Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 4 semaines
L’année 2025, devrait pour la quatrième année consécutive, enregistrer un nombre de naissances au plus bas depuis la fin de la Seconde Guerre Mondiale. Une baisse de la natalité qui touche notamment les spécialistes de la puériculture. Lors d’une conférence de presse qui a eu lieu au Salon du Bébé à Paris, fabricants et détaillants ont interpellé le gouvernement.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Avoir un bébé doit redevenir tendance, c'est ce que souhaite le marché de la puériculture.
00:05Car si la baisse de la natalité se poursuit en France avec 663 000 naissances l'année dernière,
00:11soit 2,2% de moins qu'en 2023 et 21% de moins qu'en 2010,
00:16le secteur de la puériculture connaît une perte de 7,3% des ventes entre juillet 2024 et juin 2025
00:22par rapport à l'année précédente selon la Fédération des commerces spécialisés des jouets et des produits de l'enfant.
00:29Une chute des ventes qui oblige les professionnels à innover.
00:32On se doit de réagir, la natalité c'est un des sujets.
00:36La question de la seconde main aussi est très présente sur le marché de la puériculture.
00:40Donc il faut composer avec ces éléments-là et donc les fabricants se doivent d'innover toujours plus sur leurs produits.
00:49Mais pour les aider face à ces pertes économiques, la Fédération demande des mesures concrètes au pouvoir public.
00:54Les aides actuelles de la CAF sont trop complexes et mal fléchées.
00:57Nous demandons qu'elles servent vraiment aux besoins des bébés et des jeunes parents
01:00et que la filière soit partenaire des politiques familiales.
01:03Afin d'aider les parents à préparer l'arrivée de leurs premiers enfants,
01:07la Fédération souhaite la mise en place d'une enveloppe dédiée à l'équipement essentiel,
01:11mais aussi une diminution du taux de la TVA de 20% à 5,5% pour les produits de sécurité obligatoires pour les bébés et les enfants.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations