C'est Votre Avenir - Émission du 13 novembre - Vidéo Dailymotion

Sud Radio

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Transcript

00:0016h17, Sud Radio, c'est votre avenir, Alexandre Delovane.

00:05Bonjour à tous et bienvenue dans C'est Votre Avenir.

00:08Alors, il y a dix ans, jour pour jour, notre pays s'est arrêté.

00:12Et oui, le 13 novembre 2015, marqué à jamais nos mémoires collectives.

00:16Une nuit d'effroi, d'incompréhension, mais aussi au-delà du chaos, une immense vague d'humanité.

00:23Alors, dix ans plus tard, ces mémoires s'inscrivent dans nos corps, dans nos émotions, mais dans nos silences aussi.

00:30Alors, aujourd'hui, en ouvrant cette émission, j'aimerais qu'on prenne ensemble un instant de silence intérieur.

00:36Et je vous propose à tous d'offrir de la lumière à ceux qui a été blessés.

00:40Parce que la résilience, c'est aussi une forme de clairvoyance.

00:44C'est celle de voir la beauté qui est renaît, celle d'entendre à nouveau le souffle de la vie, là où tout semblait s'être arrêté.

00:53Et comme avec certains témoignages que j'ai à l'antenne tous les jours,

00:58mais aussi de vos échanges, de vos expériences vécues ensemble.

01:03Et durant cette heure, on va parler de vos histoires, de vos émotions, d'amour, d'intuition, de conscience,

01:10et aussi de certains traumatismes vécus.

01:13Et c'est tout de suite dans C'est Votre Avenir.

01:16Sud Radio, c'est votre avenir. Alexandre Delovane.

01:20Et j'ai le plaisir d'accueillir mon premier auditeur, Geoffroy.

01:23Bonjour Geoffroy.

01:25Bonjour Alexandre.

01:26Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.

01:28Merci de m'accueillir.

01:30Merci à vous. Vous nous appelez des Deux Sèvres.

01:34Oui.

01:34Et aujourd'hui, une journée un peu spéciale.

01:37Il y a dix ans de ça, on était un petit peu dans le chaos, toute la France.

01:41On était tous bousculés et perturbés par ce qui est arrivé.

01:45Est-ce que vous, vous avez été marqué aussi par cet événement-là ?

01:50Alors, pas de proche, on va dire.

01:54Après, moi, je l'ai appris surtout le lendemain, avec un peu d'effroi,

01:59lors d'un déplacement avec une équipe de basket féminine au niveau national.

02:03Et on partait en déplacement.

02:05Et là, les informations tombaient au fur et à mesure.

02:08Et là, on s'est dit, mais on ne va pas pouvoir jouer.

02:10Enfin, voilà, c'est quand même un truc de fou qui se passe.

02:14Et quelques heures ont suivi.

02:15Et la Fédération Française de Basketball avait décidé de tout annuler toutes les rencontres du week-end

02:22par rapport à ce drame qui s'était passé sur la région parisienne.

02:27Voilà.

02:27Donc, c'est en mémoire.

02:29C'est vrai que je m'en suis rappelé hier soir,

02:32de dire où j'étais, comment ça s'est passé à ce moment-là.

02:35Et que je me suis dit, voilà comment j'ai appris et vécu le moment.

02:40Exactement.

02:42Effectivement, malheureusement, c'est un souvenir qu'on ne peut jamais oublier,

02:48si on appelle ça d'un souvenir.

02:49Mais en tous les cas, un événement qui a marqué

02:52et qui restera toujours dans les mémoires de notre histoire, tout au moins.

02:58Geoffroy, aujourd'hui, vous vous appelez parce que vous avez des questionnements

03:03concernant votre vie professionnelle ?

03:06Voilà, oui. J'ai décidé d'arrêter mon métier actuel l'année prochaine,

03:11le 31 décembre 2026, et de repartir dans une nouvelle aventure en 2027.

03:18Aujourd'hui, je suis maraîcher bio.

03:19Et là, après, je vais prendre un nouveau virage, on va dire, dans ma vie professionnelle.

03:27Je souhaiterais montrer une épicerie ambulante vrac en bio.

03:29Et voilà, avec toutes mes incertitudes du moment, parce que voilà, après la décision,

03:36après l'envie, eh bien, on vient à la période de doute.

03:39Et cette période, elle est en ce moment, parce qu'il y a des enjeux financiers dans ça.

03:45Il y a le financement du projet, plus après, la viabilité aussi du projet.

03:51Voilà, c'est toute cette interrogation que j'ai en ce moment, parce que c'est quand même un grand virage.

03:58Exactement. Alors, justement, vous parlez du financement du projet.

04:03Je pense que ce financement, vous pouvez l'avoir, vous pouvez le trouver.

04:07Il peut se faire peut-être en plusieurs étapes ou en plusieurs parties.

04:11Mais il semblerait que ce projet, pour moi, il est viable.

04:15La contrainte que vous risquez de rencontrer, c'est plutôt sur le plan administratif.

04:19Et c'est là où je sens qu'il y a peut-être des moments d'hésitation.

04:25Il y a des moments où peut-être vous allez perdre un peu de patience,

04:28parce que vous risquez de devoir changer les choses administrativement.

04:34Ça ne veut pas dire pour autant que vous devez changer complètement votre projet,

04:37ou que vous devez l'annuler.

04:39Mais peut-être par rapport à la zone dans laquelle vous voulez vous déplacer,

04:45ou vous voulez stationner, ça pourrait être compliqué, ça pourrait être difficile.

04:49Ou peut-être aussi pour des questions vétérinaires et sanitaires,

04:53il y a quelque chose qui peut vous être difficile et un peu,

04:58pas je veux dire un blocage, mais une certaine forme de fragilité,

05:02une certaine forme de difficulté.

05:04Est-ce que jusqu'à présent, ça a été le cas pour vous ?

05:08Dans mes doutes, vous voulez dire ?

05:10Dans ma façon d'avancer ?

05:12Dans les doutes, mais pas seulement.

05:15Aussi dans la façon d'avancer, et surtout par rapport à l'administratif.

05:22Oui, ça c'est sûr qu'aujourd'hui, c'est ce qui me fait peur aussi.

05:27J'ai certaines peurs, mais après il faut que je me lance aussi,

05:30parce que pour l'instant, j'étais que dans la réflexion,

05:32que dans essayer de voir où je pouvais, en effet,

05:38ma situation géographique pour vendre mes produits, pour me déplacer.

05:42Donc j'ai quelques opportunités qui sont déjà ouvertes à moi.

05:45Après, au-delà, c'est l'administratif, oui, c'est les dossiers plus de calcul,

05:51de viabilité de mon projet et tout ça, oui.

05:53Et puis après, de me lancer à des démarches administratives que je n'ai pas encore commencées.

05:57Alors c'est pour ça, ça va se faire, mais je sens que ça prend un petit peu de temps.

06:02Il faut être patient et si vous avez une échéance,

06:06eh bien essayez d'anticiper pour justement arriver à aller à cette échéance-là

06:12et à ne pas vous retrouver trop en décalage ou trop en attente

06:18sur la réalisation et l'aboutissement de votre projet.

06:21Mais pour moi, je vous encourage à le faire réellement.

06:24D'accord ?

06:25Merci beaucoup.

06:26Merci Geoffroy pour votre témoignage.

06:29Et puis aussi, n'hésitez pas à nous tenir au courant sur l'évolution de votre projet.

06:34J'hésiterai pas, je vous remercie beaucoup.

06:36Bonne journée, au revoir.

06:36Merci, prenez soin de vous, merci.

06:39Et j'ai le plaisir d'accueillir Nathalie.

06:41Bonjour Nathalie.

06:42Oui, bonjour Alexandre, je vous remercie de prendre mon appel.

