giovanni castelli on est peut-être à
00:03:55bakou à l'inverse de votre énorme salaire giovanni qui n'est pas à bakou lui évidemment jeu de mot du
00:03:59vendredi bienvenue dans l'équipe de greg on est content de vous accueillir comment s'est passé ce
00:04:04vol quel temps fait-il racontez nous on ne connaît pas très bien l'azerbaïdjan pour tout vous dire
00:04:07bonsoir greg bonsoir à tous bah écoutez je connais pas du tout pour tout vous dire on est arrivé il
00:04:15y a quelques instants on rentre de l'aéroport on a pris la clé de la chambre d'hôtel on va vous
00:04:19montrer que jérémy jalangro qui m'accompagne il ya des enseignes bien connues en france il ya l'air
00:04:24d'avoir des magasins voilà je peux pas vous en dire plus pour l'instant greg mais l'info qui vous
00:04:29importe il me semble c'est que les bleus ne sont pas encore arrivés ils décollent à 18 heures
00:04:33heure française donc ils sont partis un petit peu avant le début de l'équipe de greg et ils
00:04:37arriveront dans la soirée ici à bakou le mans vous êtes sponsorisé oui écoutez bon appétit giovanni
00:04:43s'il le faut chiterai deux autres marques je sais pas où est ce qu'on en est au niveau de l'arcom
00:04:47ce qu'on voit un énorme mcdonald's derrière vous je vais citer kfc et quic ça sera fait pour éviter
00:04:52tout embrouille olivier bossard je vois sourire évidemment mais c'est pas un match qui va
00:04:56compter pour du beurre pour certains peut-être non est ce que c'est un match où il ya encore des places à
00:05:00récupérer je sais pas je vous pose la question bah en tout cas c'est un match
00:05:03qui va servir pour pour voir certains joueurs moi ça me choque pas du tout de justement de ne pas
00:05:08voir kylian mbappé sur sur ce match là on va pas lui infliger ce ce long voyage kylian mbappé sera
00:05:14sera du voyage aux états unis à priori oui je suis pas aussi catégorique que toi et bien gérer son
00:05:21meilleur joueur c'est bien gérer son meilleur joueur c'est la base donc en faisant ça on le gère
00:05:26parfaitement maintenant moi j'ai envie de voir d'autres d'autres profils j'ai envie de voir
00:05:31équitiquer que j'ai trouvé très bon hier pour se regarder des forces parce qu'il sera dans le
00:05:35conseil de classe voilà donc c'est le genre de profil que j'ai envie de voir et c'est le genre de match
00:05:39qui va permettre de voir ces joueurs là donc autant en profiter on voit comment ils sont qualifiés les
00:05:43bleus avec vous romain effectivement il fallait gagner hier et les bleus l'ont fait 4 0 face à l'ukraine
00:05:48alors ça a été un peu laborieux en première mi-temps une grosse occasion pour barcola la frappe enroulée
00:05:52du parisien qui est dévié du bout des doigts par troubine le gardien ukrainien magnifique arrêt
00:05:57effectivement et les français vont faire la différence en seconde période panenka de mbappé
00:06:01sur pénalty pénalty obtenu par michael olizé michael olizé que l'on retrouve ici un rapide
00:06:07enchaînement dans la surface une frappe précise pour le joueur du bayern munich de 0 à la 76e on
00:06:13le revoit ici un bel enchaînement un très bel enchaînement ensuite une action un petit peu
00:06:18confuse dans la surface entre équitiqué et à cliouch et le ballon va parvenir à kylian bappé qui n'a
00:06:22plus qu'à pousser le ballon 3 0 à la 83e et puis à la 88e percée dugo équitiqué dans l'axe il va
00:06:29y avoir un 1-2 avec mbappé et le quatrième but des bleus et surtout le premier dugo équitiqué en
00:06:35équipe de france on vous montre aussi une petite séquence de joie c'était juste après la rencontre les images de la fff
00:06:48voilà pour ces joueurs vous avez connu ça des qualifs pour la coupe du monde jbril ça fait toujours plaisir même si ça semblait évident
00:07:05Voilà pour ces joueurs.
00:07:14Vous avez connu ça, des qualifs pour la Coupe du Monde.
00:07:16Djibril, ça fait toujours plaisir, même si ça semblait évident,
00:07:18même si le groupe était largement
00:07:20à la portée de l'équipe de France.
00:07:22Elles ne sont pas fins de ces images-là.
00:07:23Vous allez à la Coupe du Monde, quoi. Et on l'a répété depuis plusieurs jours.
00:07:26Ce n'est pas rien.
00:07:27Il ne faut pas négliger. Il y a eu des surprises.
00:07:30L'équipe de France
00:07:31est tombée notamment contre la Bulgarie.
00:07:34On s'est dit que c'était un tout droit
00:07:36et finalement, non.
00:07:38Il n'y a pas si longtemps contre l'Ukraine.
00:07:40Oui, c'était compliqué.
00:07:42Mamad Sakou
00:07:43et Karim aussi,
00:07:46qui avaient marqué pour cette qualif.
00:07:48Il ne faut pas négliger
00:07:50ces genres de
00:07:52moments-là. Et en tout cas,
00:07:54comme Kylian a dit, le contrat a été rempli.
00:07:56Et maintenant, il y a encore
00:07:58l'étape ultime.
00:08:00Franchement, oui.
00:08:02Première mi-temps compliquée.
00:08:03On aurait pu se dire
00:08:05qu'on se dirige vers
00:08:07un zéro pourri.
00:08:09Mais non.
00:08:10Vous retenez la réaction, en fait ?
00:08:11L'enchaînement de buts ?
00:08:12Oui, la réaction
00:08:14et surtout
00:08:15les entrées aussi.
00:08:17J'ai bien aimé les rentrants.
00:08:18Bien sûr.
00:08:18On va parler des joueurs.
00:08:19Tout à l'heure, on aime bien parler des joueurs
00:08:21un peu plus longtemps.
00:08:21Là, on est sur la qualif, le match.
00:08:23Bruno,
00:08:25très sincèrement,
00:08:26à la mi-temps,
00:08:26on était
00:08:26en colère.
00:08:28On se disait, ça y est,
00:08:29c'est encore un match pas terrible.
00:08:30On n'avait vu qu'une bonne mi-temps
00:08:31de ces bleus-là.
00:08:32On l'a dit et répété
00:08:32toute la semaine,
00:08:33c'est la première mi-temps
00:08:34contre l'Ukraine.
00:08:35Bon, finalement,
00:08:35on aura vu une première mi-temps
00:08:36contre l'Ukraine
00:08:37et une deuxième mi-temps
00:08:37contre l'Ukraine en bilan.
00:08:38Ça boucle, en fait.
00:08:39La boucle,
00:08:40et tu as juste ton ticket,
00:08:41finalement,
00:08:42tu n'auras besoin d'accélérer
00:08:43que deux fois
00:08:43pour finalement aller chercher
00:08:45tout ça.
00:08:45Mais c'est vrai que moi,
00:08:47la première mi-temps,
00:08:47quand même, pardon,
00:08:48mais me laisse un goût
00:08:49un peu amer.
00:08:51Franchement,
00:08:51quand tu vois la qualité
00:08:52que tu as sur le terrain
00:08:53et quand tu vois l'animation
00:08:54que tu en fais,
00:09:01je pose la question,
00:09:02mais je me dis que les gars,
00:09:03ils ne bougeaient pas,
00:09:04ils ne trouvaient pas d'espace.
00:09:05Peut-être,
00:09:05mais à un moment donné,
00:09:06cette équipe-là,
00:09:07quand on voit,
00:09:08on en parlera tout à l'heure
00:09:09dans le conseil de classe,
00:09:10mais quand tu vois Cherki
00:09:11qui est dans la mélasse,
00:09:13quand on voit un capitaine
00:09:14qui surjoue,
00:09:15quand on voit au lycée
00:09:17qui, tu as l'impression,
00:09:18qui fait la tronche
00:09:19quand il est sur le côté droit,
00:09:21enfin,
00:09:21il y a des choses comme ça
00:09:22où tu te dis
00:09:23que ce n'est pas possible.
00:09:24Après, par contre,
00:09:24effectivement,
00:09:25la réaction,
00:09:25comme l'a dit Djibril,
00:09:26je ne sais pas,
00:09:27le but de Mbappé,
00:09:28derrière,
00:09:28ils se sont dit,
00:09:29bon allez,
00:09:29maintenant c'est champagne
00:09:30et on peut...
00:09:31Les Ukrainiens ont peut-être
00:09:31lâché un peu en se disant
00:09:32que...
00:09:32Oui,
00:09:33c'est vrai que
00:09:34certains Zabarni
00:09:36sont vraiment très forts.
00:09:37C'est très compliqué.
00:09:38Vous étiez au parc hier,
00:09:39Karim Benani.
00:09:40Quel sentiment sur ce match-là ?
00:09:42Vous retenez quoi ?
00:09:43La qualif,
00:09:43la deuxième mi-temps,
00:09:44la première mi-temps ?
00:09:45Il y a beaucoup de choses.
00:09:46Je retiens tout,
00:09:47en fait,
00:09:47parce qu'on ne peut pas...
00:09:48Évidemment,
00:09:49on va se réjouir
00:09:49de cette qualification.
00:09:51Honnêtement,
00:09:51c'est le service minimum.
00:09:52Quand vous êtes dans ce groupe-là,
00:09:54vous étiez quasi obligé
00:09:55de vous qualifier.
00:09:56Tout autre résultat,
00:09:57même barrage,
00:09:58relevé presque
00:09:59de la faute professionnelle,
00:09:59honnêtement.
00:10:01Avec la qualité
00:10:02du groupe de l'équipe de France
00:10:03et la faiblesse,
00:10:04je trouve,
00:10:04du groupe dans lequel
00:10:05les Bleus sont tombés.
00:10:06J'ai trouvé la première période
00:10:07d'une faiblesse abyssale,
00:10:09franchement.
00:10:09J'avais rarement vu
00:10:10une première période
00:10:11aussi amorphe
00:10:12de la part de l'équipe de France.
00:10:13J'avais vraiment l'impression
00:10:14que c'était un match amical
00:10:16ou presque de charité,
00:10:17franchement,
00:10:18dans l'attitude
00:10:19de certains...
00:10:20Avec l'enjeu qu'il y avait,
00:10:21je voyais des joueurs
00:10:22à l'arrêt,
00:10:23je voyais des séquences
00:10:24au milieu de terrain
00:10:24où ils avaient le temps
00:10:26de mettre le pied,
00:10:27se mêlent sur le ballon,
00:10:28attendent,
00:10:29se retourner,
00:10:29droite-gauche,
00:10:30très peu de pressing
00:10:31de la part des Ukrainiens
00:10:31d'ailleurs aussi,
00:10:32et revenir en arrière,
00:10:33faire des passes latérales.
00:10:34J'ai trouvé ça catastrophique
00:10:36en termes de jeu.
00:10:36Deuxième période
00:10:37complètement transformée,
00:10:38en parlant dans le conseil de classe,
00:10:39avec des changements de déchamps,
00:10:40et là,
00:10:40il faudra le souligner aussi,
00:10:41qui ont vraiment apporté du jus
00:10:43à cette équipe de France
00:10:44avec des entrées
00:10:45qui ont été déterminantes
00:10:46parce que,
00:10:46mine de rien,
00:10:47il y a le but de papé,
00:10:48mais quand est Olysez Marc,
00:10:49on voit sur les images
00:10:50qu'il y a Equitiqué,
00:10:51qu'il y a Kliouj,
00:10:52qu'il y a tous ces jours-là,
00:10:52donc vraiment,
00:10:54je trouve que les changements,
00:10:55le coaching déchamps
00:10:55a vraiment été payant
00:10:58à l'heure de jeu.
00:10:58Giovanni,
00:10:59vous étiez évidemment
00:10:59hier au match,
00:11:00vous entendez,
00:11:02allez on va dire,
00:11:03les griefs
00:11:03de Karim et de Bruno,
00:11:06on va écouter aussi ce,
00:11:07j'imagine,
00:11:07d'Olivier et de Djibril,
00:11:09même si Djibril a aimé
00:11:09la réaction.
00:11:11Vous retenez quoi
00:11:11de cette rencontre ?
00:11:13Parce que,
00:11:13franchement,
00:11:14ça s'est joué en trois temps,
00:11:15la première mi-temps
00:11:16qui était chiante à mourir,
00:11:18et encore je suis poli,
00:11:19la deuxième mi-temps
00:11:20qui était plus spectaculaire
00:11:21avec du mouvement,
00:11:22la calife au bout
00:11:23et la joie,
00:11:24moi j'ai vécu
00:11:25une soirée assez contrastée,
00:11:26je suis content à la fin,
00:11:27mais vous au stade,
00:11:28il y a une ambiance particulière ?
00:11:32Déjà,
00:11:33c'était un contexte particulier,
00:11:35Greg,
00:11:35on en a longuement parlé hier
00:11:36dans l'équipe de Greg,
00:11:38honnêtement,
00:11:38et Bruno qui connaît
00:11:39très très bien
00:11:40le Parc des Princes
00:11:41sur le début de match,
00:11:42peut-être que les joueurs
00:11:43n'y pensaient,
00:11:44je ne sais pas,
00:11:44mais en tout cas,
00:11:44le climat faisait
00:11:46qu'on avait envie
00:11:47de penser à tout
00:11:47sauf au football
00:11:49et la minute de silence,
00:11:51la Marseillaise
00:11:52avait une teneur particulière,
00:11:54donc peut-être
00:11:54que ça conditionne
00:11:56un petit peu.
00:11:57Après,
00:11:57moi ce que je retiens
00:11:58en fait,
00:11:59parce que l'équipe de France
00:12:00est qualifiée
00:12:00pour avoir fait
00:12:01toute la campagne
00:12:02de calife
00:12:02de cette équipe de France,
00:12:04c'est qu'elle a souvent
00:12:04quand même
00:12:05ce même défaut,
00:12:06c'est que c'est une équipe
00:12:07et notamment les joueurs
00:12:08se mettent en mouvement
00:12:10que lorsqu'ils ont
00:12:11le ballon dans les pieds.
00:12:12je déplore,
00:12:14alors peut-être que c'est
00:12:14à cause des conditions physiques,
00:12:16des calendriers,
00:12:17mais je trouve que cette équipe
00:12:18n'est pas assez proactive
00:12:19sans ballon
00:12:20et d'ailleurs,
00:12:22si Michael Olizé,
00:12:22on a beaucoup parlé
00:12:23du fait qu'il soit
00:12:24rentré dans l'axe
00:12:24et ça a tout de suite
00:12:25été mieux,
00:12:26c'est surtout que
00:12:26Équitique et Aklioch
00:12:27notamment ont amené
00:12:28du mouvement.
00:12:29Donc cette équipe,
00:12:30parfois,
00:12:30elle est trop stérile,
00:12:32les joueurs ne prennent pas
00:12:32assez de responsabilités
00:12:33et ne bougent pas assez.
00:12:34c'est ce que je déplore
00:12:35et c'est vraiment
00:12:36le défaut qu'elle a.
00:12:37Il faut déjà
00:12:38avoir du coach Olivier,
00:12:39ça.
00:12:40S'il faut trouver un fautif,
00:12:41on ne fait pas la chasse
00:12:42à l'équipe de France
00:12:43mais effectivement,
00:12:44le fait d'être proactive,
00:12:46ça aide au foot quand même.
00:12:47Et après,
00:12:48être à réaction
00:12:48si vous gagnez les matchs,
00:12:49ça m'ira à la Coupe du Monde.
00:12:51Plutôt des joueurs,
00:12:52moi je suis assez d'accord
00:12:53avec Karim,
00:12:53une fois que Didier Deschamps
00:12:55a fait ses changements,
00:12:56on a quand même vu
00:12:57une vraie différence
00:12:57entre la première
00:12:58et la deuxième mi-temps
00:12:59donc j'ai plutôt envie
00:13:00d'encenser Didier Deschamps
00:13:02sur le match d'hier.
00:13:03C'est ces changements
00:13:04qui amènent
00:13:05un vrai truc.
00:13:07Alors après,
00:13:07si les changements marchent,
00:13:08c'est que votre équipe
00:13:09de départ n'est pas la bonne.
00:13:10Oui,
00:13:10en même temps,
00:13:11sur le terrain,
00:13:12pardon Olivier,
00:13:12mais hier,
00:13:14quand on voit l'attitude
00:13:15d'Olizé,
00:13:15de Manu Coné,
00:13:18ce n'est pas Deschamps
00:13:19qui leur impose
00:13:20de ne pas jouer.
00:13:21On l'a dit,
00:13:21il a mis des créateurs,
00:13:23il a mis des joueurs offensifs.
00:13:23C'était catastrophique.
00:13:25Par contre,
00:13:25Barcola lui vient d'une équipe
00:13:26qui,
00:13:26au Paris-Saint-Germain,
00:13:28le premier quart d'heure,
00:13:30ça rentre dedans.
00:13:31Et lui,
00:13:32la première mi-temps,
00:13:33c'était le seul
00:13:33qui était actif.
00:13:33Et qui a pris ses responsabilités.
00:13:34Qui a porté des choses.
00:13:35En tout cas,
00:13:35moi,
00:13:36c'est ce que j'ai ressenti.
00:13:37Alors,
00:13:37plus on s'approche du Mondial
00:13:38et plus on s'approche
00:13:39de la fin de Didier Deschamps
00:13:41avec l'équipe de France
00:13:42interrogée par nos confrères
00:13:43de TF1 hier soir.
00:13:45Le sélectionneur des Bleus
00:13:47est revenu
00:13:47sur ce qui était
00:13:48peut-être son dernier match
00:13:50sur le sol français.
00:13:51Ça peut surprendre,
00:13:52mais je n'ai pas de nostalgie.
00:13:53Je ne regarde pas encore derrière.
00:13:55Le plus important,
00:13:56c'est le présent
00:13:56et ce qui arrive.
00:13:58Après,
00:13:58oui,
00:13:58probablement,
00:13:59c'était sûrement
00:13:59ma dernière ici ce soir
00:14:00avec les Bleus.
00:14:01Cette qualification
00:14:02met un grand coup
00:14:03de balai au Vieux-Démon.
00:14:04On en a beaucoup parlé
00:14:05dans l'avant-match,
00:14:06surtout pour Didier Deschamps.
00:14:0832 ans après avoir manqué
00:14:09la qualif
00:14:10pour le Mondial 94
00:14:12aux Etats-Unis.
00:14:13Parce que le buzz des Bleus
00:14:14était titulaire
00:14:15lors de la défaite
00:14:15face à la Bulgarie
00:14:16qui avait éliminé
00:14:18les hommes de Gérard Roulier.
00:14:19Alors qu'un match nul suffisait.
00:14:20Donc forcément,
00:14:21ce n'est pas anodin
00:14:22pour lui,
00:14:23une qualification au Mondial.
00:14:25Oui,
00:14:25évidemment,
00:14:26on avait cet objectif-là.
00:14:28On l'a fait,
00:14:29même si ça n'a pas été
00:14:30simple en première mi-temps.
00:14:31Mais je comprends
00:14:33que ce soit logique
00:14:34et normal
00:14:35que l'équipe de France
00:14:36se qualifie.
00:14:38mais voilà,
00:14:39il y a toujours
00:14:40des adversaires.
00:14:42Et aujourd'hui,
00:14:42on a fait ce qui valait.
00:14:43On ne pouvait pas
00:14:44se qualifier avant.
00:14:45Il ne faut pas banaliser.
00:14:46Nous,
00:14:46on ne banalise pas,
00:14:47mais je ne suis pas
00:14:48un grand expressif.
00:14:50Je le reconnais,
00:14:51surtout ici.
00:14:51Après,
00:14:52dans ma vie,
00:14:53peut-être un peu plus,
00:14:53heureusement.
00:14:54Mais voilà,
00:14:56oui,
00:14:56c'est beaucoup de vertier
00:14:57et j'apprécie.
00:14:59Alors,
00:14:59c'est vrai que nous,
00:15:00depuis 2013,
00:15:01on fait un petit peu
00:15:01la fine bouche.
00:15:02On a tendance
00:15:03à banaliser
00:15:04la présence des Bleus
00:15:05à chaque grande compétition.
00:15:07Mais on y est
00:15:07encore une fois.
00:15:08Là,
00:15:08vous m'avez mis
00:15:09un coup de pelle
00:15:10dans la tronche.
00:15:1032 ans,
00:15:11le match où j'avais
00:15:12versé des larmes
00:15:13dans ma chambre
00:15:13parce qu'on ne s'était pas
00:15:14qualifié.
00:15:1432 ans.
00:15:15Bref,
00:15:15là,
00:15:16donc,
00:15:16j'étais content
00:15:16d'aller aux Etats-Unis.
00:15:17Vous aussi,
00:15:18j'imagine.
00:15:18Le zapping de Paul Zeri
00:15:20et puis derrière,
00:15:21Mbappé,
00:15:22400 buts.
00:15:23On en parle.
00:15:23On en parle.
00:15:43Ça, c'est très cool.
00:16:13C'est très, très bien construit.
00:16:13Il était dans un bon équilibre.
00:16:15C'est très cool.
00:16:45dans un bon équilibre.
00:16:47C'est très cool.
00:17:15sa deuxième saison à Donaille-Michel.
00:17:28et s'il y a une chose
00:17:30qui a été critiquée chez lui
00:17:31lors de sa saison de rookie,
00:17:33c'est sa tendance
00:17:33à laisser tomber les ballons.
00:17:35Pour un receveur,
00:17:35c'est jamais bienvenu.
00:17:36Justin Fields
00:17:37laisse venir à lui.
00:17:38la solution.
00:17:39Et oui,
00:17:41John Mechie,
00:17:43son premier touchdown
00:17:43sous ses nouvelles couleurs
00:17:44et les Jets reviennent au contact.
00:17:47Il avait eu du temps,
00:17:48enfin,
00:17:48Justin Fields
00:17:49pour essayer
00:17:50de trouver un receveur.
00:17:50ça, c'est vraiment bien fait.
00:18:03qu'il était un petit peu
00:18:05sur un fil là quand même.
00:18:36voilà,
00:18:37c'est la sifonie !
00:18:40Et il n'y a pas de 3,
00:18:44shows ses mains,
00:18:45let's it go.
00:18:46Et il n'y a pas de 3 ans,
00:18:48on va voir ni faire
00:18:49les gens,
00:18:50les gens,
00:18:51les gens,
00:18:52les gens,
00:18:54les gens,
00:18:55les gens,
00:18:56les gens,
00:18:56les gens,
00:18:58les gens,
00:18:58les gens...
00:19:16Sous-titrage Société Radio-Canada
00:19:46C'est la consécration de sa meilleure saison et donc un sentiment qui doit être très différent pour l'Espagnol aujourd'hui
00:19:54Oui, une sensation d'accomplissement je pense
00:19:56D'autant plus quand on évoque ce qu'il a traversé en début de saison, il s'est exprimé là-dessus hier, Carlos Sincaraz
00:20:16Sous-titrage Société Radio-Canada
00:20:46Sous-titrage Société Radio-Canada
00:20:53C'est parti !
00:21:00Sous-titrage Société Radio-Canada
00:21:07Sous-titrage Société Radio-Canada
00:21:14Sous-titrage Société Radio-Canada
00:21:21Il faut garder son calme dans ce type de circonstances et ce que son équipe arrive à faire compte tenu du contexte
00:21:32Et bien celle-là, cette volée magnifique, il progresse dans cet exercice-là, comme il a su progresser au service
00:21:47Sous-titrage Société Radio-Canada
00:21:50Et Gillespie, en la backcourt, il n'a pas le délil
00:21:53Royce dit, « bon, il me semble qu'il a de prendre un esprit
00:21:56C'est qu'il dit que le bureau est fermé ! »
00:21:57C'est parti !
00:21:58C'est parti !
00:21:59Il se croit où ?
00:22:0115h.
00:22:08Comme maintenant, au moins.
00:22:10Au moins, au moins.
00:22:12La gueule.
00:22:16Pardonne-moi.
00:22:17C'est cher, visse avec boum.
00:22:19Voilà pour ce zapping.
00:22:25Il y aura le pourquoi tout à l'heure.
00:22:26Le pourquoi d'Adrien Courrouble.
00:22:28On va parler du camp de base.
00:22:29Pour l'instant, Didier Chant n'a aucune idée.
00:22:31Où sera le camp de base pour la Coupe du Mont ?
00:22:34Je ne sais pas si vous avez vu.
00:22:35Il y a trois zones.
00:22:36Mais les trois zones, c'est des distances.
00:22:39On sait les possibilités.
00:22:41Mais il y a tellement de surfaces à couvrir.
00:22:45Même dans la même zone.
00:22:48D'une extrême à l'autre.
00:22:49Du sud au nord, de l'est à l'ouest.
00:22:52Ça fait loin.
00:22:53Pour info, il y a de très grandes chances
00:22:55que l'équipe de France joue aux Etats-Unis.
00:22:57Au Mexique, non à priori.
00:22:59Et au Canada non plus, ça sera vraisemblablement aux Etats-Unis.
00:23:01Et a priori, on en parlera.
00:23:03Ils feront ça géographiquement.
00:23:04Tellement le pays est grand.
00:23:05Vous jouerez soit dans l'est du pays, soit sur la côte ouest.
00:23:07Ou au cœur des Etats-Unis.
00:23:09Voici le conseil de classe avec une spéciale Bappé au début.
00:23:12Allons-y.
00:23:12Et on va donc commencer avec Kylian Mbappé, Captain America,
00:23:19comme titrait votre journal ce matin.
00:23:21On va parler également de ses 400 buts.
00:23:23En marrant, il a été double buteur hier.
00:23:25Et oui, à l'image un petit peu de l'équipe de France.
00:23:27Ça a été compliqué en première période.
00:23:29Et puis, il a tout débloqué en seconde période
00:23:31avec un pénalty à la 55e minute transformé d'une panne NK.
00:23:35Son 54e but en bleu.
00:23:37Et puis, le 55e va intervenir après cette action
00:23:40où Equitiqué a frappé, a repoussé le ballon sur lui.
00:23:45Il a aussi offert une passe décisive.
00:23:47Celle du premier but en sélection du go Equitiqué.
00:23:50Donc, un match de patron pour le capitaine des Bleus
00:23:52qui en est désormais à 400 buts dans sa carrière en 537 matchs.
00:23:56Vous pouvez ajouter, c'est pas un détail, 152 passes décisives.
00:23:59Vous observerez aussi que 400 plus 152, c'est supérieur à 537.
00:24:03Donc, il est décisif plus d'une fois par match.
00:24:06Une petite réaction après la rencontre.
00:24:08On lui a parlé d'un éventuel record et de 1000 buts.
00:24:10Il y en a un à 950 et un autre à 900 et quelques.
00:24:13Donc, de buts, 400, ça n'impressionne pas les gens.
00:24:16Si tu veux rester dans l'histoire et rester dans ce cercle
00:24:18qui marque l'histoire, faudra en marquer encore 400 minimum.
00:24:21Mbappé dans le texte.
00:24:22Bon, ce sont des chiffres assez impressionnants quand même.
00:24:25On regarde vos appréciations.
00:24:27C'est un leader pour Karim Benani.
00:24:28Bravo pour Bruno Salomon.
00:24:30Félicitations pour Olivier Bossard.
00:24:31Et à la hauteur de l'événement pour Djibril Sissé.
00:24:33Tout le monde va parler sur Mbappé.
00:24:34On fait une première partie de conseil autour de Kylian Mbappé.
00:24:37Puis, on décortiquera avec les autres joueurs.
00:24:39Djibril vient vous voir en premier, bien sûr, en tant que buteur.
00:24:42Première question très simple.
00:24:44400 buts dans une carrière à 26 ans.
00:24:46Est-ce que c'est impressionnant ou au-delà ?
00:24:48Non, c'est banal.
00:24:50C'est normal, tout le monde fait ça.
00:24:52C'est une folie.
00:24:54Et encore, il n'a que 26 ans et il est déjà à 400.
00:24:57Je pense qu'il ne va peut-être pas mettre 1000 buts parce que c'est beaucoup.
00:25:03Mais 400 à 26 ans, c'est…
00:25:06Ça dépend jusqu'à quel jour.
00:25:07Ça fait beaucoup quand même.
00:25:08Jusqu'à 40 ans.
00:25:09Mais c'est déjà énorme ce qu'il fait.
00:25:12Et oui, bien sûr, impressionné, respect.
00:25:16Et moi, mon appréciation, c'était à la hauteur de l'événement.
00:25:20Parce qu'il fallait gagner.
00:25:22Donc, il faut marquer les buts.
00:25:23Il en a mis deux.
00:25:24Il a été décisif.
00:25:25Il a été, pour moi, celui qui a été un peu le plus dangereux en première mi-temps.
00:25:31Et voilà, il a sorti un match à la hauteur de ce qu'on voulait.
00:25:37Sur les buts, je voudrais votre avis.
00:25:39La palenca, vous l'avez vue dans la course d'élan, vous, ou pas du tout ?
00:25:42Non, non, non.
00:25:43C'est vraiment au dernier moment où on peut reconnaître le geste.
00:25:50Pour moi, ce n'est pas vraiment une palenca.
00:25:51Une palenca, c'est plus le ballon plus haut, plus mort.
00:25:55Mais il la met au fond et c'est ce qu'on lui a demandé.
00:25:57Et le deuxième, tout le monde dit, il est facile.
00:25:59Il y a le contrôle à faire, mais enfin, bon, a priori.
00:26:01Il faut être là, quoi.
00:26:02Il faut être là.
00:26:02Il faut être...
00:26:03La réaction, il faut l'avoir parce que ça vient vite.
00:26:05Le ballon est haut.
00:26:06Il peut être tenté d'avoir un petit rebond.
00:26:10Elle a failli lui toucher la main parce qu'elle touche les deux.
00:26:13Il faut être là.
00:26:13Il faut être présent.
00:26:14On parlait des temps de passage de Kylian Mbappé.
00:26:16Ils sont stratosphériques.
00:26:17400 buts en carrière.
00:26:19On l'a comparé au plus grand.
00:26:21Regardez, déjà en termes de match, il est dans les standards de Lionel Messi.
00:26:24Lionel Messi n'a mis que 12 matchs de moins à atteindre les 400 buts dans sa carrière.
00:26:29Et puis, en termes d'âge, il est en avance sur tout le monde.
00:26:31Sur Messi, sur Cristiano Ronaldo, sur Harry Kane, sur Karim Benzema et sur Thierry Henry.
00:26:35Regardez l'écart entre Kylian Mbappé et Thierry Henry au moment de marquer 400 buts en carrière.
00:26:39Ça signifie quand même quelque chose.
00:26:41Ils sont tous attaquants, sauf Messi quand même.
00:26:43Donc, c'est encore peut-être un peu plus fou.
00:26:45Mais bien sûr qu'il attaque Messi.
00:26:46Mais je mets la petite nuance.
00:26:48C'est phénoménal, évidemment.
00:26:49Là, c'est la cour des très grands.
00:26:51En hockey sur glace, on compte les points, Olivier Gossard.
00:26:53Vous savez, ces points, Bruno adore le hockey, il sait de quoi on parle.
