00:00Il rentre dans une phase de négociation, ça ne te connaît pas parce que nous l'avons dit à Zot, tu ne négociais pas.
00:06Là, il rentre dans une phase de négociation. Là, il rentre dans une phase réelle où les chiffres ont été avancés.
00:13Pourquoi 3 euros ne convient pas ? Nous nous l'avons argumenté de ça. 3 euros ne convient pas parce qu'à la Réunion, c'est près d'un million d'habitants.
00:20À la Réunion, c'est 85 000 personnes transportées toute l'année. À la Réunion, c'est 38 centres de dialyse.
00:26C'est des personnes, malheureusement, en précarité sanitaire qui vont et qui ont besoin de se faire soigner et qui sont transportées par les taxis.
00:35512 taxis. D'accord ? Nous, c'est vrai, c'est notre travail, mais n'oublie pas les gars.
00:39Nous rendons un service à la population. Nous rendons un service, nous publique, réglemente.
00:43Tous les artisans de taxi, aujourd'hui, il est au cœur de notre casier judiciaire.
00:48N'a pas une condamnité, les gars. N'a rien que des hommes responsables et des femmes responsables.
00:52Des condamnés, vous connaissez où ça s'est activé, hein ? Des condamnés, malheureusement, soit dans l'administration des fois, ou soit malheureusement dans d'autres systèmes.
01:00Mais pas dans le taxi. Si vous voulez condamnés, nous sommes. Nous connaissons le cas. Les vrais n'est pas vrais ?
01:03Oui !
01:04Les combats les. Donc nous, hommes et femmes responsables, retiens ça bien, nous, la même, nous visent ce matin le danger.
01:10Au moins, sur 4 voies, 4h de matin, on fait le keg. Donc, ça met le cœur, ça met pas le cœur.
01:14Et voilà, tout ça pour dire que, demain, sinon, on refait ça, là.
01:18Se t'y refait, se t'y refait pas.
01:20Oui !
01:21Bien sûr, se t'y refait.
01:22Donc, comprends ça bien.
01:23Moi, pense, aujourd'hui, Benal a bien compris.
01:26Notre mobilisation, quoi y engendre ?
01:28Tout simplement, si les taxis restent dans cet état d'esprit, il s'est très compliqué, la poilive de la Réunion.
01:34Et nous-mêmes, nous ne veux pas ça.
01:35Moi, le premier, Steven, M. Hachi, l'inquié syndical, n'a aucun plaisir à bloquer la route des gars.
01:41Nous gagne fait, mais c'est pas ce que nous veux faire.
01:44Retiens ça bien.
01:44Ça, il faut que la population y entend.
01:46Nous n'a aucun plaisir à barrer la route, à bloquer la route, à faire du barrage filtrant.
01:51Notre travail, c'est la route.
01:53Donc, si on commence, bloquer, route, travail, non.
01:57Donc, clairement, on n'a aucun plaisir à intervenir de cette manière-là.
02:00Et ça, il faut que la population y comprenne.
02:02Oui, ils ont engendré, aujourd'hui, des dommages pour la population, des retards.
02:06Nous comprends.
02:07Mais encore une fois, si, malheureusement, aujourd'hui, on n'intervient pas comme ça,
02:11c'est-à-dire que les événements n'avancent pas.
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