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  • il y a 1 jour
Tous les matins à 5h14, retrouvez les choix de la bande du Morning : Matthieu Belliard, Arthur Asquin et Pascale de la Tour du Pin

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Transcription
00:005-7, le morning RMC, Pascal Delatour-Dupin, Mathieu Béliard.
00:065h12, très bon réveil à tous, très bon lundi, bon courage pour la reprise du travail à l'écoute de RMC, RMC Story,
00:13si vous nous regardez sur la 23, c'est plus simple, voilà, c'est plus simple, vous avez toutes les informations,
00:18et de la bonne humeur, c'est important la bonne humeur !
00:21Vous savez pourquoi Pascal dit ça ? Parce que quand on demande à des gens, il y a quoi dans votre matinale ?
00:26C'est toujours un cocktail d'infos, de bonne humeur.
00:28Non mais voilà, on a inventé ça il y a quelques années, et depuis tout le monde reprend ça, voilà, et ça m'agace.
00:32Arthur est là, bonjour Arthur, Gérald est là.
00:35Je voudrais finir, le morning RMC c'est plus que ça, le morning RMC c'est le lien avec les auditeurs,
00:40c'est le lien avec les téléspectateurs, il n'y a pas un seul morning qui vous donne la parole,
00:44c'était moi un morning qui vous donne la parole, il n'y en a pas, RMC on vous écoute,
00:48RMC voilà, les informations c'est vous, vos commentaires, c'est important de le dire,
00:52et je trouve que c'est vraiment un bonheur d'échanger avec les auditeurs et les téléspectateurs, c'est dit.
00:56C'est important de le dire à 5h13, lundi matin.
00:59Non mais c'est, je le dis à nos auditeurs, parce qu'à la télé ça se voit peut-être,
01:02mais c'était pas prévu et j'aime bien ce petit édito impromptu.
01:05Non, non, non, c'est important, c'est important.
01:07Je souscris à tout ce que vient de dire Pascal, moi aussi à le préciser.
01:11Tiens, vous allez peut-être vous reconnaître, ce que je vais vous raconter.
01:15Je me suis dit que ça allégait un peu les chiffres et ce qui est arrivé.
01:17Les entreprises ne sont pas prêtes face aux cyberattaques.
01:21C'est le baromètre 2025 du portail cybermalveillance.gouv.fr.
01:25En fait, il est question de la maturité de nos TPE et PME en la matière.
01:28C'est réalisé avec tout le patronat, CPME, MEDEF et U2P.
01:32D'abord, les points positifs.
01:33Les petites entreprises sont plus vigilantes qu'auparavant.
01:3644% des entreprises se sentent exposées aux cyberattaques contre 38% en 2024.
01:42Elles sont mieux équipées, antivirus, sauvegarde, pare-feu.
01:45Et elles sont aussi plus nombreuses à avoir mis en place des règles de mot de passe ou de sécurité robustes.
01:50Bref, on verrouille mieux.
01:51Mais au-delà de la prise de conscience des autres enseignements.
01:54Et là, plus d'une entreprise sur deux s'estime encore vulnérable.
01:58Beaucoup n'auraient ni les moyens ni les réflexes pour réagir en cas de cyberattaque.
02:02Huit entreprises sur dix ne se jugent pas prêtes.
02:05Les dirigeants de TPE et PME, d'ailleurs, sont souvent seuls.
02:07C'est peut-être ça qu'il faut remarquer.
02:09C'est que dans la petite PME, dans la petite entreprise artisanale,
02:12on n'a pas un service informatique qui vient en secours.
02:15Les budgets sont riquiquis.
02:16On dépense moins de 2000 euros par an pour se protéger dans ces entreprises.
02:21Et du coup, on se met en danger.
02:22Résultat, il y a des failles humaines, il y a des erreurs de manipulation.
02:25Et des pirates qui savent très bien que ces petites structures sont plus vulnérables.
02:29Et l'enjeu est vital.
02:30C'est la survie de l'entreprise.
02:31C'est la possibilité d'honorer ses commandes.
02:33Les experts appellent d'urgence à investir, à s'équiper, à se former.
02:37Je ne sais pas si dans votre entreprise, on s'est formé à ce risque-là.
02:40Si on a été victime d'une cyberattaque, vous savez aussi, parfois, avec l'intelligence artificielle,
02:45c'est faux appels, ou c'est le patron qui appelle la comptable et qui dit
02:48« vire-moi ce chèque-là d'urgence, etc. »
02:50Alors qu'en fait, c'était une voie modifiée.
02:52Bref, on est en danger dans les TPE, PME face aux risques cyber.
02:575h15, on va changer d'ambiance.
02:58C'est l'ouverture de la saison, là.
03:03Le 13 octobre.
03:06Vraiment, mais j'adore.
03:07Les chaînes de télé ne reculent devant rien pour...
03:10Écoutez, peut-être nous faire rêver avant Noël.
03:13C'est le retour des téléfilms de Noël aujourd'hui.
03:14Ah, chouette.
03:16C'est pour nous, en plus.
03:17C'est vraiment nos horaires.
03:18Oui, dans l'après-midi.
03:20Au réveil de la sieste, 14h.
03:21Au réveil de la sieste, un petit téléfilm de Noël, un peu raskin.
03:25Alors, CDF1 qui ouvre le bal aujourd'hui,
03:27mais suivront TMC à partir de 9 novembre, 6 tergulis, tout le monde s'y met.
03:30L'an dernier, j'ai halluciné sur les chiffres.
03:33Les téléfilms de Noël, dans l'après-midi,
03:35ça faisait 1 million de téléspectateurs.
03:3616% de parts de marché.
03:37C'est énorme, je vous le dis,
03:38parce que les audiences télé, l'après-midi,
03:40c'est quand même pas...
03:41C'est pas la fête.
03:43Il y a tous les annonceurs de Noël,
03:45tous les publicitaires qui se jettent sur le téléfilm.
03:47C'est un truc de dingue.
03:48Pourquoi si tôt ?
03:49Parce que l'automne, c'est l'apéritif de Noël,
03:50explique Marianne Lévy.
03:51Oui, oui.
03:52C'est l'apéritif de l'apéritif.
03:54Tu fais bien de partir de l'été,
03:56parce qu'aux Etats-Unis, ils ont lancé une chaîne,
03:58et je voulais vous en parler,
03:59qui s'appelle Christmas in July.
04:03C'est Noël toute l'année.
04:05Non, non, téléfilm de Noël tous les week-ends.
04:07Et ils ont même inventé une télé-réalité
04:09dans laquelle des aspirants comédiens s'affrontent,
04:12sur forme d'épreuve,
04:13pour décrocher des rôles dans les téléfilms de Noël.
04:15Je veux jouer à l'année.
04:17Vous savez quoi ?
04:18Vous plaisantez, mais ça va arriver en France.
04:19Vous rigolez tout ce qui est aux Etats-Unis,
04:21mais quelques temps pour arriver en France.
04:22Mais ça va arriver en France.
04:24C'est un vrai carton, une vraie manne.
04:25C'est vrai que c'est de la romance,
04:26les décors sont beaux.
04:28Ça nous fait un peu rêver.
04:29Surtout, on ne plaisante pas.
04:30Géraldine, les courses de Noël,
04:31elles sont déjà faites.
04:32Non !
04:33Il m'a volé ma punchline.
04:36Ça fait dix ans que je me moque de Géraldine avec ça.
04:38C'est vrai ?
04:40Vous vous moquez,
04:41puis vous pleurez après,
04:41juste avant Noël,
04:42parce qu'il n'y a rien fait.
04:43Vous avez déjà fait vos courses de Noël ?
04:44Non, non, non.
04:45Mais j'y pense.
04:46Il y a une partie des cadeaux qui sont faits,
04:47Géraldine, quand même.
04:48Zéro ?
04:49Il y a un cadeau qui est fait.
04:49Ah, pas mal.
04:51Mais avant novembre, non.
04:52Mais elle a raison,
04:53parce qu'avant novembre,
04:53après, les prix flambent, non ?
04:54Exactement.
04:55Bien sûr qu'elle a raison.
04:57On sait qu'elle a raison.
04:57Ça ne veut pas dire qu'on le fait.
04:59Mais on le sait très bien.
04:59Depuis des années,
05:00Géraldine Mori,
05:01chaque année au mois de septembre,
05:02mais vraiment,
05:03on parle depuis 2008,
05:05depuis 2009,
05:06que Géraldine me dit
05:07« Pense à tes cadeaux de Noël ».
05:08Et moi, évidemment,
05:09je serais avec tous les crétins du 23 décembre.
05:12Bien sûr.
05:12Même les boules,
05:14les guirlandes,
05:14tout ça,
05:14il faut les acheter avant, non ?
05:15Ah bah, bien sûr.
05:16Ah bah, ça,
05:17c'est pendant l'été.
05:18À l'été, oui.
05:19Si jamais on a cassé des boules,
05:20etc.,
05:21j'en sais rien, moi.
05:22Ça peut arriver qu'on rachète
05:23des boules de Noël.
05:24Vous êtes téléfilm de Noël,
05:25on va rester sur la saison.
05:26Moi, j'ai un petit problème,
05:27c'est qu'avant Halloween,
05:29interdit toute référence à Noël
05:30à la maison.
05:31Ah oui, c'est vrai ?
