- il y a 3 semaines
Bonsoir DICI accompagne les téléspectateurs de BFM DICI dans leur soirée avec un focus sur l'actualité locale : infos, météo, sport, trafic. Au sommaire : Manosque, premières démolitions aux plantiers. Hautes-Alpes, un budget 2026 prudent. Vernet, ils étaient à Paris le 13 novembre 2015.
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00:00Bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir, bonsoir d'ici.
00:14Bonsoir à tous, c'est parti pour deux heures d'infos sur BFM d'ici et comme chaque soir, Hugo Marseille et Gaëlle Lanou sont avec nous.
00:21Hugo, comment allez-vous ?
00:22Très bien et vous ?
00:22On vous retrouve, ça va, merci. On vous retrouve tout à l'heure pour l'histoire, pas du tout, pas pour l'histoire du jour, pour le BFM d'ici et vous.
00:29Et vous allez nous parler d'adoption, vous allez nous expliquer comment ça marche, quelles sont les démarches.
00:34Gaëlle, bonsoir.
00:35Bonsoir.
00:35On vous retrouve, vous, pour l'histoire du jour dans un instant.
00:39Et en régie, on salue notre chef d'édition, l'homme qu'on ne voit jamais.
00:44Thibaut, tout va bien ?
00:46Oui, mais on l'a entendu.
00:48Et on vous entend très bien. Bonsoir Thibaut.
00:51Voici le sommaire.
00:53A 18h15, c'est BFM d'ici et vous avec donc Hugo Marseille qui nous parle d'adoption responsable.
00:59Et oui, quand on adopte un chien, par exemple, via une association, on accepte son vécu, un vrai engagement sur le long terme.
01:06A 18h45, dans la bande d'infos, c'est le Focus Économie avec le réseau Initiative Alpes-Provence.
01:12Muriel Geoffroy nous a préparé un programme très girl power.
01:17Vous verrez.
01:18Et puis à 20h, c'est Virage Marseille.
01:19Comme chaque soir avec nos confrères de BFM Marseille, pour tout savoir de l'actualité de l'OM, une équipe qui a bien sûr ses supporters sud-alpins.
01:27Voilà pour le programme, messieurs, à tout à l'heure.
01:30BFM, bonsoir d'ici.
01:31C'est parti sur BFM d'ici, place au titre de l'actualité.
01:35A Manosque, le quartier des plantiers est en pleine transformation.
01:39Le programme de ces travaux d'ampleur avait été présenté en janvier dernier aux habitants.
01:44Et cet après-midi, une nouvelle phase a démarré.
01:46Les démolitions des garages de l'Alicante et de la résidence Plantier 1.
01:50Les détails dans cette édition.
01:53Le conseil départemental des Hautes-Alpes a fait le point sur ses finances pour 2026.
01:57Le débat d'orientation budgétaire a montré que les collectivités locales sont encore impactées par la situation nationale.
02:04Malgré tout, les Hautes-Alpes restent l'un des départements de France qui investit le plus.
02:08Des témoignages bouleversants en fin d'édition.
02:11Des habitants du Vernet étaient au Stade de France le 13 novembre 2015.
02:16C'est là qu'une vague d'attentats a démarré ce soir-là.
02:19Ces témoins se souviennent de tout.
02:21Les vibrations, les bruits, la peur.
02:23Ils nous racontent 10 ans après.
02:25Vos prévisions météo pour demain jeudi fera 7 degrés à la Motte en Champsor.
02:31Champsor et 3 degrés à Vergon dans les Alpes de Haute-Provence.
02:36Le quartier des plantiers et de l'Alicante entame sa transformation à Manosque menée dans le cadre du nouveau programme national de renouvellement urbain.
02:50Le projet vise à durablement transformer l'image de ce quartier.
02:54Et depuis ce mercredi, les premiers travaux de démolition ont commencé.
02:58Les garages d'abord, puis la résidence des plantiers.
03:01Laurie Charrier vous êtes sur place.
03:02Oui, au cours des prochaines années, les Manosquins pourront constater l'évolution, la transformation de ce quartier
03:08qui a commencé d'ailleurs dès aujourd'hui avec la destruction des garages de l'Alicante.