00:26:57Les passes décisives.
00:26:58Là, il aurait donc 552 points en 537 matchs.
00:27:04C'est à peu près n'importe quoi.
00:27:05En fait, il faut juste se poser et admirer ce qu'on a sous les yeux.
00:27:12C'est juste exceptionnel.
00:27:1326 ans, des chiffres incroyables.
00:27:15Parce qu'effectivement, on parle de ses buts.
00:27:17Mais les passes décisives, c'est tout aussi incroyable.
00:27:20On est à plus de 40 buts par saison depuis le début de sa carrière.
00:27:24C'est juste incroyable.
00:27:26On est face à une légende.
00:27:29Et je pense qu'il faut juste savourer au lieu de critiquer.
00:27:31On aime bien critiquer Kylian Mbappé.
00:27:33Franchement, on l'a fait quand c'était nécessaire.
00:27:35Oui, mais là, pas tout le temps.
00:27:38On a souvent été un peu piquant.
00:27:40Mais là, il faut savourer au lieu de critiquer.
00:27:45Ce qu'il fait, c'est juste phénoménal.
00:27:47Et moi, j'aime bien aussi son attitude.
00:27:49Il annonce encore la couleur.
00:27:52Il l'a toujours fait depuis le début.
00:27:53Mais là, il dit qu'il y a encore des records à aller chercher.
00:27:56Et puis, on peut lui faire confiance.
00:27:57Quand on voit la confiance qu'il a envers lui en ce moment.
00:28:02On parlait de Saint-Panenka.
00:28:03Il l'attend parce qu'il est sur un nuage depuis quelques temps.
00:28:07Et je trouve qu'il a même encore pris une autre dimension depuis le mois de septembre.
00:28:11Je le trouve bon dans son body language.
00:28:14Je le trouve bon dans son rôle de capitaine.
00:28:15On ne l'a pas vu longtemps.
00:28:16Ils ne sont restés que trois jours ensemble.
00:28:17Mais je l'ai trouvé bon en conf de presse.
00:28:20Je l'ai trouvé bon sur le terrain.
00:28:21Je l'ai trouvé bon dans son rôle de capitaine.
00:28:23Dans son rôle d'attaquant.
00:28:24Donc, je me pose et j'admire.
00:28:26Karim, il y a aussi quelque chose.
00:28:29C'est que ça peut être aussi une année phénoménale pour lui.
00:28:31Il le sait.
00:28:31Ça peut être, j'anticipe, l'année d'une deuxième coup du monde.
00:28:35L'année du premier ballon d'or.
00:28:36Si ça tourne dans ce sens-là, il n'y aura pas trop de doute a priori.
00:28:40Et on sent qu'il est à nouveau serein.
00:28:43Vous voyez ce que je veux dire par rapport aux turbulences de l'an dernier.
00:28:45Paradoxalement, je pense que ce qui s'est produit pour lui,
00:28:49en dehors de tout Bappé qu'il est et du Real Madrid,
00:28:53la victoire du PSG en Ligue des Champions,
00:28:55le ballon d'or d'Embélé,
00:28:57je pense que quelque part, ça l'est libéré.
00:28:58Ah bon ?
00:28:59D'une pression.
00:29:00Parce qu'en gros, il avait cette pression avec le PSG
00:29:02d'aller chercher cette Ligue des Champions.
00:29:03Il avait cette pression d'aller chercher le ballon d'or en tant que Français
00:29:05parce que c'était le mieux placé sur les cinq dernières années
00:29:08pour aller chercher le ballon d'or.
00:29:09Que ce ne soit pas lui, finalement,
00:29:11qui a porté cette Ligue des Champions au PSG,
00:29:12que ce ne soit pas lui qui soit allé chercher ce ballon d'or,
00:29:15la focale est déplacée sur d'autres joueurs,
00:29:19d'autres équipes,
00:29:20et ça lui laisse le champ libre pour aller faire sa saison.
00:29:23Aujourd'hui, on n'est plus en train de dire
00:29:24« Allez, Bappé, il faut absolument qu'il aille chercher ce ballon d'or,
00:29:26c'est le futur ballon d'or français. »
00:29:27Non, je ne suis plus d'accord.
00:29:28Dembélé l'a eu.
00:29:29Il a débloqué Dembélé ce complexe qu'on avait ces dernières années.
00:29:33Oui, mais nous, mais pas lui.
00:29:35Lui, il est trop ambitieux pour dire « Bravo par amitié,
00:29:40mais les boules de ne pas l'avoir moins. »
00:29:41Bien sûr qu'il a toujours la même envie d'aller chercher la Coupe du Monde,
00:29:43le ballon d'or.
00:29:43Mais ce que je dis, c'est que nous, la pression,
00:29:46on va moins lui mettre aujourd'hui.
00:29:48Et donc ça, il peut me délester de ça, j'en suis persuadé.
00:29:50Donc aujourd'hui, honnêtement, je le vois différent dans son attitude.
00:29:53J'avais juste un truc à ajouter, j'ai vu une anecdote.
00:29:56Lors de ses premières sélections de l'équipe de France,
00:29:58j'avais fait des interviews de Bappé après les matchs.
00:30:00Et il avait mis cinq matchs pour marquer son premier but en sélection.
00:30:02Cinq matchs.
00:30:03Et je me souviens de ma question avant le jour de son cinquième match
00:30:07et de son premier but en équipe de France.
00:30:08Je lui ai dit « Vous l'attendiez avec impatience, ce but ? »
00:30:11Et il avait répondu à cette époque-là.
00:30:13Donc on était en 2017.
00:30:14Il m'avait répondu « Je savais que ça allait arriver. »
00:30:16Et je sais que je vais en marquer d'autres.
00:30:17Et franchement, me dire qu'il en a marqué 55 depuis, depuis 2017,
00:30:22c'est phénoménal.
00:30:23Même si hier, je n'ai pas aimé sa première période.
00:30:25Vous parlez très bien de vous aussi, quand même.
00:30:27Non, non, mais vraiment.
00:30:28Non, mais je plaisante.
00:30:28Non, mais répondez pas.
00:30:29Ça m'avait marqué.
00:30:30Tout va bien.
00:30:30Et vous avez raison.
00:30:31Giovanni.
00:30:32Il n'y en a pas en premier degré un vendredi.
00:30:34Je suis sérieux.
00:30:35Mon cher Giovanni.
00:30:36Le plus dur commence là pour Kylian Mbappé ?
00:30:40Oui, parce que pour moi, avec tout le respect,
00:30:45Djibril, Olivier et Karim ont raison d'insister sur le côté colossal
00:30:49de ce qu'ils viennent réaliser en termes de but,
00:30:52par rapport à l'ambition et par rapport au joueur qu'il veut être.
00:30:55Il est champion du monde en 2018, mais ce n'est pas sa Coupe du Monde.
00:30:58C'est le leader, le capitaine de l'équipe de France.
00:31:00Moi, je pense qu'au contraire, le Ballon d'Or,
00:31:02avec des champions du PSG, ça lui met un peu plus la pression.
00:31:05Et tous ces records qui sont magnifiques doivent être validés par des titres collectifs.
00:31:10Et à mon sens, il prendra une dimension phénoménale
00:31:14s'il remporte une deuxième Coupe du Monde avec l'équipe de France
00:31:17en tant que capitaine, en validant son Ballon d'Or cette année-là,
00:31:20plus que d'empiler les buts.
00:31:21Parce que des buts, comme Karim vient de le rappeler,
00:31:23il en a toujours mis, des titres collectifs, des grands, grands, grands trophées.
00:31:27C'est ce qui l'intéresse le plus, à mon sens.
00:31:29C'est parfait.
00:31:29On va continuer d'en parler.
00:31:30On va écouter l'avis de Bruno.
00:31:31On aura Didier Deschamps via Camille Macailly qui en parlera.
00:31:35Et puis d'autres joueurs également au programme dans ce Conseil de classe.
00:31:38A tout de suite.
00:31:49C'est la suite de l'équipe de Greg.
00:31:51Merci d'être avec nous.
00:31:52On est en plein cœur du Conseil de classe de ce match France-Ukraine.
00:31:54Les Bleus à la Coupe du Monde.
00:31:55On sera aux Etats-Unis.
00:31:56Et ça, ça fait franchement plaisir.
00:31:58Évidemment, on était sur Kylian Mbappé.
00:31:59On va terminer avec Kylian Mbappé
00:32:02avant de parler de Cherki de Lisée
00:32:03ou encore de Kanté et d'Equitiqué.
00:32:05Avec Didier Deschamps, Camille, qui est fan.
00:32:08Toujours fan numéro 1 de son capitaine.
00:32:10Et oui, vous en avez un petit peu parlé en plateau.
00:32:12Si on fait une radiographie de novembre 2024 et novembre 2025,
00:32:16le capitaine des Bleus s'est totalement transformé.
00:32:19Un an après avoir connu quelques tourments
00:32:21qu'il avait éloignés de l'équipe de France,
00:32:23il retrouve les sommets.
00:32:24Didier Deschamps peut dormir tranquille à 7 mois du Mondial.
00:32:27Il a retrouvé son joueur phare au meilleur des moments.
00:32:31Il a retrouvé son meilleur niveau.
00:32:34Mais quand il a eu à prendre le relais,
00:32:38il l'a très bien fait, Kylian.
00:32:39Il respire le bonheur.
00:32:42Ça se voit, ça se ressent,
00:32:44même s'il a connu comme tout joueur,
00:32:46tout Kylian qu'il est.
00:32:47Une période un peu plus compliquée.
00:32:51Mais c'est très bien.
00:32:53Je vous ai toujours dit que l'équipe de France,
00:32:55elle serait toujours plus forte avec Kylian.
00:32:57quand il est à ce niveau-là,
00:33:01pour les adversaires, c'est compliqué.
00:33:03Et puis pour nous, ça vous facilite les choses.
00:33:06En 2025, le Madrilen a marqué les esprits
00:33:10en épousant enfin son rôle de leader,
00:33:13comme le disait Olivier Bossard à la perfection.
00:33:15Et pour son sélectionneur, Kylian Mbappé.
00:33:17C'est panoui aussi dans ce rôle-là désormais.
00:33:21Et puis de toute façon, le brassard,
00:33:22c'était une évidence.
00:33:23Il a cette capacité à fédérer aussi
00:33:26entre les un peu plus jeunes
00:33:28et les un peu plus anciens.
00:33:30Donc il assume totalement ce rôle de capitaine,
00:33:35de leader.
00:33:39Il a écouté, il a appris.
00:33:42Et voilà, c'est pas faire forcément comme les autres,
00:33:46mais c'est Kylian.
00:33:50Alors vous êtes très exigeant avec lui.
00:33:52Lui, il est avec lui-même.
00:33:53Mais il respire le bonheur.
00:33:58Ça se voit, ça se ressent.
00:34:00Voilà pour Didier Deschamps.
00:34:02Bruno, un dernier mot avec vous sur Kylian Mbappé.
00:34:04Alors vous, vous êtes le rabat-joie.
00:34:06Oui.
00:34:06Je vous adore.
00:34:07Vous êtes un peu le tonton ronchon.
00:34:09Pas sûr qu'il atteigne les 900 buts.
00:34:10Il jouera pas jusqu'à 50.
00:34:13Moi, c'est la question que je me pose.
00:34:14On en a parlé un tout petit peu en plateau,
00:34:15mais je vais remettre le contexte.
00:34:16C'est qu'en fait, je ne suis pas sûr qu'il ait cette envie à la Messi ou à la Ronaldo
00:34:21d'aller chercher à 40 piges, des piges justement aux Etats-Unis, aux Emirats.
00:34:27Aux Etats-Unis, vu sa société, vu la marque et son sponsor, peut-être.
00:34:31Mais après, revoir aussi son jeu.
00:34:34Parce qu'à un moment donné, tu ne vas pas être tout en vitesse tout le temps,
00:34:38dans toute ta carrière.
00:34:39Donc, je ne le vois pas atteindre ça.
00:34:42Mais oui, aller chercher des records.
00:34:43De toute façon, pour l'avoir vu au Paris Saint-Germain,
00:34:47c'est un chasseur de records hors pair.
00:34:49Il adore ça.
00:34:50Moi, je trouve d'ailleurs que quelquefois, il se perd là-dedans.
00:34:53Et il en perd un peu de sincérité avec son club.
00:34:56Avec le Paris Saint-Germain, il en a perdu un peu ses objectifs de Ligue des Champions.
00:34:59Et il n'était que sur ses records, records, records.
00:35:02Donc voilà.
00:35:02Moi, j'ai un doute là-dessus.
00:35:03Par contre, il y avait quelque chose qui m'a beaucoup plu hier.
00:35:06C'est sa passe décisive.
00:35:08Moi, j'ai besoin de ça, en fait.
00:35:09J'ai besoin plus de qu'il fasse jouer ses coéquipiers.
00:35:13Il est à 157 passes décisives.
00:35:14Oui, mais en équipe de France, ce n'est pas forcément ça.
00:35:17C'est le meilleur passeur de l'histoire de l'équipe de France.
00:35:20Non, mais moi, je veux qu'il fasse plus jouer son équipe.
00:35:22Très franchement.
00:35:22Ils ont qu'à bouger autour ?
00:35:24Ça, après, c'est à lui aussi.
00:35:25Regardez, c'est une passe décisive que je me fais à moi-même.
00:35:27Dernier tableau.
00:35:28Pour Romain, il en parle les autres joueurs.
00:35:29Vous m'avez fait une passe décisive aussi.
00:35:31Avec plaisir.
00:35:31Justement, c'est par rapport au classement de l'équipe de France.
00:35:34Regardez.
00:35:34Il est déjà le deuxième meilleur buteur de l'histoire des Bleus.
00:35:37Il n'est qu'à deux buts d'Olivier Giroud.
00:35:39Donc, ça risque d'être réglé quand même assez rapidement.
00:35:41Peut-être même à la Coupe du Monde l'été prochain.
00:35:43Et puis, sur les meilleurs passeurs, il est déjà devant.
00:35:45Déjà 34 offrandes pour Kylian Mbappé en Bleu.
00:35:48Il est devant Antoine Griezmann.
00:35:50Merci, Romain.
00:35:50Allez, on enchaîne avec d'autres joueurs.
00:35:52On ne fera pas tour de table sur tous les joueurs.
00:35:55On va choisir au fur et à mesure.
00:35:56On a été plus long sur Mbappé.
00:35:57C'est bien normal.
00:35:58On va parler de Ryan Cherki.
00:35:59Il était placé dans les bonnes dispositions hier soir en meneur de jeu axial par Didier Deschamps.
00:36:04Alors, il s'est proposé.
00:36:05Il a essayé pas mal de choses.
00:36:07Il y a eu du déchet.
00:36:07On le voit, par exemple, sur cette action où il n'arrive pas à combiner.
00:36:10Ici, il s'est fait plaisir en tentant un petit coup du foulard.
00:36:13Ça n'a pas fonctionné non plus.
00:36:14Il a pris sa chance.
00:36:15À l'entrée de la surface, c'est passé au-dessus.
00:36:18Vous allez voir aussi, il fait la différence sur un dribble sur cette action-là.
00:36:22Mais derrière, sa passe est une nouvelle fois interceptée.
00:36:25Il a dribblé aussi ici dans la surface.
00:36:28Cette fois, il pousse un peu trop loin son ballon.
00:36:30C'était un petit peu compliqué pour le joueur de Manchester City.
00:36:33Aucun tir cadré.
00:36:34Alors, il a touché beaucoup de ballons.
00:36:3511 dans la surface adverse.
00:36:36C'est quand même beaucoup.
00:36:38Il n'a pas réussi tous ses dribbles.