05:31Ah ouais, ouais.
05:32Il n'y a plus de saison après.
05:34Il n'y a plus de saison,
05:34je suis d'accord.
05:35C'est vrai qu'on n'a pas encore commencé
05:37avec les citrouilles et les déguisements.
05:38On n'en a pas encore beaucoup parlé,
05:40mais voilà,
05:40on a déjà les décorations de Noël,
05:41vous pouvez les voir derrière nous
05:43sur le canal 23 de la TNQ.
05:44Je m'insurge.
05:45Bah oui, non, non,
05:46mais je comprends.
05:47On a les éditeaux qu'on mérite,
05:48mais moi, j'attends le mois de novembre.
05:50Non, non, c'est vrai.
05:51Bon, Arthur,
05:51vous nous présentez ce matin
05:53le shérif le plus irresponsable
05:55des Etats-Unis.
05:56Oui, Pascal Terry Gray,
05:57il a 48 ans,
05:58il est le shérif,
05:59encore pour un moment,
06:00du comté de Robertson
06:02dans le Kentucky.
06:03Alors, pour la faire simple,
06:04vous savez,
06:04le shérif aux Etats-Unis,
06:05il est élu par les citoyens du comté
06:07pour un mandat de 4 ans.
06:09Il y a une campagne,
06:10démocrate versus républicain,
06:11comme pour le président.
06:13Mais alors là,
06:13le fameux Terry Gray,
06:14il a perdu la confiance des électeurs.
06:16Mardi dernier,
06:17il s'est fait gauler
06:17en gros excès de vitesse,
06:20180 km heure,
06:22avec gyrofares et sirènes allumées,
06:25et il conduisait
06:25avec son uniforme de shérif.
06:26Il a même failli provoquer
06:27une collision avec le shérif
06:29du comté voisin.
06:30C'est lui qui l'a interpellé.
06:31J'ai immédiatement senti
06:33l'alcool émaner du véhicule,
06:35explique-t-il.
06:35Et ce n'est pas parce que
06:36la voiture roule à l'éthanol.
06:38Non, le shérif Gray
06:38était bien bourré,
06:40complètement bourré.
06:41Une bouteille de whisky
06:43à moitié vide
06:44posée sur le siège passager.
06:46Non, mais c'est un sketch !
06:47C'est une caricature !
06:48Absolument.
06:49Pour le shérif Terry Gray,
06:50c'est la troisième arrestation
06:52en deux ans
06:53pour conduite dangereuse
06:54en état d'ivresse.
06:56Alors, on ne sait pas trop comment.
06:57Il a réussi à échapper
06:58au limogage,
06:59à la démission
07:00et à la prison.
07:01Jusqu'à maintenant,
07:02la prison, il y est
07:03depuis quelques jours.
07:04Il n'a pas pu
07:05et personne n'a voulu payer
07:06sa caution de 500 000 dollars.
07:08Ça chiffrait quand même.
07:09Et son procès est prévu
07:10aujourd'hui.
07:12Je vous dirais ce qu'il en est.
07:13Mais ce ne sera peut-être
07:13plus shérif demain, non ?
07:14Alors, le gouverneur,
07:16en tout cas,
07:16pousse pour sa démission.
07:17Mais apparemment,
07:18il ne peut pas le limoger
07:18comme ça tout de suite.
07:19Il faut qu'il démissionne.
07:20Après, de fait,
07:21si jamais il est condamné
07:22à une peine de prison,
07:24il ne peut plus exercer.
07:26Dis donc, 500 000 dollars,
07:27c'est quand même une somme.
07:28Ah oui, oui, oui.
07:29Ça vaut cher,
07:29la bouteille de whisky ?
07:30Je ne pourrais pas
07:30sortir de prison.
07:31C'est la caution,
07:31mais c'est histoire
07:32de le garder bien au chaud.
07:33Oui, c'est ça.
07:33On a tendance à fixer
07:36une caution prohibitive
07:37quand on veut garder
07:38les gens en prison.
07:38Oui, incroyable.
07:40Je ne sais pas.
07:40En France,
07:41il arriverait une histoire
07:43pareille avec une demi-bouteille
07:44de whisky,
07:45180 km heure,
07:46je pense que ça fait
07:46les gros titres, ça.
07:47Ah oui, oui.
07:49Dans le Katsuki,
07:50ça fait jaser,
07:50je peux vous le dire.
07:51Oui, ça arrive jusqu'à nous.
07:54C'est le nom d'un téléfilm
07:55de Noël, ça fait jaser
07:56dans le Katsuki.
07:58Merci Arthur.
07:59On va faire des propositions.
08:00Il est 5h20 sur RMC.
08:01Sous-titrage Société Radio-Canada
08:02Sous-titrage Société Radio-Canada
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