00:02Ce n'est pas de la même nature parce que là, il y avait une émotion liée au fait qu'il y avait deux gosses qui s'étaient enfuis, qui avaient été électrocutés.
00:09Et donc, il y avait une émotion qui était réelle, qui ne met pas en cause le travail des policiers, mais il y avait une émotion réelle par rapport à ces deux enfants justifiés.
00:19Et là, c'était l'émotion. Moi, j'ai géré, à l'inverse peut-être de vous, William, mais j'étais élu à l'époque dont j'ai géré ça, en direct,
00:27dans les quartiers, etc. En 2025, les émeutes, ce ne sont pas du tout de la même nature.
00:34Parce que depuis, à l'inverse de ce qui existait auparavant, les banlieues, elles ont basculé dans un autre ordre, l'ordre des narcotrafiquants.
00:43C'est eux qui gèrent maintenant tout ça. Et les émeutes qu'on a eues en 2025, elles ont été quadrillées.
00:48Quand on regarde les profils de ceux qui descendaient de ce qu'il se passait, etc.
00:52Je vous le disais, quand on débattu, vous avez remarqué qu'en 2025, ça a mis trois semaines et ça a été long.
00:58En 2025, ça s'est arrêté en cinq jours. Personne ne s'est posé la question de savoir pourquoi.
01:05Tout d'un coup, partout en France, ça s'est arrêté en cinq jours. La réponse, je vous la donne.
01:10Oui, mais pardon.
01:11Parce que ceux qui menaient les émeutes en 2025, ceux qui laissaient faire les émeutes,
01:17ont dit à un moment donné à tous les gamins qui descendaient, qui cassaient, qui croyaient qu'ils étaient à la fête.
01:22Maintenant, ça suffit parce que le commerce doit reprendre.
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