00:36:39Il a perdu pas mal de ballons.
00:36:40C'est normal aussi pour un joueur offensif.
00:36:424 dans l'équipe.
00:36:43Didier Deschamps, d'ailleurs, pas tout à fait satisfait de Ryan Cherki.
00:36:46Il l'a reconnu au micro de Giovanni Castaldi et Jérémy Janagro.
00:36:49Ryan a une qualité de passe qui est très importante.
00:36:53Après, je trouve qu'il a décroché un peu tôt.
00:36:56S'il est au même niveau que les deux autres milieux,
00:36:59moi, je préfère qu'il soit plus haut entre les deux lignes.
00:37:02Mais ça peut s'interchanger aussi.
00:37:05La relation technique, ils l'ont.
00:37:08Voilà, on regarde vos appréciations pour Karim Brouillon.
00:37:10Un revoir pour Bruno.
00:37:11En difficulté pour Olivier.
00:37:12En progression pour Djibril.
00:37:13Je fais Olivier et Djibril sur Ryan Cherki.
00:37:15En difficulté, Olivier.
00:37:18Oui, je l'attendais.
00:37:19J'avais vraiment envie de le voir dans cette position numéro 10 en équipe de France.
00:37:22On sait de quoi est capable Ryan Cherki.
00:37:25C'est un petit génie ballon au pied.
00:37:27J'ai été déçu de ce que j'ai vu.
00:37:30Je trouve qu'il n'a pas eu l'influence qu'il devrait avoir sur les autres.
00:37:35Je l'ai trouvé un peu lent parfois.
00:37:37J'ai trouvé que ses replis défensifs n'étaient pas trop présents.
00:37:42Et puis malheureusement pour lui, on a vu la différence.
00:37:45Quand en deuxième mi-temps, on a mis Olizé en numéro 10.
00:37:47Ça a été beaucoup plus fluide.
00:37:49Vous m'avez dit en progression Djibril.
00:37:50Moi, j'ai aussi une question.
00:37:51Est-ce qu'il n'est pas fait pour être super sub pour le moment en équipe de France ?
00:37:54Rentrer, faire mal et aider à la Coupe du Monde.
00:37:56Moi, j'ai mis en progression par rapport à sa situation globale.
00:37:59Pas que sur le match-là.
00:38:01Par rapport à son arrivée à City.
00:38:03Il faut le temps que ça se fasse.
00:38:04Apparemment, Guardiola, ça passe très bien.
00:38:08Donc, il est dans une reconstruction.
00:38:10Et il faut lui laisser le temps.
00:38:11Et c'est pour ça que j'ai mis en construction.
00:38:13C'est clair qu'on n'a pas vu le Cherki qu'on attendait.
00:38:17Virevoltant, qui a des passes aussi.
00:38:22Ou que lui-même a le secret.
00:38:24Mais j'ai envie quand même de rester positif.
00:38:26Et dans son arrivée entre Man City et l'équipe de France,
00:38:32j'ai envie de voir une progression en commun.
00:38:34Voilà pour Ryan Cherki, dont on attendait plus, visiblement.
00:38:38Mais à revoir, évidemment.
00:38:40Et guetter cette position de remplaçant ou titulaire.
00:38:42Peut-être que ça change beaucoup de choses en bleu.
00:38:44On passe à Michael Olizé, alors.
00:38:45Deux matchs dans le match pour Michael Olizé.
00:38:48Hier soir, il a commencé le match à droite.
00:38:50Et il a eu du mal à peser.
00:38:52Il a très peu tenté les 1 contre 1.
00:38:54Il est souvent revenu un petit peu en arrière.
00:38:55On a l'impression qu'il n'a jamais vraiment osé y aller.
00:38:58Il faut reconnaître qu'il était souvent pris à deux.
00:39:00Deux défenseurs aussi.
00:39:02Et puis, dès qu'il est passé dans l'axe, c'était mieux.
00:39:03On voit cette superbe passe pour Hugo Equitiqué.
00:39:07Et puis, vous allez voir également son but.
00:39:09Il va se retrouver dans la surface après une récupération haute de N'Golo Kante.
00:39:13Et là, l'enchaînement est rapide, précis.
00:39:15Et il va donc s'offrir ce but.
00:39:17On va voir les stats de son match.
00:39:19Donc, à Michael Olizé.
00:39:21Trois tirs, deux cadrés, dont un but, bien évidemment.
00:39:24Alors, il n'a pas réussi ses dribbles.
00:39:25L'élié du Bayern de Munich.
00:39:2613 ballons perdus, là aussi.
00:39:28C'est lui qui a obtenu le pénalty transformé par Kylian Mbappé.
00:39:32Et puis, ça note 7 dans l'équipe.
00:39:34Alors, pour Karim et Bruno.
00:39:35Courant alternatif en progression pour Olivier.
00:39:37Bon match pour Djibril.
00:39:38Karim et Bruno.
00:39:39Michael Olizé.
00:39:40Pile et face le match.
00:39:43Métant, bonne, bonne, bonne.
00:39:44Oui, mais je ne peux pas décorréler la prestation d'Olizé de celle de Ryan Cherki.
00:39:49En fait, hier, c'était assez flagrant sur le terrain.
00:39:51Quand je regardais le match et je regardais bien la position de Cherki.
00:39:54Moi aussi, j'étais très curieux de voir le match de Cherki.
00:39:56Après les bonnes entrées qu'ils venaient de faire en Ligue des Champions, notamment avec City.
00:39:59En fait, ils se sont marchés dessus.
00:40:00Ils se sont marchés dessus toute la première période.
00:40:03Il n'a pas joué assez élié ?
00:40:04En fait, ils avaient du mal parce qu'ils étaient tous les deux dans la même zone.
00:40:08Et ça a inhibé les deux.
00:40:10C'est-à-dire qu'à la fois Cherki était brouillon dans ses passes.
00:40:13À la fois, Olizé, je l'ai trouvé très...
00:40:16Oui, mais il aurait pu être élié.
00:40:17On espérait qu'il soit élié.
00:40:18Oui, mais en fait, quand vous avez ce joueur-là qui arrive dans votre zone.
00:40:21Un joueur aussi talentueux que Cherki.
00:40:23Vous ne jouez pas de la même manière.
00:40:24Vous n'avez pas les mêmes repères.
00:40:25Et regardez bien.
00:40:27Dès la sortie de Cherki, à Clébouch, qui n'est pas du tout le même profil.
00:40:30Olizé a tout de suite été rayonnant.
00:40:34Et donc, moi, je m'interroge sur la tactique des champs
00:40:38et sur la possibilité, la faisabilité de faire jouer les deux en même temps.
00:40:41Il y aura Dembélé et Doué.
00:40:43Ou Colomani.
00:40:44Donc, à droite, ça ne sera sans doute pas Olizé.
00:40:45Il lui sera 10.
00:40:46Exactement.
00:40:47Et je pense d'ailleurs que c'est sa meilleure position.
00:40:49Parce que sur les deuxièmes ballons, il est quand même très fort, je trouve, Michael Olizé.
00:40:52Alors que sur le côté droit, bien sûr qu'il peut créer.
00:40:55O'Bajern, il est bon à droite.
00:40:56Oui, mais ce n'est pas le même jeu.
00:40:57Ce n'est pas le même jeu et ce ne sont pas les mêmes joueurs autour.
00:40:59Deux musiciens incapables d'accorder leur instrument sur la première mi-temps.
00:41:04Et effectivement, dès qu'il est dans l'axe, dès qu'on lui laisse des responsabilités.
00:41:07En fait, j'ai l'impression que pour lui, deux artistes, ce n'est pas possible.
00:41:10Il doit être un peu tout seul pour retravailler.
00:41:13Et j'ai bien peur que Cherki devienne le super-sol de cette équipe.
00:41:15Ce n'est pas grave sur une année.
00:41:16Ce n'est pas grave.
00:41:18Il y a un truc qui me...
00:41:20Hier soir, je me suis dit qu'il ne faudrait quand même pas que Cherki se retrouve 27e ou 28e.
00:41:24Je ne sais pas.
00:41:25À se poser la question.
00:41:26Je me rappelle qu'il y a Dembélé, qu'il y a Désiré Doué qui doit revenir.
00:41:30Nous, on a fait les comptes hier.
00:41:31Les trois absents majeurs.
00:41:35On va rajouter Conaté.
00:41:36On a rajouté devant Dembélé et Doué.
00:41:39Plus les 11 là, ça nous faisait 14.
00:41:41Pour nous, hier, c'était les 14 gars sûrs de Deschamps.
00:41:44Je ne vois pas qui est plus fort que lui.
00:41:45Je ne vois pas qui est plus fort que lui, Bruno.
00:41:49Sauf qu'on connaît...
00:41:50Vous connaissez Olivier Deschamps quand il fait une hausse pour partir avec les Boy Scouts.
00:41:56Très honnêtement, s'il l'a en remplaçant d'Olizé en numéro 10, il a deux couverts.
00:42:00Ce qui est sûr, c'est qu'Olizé, tu sens que quand on lui laisse les clés, en lui disant
00:42:03« Allez, vas-y, c'est à toi de conduire », pas de problème.
00:42:06Et on termine avec N'Golo Kanté.
00:42:07C'est très rare qu'il déçoive N'Golo Kanté quand même, même s'il est parti en Arabie Saoudite,
00:42:12un championnat supposément plus faible.
00:42:14Il gagne toujours ses duels.
00:42:15Regardez, là, il y a un Ukrainien qui a cru pouvoir faire un sombrero.
00:42:17Eh ben non.
00:42:18Vous allez voir aussi, on l'a encerclé.
00:42:20Il y a eu une des rares incursions ukrainiennes dans le camp français.
00:42:24Et il va revenir progressivement.
00:42:25Il va permettre aussi à Manu Kone de récupérer le ballon.
00:42:28Une autre action ici, il se fait éliminer.
00:42:30Eh bien, même quand il se fait éliminer, eh ben non, il ne lâche pas.
00:42:32Et il finit par récupérer le ballon.
00:42:35Une véritable sans-sue.
00:42:36Et puis, il y a le deuxième but qui résume tout.
00:42:38Il récupère le ballon très haut.
00:42:40Le ballon lui revient sur le service d'Akliouche.
00:42:42Il s'est rendu, il touche Michael Olizé.
00:42:44Bref, il a tout fait dans ce match N'Golo Kanté.
00:42:46Là aussi, on voit ses stats.
00:42:48104 ballons touchés, c'est énorme.
00:42:49Il a réussi l'essentiel de ses passes, dont 42 dans le dernier tiers.
00:42:52Des passes normalement plus compliquées.
00:42:54Donc, c'est une belle stat.
00:42:55Il a gagné 70% de ses duels.
00:42:57Il a récupéré des ballons.
00:42:58Il a signé une passe décisive.
00:42:59Il a eu 6 dans l'équipe.
00:43:01C'est pas assez.
00:43:01C'est pas assez.
00:43:02Pas trop pour Karim.
00:43:03Solide pour Bruno LLF, sérieux pour Olivier, inoxydable.
00:43:05Djibril, c'est pour vous.
00:43:06Kanté.
00:43:07C'est ce genre de joueur-là que n'importe quel championnat, tant qu'il court, il faut
00:43:11qu'il joue.
00:43:11Tant qu'il n'est pas blessé, qu'il joue, il sera toujours à la hauteur.
00:43:14Et hier, ce qu'il a fait…
00:43:16J'arrive pas à comment on arrive encore à avoir des doutes sur ce joueur-là.
00:43:21C'est ce genre de joueur-là, comme un peu l'Asan Azera à son époque.
00:43:29Tant qu'il court, tant qu'il joue, il sera toujours à la hauteur.
00:43:33Et c'est incroyable ce qu'il a fait hier.
00:43:34C'est une bonne nouvelle alors.
00:43:36C'est une très bonne nouvelle.
00:43:37Je le mettrai pas loin dans la rotation.
00:43:41On parlera du milieu parce qu'il n'y aura pas beaucoup de places à prendre.
00:43:44Sachant que Chouamé est revenu très très fort, on verra bien qui il sera entre Kone, Kanté
00:43:49et Rabiot.
00:43:50Ça va être spectaculaire.
00:43:51On termine avec Hugo Eketiquet.
00:43:52Il fait partie de ceux qui ont certainement marqué des points hier.
00:43:55En tout cas, son entrée en jeu s'est fait ressentir.
00:43:59Il a inscrit son premier but avec les Bleus.
00:44:01Et son impact s'est fait ressentir rapidement.
00:44:03D'abord le poteau.
00:44:04Puis cette initiative sur le deuxième but de Kylian Mbappé.
00:44:08Avant d'être enfin récompensé sur ce 1-2 parfaitement exécuté avec Kylian Mbappé.
00:44:14Pour sa cinquième cape, le voilà qui débloque son compteur.
00:44:17Il réalise un rêve d'enfant.
00:44:19Mais il garde les pieds sur terre comme il l'a expliqué hier soir à Giovanni Castaldi.
00:44:22Dans l'équipe du soir.
00:44:25Comme pour moi, la prestation aussi de l'équipe et mon but, je pense que c'est ma meilleure entrée.
00:44:31Même si j'étais content du dernier match, je pense que j'avais mérité le but.
00:44:35Et aujourd'hui, il est arrivé.
00:44:37Donc non, c'est une satisfaction.
00:44:40Mais voilà, j'ai envie de continuer, de faire plus.
00:44:43Et il y a un deuxième match qui arrive.
00:44:45Et même chez des Reds décevants, le Français se fait remarquer depuis le début de saison.
00:44:49Il compte 6 buts ou de compétition confondus.
00:44:52Sa métamorphose se ressent aussi en bleu.
00:44:55Comme l'explique très bien Rioma Vuba dans notre journal aujourd'hui.
00:44:58J'ai beaucoup aimé son entrée.
00:45:00Il a été très percutant.
00:45:01Il a vraiment osé.
00:45:02Il offre surtout des possibilités différentes.
00:45:04Il est polyvalent, capable de jouer en pointe ou à gauche.
00:45:08Il a d'ailleurs confié hier qu'il était prêt à jouer n'importe où en bleu pour satisfaire Didier Deschamps.
00:45:13Tant que ça lui offre une place dans l'avion pour le prochain mondial.
00:45:16Et évidemment, il rêve d'aller en Amérique.
00:45:18Donc voilà pour Hugo Ekitiquet.
00:45:21Avant le sans abonnement de Tom Chiarabino ou Asmaré, on joue.
00:45:25Voici le survivant.
00:45:29Question de rapidité pour savoir qui démarre.
00:45:32Quel est le prochain adversaire ?
00:45:33Azerbaïdjan.
00:45:33Oui Romain, c'est vous le plus rapide.
00:45:34C'est vous qui commencez.
00:45:36Trouvez-moi les 18 joueurs ayant marqué plus de buts que Kylian Mbappé depuis 99 en 2000.
00:45:43Les 18 joueurs ayant marqué plus de buts que Kylian Mbappé depuis 99 en 2000.
00:45:48Je parle des joueurs qui ont joué en Europe.
00:45:50Bien sûr, il n'y aurait pas des meilleurs buteurs de championnat dont on n'aurait pas toutes les stats.
00:45:54Donc les 18 joueurs qui ont marqué plus de buts que Mbappé depuis 99 en 2000.
00:45:58Il faut avoir joué en Europe.
00:45:59Romain, vous commencez.
00:45:59Plus que 400.
00:46:00C'est ça ?
00:46:01Hein ?
00:46:01Plus que 400.
00:46:03Oui, c'est ça.
00:46:04Non, pas les 55 en équipement.
00:46:05Non, plus que les 400 de Kylian Mbappé.
00:46:08Lionel Messi.
00:46:08Lionel Messi, il est deuxième de ce classement.