06:45J'ai tellement de fois que j'essaye, je suis contente, je suis très contente de vous avoir.

06:48Eh bien voilà, comme quoi il faut insister, il faut persévérer.

06:53Et parfois, c'est même pas parfois, c'est qu'à un moment donné, on y arrive comme vous.

06:57Vous êtes un exemple aujourd'hui Nathalie.

07:00C'est mon jour, on va dire ça.

07:01Merci.

07:02En tous les cas, ce qui prouve que vous êtes une fidèle auditrice de Sud Radio.

07:06Oui, tous les après-midi.

07:08Bon, très bien.

07:09Je rappelle à nos huit heures, si vous voulez faire comme Nathalie, n'hésitez pas à appeler l'antenne 0800 26 300 300.

07:15Alors Nathalie, vous savez que dix ans après, la France s'en souvient de ce qui s'est passé, vous, émotionnellement ?

07:21Est-ce que ça a créé quelque chose en vous ?

07:24Alors, j'ai appris la nouvelle à la télé, aux médias.

07:27Ça a été une nouvelle effroyable.

07:29Et bon, je n'ai pas été touchée personnellement par des membres de ma famille,

07:34mais j'ai été touchée intérieurement énormément.

07:36Bien sûr.

07:36Parce que ça montre à quel point l'être humain peut être monstrueux.

07:43Complètement.

07:43Et en nous, ça nous ébranle quand on vit ce genre de choses,

07:48que ce soit du 13 novembre ou comme les autres événements qui malheureusement ont été vécus précédemment.

07:53Mais à chaque fois, il y a quelque chose qui...

07:55Et ça nous remet un petit peu en nous disant qu'on n'est vraiment pas grand-chose.

08:00On n'est pas grand-chose et que l'être humain, parfois, peut être si dangereux et si méchant.

08:04Tout à fait.

08:06Bien.

08:07Nathalie, alors vous, vous appelez pour votre conjoint ?

08:12Mon conjoint, mon compagnon, oui.

08:14D'accord.

08:14Racontez-nous un petit peu.

08:16Alors, il a eu un accident de travail rien de très très grave il y a quatre semaines.

08:20Il a le pied dans le plat.

08:22Son employeur a contesté l'accident de travail.

08:25Bon, il était au restaurant avec son employeur.

08:27Il a loupé une marche.

08:27Il est tombé.

08:28Il s'est pété le pied.

08:30Et tout se déroule très mal.

08:33En contestant, on reçoit des recommandés.

08:36Enfin, tout va très mal.

08:37Et donc, il envisage de ne pas y retourner et de chercher un autre emploi.

08:42Et tout ça me perturbe énormément parce qu'il s'y tentait bien dans cette entreprise.

08:47Et tout s'est écoulé.

08:49Alors, lui, il a un gros doute.

08:52Et moi, du coup, je lui branle pour beaucoup de choses.

08:55En fait, ce qu'il ne supporte pas et ce qu'il n'accepte peut-être pas, votre conjoint,

09:01c'est qu'il a le sentiment que son patron est de mauvaise foi.

09:05Oui, tout à fait.

09:06C'est ça.

09:07Et d'autant plus qu'il aurait pu très bien admettre et reconnaître.

09:13C'est puisque vous dites qu'il était présent avec lui.

09:15Ils étaient ensemble.

09:16Oui.

09:16Ils étaient ensemble.

09:18C'est son employeur qui l'emmenait à l'hôpital pour les radios.

09:22En plus.

09:22Voilà.

09:23Écoutez, ça va être difficile.

09:26Même s'il peut prouver, il peut justifier, mais ça va être difficile.

09:29Parce qu'effectivement, je sens une opposition.

09:32Je sens que ça ne va pas dans son sens et que ça complique.

09:35Et on le fait passer, peut-être pour lui, étant quelqu'un de pas honnête ou de pas clair dans le dossier,

09:41en parlant de votre conjoint.

09:43Oui, tout à fait.

09:44Voilà.

09:45Mais je crois qu'aujourd'hui, il y a une perte de confiance totale de son employeur.

09:50Alors, bien sûr, moi, je parle et je réponds de manière neutre, sans émotion, sans rien.

09:59Mais de ce que je ressens pour votre conjoint, s'il devait réintégrer l'entreprise

10:05et s'il doit réintégrer l'entreprise, ce qui est prévu normalement,

10:08eh bien, il y a cette perte de confiance.

10:11Et pour moi, il y a quelque chose qui...

10:14Autant votre conjoint peut être quelqu'un de très souple, malléable,

10:20est sympa, mais autant, il peut aussi très bien, à un moment donné,

10:24fermer les portes et être beaucoup moins réceptif et être intransigeant.

10:31Donc, il risque d'être dans ce cas-là et ça risque de se compliquer plus tard.

10:34Donc, effectivement, il vaut mieux que lui trouve une autre piste et une autre option

10:39et un autre plan, tout simplement d'aller vers une autre structure.

10:46Parce qu'il y a une opportunité, il y a une possibilité par le biais d'une relation à lui,

10:51d'un contact à lui qui peut très bien l'amener et l'offrir un poste ou une fonction

10:57dans une autre entreprise prochainement.

10:59D'accord.

11:01Je remercie.

11:02C'est le cas ou est-ce qu'on ne parle pas ?

11:04Oui, mais on est en train de faire marcher nos réseaux.

11:07On a la même profession.

11:09Donc, on est en train de chercher dans nos réseaux, dans nos connaissances.

11:12Bon, c'est quelqu'un qui est très droit dans son travail.

11:15Et oui, par réseau, voilà, il peut avoir.

11:19Mais par contre, il passe par des étapes où, pour lui, mentalement, c'est très compliqué.

11:24Parce qu'il vouait énormément de confiance.

11:26Il avait une relation d'amitié avec son employeur.

11:29Et tout s'ébran, le coup, tout est cassé.

11:32Et c'est une souffrance.

11:34Pour lui, intérieur, c'est une souffrance.

11:36Parce que c'est une trahison.

11:37C'est une trahison.

11:38Mais il faut qu'il...

11:39Alors, je suis d'accord.

11:41Il y a des choses qui sont injustes.

11:42Et l'injustice, parfois, nous amène à une véritable colère.

11:48Mais ce qu'il faut absolument essayer de prendre du recul,

11:53c'est non pas par rapport à la notion, si vous voulez, d'entretenir cette colère,

12:00mais au contraire, à cette notion d'aller vers un dépassement de soi

12:04et aller vers autre chose.

12:05Et qu'il ne s'attarde pas sur ce qui l'a empêché d'avancer,

12:10ce qui l'a amené à vivre des contraintes,

12:12mais peut-être plutôt à ce que les choses vont pouvoir lui apporter de manière positive

12:20et que ça va lui apporter aussi à nouveau de la lumière.

12:22D'accord ?

12:23D'accord. Je vous remercie beaucoup, Alexandre.

12:25Merci à vous. Prenez soin de vous, Nathalie.

12:28Vous êtes adorables. Je vous remercie.

12:30Merci.

12:31Allez, il est plus jeune que moi.

12:34Et depuis le confinement, il a sombré dans l'alcool et le rejet du monde.

12:39Eh bien, c'est le témoignage de Marie.

12:41Marie se pose des questions sur son compagnon.

12:44Va-t-elle pouvoir l'aider à sortir de cette addiction ?

12:48On va en parler dans quelques minutes.

12:50Et puis, vous aussi, si vous aimez quelqu'un et que vous essayez de vouloir l'aider,

12:56alors comment apprendre à laisser marcher seule la personne sur son chemin de guérison ?

13:02Eh bien, ce n'est pas évident, parfois, surtout quand la personne ne veut pas avancer.

13:06Et quelles sont les solutions ? On en parle juste après.

13:08Et puis, si vous vous posez d'autres questions sur le plan sentimental, professionnel aussi,

13:13n'hésitez pas à 0826 300 300,

13:16ou bien laisser un petit SMS au 7-20-18,

13:20accompagné du mot « à venir », de votre prénom, de votre date de naissance,

13:23et bien sûr, de votre message.

13:25Et puis aussi, une petite couleur,

13:27parce que vous savez que je fonctionne aussi avec la couleur.

13:30A tout de suite.

13:31Et de retour dans votre émission, c'est votre avenir.

13:34Alors, si vous souhaitez poser toutes vos questions,

13:37je suis avec vous jusqu'à 17h.

13:39C'est le moment d'appeler l'antenne 0826 300 300.

13:43Zach est au standard.

13:45Et aujourd'hui, j'ai Anthony à la réalisation,

13:47parce que je lui me regarde et me dis « et moi, on ne me cite pas ? »

13:50Alors, voilà, je le dis aussi, Anthony, « bien ».

13:53Et puis, si vous voulez envoyer un petit SMS au 7-20-18,

13:57accompagné du mot « à venir », et bien sûr, de votre message.

14:01Et d'ailleurs, je vais sur un SMS de Laurent,

14:04qui nous dit tout simplement « ma copine m'a quitté,

14:08j'ai été récupérer mes affaires le 11 novembre.

14:11Est-ce que vous voyez un retour ou devrais-je passer à autre chose ? »

14:16C'est compliqué, Laurent.

14:16Je ne veux pas être pessimiste face à la situation,

14:20mais je crois que peut-être que vous avez déjà eu,

14:23non pas des avertissements,

14:24mais il y avait peut-être des notions de fragilité,

14:30de complications, de difficultés.

14:32Peut-être qu'il y a eu un peu de prévention

14:34sur le fait qu'il y ait une envie d'arrêter

14:38ou peut-être de vouloir faire un stop à la relation.

14:43Et est-ce que vous avez été dans le déni

14:46ou est-ce que vous n'avez pas voulu voir certaines choses ?

14:48Mais malheureusement, je sens que ça va être compliqué

14:51pour reprendre une relation.

14:53Alors, peut-être et aussi qu'elle risque

14:55de vouloir accepter à un moment donné

14:58à nouveau une conciliation ou un éventuel retour.

15:01mais je sens que votre regard se portera

15:04vers une autre relation plus tard.

15:07Et à présent, j'ai le plaisir d'accueillir Marie.

15:09Vous êtes la Marie ?

15:11Oui, je suis là. Bonjour Alexandre.

15:13Bonjour, bienvenue à l'antenne de Sud Radio.

15:16Vous nous appelez de Albi.

15:18Oui.

15:19Très bien.

15:20Et vous avez une relation pas évidente,

15:23sentimentalement,

15:25avec un compagnon qui a des addictions.

15:29Oui, voilà.

15:30Racontez-nous.

15:31C'est pas facile à vivre.

15:33Ça fait bientôt pas tout à fait 20 ans.

15:37Et ça fait quand même pas mal de temps

15:38que nous sommes ensemble.

15:40Oui.

15:41Sous le même toit.

15:42Parce que, vu notre différence d'âge,

15:45nous n'avons pas toujours les mêmes intérêts.

15:50Mais nous sommes très très liés

15:52par des intérêts communs, bien sûr.

15:54Et c'est depuis le confinement

15:56qu'il s'est mis sérieusement à boire,

15:58alors qu'il n'aimait pas l'alcool.

15:59Il est passé à des alcools forts,

16:01il n'y a pas très longtemps,

16:02lors d'un travail

16:03qu'il n'a pas pu gérer.

16:08Il a décidé de se mettre en création d'entreprise.

16:12Mais étant donné que son addiction très forte

16:15et son changement de comportement,

16:18je pense qu'il ne pourra pas créer son entreprise

16:20sans se faire soigner.

16:22Donc, je l'ai aidé, je l'ai accompagné.

16:25Je lui ai donné toutes les pistes

16:29pour qu'il puisse se faire soigner.

16:31Il n'a pas voulu.

16:33Parce qu'il estime qu'il est capable, lui,

16:36de s'en sortir tout seul.

16:37Mais malheureusement,

16:39comme c'est très très dur pour moi,

16:41donc je me suis un peu repliée.

16:44Et là, ma question était,

16:46est-ce que vous, vous voyez une amélioration

16:49qu'il est capable de faire des démarches de soins

16:51et qu'on peut repartir sur un avenir serein ?

16:54Alors, lui, il met ça sur le compte de la Covid ?

16:58Oui, parce qu'à ce moment-là,

17:01les sorties étaient interdites, bien sûr.

17:04Et donc, il y avait des...

17:07C'était des...

17:08Comment dire ?

17:11Des relations en cam, quoi.

17:13Les gens se parlaient avec un...

17:14Oui, bien sûr.

17:15Et puis, finalement, ils faisaient l'apéro en cam.

17:19Et voilà.

17:19Alors, étrangement, Marie,

17:21je sens que d'un point de vue familial,

17:23de son côté, il y a quelque chose qui est un peu brisé.

17:25Et notamment, la relation avec la mère,

17:27avec sa maman.

17:29Quelle est sa relation si elle est encore là ?

17:32Sa maman est toujours là.

17:34C'est son papa qui n'est plus là.

17:35C'est ses grands-parents,

17:37dont le grand-père,

17:39qui est décédé dans des conditions horribles,

17:41puisqu'il s'est tendu.

17:42Donc, tout ça l'a impacté.

17:45Sérieusement, et la maman est remariée.

17:48Et elle est assez indifférente.

17:51Je pense qu'elle ne s'occupe pas de son fils.

17:56Effectivement.

17:57Parce que, pour moi, à la fois,

17:59j'ai l'impression qu'il a...

18:01Alors, autant il est autonome et indépendant,

18:03du fait que, de par son activité professionnelle,

18:06après le fait qu'il vit chez lui et tout ça,

18:09mais, à la fois, il recherche dans l'inconscient.

18:13Et inconsciemment, il recherche à être materné un peu.

18:17Et c'est ce que vous avez fait, malheureusement.

18:20Attention, je ne suis pas en train de juger les choses

18:23et de vous dire que vous avez mal fait,

18:24mais la relation s'est un petit peu transformée

18:28en relation un peu maternelle.

18:30Et ce n'est pas votre rôle.

18:32Ce n'est pas votre rôle.

18:33Et même si, à un moment donné,

18:34vous avez fait en sorte qu'il se fasse accompagner,

18:38qu'il se fasse aider,

18:39et non pas de vous le prendre en charge.

18:42Mais je sens que, chez lui,

18:44il y a une faiblesse,

18:46il y a un parent défaillant,

18:48et ça lui est difficile, ça lui est compliqué.

18:51Donc, effectivement, il y a un besoin

18:53de se faire aider, de se faire accompagner,

18:56de suivre une bonne thérapie.

18:58Mais j'ai quand même de l'espoir.

18:59C'est-à-dire qu'il a conscience,

19:01aujourd'hui, de sa fragilité, de sa difficulté.

19:04Et je ne suis pas sûr que dans la manière

19:08dont il vit les choses au quotidien,

19:10ce soit quelque chose qui, pour lui,

19:12est totalement supportable ou acceptable.

19:15Il le subit, c'est ce que je ressens aujourd'hui.

19:17Oui, mais je suis un petit peu d'accord avec vous,

19:22effectivement.

19:23Je pense que j'ai été un peu trop maternante,

19:27mais c'est un peu de la déformation professionnelle,

19:29puisque j'ai été éducatrice spécialisée.

19:34Donc, j'avais ce rôle-là auprès des jeunes.

19:37Et peut-être que j'ai un petit peu dévié

19:40de mon rôle, effectivement.

19:43En soi, ce n'est pas grave.

19:44En soi, ce n'est pas grave.

19:45Je pense que vous pouvez, tout simplement,

19:49l'aider à nouveau, mais autrement et différemment,

19:51et prendre un petit peu de recul sur la situation.

19:55Je rappelle aussi qu'il existe une association

19:58nationale pour les addictions et l'alcoolisme.

20:01C'est le 0800 23 13 13,

20:04pour les personnes qui, malheureusement,

20:06ont des personnes à côté d'eux qui sont concernées.

20:09Eh bien, n'hésitez pas à faire appel.

20:11Vous pouvez très bien témoigner de manière anonyme.

20:15Mais continuez comme ça.

20:17C'est-à-dire, prenez un petit peu de recul,

20:18mais je sens, pour votre compagnon,

20:21qu'il est amené à s'améliorer

20:23et à un moment donné, à vouloir stopper

20:25ou à vouloir arrêter d'être dans cette autodestruction.

20:30D'accord.

20:30Ça va demander un petit peu de temps encore.

20:32Vous voyez ça dans les jours qui suivent

20:34ou...

20:34Non, les jours,

20:35j'aimerais,

20:37j'aimerais,

20:38attention,

20:38je n'ai pas la science infuse,

20:40donc il faut faire attention

20:42avec la notion du temps.

20:43Mais les jours,

20:44je ne pense pas,

20:45mais on dirait qu'il y a de l'espoir

20:47sous les semaines à venir.

20:49En tout cas,

20:492026,

20:50c'est une année,

20:51pour lui,

20:51de changement,

20:52de prise de recul,

20:53de coupure,

20:54et on se reprend en main

20:56et on re...

20:56À nouveau,

20:57on s'ancre dans la vie

20:58pour avancer sur de nouvelles bases

21:01et aussi pour reprendre le contrôle

21:04de son existence.

21:05Et ça sera le cas de votre compagnon.

21:07D'accord ?

21:08J'espère,

21:08mais pour tous les deux.

21:10Pour tous les deux,

21:10bien entendu.

21:11Oui,

21:11parce que là,

21:12j'ai pris l'initiative

21:14de ne plus lui répondre

21:15et de faire silence

21:16pour que ce silence

21:17lui fasse prendre conscience.

21:20Mais je vois toutes ses réponses,

21:21toutes ses questions

21:22et lui,

21:23il croit qu'en fait,

21:23je veux l'abandonner.

21:25Pas du tout.

21:25C'est pour ça,

21:26je vous dis,

21:26il y a un problème

21:27de relation maternelle

21:28et tout ça,

21:29mais voilà,

21:29essayez de garder un peu de recul

21:31et restez à son écoute aussi.

21:34Merci à vous, Marie.

21:36N'hésitez pas à revenir vers nous

21:37pour nous dire comment il va

21:38et comment votre relation évolue.

21:40D'accord.

21:41Merci beaucoup.

21:42Merci.

21:44Allez,

21:44j'ai eu le plaisir d'accueillir Dominique.

21:46Bonjour, Dominique.

21:48Bonjour, Alexandre.

21:49Bienvenue à l'antenne de Sud Radio, Dominique.

21:51Vous nous appelez de Bordeaux.

21:53Eh oui,

21:53je vous ai déjà eu il y a deux mois.

21:55Je vous redemande.

21:55Vous connaissez ?

21:56Peut-être alors,

21:58je ne me souviens plus.

21:59Vous connaissez la ville.

22:01Ah, la ville.

22:01Oui,

22:02bien sûr que je connais.

22:03Bien sûr,

22:04je suis natif.

22:05Je voulais dire ça.

22:06Je vais vous poser la bonne question.

22:08Eh voilà.

22:08Alors,

22:10Dominique,

22:10quelle est votre question ?

22:13Alors,

22:13j'ai un fils

22:13qui a 36 ans désormais

22:14et qui fait plusieurs activités professionnelles

22:17parce qu'il n'arrive pas

22:18à avoir un temps plein partout.

22:20Donc, il est d'abord musicien,

22:21dont vous connaissez un peu,

22:22c'est un peu compliqué comme métier.

22:23Oui.

22:24Ensuite,

22:25il vend des ordinateurs

22:26dans une ancienne connue

22:27et aussi,

22:28il est agent immobilier.

22:29D'accord.

22:29Tout ça pour essayer de survivre.

22:31Donc,

22:31je voudrais savoir si un jour

22:32ça va se stabiliser.

22:33Ça va se stabiliser.

22:34D'accord.

22:35Et moi,

22:35j'ai l'impression, Dominique,

22:36que vous me connaissez un petit peu.

22:38Oui.

22:38Pourtant,

22:40je ne vous connais pas.

22:41Mais,

22:42apparemment,

22:42vous,

22:42vous semblez me connaître aussi.

22:45Allez,

22:45Dominique,

22:46vous allez rester avec nous.

22:48Je vais réfléchir,

22:49je vais répondre à votre question

22:50le plus précisément possible.

22:53Et puis,

22:53si vous aussi,

22:54vous avez des questionnements

22:55concernant vos enfants,

22:56concernant votre conjoint,

22:58conjointe,

22:59sur votre situation professionnelle,

23:01sentimentale,

23:02bien entendu,

23:03familiale,

23:03n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300

23:07ou aussi,

23:09vous pouvez envoyer un SMS

23:10au 720 18

23:12accompagné du mot « avenir »

23:14de votre prénom,

23:14de votre date de naissance

23:15ainsi que de votre message

23:16et aussi d'une petite couleur.

23:18On se retrouve dans quelques instants

23:20avec Dominique.

23:2216h17,

23:23Sud Radio,

23:23c'est votre avenir,

23:24Alexandre Delovalle.

23:26Et de retour dans votre émission

23:27« C'est votre avenir »

23:28pour cette deuxième partie

23:30d'émission.

23:32Alors,

23:32nous sommes en direct.

23:33Si vous voulez nous suivre,

23:34vous pouvez le faire

23:35aussi sur la chaîne YouTube

23:37ou vous pouvez télécharger

23:39l'application Sud Radio

23:40pour suivre tous nos podcasts.

23:45Et j'ai le plaisir

23:46de retrouver Dominique.

23:48Vous êtes là, Dominique ?

23:49Oui, tout de suite.

23:49Bon, parfait.

23:50Vous êtes restée sage.

23:53Oui.

23:53Bon.

23:56Dominique,

23:58alors,

23:58ça concerne votre fils.

23:59Votre fils cumule

24:01des activités,

24:02plusieurs activités.

24:04C'est un passionné

24:05de musique ?

24:08Oui,

24:09il est batteur.

24:10Il est batteur.

24:11Magnifique.

24:13Il est pas mal déjà.

24:14Beaucoup de fois.

24:15Oui.

24:15Il a quel âge ?

24:1636 ans.

24:1736 ans.

24:18Alors,

24:19juste une question.

24:20Est-ce qu'au niveau

24:21de sa carrière artistique,

24:23il a réussi

24:24à faire

24:25des choses

24:26qui lui ont apporté

24:27quand même

24:28une satisfaction ?

24:29Même si aujourd'hui,

24:29il a du mal peut-être

24:30en vivre.

24:31Sinon,

24:31il ne cumulerait pas

24:32ses autres emplois.

24:33Mais sa passion première,

24:39c'est quand même

24:39la musique.

24:41Oui.

24:42Mais apparemment,

24:43il a l'air de dire

24:44que maintenant,

24:45il n'a jamais

24:45d'immobilier.

24:46Maintenant,

24:46il vend des ordinateurs.

24:47Il est un peu perdu.

