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Eli Sharabi, ex-otage aux mains du Hamas : "J'ai choisi de parler pour que personne ne réécrive notre histoire"
France Inter
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il y a 1 jour
Dans son essai, "Otage : 491 jours aux mains du Hamas", publié aux éditions Michel Lafon, Eli Sharabi raconte son enlèvement, le 7 octobre 2023 dans le kibboutz de Beeri, et sa captivité. Il est l'invité de Marion L'Hour.
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-7h50-du-week-end/l-invite-de-7h50-du-we-du-samedi-08-novembre-2025-8782500
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00:00
Et le premier invité de France Inter ce matin est revenu de l'enfer.
00:04
Ce sont ses mots libérés le 8 février 2025 après 491 jours aux mains du Hamas
00:10
qu'il avait enlevé au kibbutz de Béhéry le 7 octobre 2023.
00:14
Comme avaient été enlevés 250 autres personnes, plus de 1200 ont été tuées.
00:20
Bonjour Elay, cher Abhi.
00:22
Shalom.
00:23
Vous faites partie des très rares otages du Hamas,
00:26
ça témoignait directement dans ce livre « Otage ».
00:30
Souvent ce sont les familles qui racontent.
00:32
Là c'est vous qui livrez votre récit, un récit très cru, très dur.
00:36
Pourquoi est-ce que vous avez décidé de parler ?
00:41
Je choisis de parler parce que j'ai vu une grande importance.
00:48
Que ce savoir, ces détails ne restent pas avec moi, que ça sorte.
00:52
Et même avant le 7 octobre, je suis quelqu'un qui avait l'habitude de parler beaucoup.
00:59
Et il y a une importance dans ce témoignage pour que personne à l'avenir ne récrive pas notre histoire.
01:08
Et la deuxième chose, c'est que parler et écrire un livre, ça fait partie de ma guérison.
01:15
Comment vous expliquez que ce livre ait rencontré un tel succès en Israël,
01:20
qu'autant de personnes se soient pressées dans les librairies pour le lire ?
01:24
Est-ce que c'est un morceau d'histoire au fond ?
01:28
C'est déjà un morceau de l'histoire.
01:32
Et lorsque j'ai été libéré, les gens avaient chez eux, pendant 16 mois,
01:40
ils avaient mon histoire chez eux.
01:43
Et ils voulaient me voir m'effondrer.
01:46
Et au lieu de cela, j'ai prouvé qu'on pouvait regarder avec optimisme vers l'avenir.
01:54
Et que rien, rien ne peut me briser.
01:59
Et je construira ma vie à nouveau.
02:01
Et pour les gens, c'est quelque chose d'exceptionnel.
02:05
Et pour moi, c'est quelque chose de normal.
02:09
Votre résilience est incroyable.
02:11
Et on va en reparler.
02:12
Mais vous démarrez ce livre avec le récit de votre 7 octobre.
02:16
Vous êtes avec votre femme, Liane, avec vos deux filles, Neuia et Yaël.
02:20
Et là, vous apprenez que les terroristes sont dans le kibbutz.
02:24
Oui, ils sont rentrés au kibbutz, les terroristes.
02:33
Et on nous a dit de rester dans les abris.
02:37
Et donc, après quatre heures de combats extrêmement durs dans le kibbutz Beheri,
02:44
et après que nous ayons compris le témoignage d'enfants sur WhatsApp,
02:48
qu'ils ont tué leur père, qu'ils ont tué leur mère,
02:55
et qu'on renverse leur maison, et qu'on traverse leur maison,
03:00
on a compris qu'ils venaient vers chez nous.
03:01
Et moi, Eliane, on épouse,
03:06
on a décidé de ne pas lutter avec eux pour pouvoir protéger nos filles.
03:11
et on a supposé que ce serait moi qui serai enlevé.
03:19
Mais qu'elles avaient un passeport britannique.
03:23
On pensait que ça allait les protéger.
03:26
Et c'est ce qui était important, qu'elles soient protégées.
03:31
Et c'est pour ça que je leur ai crié,
03:34
ça sera bien, tout va bien, je reviendrai en vie un de ces jours.
03:37
Ne paniquez pas, vous avez dit.
03:38
Il y a une grande peur, il n'y a pas de panique.
03:46
Tout le monde est tranquille, tout le monde est calme,
03:48
tout le monde fait ce que les terroristes veulent.
03:50
Moi, je comprends l'arabe.
03:53
Et c'était comme ça.
03:54
Et je pensais qu'elles allaient survivre,
03:57
mais malheureusement, cinq minutes après ça,
04:01
elles ont été assassinées dans notre maison,
04:04
alors qu'elles tenaient en main leur passeport britannique.
04:06
Et ça, vous ne le saurez qu'à l'issue de votre captivité,
04:10
quand vous serez libéré, 491 jours plus tard.
04:14
On vous emmène, vous, à ce moment-là,
04:15
on vous enlève, on vous emmène dans ce qui est en fait une maison de famille.
04:18
Et vous racontez vos conditions de captivité.
04:20
C'est très dur.
04:21
Il y a la souffrance physique, des liens qui étaient trop serrés.
04:24
Il y a l'humiliation aussi, par exemple,
04:26
de devoir uriner devant vos geôliers.
04:27
Oui, nous arrivons dans une maison,
04:35
l'habitation d'une maison de palestinien.
04:38
Nous sommes pieds et poings liés pendant trois jours,
04:42
sans capacité de pouvoir nous mouvoir.
04:46
Les liens nous entaillent la peau.
04:49
Et après ça, au lieu de cordage,
04:53
on nous a mis des chaînes de fer
04:56
avec des cadenas aux pieds.
05:01
Et nous sommes restés ainsi pendant 491 jours.
05:06
Beaucoup, beaucoup d'humiliation.
05:08
Parfois, beaucoup de violence aussi.
05:10
Mais le plus dur pendant cela,
05:14
pendant toute cette période,
05:15
ça a été la faim.
05:18
La faim, alors que vos geôliers, eux,
05:20
vous le dites, mangent à leur faim.
05:26
Nous voyons,
05:28
nous sommes à 50 mètres sous la terre.
05:30
Les terroristes arrivent
05:32
avec des dizaines de caisses
05:34
de l'aide humanitaire.
05:35
Et on a vu les signes
05:39
des Nations Unies,
05:41
de la Turquie,
05:42
de l'Egypte.
05:44
Et eux mangent 5 repas par jour.
05:46
Et nous, on mange une pita et demie
05:49
pour toute la journée.
05:51
C'est-à-dire un petit pain plat arabe.
05:55
Je suis rentré à Gaza
05:57
en pesant 70 kilos.
05:59
Et j'étais libéré
06:01
et je pesais 44 kilos.
06:03
Vous avez donc perdu
06:04
une trentaine de kilos.
06:07
Mais ce qui est étonnant,
06:08
c'est qu'il y a eu une famine aussi
06:10
à Gaza.
06:11
Et là, vous dites,
06:13
ce que vous avez vu,
06:13
c'est des colis d'aide humanitaire,
06:15
de la nourriture
06:16
qui venait des Nations Unies.
06:17
Vous avez vu aussi
06:17
dans la maison de la famille
06:19
où vous trouviez,
06:20
il y avait une toile
06:21
avec le sigle de l'UNROI,
06:23
l'Organisation des Nations Unies
06:25
qui s'occupe
06:27
de l'aide humanitaire.
06:29
Qu'est-ce qu'ils font là, ces sigles ?
06:30
Qu'est-ce qu'elle fait là,
06:31
cette aide, au fond ?
06:32
C'est ce qu'on a posé,
06:39
cette question.
06:40
On leur demandait sans arrêt
06:41
est-ce qu'il y a des gens
06:43
qui sont affamés en haut ?
06:45
Alors pourquoi est-ce que
06:46
vous leur prenez la nourriture ?
06:48
Donnez-leur cette nourriture.
06:50
Ils nous ont rigolé au nez.
06:51
Ils ont continué à manger
06:54
cinq repas par jour
06:55
et puis ils avaient
06:59
des petites douceurs
07:00
qui se faisaient chaque jour
07:01
et nous on mangeait
07:04
donc cette pita et demie sèche
07:07
en 24 heures.
07:09
Alors ce qui est frappant,
07:09
c'est que la famille
07:10
qui vous accueille au départ,
07:11
avant que vous soyez emmené
07:12
dans les tunnels,
07:13
ce sont aussi des civils.
07:15
Et puis il y a une foule
07:16
qui essaye au tout début
07:17
de vous lyncher,
07:18
ce sont également des civils.
07:19
Donc ce qu'on comprend dans votre récit,
07:21
c'est qu'il n'y a pas que le Hamas.
07:23
En tout cas, il y a un soutien,
07:24
c'est ce que vous semblez raconter,
07:25
de la population.
07:28
Les civils que je rencontre à Gaza,
07:33
ça commence le premier jour,
07:35
le 7 octobre,
07:37
à côté de la mosquée,
07:40
lorsque le véhicule s'arrête
07:41
pour la première fois.
07:43
Ces civils me prennent
07:47
des mains des terroristes
07:49
et commencent à me lyncher
07:51
des gens âgés
07:56
avec la main nue
07:58
et puis des enfants
08:00
qui se jettent sur moi
08:01
et qui me donnent des coups
08:02
avec leurs chaussures.
08:05
Et ensuite,
08:06
pendant toute la journée,
08:08
pendant les 52 premiers jours
08:09
dans cette famille,
08:11
la famille
08:12
et les terroristes
08:14
ont tout le temps peur
08:15
que les civils entrent dans leur maison
08:18
et qu'ils tuent tout le monde.
08:22
Vous sortez le 8 février,
08:24
vous apprenez,
08:25
on l'a dit,
08:25
que votre femme,
08:26
que vos deux filles,
08:27
que vos frères ont été tués.
08:29
Le livre leur est d'ailleurs dédié.
08:30
dédié et pourtant,
08:32
vous ne pleurez pas
08:33
et vous dites même
08:34
que vous n'êtes pas en colère,
08:35
que vous pouvez survivre à tout.
08:37
D'où est-ce que vous tirez
08:38
cette résilience ?
08:41
Je suis quelqu'un d'extrêmement pratique
08:45
à la base.
08:48
Lorsqu'on m'annonce
08:49
que seule ma mère
08:51
et ma soeur m'attendent
08:54
et qu'elles me raconteront,
08:55
je comprends immédiatement
08:56
l'horreur qui s'est produite
08:58
le 7 octobre.
09:00
Je pleure 5 minutes
09:01
et l'assistante sociale
09:06
me calme.
09:08
Et après 5 minutes,
09:09
je comprends que
09:10
je ne peux pas
09:13
permettre à ma douleur
09:16
et à ma colère
09:17
de m'envelopper
09:18
et de m'étouffer.
09:19
Parce que moi,
09:20
je suis là.
09:21
La vie est là.
09:23
J'aime la vie.
09:25
Et je comprends
09:28
qu'il n'y a rien à faire.
09:30
Je ne peux pas faire revenir
09:31
Liane et mes filles.
09:36
Et je sais
09:37
qui me donne
09:38
cette force.
09:39
C'est ma famille.
09:42
Et je veux les voir.
09:43
Je veux les embrasser.
09:46
Et pendant 9 mois,
09:48
depuis le jour
09:49
de ma libération,
09:50
ils m'entourent d'amour.
09:53
Et ils me remettent
09:55
sur le chemin de la vie.
09:56
Ils vous entourent
09:57
et vous,
09:57
vous êtes presque devenu
09:58
un porte-parole.
09:59
des otages.
09:59
Vous avez rencontré
10:00
Donald Trump,
10:01
vous avez rencontré
10:02
le Premier ministre britannique
10:03
Keir Starmer.
10:04
Vous allez alerter
10:04
même à la tribune
10:05
des Nations Unies
10:06
comme une sorte
10:07
de porte-parole
10:08
des otages
10:09
sur le sort
10:10
de ces otages israéliens.
10:12
Qu'est-ce qui vous a donné
10:13
cette force ?
10:16
Tout d'abord,
10:19
mon frère,
10:20
parce que son corps
10:22
était encore
10:22
entre les mains
10:23
du Hamas
10:23
et il fallait que je
10:24
le fasse revenir
10:24
en Israël.
10:27
C'était la lutte
10:28
de ma famille.
10:30
Et j'ai laissé
10:31
Alon Noël
10:32
qui était avec moi
10:33
15 mois
10:35
dans les tunnels
10:36
du Hamas.
10:37
Je l'ai laissé
10:38
derrière moi.
10:39
Je lui avais promis
10:40
de lutter
10:41
pour lui.
10:45
Et j'ai vu
10:45
la douleur
10:46
des familles,
10:48
à quel point
10:49
ils avaient besoin
10:50
d'aide.
10:51
Et j'ai vu
10:51
que
10:52
peu
10:55
d'otages
10:56
qui en étaient sortis,
10:58
qui sont revenus,
10:59
ont pris la parole.
11:01
Et j'ai vu
11:01
que j'avais une mission
11:02
extrêmement importante
11:03
à accomplir.
11:04
Qui continue ?
11:05
Et ça continue
11:07
jusqu'à ce que
11:08
la dernière victime
11:10
qui est morte
11:11
évidemment
11:12
reviendra
11:13
sur la terre
11:14
d'Israël.
11:14
Il en reste
11:15
encore
11:15
7.
11:19
Deux
11:20
qui sont encore
11:21
dans le territoire
11:23
de Gaza
11:23
sont des camarades
11:25
du Kibbutz
11:26
Be'eri.
11:29
Il est important
11:29
que tous
11:30
rentrent
11:31
pour qu'ils puissent
11:32
avoir un enterrement
11:33
digne de ce nom
11:34
en Israël.
11:36
Alors,
11:37
il y a eu
11:37
1200 morts
11:38
le jour du 7 octobre.
11:39
Il y a eu
11:39
les otages.
11:40
Vous disiez
11:40
certaines dépouilles
11:42
sont encore
11:43
aux mains
11:43
du Hamas
11:44
dans la bande
11:45
de Gaza.
11:46
Et puis,
11:46
il y a eu
11:47
68 000 morts
11:48
dans les frappes
11:49
israéliennes
11:50
sur la bande
11:50
de Gaza.
11:51
Quand vous entendez
11:52
le ministre
11:52
de la Sécurité nationale,
11:54
Itamar Benkvir,
11:55
qui menace
11:55
de quitter
11:56
le gouvernement
11:57
si un projet
11:58
infligeant la peine
11:58
de mort aux terroristes
11:59
n'est pas voté
12:00
dans les prochaines semaines,
12:01
quel regard
12:02
vous portez là-dessus ?
12:03
Tout d'abord,
12:10
en ce qui concerne
12:11
le nombre de morts
12:12
à Gaza
12:13
et le nombre
12:14
de blessés,
12:15
je ne sais pas
12:16
comment est-ce
12:17
qu'on peut lutter
12:17
contre une organisation
12:19
terroriste
12:20
qui se cache
12:20
derrière sa propre
12:21
population.
12:23
À notre grand regret,
12:26
ces terroristes
12:27
sont des monstres.
12:29
tout le monde a vu
12:30
ce qu'ils ont fait
12:31
le 7 octobre.
12:33
C'est facile
12:33
d'oublier
12:35
et ça plaît
12:37
d'oublier.
12:39
Mais il faut que chacun
12:40
soit jugé
12:41
jusqu'à son dernier jour.
12:46
Je ne veux pas
12:47
parler de la politique
12:49
en Israël,
12:49
je ne suis pas
12:50
quelqu'un de politique.
12:51
J'étais simplement
12:51
un otage
12:52
qui a été enlevé
12:53
et je veux
12:54
que les autres otages
12:56
jusqu'au dernier
12:56
d'entre eux
12:57
soient rendus.
12:58
Elie Charabiex,
13:00
otage du Hamas,
13:01
auteur de ce livre,
13:02
ce morceau d'histoire,
13:04
otage,
13:04
best-seller en Israël,
13:06
otage au singulier
13:06
aux éditions
13:07
Michel Laffont.
13:08
Merci de nous avoir
13:09
répondu ce matin
13:10
sur France Inter.
13:11
Merci également
13:12
à Michel Zotowski
13:13
pour la traduction.
13:14
Merci.
13:15
Merci.
13:16
Merci.
13:17
Merci.
13:18
Merci.
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Climat : "Aujourd'hui, nous sommes dans une bataille idéologique avec l'administration Trump", estime Pascal Canfin
France Inter
il y a 5 heures
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