00:46:11894.
00:46:12Jibril.
00:46:13Cristiano Ronaldo.
00:46:14Oui, il est le leader.
00:46:16947 buts.
00:46:17Alors, Olivier Bossard.
00:46:19Karim Benzema.
00:46:20Karim Benzema.
00:46:206ème, 500 buts.
00:46:24Bruno, attendez que la caméra soit à vous.
00:46:25Bruno, vous êtes impatients.
00:46:26C'est la radio, ça.
00:46:27Prenez le temps.
00:46:27N'ayez pas peur du blanc.
00:46:28Tout va bien.
00:46:29Bruno Salomon.
00:46:30Lewandowski.
00:46:31Lewandowski, 3ème.
00:46:32703 buts.
00:46:33Karim Benzema.
00:46:34Harry Kane.
00:46:35Harry Kane.
00:46:36487ème.
00:46:38On va aller voir Camille Macalli.
00:46:40Vous n'êtes pas foulée.
00:46:41Vous avez pris tous les faciles.
00:46:42Non, il y en a plein d'autres faciles.
00:46:45Benzema, il y a dit...
00:46:47Mo Salah.
00:46:49Non, il n'y a pas.
00:46:50Mo Salah, il est 19ème.
00:46:52C'est 388.
00:46:54C'est non.
00:46:55Romain.
00:46:56Thierry Henry.
00:46:57Thierry Henry.
00:46:58J'ai un doute.
00:46:59Il n'est pas sûr.
00:46:59Ben, pas depuis 99, 2000.
00:47:01Romain, c'est dehors, ça.
00:47:02Oh l'oh l'oh l'oh.
00:47:02Quelle erreur.
00:47:04Jibril Sissé.
00:47:09Là, tu viens de me...
00:47:11R9.
00:47:13Comment ?
00:47:13R9, Ronaldo.
00:47:15Pas depuis 2ème.
00:47:16Non, ben ouais, non.
00:47:17Olivier Bossard.
00:47:18C'est vrai que j'ai dit.
00:47:18Zlatan.
00:47:20Oui, Ibrahimovic.
00:47:215ème.
00:47:23558.
00:47:24Bruno.
00:47:24Dzeko.
00:47:25Dzeko.
00:47:269ème.
00:47:27453.
00:47:28Karim.
00:47:30Je n'ai pas compris le jeu en fait.
00:47:32Cavani.
00:47:32Cavani.
00:47:33Il est 8ème.
00:47:35461.
00:47:36Olivier.
00:47:37Attendez que la caméra vient à vous.
00:47:38Allez-y.
00:47:40Agüero.
00:47:41Agüero, il est 12ème.
00:47:42428.
00:47:44Bruno.
00:47:46Inzaghi.
00:47:47Parlez plus fort.
00:47:47Inzaghi, pardon.
00:47:48Inzaghi, c'est non.
00:47:51Karim, il faut répondre sinon c'est une victoire d'Olivier Bossard.
00:47:53Et il en a bien besoin pour son compteur victoire.
00:47:56S'il te plaît.
00:47:56Derrière Lewandowski là.
00:47:575.
00:47:58Falcao.
00:48:004, 3, 2, 1.
00:48:01Victoire d'Olivier Bossard.
00:48:02Monsieur Bravo.
00:48:04Alors ?
00:48:04Non, non, non.
00:48:06Il y avait Hulk, 447.
00:48:09Le quatrième, c'est Luis Suarez.
00:48:11Ah oui.
00:48:11574.
00:48:13Neymar.
00:48:14Ouais, Neymar.
00:48:14445.
00:48:16David Villa, 426.
00:48:19Samuel Eto'o, 424.
00:48:22Pierre-Emerick Aubameyang.
00:48:24414.
00:48:25Pourquoi pas Drogba, tiens ?
00:48:26Non, parce que moi.
00:48:27Lukaku, 412.
00:48:30Fred, 410.
00:48:33Aubame, il a combien ?
00:48:34Aubameyang, il a 414 buts.
00:48:36Waouh.
00:48:37Et Untolar, 400 minutes.
00:48:38Fred, le liéx-lionais ?
00:48:40Fred, le liéx-lionais, ouais, c'est incroyable.
00:48:42Et puis derrière, Vandy, Solroy, Shevchenko, Cardozo, Higuain, Drogba, Gomis, Gignac, Falcao, Giroud, Muller et Griezmann.
00:48:49Voilà pour ce classement avec des noms peut-être plus étonnants que d'autres.
00:48:51Bravo Olivier Bossard.
00:48:52Mais quel bonheur Olivier Bossard.
00:48:54Vous voyez, ils sont bien contents pour vous.
00:48:56C'est très fort.
00:48:58Là, tout le monde s'aime, tout le monde est gentil.
00:48:59Ça va être moins le cas maintenant.
00:49:00C'est Tom Chiaravillo.
00:49:01Ça va être acide, tant mieux.
00:49:03C'est sans abonnement.
00:49:04Non, pas lui.
00:49:05Allez, rentre.
00:49:09Je t'ai entendu, Djibril.
00:49:12Il a dit pas lui.
00:49:12Il a dit pas lui.
00:49:12Il a dit pas lui.
00:49:12Il a dit pas lui.
00:49:13Il a dit pas lui.
00:49:14Mais j'aime bien, je le sais, ça.
00:49:15Oui, oui, oui.
00:49:16Ça va tout le monde ?
00:49:17Oui, ça va.
00:49:17Bien.
00:49:18Allez.
00:49:19Bonjour derrière la télé, évidemment.
00:49:20Je suis très jeune.
00:49:22Bon, semaine de trêve internationale.
00:49:24Ça nous a permis de revoir les bleus.
00:49:25C'est bien.
00:49:26Ça a surtout permis à Djibril de revoir des buts.
00:49:28Ça, c'est essentiel quand même.
00:49:29Bon, hier soir, on jouait face à l'Ukraine.
00:49:33Et quand on joue à l'Ukraine, moi, ça me fait toujours penser à 2013.
00:49:35À cet âge-là, Greg avait 37 ans.
00:49:38Son âge qu'il pense avoir dans sa tête aujourd'hui.
00:49:40D'où le sweat.
00:49:41Mais bon.
00:49:42Ouais, ouais, ouais.
00:49:43Je vais aller voir sur Wikipédia.
00:49:44C'est ça.
00:49:452013, c'est aussi l'année où il exposait Stromae.
00:49:47Et 12 ans plus tard, tu as encore des gens qui viennent te dire
00:49:49« Tu sais qu'à l'envers, ça fait Maestro. »
00:49:50Merci, gros.
00:49:51Pôle emploi s'appelle France-Travail.
00:49:53Mais ça, tu dois le savoir aussi, également.
00:49:55Mais ouais.
00:49:56France-Ukraine, ça me ramène toujours à ses qualifications pour la Coupe du Monde.
00:49:592014, le match allé se joue à Kiev.
00:50:02Quelque que Patrick Sébastien surnomme le Tiki-Taka d'Europe.
00:50:05Tellement la passe y est facile.
00:50:07On peut reprocher l'humour un peu beau, mais il s'y connaît un peu en football.
00:50:10Là-bas, on prend 2-0.
00:50:12Un but de Zazulia et un autre de Yarmolenko.
00:50:14On dirait deux mauvais tubes des années 90.
00:50:16Yarmolenko, Yarmolenko.
00:50:17Bref.
00:50:192-0.
00:50:20Alors le calcul est plutôt simple, mais je vais quand même l'expliquer pour Bruno.
00:50:23Pour se qualifier, il faut en mettre trois.
00:50:27Compliqué.
00:50:27Compliqué.
00:50:28Autant dire, tu as autant de chances de passer qu'un tube récent sur Erichanson.
00:50:32Mais la France s'en est remis à son dernier espoir.
00:50:36Non, pas ça, évidemment.
00:50:38Pas ça.
00:50:40Arrêtez en régime.
00:50:41Arrêtez !
00:50:42Voilà, qu'ils sont lourds.
00:50:43Alors, ils s'en remettent évidemment à Mamadou Sako.
00:50:45Eh oui, qui avait mis un doublé ce jour-là.
00:50:47Et je me souviens, j'avais orlé trois fois ce soir-là.
00:50:50Deux fois sur son doublé.
00:50:51Une troisième fois sur sa coupe.
00:50:53Et c'était vraiment des beaux souvenirs.
00:50:56Et derrière ce match, en plus, j'avais vu que c'était le début d'une crise en Ukraine.
00:51:00Genre, ça a mené à la chute du président.
00:51:01L'annexion de la Crimée par la Russie.
00:51:03Et la guerre du Donbass.
00:51:03Ça fait cherper le doublé de Sako, quand même.
00:51:05Mais bon.
00:51:06Tu ne nous ferais pas un petit mot sur le match d'hier, plutôt ?
00:51:08Écoutez, match plutôt plaisant.
00:51:10Victoire 4-0 des Bleus avec un doublé de Mbappé,
00:51:12qui a dédicacé ses deux buts à Aurelsan.
00:51:15Avec un bras d'honneur.
00:51:16On aime le clin d'œil.
00:51:17Kylian, lui, on est donc à 400 buts.
00:51:20Déjà à 26 ans, tranquille.
00:51:21À 26 ans, moi j'avais déjà écrit 500 blagues qui mènent à un procès.
00:51:24Mais bon, ça casse au rythme, mon grand.
00:51:26L'essentiel était ailleurs, hier.
00:51:28Bon, parce que la France est qualifiée pour la Coupe du Monde.
00:51:30C'est ça, l'essentiel.
00:51:31Oui, Greg.
00:51:31Direction les Etats-Unis en 2026.
00:51:34Le pays de l'oncle Sam et aussi de l'oncle bourré.
00:51:37Indice UV 50.
00:51:39Je rappelle quand même que Donald Trump veut interdire le visa aux étrangers en surpoids.
00:51:44Pourquoi vous croyez qu'il y a de Rius au vélo depuis six mois ?
00:51:46Il a pris ses billets depuis un an.
00:51:47Il est un peu stressé.
00:51:49C'est quand même un pays très différent de nous sur la culture, sur le sport.
00:51:53Chez nous, déjà, quand tu fais un five,
00:51:54c'est mal vu de fusiller à bout portant, là-bas.
00:51:57Bref.
00:51:58Après, je ne veux pas rentrer dans les clichés, en plus.
00:52:02Mais bon, un pays qui appelle le football le soccer,
00:52:04déjà, ça me rend un peu fou.
00:52:05C'est comme Michou qui remplace le mot merde par album.
00:52:07Tu vois, non, on ne peut pas tout changer.
00:52:09On a des repères.
00:52:11En tout cas, l'équipe de France ICRS,
00:52:14ça sera la dernière compétition de Didier Deschamps.
00:52:16Allez, les gars, n'hésitez pas à faire des choses un peu improbables
00:52:18pour la dernière, genre 1-1-2.
00:52:20Imagine la tête du coach si ça passe.
00:52:22Ce serait complètement dingue.
00:52:23Moi, j'attends surtout de pied ferme la revanche contre les Argentins.
00:52:27Lionel Messi, en plus, il sera chez lui,
00:52:28qui l'habite à Miami.
00:52:30Ce qui veut dire que son toutou Hulk sera pas loin du tout.
00:52:33Et puis, lui, plus de postes,
00:52:34ça va commencer à ressembler à un chenil, le truc, à force.
00:52:37Mais bon, je vous le dis,
00:52:38on va la prendre, cette revanche.
00:52:40Il faut leur faire passer un message.
00:52:42On est chez nous.
00:52:43Ah non, ça, c'est le communiqué de Chevalier.
00:52:44Ça parle de Chevalier.
00:52:45Je ne fais pas autant de foutre d'orthographe d'habitude.
00:52:47Mais bref, rendez-vous en 2026.
00:52:49T'es chiant.
00:52:52On se quitte avec le programme du week-end ?
00:52:54Le retour du biathlon, peut-être,
00:52:55ce week-end avec Julia Simon,
00:52:57qui ne sera pas là, on le rappelle.
00:52:58Elle a été condamnée à regarder la chaîne L'Equipe.
00:53:00Enfin, les épreuves sur la chaîne L'Equipe.
00:53:03Une peine allégée,
00:53:03puisque Benoît Cosset a été écarté des commentaires, quand même.
00:53:07Julia Simon,
00:53:08qui a écopé d'un mois de suspension
00:53:10pour avoir volé la carte bleue de sa coéquipière
00:53:12et utilisé 2300 euros d'achat en ligne.
00:53:14Pas beau.
00:53:15Je voulais faire pareil avec Romain, je sais.
00:53:17C'est mal, mais heureusement,
00:53:18le paiement n'est pas passé.
00:53:21Bonne ambiance en ce qu'à l'équipe de France de biathlon,
00:53:23puisqu'il y aurait aussi une autre fille,
00:53:24c'est la rumeur,
00:53:24qui aurait déréglé la carabine de l'autre.
00:53:26À tout moment, elle tire sur un pigeon,
00:53:27elle passerait de biathlète à chasseur, finalement.
00:53:30En tout cas,
00:53:30beaucoup de bonnes raisons de regarder le biathlon ce week-end.
00:53:32Merci beaucoup, mon cher Tom Cavalino,
00:53:35pour ce sens d'abonnement.
00:53:37Dans un instant,
00:53:38pourquoi le camp de base est essentiel ?
00:53:40Où vont-ils aller ?
00:53:41Comment ça va se passer ?
00:53:42On se prépare à la Coupe du Monde,
00:53:43on vous dévoile tous les secrets.
00:53:45Et il y aura également le foot.
00:53:46À tout de suite.
00:53:57C'est la suite de l'équipe de Greg.
00:53:59Encore une demi-heure à passer ensemble cette semaine,
00:54:01en ce vendredi soir.
00:54:02On y va tout de suite pour le pourquoi d'Adrien Courreux.
00:54:08Bonsoir, Améa.
00:54:09Bienvenue dans le BG.
00:54:10Merci beaucoup.
00:54:11Ça va bien ?
00:54:12C'est gros parce qu'on est qualifié.
00:54:13Bien sûr.
00:54:14Mais c'est un pourquoi très important quand même.
00:54:15Pourquoi ?
00:54:16Parce que ça va peut-être déterminer
00:54:18notre compétition aux Etats-Unis.
00:54:20On va parler du camp de base, évidemment.
00:54:22Coupe du Monde 2026 aux Etats-Unis.
00:54:23Pourquoi le camp de base est essentiel ?
00:54:25Alors, d'aller Baptiste Bautier,
00:54:26ça fait encore une fois fait plaisir.
00:54:27Il nous a joué un peu l'agent immobilier 2.0.
00:54:30Bienvenue les Bleus.
00:54:30Alors, quand est-ce qu'on connaîtra le camp de base ?
00:54:33Pas tout de suite.
00:54:335 décembre 2025, c'est la date du tirage au sort.
00:54:37On sera tous devant la télé, devant l'équipe de Greg,
00:54:38évidemment, pour suivre le tirage au sort.
00:54:40On déterminera dans quelle zone géographique la France jouera.
00:54:43Ensuite, il y aura une délégation de la Fédération française
00:54:45qui va aller sélectionner, faire une première sélection
00:54:48de camp de base.
00:54:49Et ensuite, le staff de l'équipe de France,
00:54:52et donc Didier Deschamps,
00:54:53va se déplacer pour sélectionner,
00:54:55dans cette sélection,
00:54:56le camp de base idéal.
00:54:58Il aura des champs jusqu'au 9 janvier 2026.
00:55:00C'est la date limite fixée par la FIFA pour trancher.
00:55:03Mais alors, pour l'instant,
00:55:04le sélectionneur, il est comme nous.
00:55:05Il n'a aucune idée d'où il va aller.
00:55:07Je ne sais pas si vous avez vu,
00:55:10il y a trois zones,
00:55:12mais les trois zones, c'est des distances.
00:55:14On sait les possibilités,
00:55:16mais il y a tellement de surfaces
00:55:18à couvrir,
00:55:21même dans la même zone,
00:55:23d'une extrême à l'autre,
00:55:24du sud au nord, de l'est à l'ouest.
00:55:28Ça fait loin.
00:55:29Alors, il a le choix entre quoi et quoi ?
00:55:31La FIFA a proposé une liste
00:55:33de 65 camps de base
00:55:35et on s'est procuré la carte et la liste.
00:55:37Il y a de quoi faire là-bas.
00:55:37Regardez, ça, c'est tous les camps de base en vert.
00:55:39En rouge, c'est les villes hautes
00:55:39qui seront aussi camps de base.
00:55:41En blanc, c'est seulement les villes hautes.
00:55:42Mais ça pourrait, par exemple,
00:55:43nous amener du côté de Santa Barbara,
00:55:45en Californie.
00:55:46Regardez, c'est un vrai camp de base
00:55:47sélectionné par la FIFA.
00:55:49Très joli.
00:55:49Il y a aussi Philadelphie,
00:55:50en Pelsilloï, par exemple.
00:55:51Ce stade-là, c'est joli.
00:55:53Et puis aussi, si jamais il y a besoin
00:55:54d'un terrain d'entraînement par joueur,
00:55:56il y a aussi l'Arizona,
00:55:57c'est aussi la camp de base
00:55:58qui a été sélectionnée.
00:55:59En tout cas, tout ça, c'est disponible
00:56:01sur le site de la FIFA.
00:56:02La FIFA qui va prendre 33% sur la facture.
00:56:04C'est plutôt sympa de la part de la FIFA
00:56:06qui participera donc à la facture.
00:56:08C'est extraordinaire.
00:56:09Il va y avoir de la visite.
00:56:10C'est super parce que Didier Deschamps
00:56:12va pouvoir se faire un petit road trip
00:56:14du côté des Etats-Unis,
00:56:15comme se souvient un ancien sélectionneur,
00:56:17Raymond Domenech, notre Raymond Domenech,
00:56:18qui lui dit vraiment quelque chose.
00:56:20Profitez de ce road trip.
00:56:22J'ai visité toutes les villes de l'Allemagne.
00:56:24L'Afrique du Sud, c'est le meilleur moment
00:56:26de ma période en 2010 avec l'Afrique du Sud.
00:56:29C'est quand on a visité toutes les régions.
00:56:32Et là, c'est un beau pays, je dois reconnaître.
00:56:34Mais c'est du temps perdu pour un sélectionneur.
00:56:36Et puis c'est bien pour nous aussi
00:56:37parce que quelque part, c'est un vrai feuilleton
00:56:39de savoir où sera le camp de base des bleus.
00:56:41La preuve, on en fait un pourquoi.
00:56:42Les plus grandes émissions du PAF
00:56:44en font leur beurre sur le camp de base.
00:56:46Il y a d'autres résidences, une autre option
00:56:49qui était historiquement, j'ai envie de dire,
00:56:50le choix numéro un de l'Italie.
00:56:52Vous savez que l'Italie ne participera pas
00:56:53à la Coupe du Monde.
00:56:53Du coup, l'équipe de France s'est rapatriée dessus.
00:56:56Il s'agit du resort Al Messila
00:56:58qui lui se trouve à, allez, on va dire
00:57:0010 minutes du centre-ville de Doha.
00:57:03C'est un immense palace
00:57:04au cœur d'un immense jardin également.
00:57:06On parle de 13 000 m2
00:57:08à proximité de l'un des stades,
00:57:09l'Education City.
00:57:11Alors c'est quoi un bon camp de base ?
00:57:13Déjà, le bon camp de base,
00:57:15il faut qu'il soit fermé.
00:57:16Pourquoi ?
00:57:17Parce qu'en 2002,
00:57:18Thibault Lecissé était évidemment témoin.
00:57:20Il n'était pas vraiment fermé,
00:57:21le camp de base des Bleus.
00:57:22C'était du côté de Séoul,
00:57:23Vincent Duc.
00:57:24Il était là, notre journaliste,
00:57:25et il s'en souvient très bien.
00:57:27Le staff de l'équipe de France
00:57:28qui avait le même voyage
00:57:29que la presse avait décidé
00:57:30que les journalistes
00:57:31et l'équipe de France
00:57:32seraient au même endroit.
00:57:33Alors effectivement,
00:57:34les joueurs de l'équipe de France
00:57:35étaient sur une aile particulière,
00:57:37du Sheraton.
00:57:38Mais dans la réalité,
00:57:39on se voyait tous les matins
00:57:39au petit déjeuner,
00:57:40ou presque.
00:57:41On se voyait le soir au café.
00:57:42On se voyait le soir
00:57:43parfois au casino
00:57:45pour certains d'entre eux.
00:57:46Certains les voyaient également
00:57:48en boîte de nuit.
00:57:49Donc, ce n'était pas l'idéal
00:57:50pour qu'un groupe
00:57:51vive tranquillement
00:57:52et pour que tout soit calme
00:57:55à un moment où Internet
00:57:56venait d'arriver
00:57:57et où la moindre information
00:57:58du coup devenait un enjeu.
00:58:00François Monnardo,
00:58:01il était juste au café.
00:58:02Je vous rassure,
00:58:02je vais faire un teasing.
00:58:03Même pas.
00:58:04J'ai brûlé.
00:58:04Il ne boit pas de café.
00:58:05Il va nous confirmer les...
00:58:06Ah là, il ne boit pas de café.
00:58:07Il ne va quand même nous confirmer.
00:58:09Il ne va pas nous confirmer
00:58:10un petit café,
00:58:11mais il va nous confirmer
00:58:12peut-être le casino.
00:58:13Pardon.
00:58:13Je vous ai coupé,
00:58:14mais je vous garde sous la main.
00:58:15Il y avait ce qu'il y avait.
00:58:16L'ancien responsable communication
00:58:18de l'équipe de France,
00:58:19François Monnardo,
00:58:19il disait ça en 2018
00:58:21à l'AFP.
00:58:22Il parlait du camp de base 2010.
00:58:23Il faut trouver un juste équilibre.
00:58:24Il ne faut pas que ça soit ouvert
00:58:25à tous, à tous les vents,
00:58:26ni complètement cloisonné.
00:58:28En 2010, il y avait eu
00:58:28un problème d'attribution
00:58:29du centre d'entraînement.
00:58:30On devait parcourir
00:58:314 km sur une route
00:58:32privée pour le rejoindre
00:58:33et on restait toujours
00:58:34sur le même plateau.
00:58:35ça participait
00:58:36à cet environnement fermé.
00:58:37Ce n'était pas bon
00:58:38pour la performance.
00:58:39C'était même hanté
00:58:40par la défaite.
00:58:41Il s'en souvient très bien
00:58:42Raymond Domenech
00:58:42qui l'a mal senti
00:58:43de son entraînement.
00:58:44Il n'y avait rien
00:58:45qui se sentait bon.
00:58:47Il n'y avait rien
00:58:47qui donnait l'impression
00:58:49que je fonctionne au feeling
00:58:51et là, je ne sentais rien,
00:58:53rien du tout.
00:58:54Je l'ai pris par défaut.
00:58:56Alors, il aurait dû
00:58:56fier à son instinct,
00:58:57Raymond Qui,
00:58:58hier, a annoncé
00:58:59la bonne minute
00:58:59de sortie de Cherki
00:59:00en direct dans le déjeu
00:59:01avant le match.
00:59:02Il a un très bon instinct
00:59:03et il avait également
00:59:04prouvé en 2006
00:59:05lorsqu'il arrive
00:59:06pour visiter le camp de base,
00:59:07il n'a même pas eu besoin
00:59:08de rentrer dans l'hôtel.
00:59:09J'ai dit à tout le monde,
00:59:10j'ai dit,
00:59:11ne cherchez pas ça là
00:59:11parce qu'il y a quelque chose
00:59:12qui...
00:59:13On respire quelque chose
00:59:14de différent,
00:59:15on sent quelque chose
00:59:16de différent,
00:59:16on sent l'atmosphère.
00:59:17Il y a un lieu
00:59:18qui respire la réussite,
00:59:20le succès,
00:59:21quelque chose
00:59:22qui va bien se passer.
00:59:23C'est clair.
00:59:24Et celui-là,
00:59:25il l'avait,
00:59:26je vous dis.
00:59:26En arrivant,
00:59:27j'ai dit,
00:59:27c'est celui-là
00:59:28et de ne chercher plus d'autres.
00:59:29Il faut quand même
00:59:30que ce soit,
00:59:31comment dire,
00:59:31confortable.
00:59:32Pas trop non plus
00:59:32parce que c'est aussi
00:59:33un enjeu politique
00:59:34et les politiques,
00:59:35évidemment,
00:59:35surveillent attentivement.
00:59:37En 2010,
00:59:37lorsque le choix est annoncé,
00:59:38Ramayad,
00:59:39qui est secrétaire général,
00:59:40dit cela,
00:59:41je n'aurais pas choisi cet hôtel.
00:59:42L'Espagne, par exemple,
00:59:43a choisi un campus universitaire.
00:59:45J'attends que l'équipe de France
00:59:46nous éblouisse
00:59:46par ses résultats
00:59:47plutôt que par le clinquant
00:59:48des hôtels.
00:59:49Moi, je les ai appelés
00:59:49à la décence
00:59:50en temps de crise.
00:59:51Ça, c'est la petite leçon
00:59:52des politiques
00:59:52mais quand il y a
00:59:53grosse performance,
00:59:54évidemment,
00:59:54il n'y a pas de problème.
00:59:55Exemple, en 2022,
00:59:56avec le choix
00:59:57du camp de base au Qatar
00:59:58qui était absolument
00:59:59magnifique.
01:00:00Manger au cœur
01:00:01du spectaculaire
01:00:02Al-Messila Resort
01:00:03de Doha
01:00:04où les bleus ont passé
01:00:04cinq semaines
01:00:05dans un hôtel
01:00:06entièrement privatisé
01:00:08avec, évidemment,
01:00:09la piscine bleue
01:00:10aux couleurs
01:00:10de l'équipe de France.
01:00:11Évidemment,
01:00:11c'est quand même magnifique
01:00:12cette piscine.
01:00:12Vous connaissez
01:00:12des piscines rouges, vous ?
01:00:13Il n'y a pas que ça.
01:00:14Non, mais le bleu
01:00:15est particulièrement soigné,
01:00:16je trouve,
01:00:17dans cet hôtel
01:00:17avec, à l'intérieur,
01:00:18à l'extérieur,
01:00:19évidemment,
01:00:20décoration qu'à l'arrière
01:00:21et le petit salon de massage,
01:00:22la salle de musculation,
01:00:23du squash,
01:00:24du paddle aussi,
01:00:25ça c'est pour vous
01:00:25avec ses avant-vies.
01:00:26Bref, c'est absolument magnifique.
01:00:28En 2018,
01:00:29quand on gagne en Russie,
01:00:30le choix était bon ou pas ?
01:00:31Alors oui,
01:00:32même s'il était un peu perdu
01:00:33dans la campagne russe,
01:00:34notre envoyée spéciale
01:00:35de l'époque,
01:00:36Anne-Sophie Bernadine,
01:00:36elle s'en souvient bien,
01:00:37elle a gardé de bons souvenirs
01:00:38justement de ce choix
01:00:39de camp de base.
01:00:47Les conditions
01:00:51ne sont pas idéales
01:00:52mais on va y arriver.
01:01:03Après 15 minutes
01:01:04de voiture,
01:01:05on distingue enfin
01:01:06le terrain d'entraînement
01:01:07des Bleus
01:01:07avec ses quatre pylônes,
01:01:09le stade Glebowets,
01:01:11perdu,
01:01:11il faut le dire,
01:01:12au milieu de nulle part.
01:01:13Et à Istra,
01:01:14comme à Neissna,
01:01:15les joueurs étaient
01:01:16très isolés
01:01:16des journalistes
01:01:17qui poussent
01:01:17Vincent Duluc
01:01:18à une conclusion.
01:01:20C'est ce qui montre
01:01:20que c'est les ressorts
01:01:21collectifs d'une équipe
01:01:22qui comptent
01:01:23plutôt que l'endroit
01:01:24où il se prépare.
01:01:25Parce qu'isoler du monde,
01:01:26ça a exactement été
01:01:27la recette en 2006,
01:01:28en 2018
01:01:29et ça a marché.
01:01:29Et isoler du monde,
01:01:31en 2010,
01:01:31ça n'a pas marché
01:01:32parce que livrer eux-mêmes,
01:01:33couper du monde
01:01:34est la réalité,
01:01:35les joueurs d'équipe de France
01:01:36soient allés dans le mur.
01:01:37La question de l'œuf ou la poule
01:01:38et je vais vous laisser avec ça,
01:01:39est-ce que c'est le camp de base
01:01:40qui fait la performance
01:01:41ou est-ce que c'est la performance
01:01:42qui fait le camp de base ?
01:01:43Merci,
01:01:44merci à Arthur et Baptiste
01:01:46qui vous ont aidé.
01:01:47J'y vais vous voir en premier.
01:01:48Alors déjà,
01:01:49avant de parler
01:01:49du futur camp de base,
01:01:51on va revenir évidemment
01:01:52à la nécessité.
01:01:54Alors,
01:01:54on va revenir
01:01:55sur 2002,
01:01:57tiens,
01:01:57comme ça.
01:01:58Vous avez gagné
01:01:59au casino ou pas ?
01:02:00Je ne suis pas allé.
01:02:02Vraiment ?
01:02:02Et honnêtement,
01:02:03c'est maintenant
01:02:03qu'on vient d'en parler
01:02:04avec Olivier
01:02:04et ça m'est revenu
01:02:06qu'il y avait plusieurs ailes
01:02:08dans l'hôtel
01:02:09et nous,
01:02:10on n'était pas dans cette aile-là
01:02:11et il y avait effectivement
01:02:12une boîte
01:02:13et un casino
01:02:14mais c'est vraiment,
01:02:15c'est maintenant
01:02:15que je me rappelle.
01:02:18Je vous crois.
01:02:19Je tiens à dire
01:02:20que Gibri,
01:02:20il est toujours honnête.
01:02:21En tout cas,
01:02:21quand il est à la télévision
01:02:22avec moi,
01:02:23il est toujours honnête
01:02:23et ça,
01:02:24je ne sais pas.
01:02:24J'assume toutes les bêtises.
01:02:25Mais il assume ses bêtises
01:02:26en général.
01:02:28Ça compte ou pas ?
01:02:29Est-ce que là,
01:02:30alors on sait qu'aux Etats-Unis,
01:02:31vous connaissez très bien,
01:02:32avec le nombre d'universités,
01:02:34j'allais même dire
01:02:35le nombre de lycées
01:02:36où les terrains de sport
01:02:37et les équipements
01:02:38sont phénoménaux,
01:02:40c'est-à-dire qu'il y a
01:02:40des universités
01:02:40qui ont des stades
01:02:41et des tribunes
01:02:42et des camps d'entraînement
01:02:43bien supérieurs
01:02:44à des clubs de Ligue 1,
01:02:45ça sera facile
01:02:46de trouver le bon endroit ?
01:02:47Oui,
01:02:48avec le nombre
01:02:49de stades
01:02:52et d'universités
01:02:53comme vous venez de le dire.
01:02:54Ils sont quoi ?
01:02:55Du luxe ?
01:02:55Du spartiate ?
01:02:56Non,
01:02:56je pense qu'il faut
01:02:57une bonne entente
01:03:00dans le groupe
01:03:00et pour moi,
01:03:01pour répondre à la question,
01:03:02c'est les performances
01:03:03qui font que tu vis bien
01:03:06et que l'endroit
01:03:07où tu vis devient cool.
01:03:09Tu peux être
01:03:09dans le plus bel hôtel
01:03:10mais si tu prends
01:03:11des roustes
01:03:11tous les matchs,
01:03:13ça va être compliqué.
01:03:14Oui,
01:03:15c'est certain.
01:03:15Bruno,
01:03:16on avait vu
01:03:17que le Paris Saint-Germain
01:03:17aux Etats-Unis,
01:03:18c'est pour ça
01:03:18que je pense au PSG,
01:03:20voilà,
01:03:20ils avaient eu un court de bas,
01:03:21ils avaient choisi,
01:03:21ils avaient bougé,
01:03:22ils avaient vécu leur vie,
01:03:24ils avaient été plutôt contents
01:03:25de ce qui se passait
01:03:25en installation là-bas ?
01:03:26Ils en sont,
01:03:27franchement,
01:03:28pour en avoir discuté
01:03:28avec des dirigeants,
01:03:29ils s'en sont ravis,
01:03:30c'est-à-dire qu'ils ont passé
01:03:3110-12 jours sur Irvine,
01:03:33donc c'est dans la banlieue
01:03:35de Los Angeles,
01:03:35alors Los Angeles est immense
01:03:36bien évidemment,
01:03:37c'est au sud de Los Angeles,
01:03:39les joueurs pouvaient se balader
01:03:41sur le campus,
01:03:41croiser les étudiants,
01:03:43ils allaient au terrain
01:03:44très tranquillement,
01:03:46après Louis Séninquier
01:03:46était parti dans un espèce
01:03:47de délire.
01:03:48Oui,
01:03:48semi-vacances.
01:03:49Didier Deschamps
01:03:49ne va pas faire la même chose,
01:03:51c'est-à-dire que tu avais
01:03:51le droit de sortir,
01:03:52il fallait rentrer
01:03:52à 8h du matin,
01:03:54tu pouvais même dormir
01:03:54à l'hôtel,
01:03:55tu venais prendre
01:03:57le petit déjeuner
01:03:58avec tes copains
01:03:59et après tu allais t'entraîner
01:04:00parce que les familles
01:04:02étaient venues,
01:04:03mais par contre
01:04:04ils en étaient ravis
01:04:04parce qu'effectivement
01:04:05de nombreux terrains
01:04:06comme on les a vus en photo
01:04:07il y a quelques instants
01:04:08où c'est immense
01:04:09et il y a des plaines magnifiques
01:04:10et effectivement aussi
01:04:11pour les infrastructures
01:04:13hyper modernes
01:04:14et le seul truc
01:04:15si l'équipe de France
01:04:16va à Los Angeles,
01:04:16bon courage,
01:04:17le point noir
01:04:18c'est les bouchons.
01:04:19La circulation
01:04:20c'est un cauchemar.
01:04:21Ils en ont fait des cauchemars
01:04:23pour partir faire des matchs
01:04:24au Rose Bowl et tout,
01:04:25c'était l'enfer intégral.
01:04:26Évidemment,
01:04:27il faut passer par l'autoroute
01:04:28pour aller d'un quartier
01:04:29à l'autre à Los Angeles.
01:04:30Karim,
01:04:31ça c'est pour le côté sportif
01:04:33mais est-ce que sincèrement
01:04:35vous pensez que ça peut influer
01:04:38un endroit
01:04:38avec un bien-être,
01:04:39un bon feeling ?
01:04:40C'est bien ce que disait Raymond.
01:04:41On sait que Raymond
01:04:41il est concentré là-dessus
01:04:42mais avoir un feeling,
01:04:43sentir un endroit,
01:04:44avoir les terrains d'entraînement,
01:04:45ça compte dans votre quotidien.
01:04:47Vous êtes loin de votre famille,
01:04:48vous êtes en compétition,
01:04:49c'est un mois et demi là.
01:04:50Pour avoir couvert
01:04:51deux coupes du monde,
01:04:51on ressent ces choses-là.
01:04:52Alors moi,
01:04:52je n'étais pas à Naïsna,
01:04:53j'ai fait tout sauf Naïsna
01:04:54et tant mieux à l'époque
01:04:56en Afrique du Sud.
01:04:57J'avais fait un détour
01:04:58par Rimero Preto,
01:05:00la ville dans laquelle
01:05:01était l'équipe de France
01:05:03avec ce fameux camp de base
01:05:04en 2014.
01:05:06Et franchement,
01:05:07nous les journalistes,
01:05:08on avait senti
01:05:09quelque chose de sympa.
01:05:11Alors tout était sympa au Brésil,
01:05:12honnêtement,
01:05:12c'était une super coupe du monde
01:05:13mais c'était très chaleureux
01:05:14et la manière dont vous êtes accueillis
01:05:15aussi par les gens autour.
01:05:19Adil Rami a souvent loué
01:05:20l'accueil des Russes,
01:05:22notamment à Istra,
01:05:23même si ça n'est pas assez loin
01:05:25et paumé.
01:05:26Ils avaient été super bien accueillis
01:05:28et ils avaient été vraiment bien
01:05:30parce qu'il y a aussi
01:05:31à un moment donné
01:05:31quand l'équipe de France va loin,
01:05:32les familles qui rejoignent
01:05:34les joueurs
01:05:35et ça c'est un élément important
01:05:36et il faut que eux,
01:05:36les joueurs,
01:05:37puissent accueillir leur famille
01:05:38dans des conditions intéressantes
01:05:40et posées et calmes,
01:05:42peut-être même à l'abri
01:05:43des regards,
01:05:44à l'abri de ce que nous,
01:05:45journalistes,
01:05:45pouvons glaner comme info parfois.
01:05:47Donc oui,
01:05:47franchement,
01:05:48c'est le début d'une aventure
01:05:49de choisir un camp de base
01:05:50et ça je le pense très sincèrement.
01:05:53Donc il va falloir faire
01:05:54le bon choix
01:05:55et l'élément dont parle
01:05:56Bruno pour le terminer,
01:05:58la logistique.
01:05:59Les Etats-Unis,
01:06:00les distances sont hyper larges,
01:06:02hyper vastes
01:06:02donc il faut être vraiment malin
01:06:03dans la manière
01:06:04de choisir ce camp de base.
01:06:05Si je choisis une fresque,
01:06:06Olivier Bossard,
01:06:08il y a le tirage,
01:06:09le 5 décembre,
01:06:09qu'on vivra en direct
01:06:10dans l'équipe de Greg,
01:06:11vous serez avec nous,
01:06:12on vivra ça
01:06:12pour savoir quels sont
01:06:13les adversaires
01:06:14de l'équipe de France.
01:06:15Derrière,
01:06:15il y a le choix du camp de base
01:06:16et puis il y a la liste
01:06:19et puis après,
01:06:19il y a la compète.
01:06:20C'est vraiment...
01:06:21Là, le début, c'est hier,
01:06:22on s'est qualifié
01:06:23puis après, c'est très honnêtement,
01:06:25tirage, camp de base.
01:06:27C'est primordial le camp de base.
01:06:28Alors on ne gagne pas
01:06:29une compétition
01:06:30avec un camp de base.
01:06:30Par contre,
01:06:31on peut perdre une compétition
01:06:32avec un camp de base.
01:06:33On a parlé de celui de 2002
01:06:35qui n'a pas participé
01:06:36au parcours
01:06:37de l'équipe de France.
01:06:39D'ailleurs,
01:06:39je me souviens
01:06:39que le sélectionneur italien
01:06:40avait visité cet hôtel-là.
01:06:42Il était rentré dans le hall,
01:06:43il était ressorti tout de suite
01:06:44en disant
01:06:44c'est net,
01:06:45ce ne sera pas là,
01:06:46c'est impossible.
01:06:47Et on peut aussi citer
01:06:48celui de Budapest
01:06:49à l'Euro 2021
01:06:50en plein Covid.
01:06:52Les joueurs avaient dit
01:06:53qu'ils avaient été
01:06:54complètement fous
01:06:55dans cet hôtel.
01:06:55Ils ne pouvaient pas sortir,
01:06:57il n'y avait pas d'espace vert,
01:06:59il n'y avait pas de lieu
01:06:59de vie commune.
01:07:03Donc c'est primordial.
01:07:04Il faut absolument
01:07:05que la distance soit bonne.
01:07:08On passe quasiment
01:07:0890% de son temps
01:07:10dans la compétition
01:07:11dans ce camp de base.
01:07:14Ça devient un camp de vie.
01:07:14Oui, ça devient un camp de vie.
01:07:16D'ailleurs,
01:07:17c'est Griezmann,
01:07:18Rami qui en parlait
01:07:18et qui disait
01:07:19qu'en Russie,
01:07:20ils aimaient bien
01:07:20se retrouver autour
01:07:22d'un feu de camp
01:07:24le soir
01:07:25pour refaire un petit peu
01:07:26la vie.
01:07:27Donc c'est absolument
01:07:28primordial de bien choisir.
01:07:29J'ai une très bonne nouvelle
01:07:30pour l'équipe de France.
01:07:31Sachez qu'en tant que
01:07:31tête de série,
01:07:32les Bleus ont une priorité
01:07:34sur le choix du camp de base.
01:07:36Ça, c'est bien.
01:07:36C'est cool.
01:07:37C'est-à-dire que si ça leur plaît,
01:07:38ils mettent une option.
01:07:39Comme nous,
01:07:39quand on réserve un truc
01:07:40et qu'on n'a plus qu'il jour
01:07:44pour la direction
01:07:46de l'hippodrome
01:07:47Paris-Vincennes.
01:07:48Vous le savez,
01:07:49à 20h,
01:07:49c'est à toute allure.
01:07:50On va retrouver
01:07:50Marine Costabadi.
01:07:52On est pour le prix
01:07:52de la ville de Fontenay-sous-Bois
01:07:54ce soir.
01:07:54Bonsoir Marine.
01:07:55La vitesse au programme
01:07:57avec une course européenne.
01:08:01Exactement.
01:08:01Bonsoir Greg,
01:08:02bonsoir à tous.
01:08:02Et oui,
01:08:02la vitesse au programme,
01:08:03vous le voyez,
01:08:03la preuve,
01:08:04c'est l'autostart
01:08:04qui est sorti,
01:08:05qui est derrière moi.
01:08:06Cette voiture
01:08:07qui va lâcher les chevaux
01:08:08à environ 50 km heure.
01:08:09Et preuve européenne,
01:08:10en effet,
01:08:11parce que c'est la France
01:08:12face au Danemark,
01:08:13à la Suède,
01:08:14à l'Italie
01:08:14et la Norvège.
01:08:15C'est les nations fortes
01:08:16du trop en Europe.
01:08:17Mais dans les Sulky,
01:08:18ce seront essentiellement
01:08:19des pilotes français
01:08:20parce que les entraîneurs
01:08:21venus de toute l'Europe
01:08:22font plutôt appel
01:08:22à des pilotes
01:08:23qui ont l'expérience
01:08:24de cette piste
01:08:24si sélective de Paris-Vincennes
01:08:26qui en connaissent
01:08:26les moindres pièges.
01:08:28Et parmi eux d'ailleurs,
01:08:28il y aura un driver français
01:08:29sur lequel j'aimerais
01:08:30qu'on mette l'accent.
01:08:31Et j'aimerais bien
01:08:32que vous deviniez
01:08:32qui c'est.
01:08:33Parce qu'il est donc français,
01:08:34parce qu'il est l'un des rares
01:08:35à avoir remporté
01:08:365 prix d'Amérique.
01:08:38Il est normand.
01:08:39Et pour vous donner
01:08:39un indice supplémentaire,
01:08:41lui, il vient de passer
01:08:43les 4000 victoires.
01:08:44Et c'est notre parrain
01:08:46de l'émission
01:08:46à toute allure.
01:08:47On parlait de 400 victoires
01:08:48avec Bappé hier soir.
01:08:49Nous, c'est un pilote
01:08:50qui vient de passer
01:08:50le cap des 5000 victoires.
01:08:52Il est seulement
01:08:52le troisième de l'histoire
01:08:53de ce sport
01:08:54à le passer,
01:08:55ce cap des 4000.
01:08:56Alors, qui est-ce ?
01:08:57A vous de donner la réponse.
01:08:58Vous avez à peu près 10 minutes
01:08:59quand Anne-Sophie Bernadie
01:09:00vient en plateau.
01:09:00J'espère bien
01:09:01que vous aurez la réponse.
01:09:02Comme je vous suis
01:09:03tous les vendredis,
01:09:04je sais que son prénom
01:09:04c'est Franck.
01:09:05Je n'en dis pas plus.
01:09:06On verra ça tout à l'heure
01:09:07à toute allure.
01:09:08Ce sera à 20h.
01:09:09Dans un instant,
01:09:10le foutoir de Camille Macalli.
01:09:12A tout de suite
01:09:12dans le DG.
01:09:24Suite de l'équipe de Greg.
01:09:25Allez, on y va
01:09:25pour un foutoir
01:09:27en compagnie de Camille Macalli.
01:09:32Et on commence ce foutoir
01:09:33avec la grosse surprise.
01:09:34Battu 2-0 en Irlande.
01:09:35Le Portugal,
01:09:36toujours pas qualifié
01:09:37pour la Coupe du Monde.
01:09:38Dans une ambiance survoltée
01:09:39à l'Aleva Stadium,
01:09:40les Portugais ont eu tout faux
01:09:42hier soir à Dublin.
01:09:43A commencer par Cristiano Ronaldo
01:09:45qui a été le symbole
01:09:46de cette soirée cauchemar.
01:09:48Sur un corner de Taylor,
01:09:49Scalès remet de la tête.
01:09:51Parrot qui s'impose
01:09:51dans les airs
01:09:52et Trum Costa 1-0.
01:09:55Break des Irlandais
01:09:56juste avant la pause
01:09:57avec un joli numéro
01:09:58de Troy Parrot
01:09:59qui s'offre un doublé.
01:10:002-0.
01:10:01Et puis, à l'heure de jeu,
01:10:02CR7 voie rouge.
01:10:04Le Portugais
01:10:05adresse
01:10:05un coup de coup
01:10:06violent à Oshie.
01:10:08L'arbitre,
01:10:09M. Neiberg,
01:10:10vérifie les images
01:10:11et expulse
01:10:12Cristiano Ronaldo.
01:10:14Une première expulsion
01:10:15avec sa sélection
01:10:16qui s'est bien fait brancher
01:10:18par les supporters.
01:10:18Vous voyez,
01:10:19c'était très précieux.
01:10:20tout ça pour au final
01:10:23avec cette défaite
01:10:242-0.
01:10:25Le Portugal
01:10:25qui se fait peur
01:10:26et qui devra aller
01:10:27chercher sa calife
01:10:28directement face à l'Arménie
01:10:30dimanche à 15h
01:10:31à suivre sur la chaîne
01:10:32bien sûr.
01:10:33Et puis,
01:10:33ce sera évidemment
01:10:34sans Ronaldo
01:10:35mais qui peut avoir
01:10:36une suspension additionnelle
01:10:38et donc qui pourrait
01:10:39rater potentiellement
01:10:40le début du mondial.
01:10:40Deux matchs de suspension
01:10:41ratera le premier match
01:10:42de la Coupe du Monde.
01:10:43Un mot rapide
01:10:44Karim Benhani.
01:10:45On disait que c'était facile
01:10:46le groupe,
01:10:46la France,
01:10:47le Portugal.
01:10:48Très honnêtement,
01:10:49c'est un très bon exemple
01:10:50je trouve.
01:10:50Oui, après...
01:10:51Le groupe est peut-être
01:10:52plus dur.