24:49Mais il ne sait plus trop,

24:50en fait.

24:51Oui,

24:52je comprends.

24:53Forcément,

24:53parce qu'il y a une perte

24:54de confiance en lui.

24:57C'est ça ?

24:57Un peu.

24:58Depuis combien de temps

24:59vous le ressentez

24:59avec cette perte de confiance ?

25:01Il a toujours été comme ça.

25:04Il doute de tout,

25:04en fait.

25:05Il est très dur

25:06avec lui-même,

25:07en fait.

25:08Il n'aime pas

25:08ne pas savoir.

25:09C'est assez exigeant.

25:11Alors,

25:12sa deuxième activité,

25:14c'est dans quoi ?

25:16D'abord la musique,

25:17ensuite il a été

25:18dans l'agence immobilière.

25:20Oui.

25:20Mais de temps en temps,

25:21on lui demande

25:21de vendre des ordinateurs

25:22dans une ancienne...

25:24Connue ?

25:25Non,

25:26c'est irrant.

25:27Merci.

25:27Il sait très bien le vendre,

25:29donc on le reprend.

25:31Mais c'est de temps en temps.

25:33De temps en temps.

25:34Et l'immobilier,

25:35je sens que c'est fragile,

25:37c'est difficile.

25:38Ben oui.

25:39Oui.

25:40On n'en fait pas des raisons

25:40facilement.

25:41Non,

25:41je ne pense pas.

25:42Alors,

25:43si vous voulez,

25:44pour moi,

25:45de ce que je ressens,

25:46il n'y a pas une autre activité.

25:48On n'est que sur trois activités.

25:49C'est déjà pas mal.

25:51Parfois les portables.

25:54Oui.

25:54Mais ça va avec les ordinateurs ?

25:58Non,

25:59c'est une autre boîte en même temps.

26:00C'est une autre boîte.

26:01D'accord,

26:01ok.

26:02Ok.

26:03En tous les cas,

26:04il semble avoir une bonne facilité

26:06à communiquer avec les autres.

26:09Oui.

26:09Et pour ça,

26:10ça fait partie de ses qualités.

26:12Maintenant,

26:14par rapport à sa stabilité professionnelle,

26:17parce qu'aujourd'hui,

26:18même s'il a plusieurs emplois,

26:19mais il recherche une stabilité,

26:21ce qui est normal,

26:22je sens que le côté artiste,

26:27il ne faut pas qu'il l'oublie.

26:28Il faut au contraire qu'il le cultive.

26:31Et je pense qu'à ce niveau-là,

26:35ça fait comme des vagues,

26:36dans le sens où il peut y avoir des moments

26:38où il n'y a pas grand-chose qui va se passer

26:40ou qui va lui offrir des opportunités.

26:43Et puis ensuite,

26:44il peut rentrer dans des périodes

26:45où les choses vont pour lui être beaucoup plus favorables.

26:49C'est ce que je ressens.

26:50Et notamment,

26:51sur la période peut-être de fin 2026,

26:56donc dans un an,

26:57il peut y avoir une belle opportunité

26:59sur le côté artistique.

27:01Ensuite,

27:02l'immobilier,

27:03je ne le ressens pas trop.

27:04Je ne ressens pas

27:05ou je sens que

27:06par rapport à...

27:10Excusez-moi,

27:11lié à l'organisme dans lequel il est

27:15et par rapport à certaines personnes,

27:17il n'est pas forcément en phase

27:19où il y a quelque chose qui ne colle pas.

27:21Il ne le dit pas.

27:23Il ne le dit pas.

27:24Mais en attendant,

27:25je ne suis pas certain

27:26que ça lui apporte

27:27un véritable épanouissement.

27:30Et puis,

27:30sur le côté de la vente des ordinateurs,

27:33alors même si ce n'est pas une passion pour lui

27:36de vendre des ordinateurs,

27:37mais il n'y a pas de sous-métier,

27:38bien entendu.

27:39Mais il le dit quand même.

27:40Mais voilà.

27:41Mais voilà.

27:42Et c'est ce que je voulais vous dire.

27:44C'est qu'il peut,

27:45en lui,

27:45ouvrir du potentiel,

27:47trouver une certaine forme

27:49de satisfaction

27:50et j'ai l'impression

27:52que ça lui fait gagner

27:53un peu de la confiance en lui.

27:54Peut-être parce qu'il arrive

27:55à bien en vendre

27:56et qu'il se sent reconnu,

27:57utile et tout ça.

27:58Donc, il y a quelque chose.

27:59Donc,

28:00moi,

28:00ce que je vais dire

28:01et ce que je pense

28:02qu'il doit privilégier

28:04pour ne pas trop s'éparpiller

28:05et se disperser,

28:07ça serait plus,

28:08à la limite,

28:09le côté artistique

28:10est une passion

28:11et il a du talent

28:12et il faut qu'il le développe

28:13et il ne faut pas

28:14qu'il renonce

28:16même si ça ne le fait pas vivre

28:18aujourd'hui.

28:19Mais le côté

28:20de la vente des ordinateurs

28:22ou de ce qui est

28:23en rapport au multimédia,

28:25eh bien,

28:25qu'il y aille à fond

28:27parce qu'il a un potentiel

28:28de pouvoir même stabiliser

28:31sa vie matérielle

28:32et financière

28:33à ce niveau-là.

28:34Et puis,

28:34il y a un déménagement

28:35qui s'annonce pour lui

28:36bientôt.

28:37Ah bon ?

28:38Je ne sais pas.

28:39Si, si,

28:40je sens qu'il y a

28:40un déménagement.

28:42Oui,

28:43mais c'est peut-être

28:43au sein de la même ville.

28:45Il est sur Bordeaux aussi ?

28:46Oui, oui, oui.

28:47C'est peut-être

28:48au sein de la même ville

28:49un endroit

28:49qui soit plus adapté

28:50et qui soit plus agréable

28:51pour lui

28:52et plus confortable.

28:53D'accord ?

28:54Très bien,

28:55merci beaucoup

28:55pour ce temps-là.

28:57Merci à vous, Dominique.

28:59Alors,

28:59vous nous avez appelé

29:00il y a deux mois,

29:01vous nous rappelez aujourd'hui

29:02donc on se donne rendez-vous

29:03dans deux mois alors.

29:04C'est ça,

29:05pour un troisième sujet.

29:06Eh bien voilà,

29:07exactement.

29:07Je confirmerai

29:08ce que vous aviez dit

29:09avec Damien

29:09la prochaine fois.

29:10D'accord.

29:11Et votre dernière intervention

29:13à l'antenne de Sud Radio

29:15ne s'est pas encore réalisée,

29:16j'imagine,

29:17sinon vous l'aurez évoqué.

29:18C'était le fils

29:19de mon compagnon

29:20qui était aux Etats-Unis

29:21et qui était venu

29:22me faire des reproches

29:23par rapport à la mort

29:24de mon compagnon.

29:25Ok.

29:26Donc Damien m'avait dit

29:27que ça allait se stabiliser,

29:29qu'il allait revenir me parler.

29:31Ah, vous étiez passé

29:31avec Damien ?

29:33Oui, et vous, bien sûr.

29:34Ah d'accord, ok.

29:35Oui.

29:35Et alors ?

29:35C'est Damien qui...

29:36Voilà.

29:36Et il n'est toujours pas venu,

29:38mais il m'avait dit trois mois.

29:40D'accord.

29:40Bon, mais on va attendre

29:41un petit peu.

29:42On a encore un petit peu de temps,

29:44on va voir tout ça.

29:45Merci à vous, en tout cas.

29:46Merci de votre fidélité, Dominique.

29:47Merci.

29:48Prenez soin de vous.

29:49Merci, Alexandre.

