- il y a 2 jours
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 22/10/2025.
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00:00Hier, il y a eu une grande confiance
00:02sur le plateau avant le match.
00:03Les pronostics étaient même parfois jusqu'à 4-0 ici en plateau.
00:06Benoît, vous aviez annoncé 4-0, je crois ?
00:08Moi, j'avais annoncé 5.
00:09Et vous, 5-0.
00:10Et à l'arrivée, vous étiez tous dans l'erreur.
00:14Puisque ce fut 7-2, Raphaël.
00:16Une différence.
00:17Non, mais ne ramenez pas à vous, vous étiez dans l'erreur.
00:18Vous voulez voir les buts ou pas ?
00:20On ne peut pas tous vous les montrer parce qu'on n'a que 30 secondes.
00:24On vous montre les 7 buts du Paris Saint-Germain,
00:26mais soyez concentrés.
00:27La victoire, 7-2 donc.
00:28Allez, Verkouzen, Pacho, qui ouvre le score à la 7e minute de jeu.
00:32Doué, le but du 2-1.
00:34Entre-temps, il y a eu deux cartons rouges de distribuer de chaque côté.
00:37Varastrelia, le but du 3-1.
00:39Ensuite, Achraf Hakimi, juste avant la pause,
00:42qui lance Doué pour un doublé.
00:44La 50e, Nuno Mendes dans la profondeur pour battre Flecken.
00:48La 5-66e, le retour d'Ousmane Dembélé en compétition.
00:51Eh bien, il marque pour sa 100e avec le Paris Saint-Germain.
00:53Il fête son ballon d'or.
00:54Et puis, 90e, Vittinia à 20 mètres.
00:57On frappe pour le 7e but du Paris Saint-Germain.
00:59Louis Senriquet ne cesse de le répéter.
01:01Le Paris Saint-Germain veut une nouvelle fois tout gagner.
01:03Nous cherchons à essayer de gagner tout encore.
01:09Ce sera très compliqué, mais on a de la confiance de l'année dernière
01:14et on pense que notre objectif est un objectif réel et vrai.
01:23Ce sera très difficile parce qu'il y a 400 équipes dans les championnats
01:31de la même niveau que nous.
01:33Mais on est exigeants et on veut continuer sur ce chemin.
01:40Voilà, continuer sur ce chemin.
01:41Émile Eros, c'était exceptionnel hier ce que vous avez vu ?
01:44Ah ouais.
01:45C'était du spectacle.
01:46C'était intense.
01:48C'était fou aussi parce qu'il y a eu tout ce scénario des cartons rouges
01:52qui se sont enchaînés, pénalty, etc.
01:54Donc en fait, au début, on ne voyait pas trop où ça allait nous mener, ce match-là.
01:57Et en fait, moi, j'ai été surprise par le nombre de solutions trouvées
02:00finalement par le Paris Saint-Germain.
02:03Et je ne m'attendais pas à avoir un score aussi fleuve que ça.
02:06Le 10-10, enfin le 10 contre 10, en fait, pour le PSG, c'est une aubaine fantastique.
02:11Effectivement, c'est...
02:12Quand vous êtes plus fort techniquement, plus fort physiquement
02:14et que vous mangez les espaces comme personne.
02:16Alors, de là à dire que c'est...
02:17Effectivement, j'ai bien compris que c'était une aubaine.
02:20De là à en claquer 7.
02:21C'est quand même remarquable.
02:23Et surtout de ne pas s'arrêter jusqu'à la 90e minute avec ce but de Vicuña.
02:27Moi, j'ai été bluffée et surtout par le fait que...
02:30En fait, à 10, ils ont quand même trouvé des solutions,
02:32que les postes se sont alternés, etc.
02:33Et j'ai trouvé ça très, très fluide.
02:35L'idée n'est surtout pas de minimiser quoi que ce soit.
02:37Je précise quand même.
02:38Et d'ailleurs, la preuve, la presse européenne a été subjuguée
02:40par la démonstration du Paris Saint-Germain.
02:43Tous les médias européens ont salué cette puissance
02:46dégagée par le collectif de l'équipe parisienne.
02:50Pellemelle, les spectateurs pressants à la Baye Arena
02:52ont vécu une soirée mémorable.