01:10:53Plus relevé
01:10:54et franchement,
01:10:55Djibout,
01:10:55t'as déjà joué en Irlande ?
01:10:57Non, j'y étais pas.
01:10:58Oui, c'est ici,
01:10:58une fois, pardon.
01:10:59Honnêtement,
01:11:00même si l'équipe
01:11:00paraît plus faible,
01:11:01c'est pas l'Angleterre.
01:11:03Oui, évidemment,
01:11:05c'est quand même.
01:11:05Enfin, on parle d'une équipe
01:11:06favori numéro un.
01:11:08Bien sûr.
01:11:09Non, mais c'est pour ça
01:11:10qu'en fait,
01:11:11on avait fait ce débat-là,
01:11:13Portugal, Espagne,
01:11:14les favoris
01:11:15pour la prochaine Coupe du Monde.
01:11:16On le refera,
01:11:16je vous le dis tout de suite.
01:11:17En fait, on est tellement loin
01:11:18de...
01:11:19Vous avez dit que c'est demain,
01:11:20mais effectivement,
01:11:21il y a les six prochains mois
01:11:21qui vont s'écouler.
01:11:23Il y a d'autres équipes
01:11:23qui vont arriver en forme.
01:11:24Donc, c'est pour ça,
01:11:25tout est possible,
01:11:26évidemment, aujourd'hui.
01:11:28Ah, mais où est
01:11:28le beau jeu de Roberto Martinez ?
01:11:30Je ne sais pas.
01:11:31Contre l'Irlande,
01:11:31ils font 1-0 à l'aller.
01:11:33Ils se font accrocher
01:11:34vraiment les derniers instants.
01:11:35Et là, ils perdent 2-0.
01:11:37Moi, franchement,
01:11:38elle n'est pas inquiétante.
01:11:40C'est leur première défaite
01:11:40en face à l'élimination directe
01:11:43contre Roberto Martinez.
01:11:44Et Ronaldo ?
01:11:45C'est pas une équipe bizarre.
01:11:46Oui, et puis ils avaient fait
01:11:462-2 contre la Hongrie
01:11:47il n'y a pas longtemps.
01:11:48Et Ronaldo qui se prend
01:11:49ce rouge, c'est dommage
01:11:51parce que la stat,
01:11:51elle était chouette
01:11:52de ne pas avoir pris
01:11:52un seul carton
01:11:53avec l'équipe.
01:11:54Et puis le ouin-ouin
01:11:55et après,
01:11:55il le prend dans les tribunes.
01:11:56C'est le jeu.
01:11:56Vous chambrez,
01:11:57vous êtes chambré,
01:11:58c'est logique, non ?
01:11:59Ça fait partie du jeu.
01:12:01C'est vrai qu'on n'a pas
01:12:02l'habitude de le voir
01:12:03faire ce genre de geste
01:12:06comme quoi,
01:12:06c'est un humain.
01:12:08Il peut en prendre 2,
01:12:08là, des matchs.
01:12:09Oui, s'il prend 2 matchs,
01:12:10je connais bien
01:12:11les cartons rouges,
01:12:11moi, en équipe de France.
01:12:12J'en ai pris un
01:12:13qui m'a coûté l'euro
01:12:14pour un geste un peu pareil
01:12:16mais avec le genou.
01:12:17Et j'ai pris 5 matchs
01:12:18de suspension.
01:12:19Je vous annonce tout de suite,
01:12:20ce ne sera pas le cas.
01:12:23J'en suis pas sûr.
01:12:24Ah bon ?
01:12:24Je ne suis pas si sûr.
01:12:25Parce que le coup de coude,
01:12:26il est vilain.
01:12:27Mais il y a peut-être
01:12:27des enjeux autres, là.
01:12:29Ouais, ben,
01:12:302 ou 3,
01:12:32je mets un billet sur 2 ou 3.
01:12:332 ou 3,
01:12:33c'est 2 matchs du mondial
01:12:34ou un match du mondial
01:12:35qui sauteront.
01:12:36L'Italie,
01:12:37pas encore au mondial,
01:12:38même s'il s'impose
01:12:38sans convaincre en Moldavie.
01:12:39Des Italiens dominateurs
01:12:41mais encore très,
01:12:42très, très poussifs.
01:12:44Il faut attendre
01:12:44la 88e minute
01:12:46pour voir l'Italie
01:12:46débloquer la situation.
01:12:49Centre de Di Marco,
01:12:50Mancini qui place
01:12:51une tête victorieuse.
01:12:53Les anciens tauliers
01:12:54soulagés.
01:12:56Et puis,
01:12:56c'est dans le temps
01:12:57additionnel
01:12:58que l'Italie
01:12:59conforte sa victoire
01:12:59sur un centre
01:13:00d'Esposito
01:13:01qui prend le dessus
01:13:03et place sa tête.
01:13:04Cozucar battu.
01:13:05Scénario dur
01:13:06pour les Moldaves
01:13:07qui avaient bien tenu
01:13:08tout le match.
01:13:09L'Italie retrouvera
01:13:09la Norvège dimanche.
01:13:11Alors,
01:13:11le scénario idéal
01:13:12pour l'Italie,
01:13:13ce serait une victoire
01:13:149-0
01:13:15face à la Norvège
01:13:16d'Allende
01:13:16mais on n'y croit pas
01:13:17beaucoup.
01:13:18Gennaro Gattuso,
01:13:19le sélectionneur
01:13:20de l'Italie,
01:13:20était fier de ses hommes
01:13:21mais très remonté
01:13:22après ses supporters
01:13:23qui avaient fait
01:13:24le déplacement.
01:13:25Les chants en tribune,
01:13:26aller travailler,
01:13:27aller travailler,
01:13:28adresser aux joueurs
01:13:28sont une honte.
01:13:29Je ne les accepte pas,
01:13:31nous devons rester unis,
01:13:32l'équipe se bat sur le terrain,
01:13:33je suis très satisfait,
01:13:34j'ai vu une Italie bien jouée,
01:13:36concentrons-nous
01:13:36sur le travail
01:13:37et allons de l'avant.
01:13:387 sur 7
01:13:39pour l'Angleterre,
01:13:40victorieuse de la Serbie.
01:13:41Les Anglais
01:13:41qui étaient déjà qualifiés
01:13:43ont encore déroulé
01:13:44à Wembley,
01:13:4528ème minute,
01:13:47l'Angleterre
01:13:48marque sur un coup de pied
01:13:49arrêté,
01:13:51Rajkovic sort
01:13:52sur le coufranc
01:13:53de Reis,
01:13:53O'Reilly contrôle
01:13:54et frappe du gauche,
01:13:56sépontré le ballon
01:13:57qui revient sur Saka
01:13:57qui croise parfaitement.
01:14:0114ème but pour Saka
01:14:02en 47 sélections
01:14:03et 90ème minute,
01:14:05l'Angleterre
01:14:05qui enfonce le clou
01:14:06avec ses entrants,
01:14:07contre rapide
01:14:08lancé par Bellingham,
01:14:09Foden qui sert
01:14:09parfaitement aisée,
01:14:11qui nous régale
01:14:12d'un geste parfait,
01:14:13vous le voyez au ralenti.
01:14:14Troisième but
01:14:15en sélection pour lui,
01:14:16une victoire logique
01:14:17et l'Angleterre
01:14:17qui continue d'envoyer
01:14:18un message aussi
01:14:19à ses rivaux.
01:14:20En demi-finale
01:14:21de barrage
01:14:21de la zone Afrique,
01:14:22la République démocratique
01:14:24du Congo
01:14:24élimine le Cameroun.
01:14:26Les Léopards
01:14:26affronteront le Nigeria
01:14:27en finale dimanche.
01:14:29La délivrance
01:14:29est signée
01:14:30d'un pensionnaire
01:14:31de Ligue 1
01:14:32que vous connaissez
01:14:32tous très bien.
01:14:34Je ne vous en dis pas plus,
01:14:35je vous laisse
01:14:35avec les commentaires
01:14:36d'Amza Ramenu.
01:14:40On s'est très bien frappés !
01:14:43Johnson Benbar !
01:14:45Le taulier !
01:14:47Le capitaine !
01:14:49Le duc du 13 !
01:14:50Johnson Benbar !
01:14:52Et on voit
01:14:53la République démocratique
01:14:54du Congo
01:14:55en finale des barrages !
01:14:57Peut-être une dernière occasionnelle ?
01:14:58C'est terminé !
01:14:59C'est terminé !
01:15:00La République démocratique
01:15:02du Congo
01:15:02bat le Cameroun à zéro
01:15:05grâce à Chancel Benbar
01:15:06dans le toit additionnel.
01:15:08La République démocratique
01:15:09du Congo
01:15:10se qualifie
01:15:11pour la finale
01:15:12de ses barrages africains.
01:15:14Ce sera dimanche
01:15:15à 20h
01:15:16face au Nigeria.
01:15:18Et ça va être
01:15:18une finale de barrages
01:15:19extraordinaire.
01:15:20Vous êtes content
01:15:20pour Benbar ?
01:15:21Oui, grand respect.
01:15:22C'est quelqu'un
01:15:23que je connais bien
01:15:23qui a passé
01:15:24des périodes
01:15:25très difficiles
01:15:26et qui, voilà,
01:15:28c'est pas quelqu'un
01:15:28qui veut du mal
01:15:29qui, justement,
01:15:30lui, il est plus
01:15:31dans la paix
01:15:32et franchement,
01:15:33je suis très, très
01:15:34satisfait pour lui.
01:15:35Coupe du monde du 17
01:15:36les bleus qualifiés
01:15:37pour les huitièmes.
01:15:38L'aventure qui se poursuit
01:15:39pour les joueurs
01:15:40de Lionel Ruxelles
01:15:41après cette victoire
01:15:422-0 face à la Colombie
01:15:44au quart d'heure de jeu.
01:15:45Joli mouvement
01:15:45collectif des bleus,
01:15:47camarades décales.
01:15:48Bad Beda
01:15:49centre pour
01:15:49Antoine Valero.
01:15:51Le Marseillais
01:15:52qui ouvre le score
01:15:531-0.
01:15:54La France
01:15:55qui va souffrir
01:15:56ensuite.
01:15:58Mais,
01:15:59grosse libération
01:16:00dans le temps
01:16:01additionnel
01:16:02avec ce contre
01:16:03bien mené
01:16:04et à la conclusion,
01:16:05on retrouve
01:16:06un Parisien,
01:16:07le jeune
01:16:07Pierre
01:16:08Mugengue
01:16:10qui signe
01:16:10une bonne entrée.
01:16:12Hop là !
01:16:132-0.
01:16:14Prochaine étape,
01:16:14ce sera mardi
01:16:15en huitième de finale.
01:16:16Brésil
01:16:17ou Paraguay.
01:16:18Et puis le bonus,
01:16:19un instant promo ?
01:16:20Non, on ne fait pas ?
01:16:21On n'a pas le temps ?
01:16:22On n'a pas le temps.
01:16:22Si on a le temps ?
01:16:23Allez, un instant promo.
01:16:24Encore un programme
01:16:25très alléchant,
01:16:26c'est l'instant promo
01:16:27évidemment de la chaîne
01:16:28Multiplex,
01:16:29très riche ce soir.
01:16:30C'est chez nous !
01:16:3020h45 autour de
01:16:32Mesel Benterki
01:16:33et Olivier Rouillet.
01:16:34Slovaquie,
01:16:34Irlande du Nord,
01:16:36Croatie,
01:16:37Ilferroé
01:16:37qui peut jouer sa calife.
01:16:39Un alléchant,
01:16:39Pologne,
01:16:40Pays-Bas
01:16:40et puis l'Allemagne
01:16:42qui se déplace au Luxembourg
01:16:43avant sa finale
01:16:44face à la Slovaquie
01:16:45et Julian Nagelsmann
01:16:46qui a mis un sacré coup
01:16:47de pression
01:16:48à Leroy Sané.
01:16:49Écoutez.
01:16:52Nous voulons préciser
01:16:53qu'une sélection
01:16:54n'est pas un passe-droit
01:16:55et que certaines choses
01:16:56sont attendues.
01:16:57Le plus important,
01:16:58c'est que j'en ai discuté
01:16:59au préalable avec Leroy
01:17:00et je lui ai dit
01:17:00que j'aborderais
01:17:01le sujet publiquement.
01:17:02Je ne l'ai pas fait
01:17:03sur un coup de tête
01:17:03ou de ma propre initiative.
01:17:05C'était convenu avec lui.
01:17:06Également pour signaler,
01:17:07après la réaction très négative,
01:17:09qu'il est mis au défi.
01:17:10Il n'a rien à me prouver,
01:17:11je sais de quoi il est capable.
01:17:13Je veux simplement
01:17:13qu'il monte sur le terrain
01:17:14ce dont il est capable.
01:17:17Voilà pour Nagelsmann.
01:17:19Très jolie langue.
01:17:20Vraiment,
01:17:20c'est très mélodieux.
01:17:21Elle est mélodieuse également.
01:17:23Voici Anne-Sophie Bernadie.
01:17:24C'est sa montée.
01:17:25Magnifique.
01:17:27On a tout à l'heure.
01:17:27C'était pas mal
01:17:28les images en 2018, là.
01:17:30Vous étiez très...
01:17:30Alors, je vais vous dire,
01:17:31dans ce petit sentier russe, là,
01:17:33vous étiez très, très à l'aise.
01:17:34On était très à l'aise, oui.
01:17:36Vous avez trouvé le driver
01:17:37que vous avez deviné,
01:17:38Marine Chabadi ?
01:17:38Bien sûr.
01:17:39Je l'avais écrit tout à l'heure
01:17:40sur les notes.
01:17:40Franck Nibar.
01:17:41Franck Nibar.
01:17:42Un point pour Camille.
01:17:43J'ai l'impression
01:17:43que vous êtes meilleure
01:17:44en foot, quand même.
01:17:44Ça, c'est sûr.
01:17:45Alors, ça, je vais vous dire.
01:17:46Il y a deux semaines...
01:17:47Sauf Olivier Bossard.
01:17:48Mais oui.
01:17:48Non, Bruno Salomon joue au Dada.
01:17:50Olivier, il a gagné le jeu.
01:17:51Merci.
01:17:52C'est beau, ça.
01:17:53Je suis de l'émission.
01:17:54Je suis de l'émission.
01:17:55Vous êtes la meilleure.
01:17:56Il y a deux semaines,
01:17:56Georgino Rutter,
01:17:57il est avec nous dans l'émission
01:17:58parce qu'il a des chevaux.
01:17:59Donc, on avait pu parler avec lui.
01:18:00On a la réaction
01:18:01de ce qu'il a fait ce week-end,
01:18:02de ce que ses chevaux ont fait.
01:18:03La façon dont il a suivi ça,
01:18:05ça vaut le détour.
01:18:06Bon, à toute allure,
01:18:07votre rendez-vous hippique,
01:18:08c'est là, dès maintenant.
01:18:09Et puis derrière,
01:18:10soirée Multiplex Qualifiers,
01:18:11qualification pour la Coupe du Monde,
01:18:13Luxembourg, Allemagne,
01:18:14Pologne, Pays-Bas,
01:18:15Croatie, Île-Ferroë
01:18:16et Slovaquie, Irlande.
01:18:18Dans la foulée,
01:18:1924 minutes chrono,
01:18:20aux manettes,
01:18:21Olivier Bénard
01:18:21pour l'équipe du soir
01:18:22dans la foulée,
01:18:23Messiaud Ben Terki,
01:18:24maintenant Olivier Rouillet
01:18:25en consultant.
01:18:26Belle soirée foot
01:18:26sur la chaîne d'équipe
01:18:27et à lundi,
01:18:2818h30.
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