29:49Et j'ai le plaisir de recevoir,

29:51et j'ai le plaisir de recevoir,

29:53d'accueillir Sylvie.

29:54Bonjour Sylvie.

29:56Bonjour Alexandre.

29:58Bienvenue à l'antenne de Sud Radio.

29:59Sylvie, vous nous appelez du Gers.

30:02C'est ça, exactement.

30:04Mais tout d'abord,

30:04je voulais vous faire

30:05un retour de prédiction.

30:06Ah.

30:07Parce qu'il y a environ 4 ans,

30:09je vous avais appelé pour mon fils.

30:10Oui.

30:11Qui s'était éloigné de nous,

30:12qui ne nous parlait quasiment plus.

30:14Oui.

30:14Et vous m'aviez dit

30:15que c'était vers le mois de juin

30:17que je vous avais appelé.

30:18Et vous m'aviez dit

30:18que vers la fin de l'année,

30:20vous ne le voyez plus

30:21avec cette personne,

30:22parce qu'il était avec Alain

30:23qui l'avait éloigné de nous.

30:24Et effectivement,

30:25au mois d'octobre,

30:26il s'était séparé

30:27et il est revenu vers nous,

30:29comme autrefois.

30:29Donc, je tenais à vous le dire

30:32pour vous témoigner ma confiance.

30:33Voilà.

30:34Merci.

30:35Merci.

30:36Et vraiment,

30:36ça fait plaisir.

30:37Et puis surtout,

30:38surtout,

30:40peut-être que pour la prédiction,

30:43mais c'est surtout

30:43ce qui est le plus important,

30:44c'est de retrouver votre fils

30:46et à nouveau,

30:48voilà,

30:48de vous réunir

30:49et de faire revivre

30:51cet amour

30:52qui a toujours existé

30:53entre vous.

30:54C'est ça ?

30:54Exactement.

30:55C'est ça qui faisait le plus mal.

30:57Oui, oui.

30:57Bon, très bien.

30:59Allez,

30:59aujourd'hui,

31:00vous nous appelez

31:00pour votre fille.

31:02On fait toute la famille.

31:04Voilà.

31:05Il n'y en a que deux,

31:05rassurez-vous.

31:06Bon, ça va.

31:07Bon, écoutez,

31:07même s'il y en a trois,

31:08quatre, cinq,

31:09on peut y aller.

31:11Ok.

31:12Donc, je vous appelle pour ma fille

31:13qui est en instance de séparation

31:15avec son compagnon.

31:17Oui.

31:17Ils ont acheté une maison

31:18à part égale

31:19et lui souhaitent racheter sa part.

31:21Seulement,

31:22il a eu un refus de la banque.

31:24Donc,

31:24là,

31:24il y a l'attente

31:25de la vente

31:26d'un autre bien

31:27pour pouvoir financer

31:28le rachat

31:29de la part de ma fille.

31:30Mais il n'a pas l'air

31:31de s'aptiser trop

31:33de son côté

31:33et ma fille est un peu inquiète

31:35parce qu'elle n'arrive pas trop

31:36à se projeter.

31:37Elle sait qu'elle va partir,

31:39mais elle souhaite partir,

31:40d'ailleurs,

31:41parce que la vie

31:41en commun

31:43n'est pas très facile.

31:44Donc,

31:45c'était pour savoir

31:46si ça allait

31:47se réaliser

31:48dans un avenir

31:49pas trop lointain.

31:51Oui.

31:51Alors,

31:52tout d'abord,

31:53de ce que je ressens,

31:54bien entendu,

31:55Sylvie,

31:55je vais quand même

31:56vous demander une couleur,

31:57s'il vous plaît,

31:57en pensant à votre fille.

32:00Alors,

32:00le rose,

32:01assez éclatant.

32:02D'accord.

32:02Ce que je ressens,

32:04malgré tout,

32:05c'est que votre ex-gendre,

32:10il ne le fait pas exprès.

32:14Parce que parfois,

32:14il pourrait avoir

32:15un chantage

32:17ou une manipulation

32:18pour faire gagner du temps.

32:19Vous voyez ?

32:20Il ne le fait pas exprès.

32:21C'est-à-dire qu'effectivement,

32:23il a le désir

32:24et le souhait

32:24de racheter la part,

32:26mais la situation bloque

32:28et ce n'est pas forcément

32:30de son fait.

32:31est-ce que vous le ressentez

32:33comme ça ou pas ?

32:36Oui,

32:36oui,

32:37à moitié,

32:38parce qu'en fait,

32:39lui,

32:40il a très vite rencontré

32:41quelqu'un

32:41et j'ai l'impression

32:43qu'il se...

32:45Comment dire ?

32:46Que finalement,

32:46le rachat de la maison

32:48passe au second plan.

32:49Non,

32:50je ne crois pas.

32:50Non,

32:51je ne pense pas.

32:51Et au contraire,

32:52je vais vous dire,

32:52même je vais rajouter

32:53à quelque chose,

32:54c'est que la personne

32:55qui l'a rencontrée

32:56aimerait que ça se termine

32:57avec votre fille

32:58parce qu'elle n'a pas

32:59forcément envie

33:00de récupérer,

33:02pardonnez-moi,

33:03ce n'est pas très poli

33:03ce que je vais dire,

33:04de récupérer les miettes.

33:06Mais...

33:06Oui,

33:06c'est ce qu'on espère justement

33:08qu'elle pousse dans ce sens.

33:10Mais exactement.

33:11Et bien exactement.

33:12Et je crois qu'elle,

33:13elle a envie

33:14qu'il règle sa vie

33:15pour redémarrer

33:15quelque chose de nouveau

33:17avec lui

33:18et que ça soit

33:19complètement transparent

33:20et neutre.

33:21donc,

33:21il y a une accélération

33:23des choses

33:23et je crois que

33:24si aujourd'hui,

33:26cet homme n'a pas réussi

33:28encore à débloquer

33:30la situation,

33:30alors effectivement,

33:32il a rencontré

33:33cette personne

33:34qui s'est peut-être

33:34un peu laissé aller,

33:36il a vécu un peu

33:37le début de cette histoire,

33:39mais en attendant,

33:40je ne le sens pas

33:41volontairement bloquer

33:43votre fille

33:44de manière à ce qu'elle,

33:46elle ne puisse pas bouger

33:47et souvent,

33:48quand il y a une volonté

33:50qui est faite

33:53de manière stratégique,

33:54c'est pour avoir

33:55la mainmise

33:56sur l'individu.

33:57Là, non,

33:58je ne le ressens pas

33:58de cette manière-là.

33:59Donc, les choses

34:00vont se débloquer

34:00très rapidement.

34:02J'ai trois mois

34:02qui apparaissent.

34:03J'ai trois mois

34:04qui apparaissent.

34:05Oui, oui.

34:06D'accord.

34:06Sylvie,

34:07vous verrez que

34:08d'ici trois mois,

34:09la solution semble

34:10se trouver

34:10et se mettre en place

34:11pour progressivement

34:13changer les choses.

34:15Ah, ben super, super.

34:16D'accord.

34:16On croise les doigts alors

34:17pour que ça se réalise.

34:18Ben voilà, c'est magnifique.

34:19Je vous remercie.

34:20Merci à vous.

34:21N'hésitez pas

34:22à revenir vers nous.

34:23D'accord.

34:24Bonne journée.

34:25Merci.

34:26Allez,

34:27on va recevoir

34:28dans quelques instants

34:29Sandra.

34:30Sandra travaille

34:30dans l'ésotérisme

34:32depuis dix ans

34:33mais tout semble

34:35stagner

34:35que ce soit

34:36sur les finances,

34:37la clientèle

34:38mais même le moral.

34:40Alors,

34:41est-ce qu'elle est

34:42dans la bonne direction ?

34:43Est-ce qu'elle doit

34:43changer carrément

34:45de métier ?

34:46On en parle juste après.

34:47Et vous,

34:47est-ce que vous êtes

34:48dans la bonne direction ?

34:49En tous les cas,

34:50si vous êtes en voiture,

34:51vous êtes sûrement

34:51en train de rentrer chez vous

34:52et vous êtes

34:53dans la bonne direction.

34:54Changez pas de direction

34:55pour passer une soirée ailleurs

34:57mais ou sinon,

34:58appelez le 0826 300 300

35:01pour savoir

35:03si tout simplement

35:03vous allez passer

35:04une bonne soirée

35:05ou envoyez-moi

35:07un petit SMS.

35:07d'or recevoir

35:08vos SMS

35:09au 728

35:10accompagné

35:11de votre prénom,

35:12de votre date de naissance,

35:14de votre message

35:15et bien sûr,

35:16petite couleur,

35:17c'est sympa

35:17de rajouter cette couleur.

35:19A très vite.

35:20Et de retour

35:21dans votre émission,

35:22c'est votre avenir

35:22pour cette dernière partie

35:24avant de retrouver

35:25les chevaliers du Fiel

35:27à partir de 17h.

35:28et à présent,

35:30je retrouve Sandra.

35:31Vous êtes là, Sandra ?

35:33Bonjour, Alexandre.

35:35S'il vous plaît,

35:36parlez bien

35:37près de votre micro,

35:38on ne vous entend pas bien.

35:39Ah, pardon.

35:39Vous n'êtes pas

35:40en haut-parleur, là ?

35:42Non, pas du tout.

35:43Ah, super.

35:44Parfait.

35:45Sandra,

35:46aujourd'hui,

35:47c'est un 13 novembre,

35:48c'est une journée

35:49un peu spéciale.

35:51Est-ce que pour vous,

35:52ça a été une journée

35:53qui vous a bousculée ?

35:55Je pense que ça a bousculé

35:56tout le monde,

35:56mais est-ce que vous avez

35:57émotionnellement

35:58été perturbée

35:59par ce 13 novembre 2015 ?

36:02Oui,

36:02j'étais très perturbée.

36:03Oui, d'accord.

36:06Ok,

36:06vous étiez sur place

36:08ou pas ?

36:09Alors,

36:09j'étais en famille

36:11et puis,

36:12forcément,

36:13il y a eu le flash,

36:15il y a eu un flash spécial

36:16à la télé

36:17et j'ai suivi ça

36:19pendant des heures

36:20parce que,

36:21mais voilà,

36:22c'était...

36:23Et aujourd'hui,

36:24comment vous ressentez

36:25les choses ?

36:26Est-ce que pour vous,

36:27ça plaît toujours

36:27une émotion ?

36:28Oui,

36:28ça crée toujours

36:29une émotion.

36:30D'accord.

36:32Donc,

36:33depuis 10 ans,

36:35vous êtes

36:36dans une activité

36:38pas très rationnelle

36:39parce qu'apparemment,

36:40c'est de l'ésotérisme.

36:42Exactement.

36:42Oui.

36:43Vous avez une boutique,

36:44c'est quoi ?

36:45Quelle est votre activité ?

36:46Alors,

36:47je suis thérapeute,

36:49je fais des soins énergétiques

36:50et j'ai deux lieux de vente.

36:55D'accord.

36:56Vous vendez des objets divinatoires,

36:58des choses comme ça.

36:59Exactement.

36:59Parfait.

37:00Vous êtes où exactement ?

37:02Non,

37:04je suis sur la Haute-Garonne.

37:06Sur la Haute-Garonne.

37:07Parfait.

37:07Et c'est compliqué,

37:10c'est difficile.

37:10Alors,

37:11l'activité est compliquée

37:13au niveau de vos boutiques

37:14ou en tant que thérapeute ?

37:17Au niveau des boutiques.

37:19C'est les boutiques.

37:21Et votre question,

37:22c'est de savoir

37:22si vous allez avancer ou...

37:24Est-ce que ça va avancer

37:25ou est-ce que ça va se stopper ?

37:27Moi,

37:28je sens que vous allez en arrêter

37:30avec une boutique.

37:31D'accord.

37:32Il y en a une

37:33qui me semble être

37:34un peu en difficulté.

37:35Alors,

37:36est-ce que vous en avez une

37:37qui est située

37:38dans une rue

37:39où presque,

37:42elle est passante

37:43mais on dirait

37:43qu'à un moment donné,

37:44il n'y a presque plus

37:45de commerce

37:46ou vous êtes à la fin

37:47de quelque chose ?

37:48Non.

37:50Non ?

37:50Non.

37:51Comment elles sont situées,

37:53vos boutiques ?

37:54Elles sont situées

37:57dans des endroits

37:58où il y a beaucoup,

38:01justement,

38:01beaucoup de commerce.

38:02Oui.

38:03On est tous un peu

38:04dans le même cas.

38:05tous les commerces,

38:08tous les commerces,

38:09c'est compliqué.

38:10Mais par contre,

38:12du passage,

38:13il y en a moins

38:14qu'avant

38:14mais il y a toujours

38:15du passage.

38:16Mais par rapport

38:18à une des deux boutiques,

38:19est-ce qu'il y en a une

38:19qui se trouve à la fin

38:21d'un lieu de passage ?

38:23Non.

38:24Non plus ?

38:24Non plus.

38:25Alors,

38:26je ne sais pas.

38:26En tout cas,

38:27peut-être que la fin

38:27que je vois,

38:28c'est tout simplement

38:28parce que c'est la fin

38:30de l'activité

38:31qui s'annonce.

38:32mais pour moi,

38:34il y en a une

38:35qui semble s'arrêter

38:36et ça va permettre

38:37pour vous

38:38de soulager un petit peu

38:39cette dette

38:41ou de devoir avoir

38:44un peu moins de stress

38:45parce que forcément,

38:46et j'imagine bien

38:47que dès lors

38:49que vous avez

38:50ou que toute personne

38:52a des soucis financiers

38:54matériels

38:55pour pouvoir finir

38:56ces fins de mois,

38:57on sera peut-être

38:58moins disponible

38:59et encore plus

39:00quand on est thérapeute

39:01ou quand on a besoin

39:02de faire travailler

39:02notre mental

39:04et nos énergies,

39:05c'est peut-être

39:06un peu plus compliqué

39:07pour se concentrer

39:08aussi sur l'individu,

39:09non ?

39:11On ne vous entend pas

39:13très bien, Sandra.

39:14En tous les cas,

39:14pour moi,

39:15vous allez arriver

39:17à vous libérer

39:18déjà d'une boutique,

39:20ça va améliorer

39:21et puis peut-être

39:22qu'à l'avenir,

39:23il y aura une transformation

39:24sur la deuxième boutique

39:25où il y aura peut-être

39:26un changement d'activité,

39:28je ne voudrais pas forcément

39:29vous en séparer

39:29mais comme si vous mettez

39:31une autre activité

39:32à l'intérieur.

39:33D'accord ?

39:33Merci à vous,

39:36merci à vous, Sandra.

39:37Prenez soin de vous.

39:40Et j'ai le plaisir

39:41d'accueillir Lise.

39:42Bonjour, Lise.

39:43Oui, bonjour, monsieur.

39:45Oh non, Alexandre,

39:46s'il vous plaît,

39:46pas monsieur,

39:47même si je suis un monsieur

39:48mais c'est pas...

39:49On est en toute intimité.

39:53Allez, c'est parti.

39:54Parlons vrai sur Sud Radio, non ?

39:56Oui, tout à fait,

39:57vous avez raison.

39:58Allez, Lise,

39:59vous nous appelez d'où ?

40:00Alors, je vous appelle

40:01de Perpignan.