02:54Le tenant du titre a montré toute sa classe en balayant Leverkusen.
02:58Ça, c'est pour Kicker en Allemagne.
02:59Ce PSG est écœurant.
03:01Dembélé a fait briller son ballon d'or
03:02lors de la balade du PSG face à Leverkusen pour Marca.
03:06Ou encore Louis-Henriquet sème la panique pour Haas.
03:09La presse aussi catalane a salué ce Paris Saint-Germain.
03:13Le PSG continue de dérouler son football dévastateur
03:16pour Mundo Deportivo.
03:17Le PSG de Louis-Henriquet rend fou pour Sport.
03:19Et on termine avec l'Angleterre et BBC Sport.
03:22Le tenant du titre a livré une performance offensive impitoyable
03:26pour démanteler son adversaire.
03:27Mais ça, avant, Benoît, c'était ce qu'on lisait
03:30quand on lisait City, le Barça, le Real.
03:33Et encore, quand il y avait une empreinte,
03:36ils en sont arrivés là.
03:37Là, aujourd'hui, c'est bien.
03:39On aime ces revues de presse, je le dis à chaque fois,
03:40pour montrer qu'on n'est pas dans une réussite franco-française,
03:43une admiration franco-française.
03:45Vous l'aviez annoncé hier, vous étiez sûr de votre coup,
03:48qu'ils allaient les démanteler, je cite BBC Sport.
03:50Oui, parce que c'est un vrai rouleau compresseur, cette équipe-là.
03:53Et puis, ils retrouvaient Pacho, ils retrouvaient aussi
03:56Edoué, Gvara, titulaire, Vitigna aussi, important.
04:00Parce qu'on voit que quand les trois ne sont pas là,
04:02au milieu, c'est compliqué.
04:04Alors là, il y en avait un des trois qui était là.
04:05Les R&M étaient bons.
04:06On en parlera tout à l'heure,
04:08parce qu'ils montent bien en puissance.
04:11Mais Barcola était là aussi.
04:13Donc voilà, quand les titulaires commencent à revenir,
04:15l'équipe est de plus en plus forte.
04:17Hier, c'est effrayant.
04:18J'ai trouvé ça très effrayant hier.
04:20Un regard de défenseur sur ces vagues
04:22qui arrivaient sur le but de l'Everkusen ?
04:24En fait, on peut se poser la question.
04:26Il peut y avoir des débats en disant
04:27« T'analyses le match contre l'Atalanta.
04:29Est-ce que l'Atalanta était nul ? »
04:31Non, le PSG était trop fort.
04:33Est-ce que le Barça était nul ?
04:34Non, le PSG était trop fort.
04:35Est-ce que hier soir, l'Everkusen était nul ?
04:37Un peu.
04:37Un peu, mais le PSG était encore trop fort.
04:41Un peu, ils sont trop forts.
04:42À l'extérieur, vous vous rendez compte ?
04:44Ce n'est pas non plus des peintres en face.
04:47Non, 5e de Bundesliga.
04:48Moi, je trouve ça très effrayant.
04:50Parce qu'il faut quand même le dire,
04:515e de Bundesliga, ce n'est pas un vaincu depuis deux mois.
04:55Et alors, au-delà de la possession de balles,
04:56parce qu'on sait que le PSG a toujours le ballon, etc.
04:58Mais c'est incroyable ce qu'ils ont fait du ballon.
05:01Ils ont été redoutables d'efficacité.
05:03Ils ont tiré 24 fois, 8 tirs cadrés.
05:05Bon, 7 buts.
05:06Mais il y a 43 ballons touchés dans la surface adverse
05:09de la part du Paris-Saint-Germain dans celle de l'Ivercousen.
05:11Et puis, des passes, 469 passes dans la moitié de terrain adverse.
05:15Ah oui, dans la moitié de terrain adverse.
05:17Oui, donc je ne sais pas si vous vous rendez compte
05:18un petit peu de vos rouleaux compresseurs.
05:20Et puis, Alicia l'a évoqué là.
05:23Encore une fois, Paris a marqué les esprits.
05:25Et Paris a tenu une victoire quelque part qui était historique.
05:28Et Paris a battu son record de buts inscrits à l'extérieur
05:31sur un seul match de C1.
05:33Hier, c'est quand même marqué 7 buts.
