Mais qui était le gars ébouriffé que je lorgnai dans le miroir, il me semblait le reconnaître. Mon croissant s’égara dans mon café, il se désagrégea, à force de tourner en rond dans se liquide chaud. Ma solitude, comme un pardessus dans ce troquet, de l’autre côté du bar, un presque inconnu essuyait les tasses, son regard ne me perdait pas de vue.
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