40:02De Perpignan,

40:03il fait beau ?

40:04Non, pas vraiment.

40:05Il fait un peu gris

40:06mais pourquoi pas ?

40:07C'est pas mal non plus.

40:09Bon, très bien.

40:10Comment vous êtes, vous,

40:12aujourd'hui,

40:12sur un plan vibratoire

40:13au niveau des énergies ?

40:14Vous vous sentez bien ?

40:16Alors, je suis tiraillée,

40:18c'est-à-dire que j'ai

40:19un bonheur absolu

40:20dans ma famille

40:21avec mon compagnon

40:22et mon enfant

40:23mais le professionnel,

40:26le financier,

40:27autant pour moi

40:27que pour mon compagnon

40:28est très compliqué

40:29pour le mental.

40:30On aimerait être ensemble

40:31tout le temps justement

40:32parce qu'on est heureux

40:32et on s'aime

40:33mais cette routine professionnelle

40:36nous tue un petit peu

40:37tous les jours

40:38et le financier,

40:40c'est pareil.

40:40Donc, on a plein de projets,

40:42plein d'envies.

40:42On aimerait savoir

40:43où on va

40:44dans ce désespoir.

40:46Dans ce désespoir, oui.

40:48Voilà.

40:49Ça fait un petit moment

40:50que ça bloque.

40:51On parle de 4 ans.

40:53Est-ce qu'il y a eu

40:54des événements

40:54il y a 4 ans ?

40:57Il y a 4 ans,

40:59des événements peut-être,

41:00oui.

41:01Qui ont changé

41:02ou qui ont commencé

41:03dans une vibration

41:04qui a commencé

41:05à bloquer un petit peu ?

41:07Peut-être, oui.

41:08Peut-être, ça ne me rassure pas.

41:11Non, mais oui.

41:12Alors, j'essaie d'identifier

41:13où et quoi.

41:14Mais oui, peut-être.

41:16Mais depuis,

41:17des choses ont changé.

41:18Oui.

41:19En tous les cas,

41:19ce qui a été mis en place

41:20depuis 4 ans,

41:23eh bien, pour moi,

41:24je ne veux pas dire

41:24que c'est négatif,

41:26mais ça n'a amené

41:27qu'à bloquer

41:28un petit peu la situation.

41:30Alors, ça ne veut pas dire

41:31pour autant

41:32que vous n'allez pas

41:34vous en sortir

41:34et que les choses

41:35resteront bloquées.

41:37Mais effectivement,

41:38ça stagne.

41:39Et il ne faut pas

41:41que la peur s'installe.

41:42Il ne faut pas

41:42que le doute continue

41:44à s'installer

41:44à ce niveau-là.

41:45Moi, je dirais

41:46qu'il faut foncer.

41:47Il faut avancer.

41:49Votre...

41:49Vous êtes mariée, hein ?

41:51Oui, on peut dire ça.

41:53On est en couple

41:54et c'est peut-être

41:54un projet qu'on aurait.

41:55Mais vous allez vous marier.

41:57Ah !

41:57Oui.

41:58Vous allez vous marier

41:59et votre mari,

42:01enfin, votre futur mari,

42:03pour moi,

42:03ça fait longtemps

42:04que vous êtes ensemble,

42:05quand même ?

42:06Ça va faire trois ans.

42:08Trois ans.

42:09Ah !

42:09Alors, c'est intéressant

42:10ce que vous me dites.

42:11Ça fait trois ans.

42:12Donc, il y a quatre ans,

42:13vous n'étiez pas ensemble.

42:14Non.

42:15Bon, très bien.

42:16Je réfléchissais.

42:17Très bien.

42:18Et donc, depuis quatre ans,

42:21votre vie,

42:21tout au moins depuis trois ans,

42:22votre vie a changé

42:23puisqu'il y a quatre ans,

42:24vous étiez seule

42:25et vous étiez dans

42:26une autre vibration.

42:27OK.

42:28Donc, ça explique cela.

42:30Vous voyez ?

42:31Et donc, pour moi,

42:34alors,

42:34vous donnez le sentiment

42:36comme si vous étiez

42:36un couple déjà installé

42:38depuis très longtemps

42:39tous les deux.

42:40Oui.

42:41Et il a un projet professionnel ?

42:45En tout cas,

42:46je sais qu'il n'est plus bien

42:47là où il est

42:48et il aimerait

42:49quelque chose

42:51qu'il épanouisse

42:51et il aimerait

42:52plus de temps avec nous.

42:54Et en tout cas,

42:54on n'aime pas.

42:55On a même eu pour projet

42:56de monter une entreprise.

42:57On ne sait pas

42:57si on le fera.

42:58En tout cas,

42:58on essaiera, c'est sûr.

42:59Est-ce que ça fonctionnera ?

43:00Je ne sais pas, justement.

43:01Eh bien, oui.

43:02Bien, oui.

43:03Vous allez monter une entreprise.

43:05Alors, rien n'est facile

43:06ensemble.

43:07C'est-à-dire que,

43:08pour moi,

43:09vous êtes un couple solide

43:11avec une stabilité

43:12mais rien ne vous aide.

43:13vous est donnée facilement.

43:16Et ça sera toujours

43:17un peu comme ça.

43:18Mais il ne faut pas,

43:18pour autant,

43:19perdre espoir.

43:20Il ne faut pas lâcher.

43:21Au contraire,

43:22une personne avertie

43:23en vaut deux.

43:24Donc,

43:25il ne faut pas renoncer non plus.

43:27Et vous allez monter

43:28un projet ensemble.

43:29Parce que je vois

43:29un projet d'entreprise.

43:30Il y a quelque chose

43:31qui se mettra en place

43:31qui aura du mal,

43:33bien entendu,

43:34à trouver son équilibre

43:37et aussi à pouvoir progresser

43:39et à prendre de l'élan.

43:42ou en tout cas,

43:44à trouver

43:44l'épanouissement.

43:48Mais votre désir

43:51à tous les deux

43:51est d'aller dans ce sens-là.

43:53Et pour moi,

43:54ça sera une très belle opération

43:55et une très belle réussite

43:56à l'avenir.

43:57Vous voyez dans quoi ?

43:58A peu près ou pas ?

43:59Je pense qu'il y a

43:59un peu de commerce.

44:00Ça touche

44:01la relation du commerce.

44:03D'accord ?

44:05Merci à vous,

44:07Lise.

44:08J'ai une petite coupure,

44:09je ne sais pas.

44:10Vous m'entendez ?

44:11Je vous entends, oui.

44:12Merci à vous.

44:13Je peux avoir une question.

44:14Désolée,

44:15on n'a plus de temps.

44:17Mais en tous les cas,

44:18restez à l'antenne.

44:19Restez à l'antenne,

44:20le standard va vous reprendre

44:21et on va vous reprogrammer

44:22ou sinon,

44:23je vous prendrai hors antenne.

44:24D'accord ?

44:25Merci.

44:25Merci à vous.

44:27Allez,

44:28vous allez retrouver

44:29les Chevaliers du Féel

44:30dans quelques minutes

44:31et à 18h,

44:33vous allez retrouver

44:33Les Vraies Voix

44:34avec Cécile de Minibus

44:36et Philippe David.

44:37Alors ce soir,

44:38une émission spéciale

44:39du 13 novembre

44:40et puis ils auront

44:41comme un invité

44:42un opérateur

44:43de la BRI-PP

44:45pour justement

44:45parler de ces événements.

44:47Vous voulez réagir,

44:48vous voulez témoigner,

44:49n'hésitez pas à appeler

44:50le 0826 300 300.

44:53Nous,

44:53on se retrouve demain,

44:54même heure,

44:55même endroit.

C'est Votre Avenir - Émission du 13 novembre

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