05:35C'est une prouesse.
05:35L'Ivercousen, c'est le premier club allemand de l'histoire
05:37a encaissé 7 buts à domicile en Coupe d'Europe.
05:40Ça, c'est pour le deuxième chiffre.
05:41Et puis, Paris, qui est toujours sur cette lancée,
05:43sur cette joie qu'elle procure,
05:45en tout cas, cette équipe du Paris-Saint-Germain.
05:47Sixième match d'affilée en Ligue des Champions.
05:49Et il a égalé la meilleure série de son histoire.
05:52C'était 93-94.
05:53Ça datait d'il y a longtemps.
05:54Vraiment, Dominique, qu'est-ce que vous avez préféré ?
05:56Une impression visuelle, vous allez nous dire ?
05:57Ou parmi les stats, il y a quelque chose
05:58qui vous a surpris, ce que nous amène Raph ?
06:04C'est quoi que vous retenez, vous,
06:05en tant que coach d'un match comme ça ?
06:07C'est vraiment la fluidité de leur jeu.
06:10C'est cette facilité à se trouver.
06:12Ils sont toujours en mouvement.
06:13Il y a toujours une solution.
06:14On se dit, mais comment ils font ?
06:15Ils sont plus nombreux.
06:16C'est beaucoup de travail, ça ?
06:18C'est beaucoup de travail,
06:19mais c'est beaucoup l'investissement des joueurs
06:20parce qu'il y a un réflexe immédiat.
06:22Ils sont toujours en anticipation.
06:24Ils ne sont pas en attente de ce qui va se passer.
06:27Ils anticipent.
06:29Quand on les voit ressortir les balles,
06:30quand on voit ce que fait Vitignan à chaque fois
06:32pour donner une solution au milieu,
06:34il est à l'autre bout et tout d'un coup,
06:35il sait que ça va ressortir,
06:36il ne se déplace pas en courant après le ballon,
06:39en donnant une solution sur un ballon avec un angle.
06:42Oui, c'est exceptionnel.
06:44Mais pour ramener une petite touche de modestie à tout ça,
06:48je rappelle que Liverpool,
06:50l'année dernière, à la même époque,
06:51ils étaient dans le même état,
06:53ils survolaient tout,
06:54ils prévenaient tout.
06:55Et à la fin,
06:58ils ont joué qui ?
06:59Ils ont joué Paris.
07:00Je ne suis pas sûr qu'il y ait un 15e cette année
07:01qu'ils soient au niveau de Paris.
07:03Vous avez raison de rappeler.
07:04Dans la situation où on est,
07:05Paris va être devant,
07:07Liverpool va être en bas.
07:08On peut retrouver Liverpool
07:09dans le premier match.
07:11Je ne suis pas sûr qu'ils soient en bas quand même.
07:12Même si en championnat,
07:13c'est plus dur.
07:14Ils sont en bas.
07:15Pourquoi pas ?
07:15Vous avez raison.
07:15C'est bien, c'est super.
07:18Mais attention,
07:18ils sont prêts.
07:20Il ne faut pas être prêts trop tôt.
07:21Trop tôt.
07:21Mais alors, justement, Dave.
07:23Non, mais moi, je veux bien.
07:25Moi, ce qui me plaît là-dedans,
07:32c'est que j'ai l'impression
07:32qu'ils sont déjà prêts.
07:34On sait ce que c'est.
07:36C'est moche, vraiment.
07:38Nous, on a couru, pas vous.
07:40Nous, on n'aime pas courir.
07:42Si, on aime courir,
07:42mais manger surtout.
07:44La réalité, Dave,
07:44c'est que je n'ai pas le sentiment.
07:47Alors, peut-être que je me trompe.
07:48Vraiment, c'est un sentiment
07:49qu'ils soient prêts trop tôt.
07:50C'est juste qu'ils sont dans la foulée
07:52et que je ne les vois pas redescendre.
07:53Mais voilà, c'est une continuité.
07:56Il fallait donner des stats
07:57de six victoires de suite.
07:59Dès que ça compte,
07:59dès qu'ils veulent accélérer,
08:01ils font mal.
08:02Pour moi, on est devant
08:03quelque chose de très rare.
08:05L'année dernière,
08:06ils ont joué pour rentrer dans l'histoire
08:08en gagnant la Ligue des Champions
08:12pour la première fois
08:12et en devenant le deuxième club français
08:14à la gagner.
08:15Je trouve qu'en ce moment,
08:17et c'est peut-être là,
08:17ça va être un peu le sens
08:18de cette saison,
08:19je pèse mes mots,
08:20je pense qu'ils peuvent devenir
08:21une des plus grandes équipes
08:22de l'histoire.
08:23C'est-à-dire un marqueur du jeu.
08:25C'est-à-dire,
08:25il y a peu d'équipes
08:26qui ont fait un doublé
08:28coup sur coup
08:29de C1 d'affilée.
08:30C'est très rare
08:31dans l'histoire.
08:33Et surtout,
08:34il y a très peu d'équipes
08:35qui marquent le jeu.
08:38C'est-à-dire,
08:39on se souvient du Milan de Saki
08:40au-delà du fait
08:41qu'ils ont gagné
08:41deux coupes des clubs.
08:42Il leur faudra peut-être
08:43une deuxième.
08:45Ou une finale
08:45et un jeu comme ça
08:46toute l'année.
08:47Exactement.
08:47Mais par exemple,
08:48le Barça de Guardiola
08:49n'a jamais gagné deux fois
08:50la Ligue des Champions
08:50de suite.
08:51Mais vous avez raison.
08:51On a le sentiment
08:52que oui en fait.
08:52Exactement.
08:53Et pourtant,
08:53ça n'empêche pas
08:54que c'est une équipe,
08:55un marqueur majuscule,
08:57peut-être le plus grand marqueur
08:58de l'histoire du jeu.
08:59Et je trouve,
09:00franchement,
09:01à cette époque,
09:02on ne se posait pas la question
09:02de savoir quand ils étaient
09:03en octobre-novembre
09:04et qu'ils mettaient des doudounes
09:05à tout le monde.
09:05On ne se disait pas
09:06est-ce qu'ils sont prêts trop tôt ?
09:07C'est juste que c'est
09:08la meilleure équipe du monde.
09:09Et qu'en ce moment,
09:10qui que tu mettes en face,
09:12ils te les broient.
09:13Et en plus,
09:13avec autre chose
09:15même que juste
09:16une supériorité.
09:17C'est avec un style,
09:18quelque chose
09:18qui est insoluble.
09:19En ce moment,
09:19c'est un cheat code.
09:20Franchement.
09:21Je pèse mes mots.
09:21Erreur 244.
09:22C'est exactement ça.
09:24Et tu sens que tout le monde
09:25bug face à eux
09:25et que personne ne sait plus
09:26comment ils sont.
09:26Mais physiquement,
09:27je trouve que physiquement,
09:28ils sont même un peu au-dessus.
09:30Oui, bien sûr.
09:30Parce qu'il y a aussi
09:31cette répartition
09:32du temps de jeu
09:34qui permet...
09:35Ils ont fait de la Ligue 1
09:36un allié.
09:36C'est-à-dire que pendant très longtemps,
09:37on a fait nos débats
09:38pour dire est-ce que la Ligue 1,
09:43il n'y a pas pour la Ligue des champions.
09:44Et Luis Enrique,
09:45avec un autre logiciel,
09:47a fait de la Ligue 1
09:48un allié.
09:49C'est-à-dire que la Ligue 1,
09:50il peut se permettre
09:51de gérer des temps de jeu
09:52sans être menacé
09:53de perdre le titre.
09:54Ah, ça, on ne sait pas.
09:55Ils sont deuxièmes.
09:56Non, mais je parle
09:56sur ce qu'on voit
09:57depuis maintenant deux ans.
09:58Depuis qu'il est arrivé
09:58deux ans et demi.
09:59Cette année,
09:59j'ai l'impression
10:00qu'il y a de la concurrence.
10:00Oui, peut-être.
10:01Mais il faudra voir
10:02sur la durée du championnat.
10:02En tout cas,
10:03c'est ça la logique
10:03pour arriver à chaque fois
10:05très en forme
10:06dans les moments qui comptent.
10:07Parce qu'eux,
10:07ils peuvent laisser des points ici
10:08et laisser des points là.
10:09C'est sans conséquence pour eux.
10:10Il accepte ce risque-là
10:12parce que ça n'en est pas.
10:13C'est-à-dire qu'il n'a pas
10:14fait jouer tout le monde
10:14contre Strasbourg
10:15en disant
10:15OK, c'est peut-être
10:16les plus forts avec Marseille.
10:17Exactement.
10:17Il y a des championnats
10:18où peut-être
10:19tu peux moins te permettre
10:20de mettre
10:20le Taillous League.
10:23Mais pour l'estresse
10:24que disait Dave
10:25sur peu importe
10:25l'adversaire du PSG,
10:28peu importe l'adversaire du PSG,
10:30ils vont leur marcher dessus.
10:31Il y a un classement UEFA
10:33qui est établi
10:34sur le coefficient UEFA
10:35avec les clubs
10:36qui sont dans le top 10 européen.
10:38Ils n'ont pas rencontré
10:39Dortmund qui est dans
10:39ce top 10 européen.
10:40Mais vous le voyez
10:41que depuis la saison dernière,
10:42ils ont battu
10:43en Ligue des Champions
10:44ou en Coupe du Monde des Clubs
10:46toutes les équipes
10:47et les Verkoussen
10:48en faisaient partie.
10:48Ils sont 9e au classement UEFA.
10:50Ils ont battu
10:51tout le top 10
10:52hors Dortmund
10:52qu'ils n'ont pas rencontré
10:53depuis la saison dernière.
10:55Le Real, l'Inter,
10:56le Bayern,
10:56Manchester,
10:57Liverpool,
10:57le Barça,
10:58Arsenal et les Verkoussen.
10:59Ce n'est même pas l'argument
11:00de qu'ils ont eu
11:00un tirage favorable.
11:02Non, parce qu'ils ont eu
11:03deux tirages de sort
11:03parmi les plus durs
11:04possibles par l'ordinateur.
11:06On peut bémoliser,
11:07vous avez raison,
11:08vous faites votre boulot,
11:08ce n'est pas la question,
11:09mais il faut aussi dire
11:10quand c'est fort.
11:10Ce sont des bémolisateurs.
11:11Quand ils ne gagnaient pas,
11:12on était les premiers à dire
11:13qu'ils ne gagnent pas.
11:13C'est quand même
11:14ce qu'on a dit en premier.
11:16Oui, bien sûr.
11:17Les supporters parisiens
11:20nous disaient
11:20que ça vous fait plaisir
11:21qu'ils ne gagnent pas.
11:22Maintenant,
11:22ça vous fait plaisir
11:23qu'ils gagnent.
11:23Et comme tout était parfait
11:27hier pour le Paris Saint-Germain,
11:28il y a eu aussi
11:28le retour du ballon d'or
11:30sur le terrain.
11:30C'était un événement,
11:31il était très attendu.
11:33Ousmane Dembélé,
11:34buteur trois minutes
11:35après son entrée,
11:36il disputait hier
11:37son centième match
11:38avec le Paris Saint-Germain.
11:40Forcément,
11:40très fier,
11:41l'international français
11:42est surtout
11:42toujours aussi motivé.
11:44Encore plus,
11:45plus de matchs
11:46avec le Paris Saint-Germain,
11:48le plus possible.
11:49Tant que j'ai faim,
11:50je serai ici
11:51au Paris Saint-Germain
11:51et je suis content
11:52de jouer.
11:52de fêter mon centième match
11:54avec le club,
11:55surtout des champions
11:56avec un but aussi.
11:57Et voilà,
11:58j'espère continuer
11:58sur cette entrée.
12:00Tant que j'ai faim,
12:01je continuerai
12:01les mots d'Ousmane Dembélé.
12:02Et puis,
12:03ballon d'or ou pas,
12:04ça ne change absolument rien.
12:07Non,
12:07pas vraiment.
12:09C'est toujours
12:10la même chose.
12:10En plus,
12:12que ce soit le staff
12:12ou les joueurs,
12:14il n'y a rien qui change.
12:15Et puis,
12:16objectif top 8,
12:17c'est clairement assumé
12:18aussi par Ousmane Dembélé.
12:19C'est ce qu'il a déclaré hier.
12:21Émilie,
12:21c'est important cette phrase.
12:23Tant que j'ai faim,
12:23je ne sais pas jusqu'à quand
12:24il aura faim,
12:25je ne sais pas s'il sera rassasié
12:26après une victoire
12:27en Coupe du Monde
12:27et une deuxième Ligue des Champions
12:28et on lui souhaite
12:29très sincèrement,
12:30on prend.
12:30S'il est rassasié
12:31fin mi-juillet,
12:33on sera ravis.
12:34Rappelons-nous
12:34la semaine dernière,
12:35le début de saison
12:36où on pleurait
12:37sur Dembélé
12:37en disant qu'on ne comprenait
12:38pas ce qui se passait,
12:39etc.
12:40Là,
12:40tant qu'il a faim
12:41et que ça fonctionne comme ça,
12:42on prend.
12:43Il rentre hier
12:44après être blessé,
12:45trois minutes de jeu,
12:46il marque,
12:47c'est bon,
12:47c'est cadeau
12:48et moi,
12:48j'aime bien ce genre
12:49de déclaration
12:49parce qu'on a pu lui reprocher
12:51avant d'être un peu laxiste,
12:52d'avoir un comportement,
12:54une communication.
12:55Là,
12:55il est effectivement
12:56très certifié.
12:56Nouveau leader quand même.
12:57Il a raison.
12:57Cinq minutes après,
12:58il remet une frappe
12:59de Dembélé.
13:00Oui,
13:00non mais...
13:01Mais tu arrêtes !
13:03Mais c'est fou !
13:05Mais oui,
13:05mais s'il ne le fait pas,
13:06on ne l'aime plus,
13:07alors moi,
13:07je l'aime.
13:08Il a un cas d'écharpe.
13:10Vous savez,
13:10il a un contrat,
13:11il ne peut pas dire
13:11que des gentillesses.
13:12Sincèrement,
13:13le match du PSG,
13:15bravo,
13:15félicitations.
13:16Vous n'allez pas me dire
13:17que Dembélé,
13:17dans ce match-là,
13:18il a fait quelque chose.
13:19Il est revenu,
13:20il revient.
13:20Il a marqué.
13:22Merci Barcola.
13:23Mais personne ne vous dit
13:23qu'il a été...
13:24Merci Barcola.
13:25Oui,
13:25il n'a rien fait
13:27d'exceptionnel.
13:27Moi,
13:27je suis quand même...
13:28Je suis content
13:30du but de Dembélé
13:31parce qu'en fait,
13:32ça démontre
13:32que sa cuisse va bien.
13:34C'est ça.
13:34Il faut le mettre,
13:35le butant.
13:36Non mais il faut le mettre,
13:37le butant.
13:37Il tape un petit sprint.
13:39Après,
13:39il faut bien la redresser.
13:40Ça veut dire que
13:41physiquement,
13:41il est bien.
13:42Moi,
13:43je trouve que la phrase
13:43est intéressante
13:45dans ce contexte
13:45parce qu'il y a quelques jours
13:47est sorti dans
13:48le questionnement
13:50de sa revalorisation,
13:52etc.
13:52Il y en a des échos
13:53comme quoi
13:53il voulait vraiment
13:54beaucoup,
13:54beaucoup,
13:54beaucoup.
13:55C'était logique d'argent
13:56et qu'à un moment,
13:56il y a une théorie
13:57qui sera ça.
13:57Voilà.
13:58Et dans ce contexte,
13:59on extrapole
14:00et on se dit
14:00ça veut peut-être dire
14:02que si jamais le PSG
14:03n'accède pas
14:04à ce qu'il veut
14:05ou à quelque chose
14:05qui s'approche,
14:06peut-être qu'il est ramonné
14:07son talent ailleurs,
14:09peut-être même
14:10en Arabie
14:11ou des choses comme ça.
14:12Or là,
14:12il te dit que tant
14:13qu'il a envie,
14:14lui,
14:14c'est au PSG.
14:15Moi,
14:15je vous le dis,
14:16s'ils ont la Ligue des Champions
14:17à nouveau pour le football français
14:19ou les deux autres
14:19derrière la Coupe du Monde,
14:21rassasier.
14:21Mais pourquoi,
14:22ça arrêtait en France ?
14:22Moi,
14:23ça me va.
14:23Mais vous ne voulez pas
14:24un 2028 ?
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