03:13Mais le plus spectaculaire, ce sera sans doute au fil des prochaines semaines
03:16puisque l'immeuble qui se trouve juste derrière moi sera progressivement démoli.
03:21Des machines vont venir grignoter les étages un par un jusqu'à ce qu'il n'en reste plus rien.
03:25Un chantier énorme qui va donner un nouveau visage au quartier avec de nouveaux bâtiments
03:31mais aussi l'implantation par exemple du centre médico-social.
03:35Bref, un nouveau projet urbain pour un quartier qui en avait vraiment besoin.
03:38Avant mon élection, c'était un quartier qui était gangréné par le trafic de drogue.
03:43Un quartier qui était hautement paupérisé avec beaucoup de familles qui malheureusement vivaient sous le seuil de pauvreté.
03:50Aujourd'hui, tous les gens ont été relogés ailleurs pour faire de la véritable mixité sociale
03:54et non pas faire une apartheid avec une concentration de personnes en difficulté.
03:59Et aujourd'hui, en effet, on arrive à la finalité de ce renouvellement urbain
04:03avec la destruction des immeubles qui sont aujourd'hui vides.
04:06En comptant la phase de démolition et de construction,
04:09la mairie espère voir la fin de ce projet d'ici l'année 2028.
04:14Souvenez-vous, en fin de semaine dernière, un homme a agressé physiquement des policiers
04:18au poste de frontière de Montgenèvre.
04:21Il a été jugé hier à Gap en présence des trois policiers agressés.
04:25Guillaume Cangiano, vous êtes devant le tribunal de Gap.
04:29Que peut-on dire de la condamnation de ce ressortissant malien ?
04:32Eh bien, un homme de 35 ans, originaire du Mali, a été condamné à six mois de prison ferme
04:37avec incarcération immédiate pour avoir agressé physiquement trois policiers aux frontières à Montgenèvre.
04:44Il est également interdit de séjourner sur le territoire français pendant deux ans,
04:49selon les informations du Dauphiné libéré, confirmé par la procureure de la République de Gap, Marion Losac-Meur.
04:56Durant l'audience, l'homme a affirmé qu'il a reçu un coup dans le dos
05:00et qu'il ne voulait pas rester dans sa cellule.
05:02Le trentenaire a ensuite mordu au mollet un brigade lié-chef.
05:06La morsure a été si forte que le policier a saigné, malgré le fait qu'il portait son pantalon.
05:11Les trois policiers agressés se sont présentés au tribunal avec leurs certificats médicaux.
05:17Selon la procureure de l'audience, Zoé Grisol, l'homme avait la volonté de faire mal pour s'enfuir.
05:24Les débats d'orientation budgétaire avaient lieu début novembre au Conseil départemental des Hautes-Alpes.
05:29On en parle tout de suite avec l'invité de la rédaction.
05:31– Bonsoir Patrick Ricou, vous êtes vice-président en charge des finances au département des Hautes-Alpes.
05:42À quoi ressemble ce budget 2026 par rapport à l'année dernière ?
05:46Quelles sont les priorités du département ?
05:48– Les priorités du département, ce sera bien évidemment de poursuivre une politique d'investissement ambitieuse.
05:53Nous avons sur ce mandat, depuis 2021-2022, mis en place un plan pluriannuel d'investissement ambitieux
06:00qui s'élève à 525 millions d'euros sur la mandature, avec bon nombre d'équipements structurants,
06:07notamment autour des infrastructures liées au collège, avec la rénovation de trois collèges,
06:14avec des travaux importants sur le réseau routier, avec des équipements aussi dans le domaine de la culture
06:19et avec la rénovation totale des archives. Et aujourd'hui, ce plan ambitieux, il viendra aussi s'enrichir
06:26d'événements, d'investissements, pardon, liés à cette période pré-olympique 2025-2026-2030,
06:35dans lequel nous allons réaliser un système d'investissement sur notre réseau routier.
06:39Mais ce budget, il doit aussi, il s'élaborera dans un contexte financier particulier
06:45que celui aujourd'hui de tous les départements, de manière générale, avec un contexte qui a tendance plutôt à se durcir.
06:54Des charges hautes et des recettes plutôt en baisse. Concrètement, quelles sont les principales difficultés
06:59que rencontre notre département ?
07:00Je crois que le département n'est pas en difficulté, loin de là. Bon nombre de départements en France sont en difficulté.
07:08Ils sont une cinquantaine aujourd'hui de départements qui sont en difficulté.
07:12Le président national des départements de France, François Sauvadet, a à plusieurs reprises alerté le gouvernement sur cette situation.
07:20Aujourd'hui, cette situation, elle est due à quoi ? Elle est due à, en fait, une décorrélation totale des recettes,
07:26de la dynamique des recettes, qui aujourd'hui, pour les départements, sont plutôt des recettes qui sont à la baisse,
07:33avec une diminution importante des droits de mutation, avec une diminution des dotations
07:40et des compensations de l'État sur toutes les dépenses de solidarité,
07:44avec des écrêtements et des gels d'une recette importante,
07:47qui est les recettes de la TVA, qui nous a été transférée par l'État lorsqu'il y a eu suppression
07:52pour les départements de la perception de la taxe foncière.
07:55Et aujourd'hui, cette diminution de nos recettes, elle est en parallèle d'une augmentation des dépenses,
08:01sur lesquelles, et c'est une des particularités des départements,
08:04les départements ont peu de marge de manœuvre.
08:07Et vous l'avez dit, pardon, le département des Hautes-Alpes resterait l'un des plus gros investisseurs de France.
08:13Comment vous expliquez cette capacité à continuer d'investir quand d'autres départements ne peuvent plus le faire ?
08:18Alors, cette capacité d'investissement, nous la devons d'abord à l'application qui a été la nôtre,
08:23à mettre en place, à ne pas laisser déraper nos dépenses de fonctionnement,
08:27pour garder une épargne suffisante pour pouvoir investir.
08:30Nous avons eu, effectivement, des années plutôt dynamiques, en termes de recettes,
08:37notamment aux droits de mutation, en 2022.
08:392021-2022 étaient des années fastes, donc nous avons engrangé de l'épargne
08:43par rapport à ce qui nous a permis, ensuite, sur les années suivantes, 2024 notamment, et 2025,
08:51de pouvoir continuer d'investir, parce que nous avions une épargne significative.
08:55Parallèlement à cela, nous nous sommes des endettés, entre le département,
09:00c'est des endettés d'une cinquantaine de millions d'euros,
09:02la dette des Hautes-Alpes était de 174 millions d'euros fin 2021,
09:07elle sera de 122 millions d'euros à la fin de cette présente année.
09:11Mais aujourd'hui, nous arrivons un peu aux limites de l'exercice,
09:15parce que nous avons largement utilisé les marges de manœuvre qui étaient les nôtres pour pouvoir investir.
09:20Le département n'est pas en situation difficile, mais ça nous oblige aujourd'hui à être particulièrement vigilants
09:27sur nos dépenses de fonctionnement, garder le niveau d'épargne suffisant pour pouvoir continuer d'investir
09:34sans trop recourir à la dette, parce que la dette, c'est les remboursements de demain,
09:41donc il faut qu'on soit aussi attentifs à cela, de garder une situation financière solide.
09:47– Mais justement, vous avez eu recours à l'emprunt en 2025, ça faisait deux ans que ce n'était pas arrivé,
09:52jusqu'où le département peut emprunter sans risque ?
09:54– Alors, je crois qu'en termes de ce qu'il faut surtout regarder, c'est l'endettement avec la capacité à rembourser la dette.
10:02Effectivement, le département aujourd'hui, c'est des endettés, nous n'avons pas emprunté en 2023,
10:07nous n'avons pas emprunté en 2024, nous avons emprunté 15 millions d'euros,
10:12nous allons emprunter pour clôturer l'année 15 millions d'euros en 2025,
10:15mais dans l'année 2025, nous en avons remboursé plus de 18,
10:18donc on va encore se détendetter de 3 ou 4 millions d'euros.
10:232026, donc aujourd'hui, on a un niveau de dette qui, par rapport à notre niveau d'épargne,
10:27aujourd'hui, on était à 2,6 années d'épargne, alors c'est un peu de la technique,
10:32et je ne rentrerai pas dans les détails, mais c'est la capacité que l'on a à rembourser sa dette
10:36avec le niveau d'épargne que l'on dégage, aujourd'hui on était à 2,6 années d'épargne,
10:40le seuil d'alerte est à 11, 12 années.
10:45Donc aujourd'hui, le département est en situation plutôt solide,
10:50mais les choses peuvent très vite s'inverser.
10:52Donc le recours à la dette, on a prévu en 2026 d'emprunter entre 25 et 25 millions d'euros à peu près,
10:59donc un recours à l'endettement modéré, puisqu'on va rembourser encore 17 ou 18 millions d'euros,
11:06donc un niveau d'endettement que l'on va essayer de stabiliser en se fixant un plafond
11:13qui est celui de ne pas dépasser 6 années d'épargne en termes d'endettement.
11:17Donc ça veut dire être particulièrement attentif sur les dépenses et ne pas laisser déraper nos dépenses de fonctionnement,
11:23et ça c'est vraiment l'exercice auquel nous allons nous livrer en 2026.
11:26Si c'est justement, en un mot pour terminer, l'année 2026, est-ce que c'est une année de prudence
11:30ou une année de projection vers l'avenir ?
11:32Alors c'est les deux, c'est une année de prudence en ce sens où nous n'allons certainement pas investir
11:37le niveau que nous avions investi ces deux dernières années.
11:402024, je le rappelle, c'était une année record pour les Hautes-Alpes, 75 millions d'euros en investissement.
11:452025 sera du même ordre.
11:482026, on sera plutôt sur 65 millions d'euros de prévus, avec un recours à l'emprunt de l'ordre de 25 millions d'euros.
11:56Fort heureusement, et ce coup de pouce c'est le bienvenu, les financements que nous pourrons mobiliser
12:06dans le cadre de la préparation des Jeux Olympiques 2030, font que le département des Hautes-Alpes,
12:12pour investir dans les prochaines années, bénéficiera de 55 millions de subventions pour investir sur son réseau routier,
12:21ce qui nous permettra, normalement, si les choses ne se... il n'y a pas d'évolution significative,
12:28de garder un niveau d'investissement de l'ordre de 60 à 65 millions d'euros sur les 4 ou 5 prochaines années,
12:33ce qui restera un niveau d'investissement particulièrement élevé au regard de la population d'un département comme l'Aux-Alpes.
12:39Merci, merci beaucoup Patrice. Patrick Ricou, je vais y arriver, vice-président en charge des finances,
12:44donc au département des Hautes-Alpes. Merci d'avoir été notre invité.
12:48D'ici quelques semaines, les stations de ski de notre territoire vont commencer à ouvrir les unes après les autres,
12:54mais difficile de s'imaginer sur les pistes quand on observe nos sommets et les températures plutôt estivales,
13:00plutôt douces de ce mois de novembre.
13:03A Montgenève, par exemple, sur le front de neige, il fait 12 degrés au meilleur de la journée.
13:08L'ouverture de la station est prévue pour le 29 novembre et la neige n'est toujours pas installée,
13:13mais pour les professionnels du secteur, il est encore trop tôt pour s'inquiéter.
13:16Sur place, Jérémy Cazot.
13:17Un papa en t-shirt qui profite de la douceur du temps.
13:2115 degrés à Briançon, 12 à 1800 mètres d'altitude, 500 mètres plus haut.
13:26L'occasion pour Caroline d'une petite balade sur le front de neige,
13:29devant une herbe encore verte et la neige à peine visible sur les sommets.
13:33Pas de quoi pour autant s'alarmer pour cet habitué.
13:36Les saisons changent, j'en le sais, donc c'est pas étonnant.
13:38Souvent, ça arrive juste avant l'ouverture de la station.
13:4216 jours, voilà le temps qu'il reste pour espérer que l'or blanc des montagnes
13:45prenne le dessus sur la saison d'automne.
13:47Pour le responsable commercial de la station, il est bien trop tôt pour s'inquiéter,
13:52d'autant que les forfaits saison sont déjà vendus comme des petits pains.
13:55L'engouement pour le ski est là, nous ne sommes pas inquiets de ce point de vue-là.
14:00Ça donne le tempo qui est bien favorable en ce moment.
14:03Pour ce prévisionniste, chez Météo France, les températures du moment 5 à 6 degrés
14:07au-dessus des normales de saison ne signifient pas forcément un manque de neige
14:11pour le début de la saison de ski.
14:13Heureusement, le mercure devrait baisser dès le milieu de la semaine prochaine,
14:16mais la neige va encore se faire attendre un moment.
14:18On n'a pas de prévision pour des chutes de neige significatives en moyenne montagne
14:23dans les dix prochains jours.
14:25Une chose est sûre, si rien n'est joué pour le début de la saison de ski,
14:28les épisodes de douceur sont de plus en plus tardifs en moyenne montagne.
14:32De quoi faire peser un risque potentiel sur l'économie touristique.
14:38Il y a dix ans, le 13 novembre 2015, la France était la cible d'une série d'attentats à Paris.
14:44La première alerte a été donnée au Stade de France pendant le match France-Allemagne.
14:48Et ce soir-là, parmi les milliers de spectateurs, environ 300 personnes des Alpes-de-Haute-Provence
14:54sont présentes dans les gradins.
14:57Ils sont invités par la compagnie Lufthansa, quelques mois après une autre catastrophe,
15:03le crash de la Germanwings.
15:05Pour BFM d'ici, ces habitants du Vernet ont accepté d'évoquer leurs souvenirs
15:09de cette soirée qui a coûté la vie à 132 personnes.
15:14Christian se souvient de ce vendredi 13 novembre 2015 en détail.
15:17Il est au Stade de France, comme d'autres habitants du Vernet,
15:20pour assister à la rencontre opposant l'équipe de France de football à l'Allemagne.
15:23Quand soudain, il ressent des vibrations anormales.
15:26Mais un ami le rassure.
15:27Il me dit non, non, mais t'inquiète pas.
15:29C'est les gars qui viennent voir les matchs, ils ont des bombes agricoles.
15:34Ce qui m'a étonné, c'est la vibration que cette détonation a provoquée.
15:37Ça a vraiment fait bouger le béton.
15:39A l'extérieur du Stade et dans Paris, l'angoisse pourtant grandit.
15:42Plusieurs attaques terroristes sont en cours, dont celles du Bataclan.
15:45Mais pour ne pas provoquer plus d'agitation, le match ira à son terme.
15:48Et c'est lorsqu'il faut évacuer le Stade que les spectateurs commencent à prendre connaissance
15:52de la situation et que la panique s'installe.
15:54La femme de François a été blessée, ma cousine a été blessée aussi.
15:57Dans ce mouvement de foule, ils sont tombés face à la police qui était masquée, armée jusqu'aux dents.
16:02Ils ont pensé avoir affaire aux djihadistes.
16:04Si Christian n'était pas directement dans la foule, ce n'est pas le cas de François Balic, le maire du Vernet.
16:09Les gens voulaient absolument sortir.
16:11On pensait que si on me demandait de sortir, c'est que le danger était dans le stade.
16:15Donc moi, le souvenir que j'ai, c'est ce moment de panique, ces gens qui criaient, qui étaient au sol.
16:19Ce vendredi 13 novembre 2015, ces attentats auront fait 132 victimes, dont deux suicides, après les attaques.
16:27Avant le trafic, notre belle histoire du jour, on vous emmène dans les étoiles.
16:34Regardez ces aurores boréales visibles la nuit dernière dans les Alpes du Sud, entre 3h et 5h30 du matin.
16:41Attention, on nous signale du verglas sur la route, notamment au niveau des stations Praloup et du Sose dans les Alpes d'Aude-Provence.
17:03Les routes concernées sont les D902, D908, D109, D209 et D9.
17:10Même chose sur la D955 entre Castellane et Saint-Julien-du-Verdon.
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