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  • il y a 7 heures
Transcription
00:00On voit ce qui se passe, on est en train de glisser, c'est la politique de montrer qu'on est le plus, moins intéressant, on ne venait pas ici et tout ça.
00:08Et on commence à trouver ça normal. Il y a des années, on a fait des actions sur on n'enferme pas un enfant, point, et on l'a obtenu.
00:16Le ministre disait déjà quelques mois, peut-être qu'on devra quand même de nouveau enfermer des enfants.
00:22Alors on avait déjà prévu une pancarte pour notre géante de la dignité des sans-papiers, ça ne va pas.
00:26Mais on a dû changer parce qu'il y a trois semaines qu'on dit, oh là là, ici aujourd'hui, il y a plusieurs familles qui ont été mises sur la rue parce qu'ils viennent de la Grèce, où c'est impossible, inhumain et tout ça.
00:38Alors, ok, on a fait une nouvelle pancarte, on ne met pas un enfant sur la rue, point.
00:43C'est vrai que le Samu Social disait qu'ils étaient pleins à craquer, qu'ils avaient dû commencer à mettre des familles, enfin ne pas accepter des familles.
00:49Oui, ils ont dit, c'est ça, là, le sonnet a sonné chez moi, il disait, normalement, on doit faire ça en novembre, quand l'hiver commence.
00:56Et maintenant, on doit le faire en, c'est pas un thé, mais c'est encore l'automne bien chaud qu'on doit faire, c'est pas normal, c'est pas normal.
01:04Alors on a dit quoi ? Et alors on a vu aussi le bel réfugié qui dit, oui, ça commence à venir, on a mis des tentes autour d'un.
01:10Est-ce que vous pouvez faire aussi quelque chose avec plusieurs agents ?
01:12On a pensé, on a dit, oui, on va faire quelque chose, un signe.
01:15On a l'église qui veut conscientiser, qui peut mettre aussi, faire des actes, hein, comme ça, avec l'océan et tout ça.
01:22On va mettre, ce genre, on ne veut pas affrancer la rue, on va mettre aussi dans l'église trois tantes.
01:27Avec, si par exemple, cet après-midi, cette famille-là, avec cinq enfants, ils ont trouvé une solution, la famille que le VRT a montré a trouvé une solution à Hucle.
01:35S'ils disent, il y a deux familles, on n'a pas de solution, il n'y a pas de famille d'accueil, eh bien, ils peuvent dire, ici encore, deux tantes, vous pouvez les envoyer.
01:41On va aller voir pour, disons, espérons pas trop de jours pour eux, mais donc, une famille pour ça.
01:48Montrer l'exemple, mais surtout conscientiser en disant, allez, ça ne va pas, ils commencent à me faire normal, le ministre peut dire,
01:54bon, enfin, sur la rue, c'est leur choix, c'est leur choix, comme, c'est pas leur choix, hein, donc...
01:59C'est ça, et puis ici, les conditions, elles sont quand même pas si faciles ?
02:02Non, non, c'est ça que j'ai dit. J'ai toujours dit, si on a eu six ans et demi d'occupation, eh bien, les conditions, c'était pas du tout normal, pas du tout humain, même, pour ainsi dire.
02:12Mais, c'est pour dire, ça ne va pas, il faut voir, c'est ça.
02:15Ici, qu'on a, dans le midi des temps, pour ça, pour s'être un peu plus chaud, hein, on peut mettre ça.
02:20On a la toilette, on peut faire une douche et tout ça, on a une cuisine là pour cuisiner et tout ça, mais c'est pas l'idéal.
02:25Mais c'est mieux que la rue, c'est dans l'entendant qu'il y a des familles d'accueil.
02:29C'est ça, et ça, le réfugié fait. Nous, on fait ici la conscientisation, je suis content que vous êtes venus, pour le dire.
02:36C'est pas pour dire ici, c'est l'idéal, non, et on va limiter aussi, c'est pas une nouvelle occupation, c'est un nouveau signe, comment ça va.
02:43Comme il y a aussi le proverbe, là, c'est le géant, donc, de Elie Wiesel, qui dit, peut-être qu'on ne peut pas arrêter l'injustice,
02:49mais il ne peut jamais eu un temps qu'on ne vit pas, ça c'est injuste.
02:54La Belgique a signé la convention qu'ils ne vont pas mettre les enfants sur la rue, que les gens, ça, et alors, vous, pourquoi vous ne faites pas.
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