- il y a 3 mois
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00:00Mesdames et Messieurs les amassadeurs, Messieurs les conseillers de son excellent M. le Président de la République,
00:11sur les vocales de l'administration publique, Mesdames et Messieurs, en vos rends titres et qualités,
00:18Je veux, au nom de la délégation que nous conduisons, dire merci. Merci pour cette mobilisation. Merci de vous l'administration.
00:36Nous avons voulu nous souhaiter ce moment de convivialité pour échanger avec nos prêts et sœurs.
00:44Notre Président, Générald Abadine Oubéa, nous chargez de vous transmettre cette mobilisation.
00:58Pourquoi nous avons voulu cette rencontre ? Nous le dirons de lui sa vision.
01:06Il nous le dit constamment. Ce n'est pas le peuple qui est au service de son gouvernement,
01:13et c'est le gouvernement qui est au service de son peuple.
01:21Je vous dis, que ce soit ici ou à l'heure, partout où vous parlez,
01:25mettez-vous à la disposition de vos prêts et sœurs, parce qu'un héritier, c'est une compétence.
01:30La diaspora constitue une partie importante de la vie de notre pays.
01:42Vous êtes porteur de la croissance que la guillette vit aujourd'hui.
01:46On reviendra sur ça.
01:47Pourquoi nous sommes là ?
01:52Comme le disait M. le ministre des intérêts parmiers,
01:56le secrétaire général de la nation d'Union a adressé une invitation
01:59au président de la République, le général d'Oubéa,
02:02pour prendre part aux travaux de la tâtre et de l'intention.
02:06Par raison de la galanterie, il a dépêché une équipe conduite par nous-mêmes
02:12pour venir le représenter la fête quelques jours que nous sommes là
02:17pour des raisons de la galanterie et à qui aujourd'hui seulement nous avons pu trouver le bon cœur.
02:24Il était question essentiellement de venir porter la voix et le message italien
02:29auprès de tous les acteurs que nous avons rencontrés.
02:36Successivement, nous avons rencontré l'Organisation internationale d'Argentophonie.
02:42On a rencontré la César, on a rencontré également l'Union africaine,
02:50on a rencontré le PNUD, on a rencontré la FAD,
02:57et effectivement, on a rencontré la FAD, nous avons rencontré le NFPA,
03:02on a rencontré la présidente de la nation d'Union africaine session.
03:06Ce matin, nous avons eu un échange avec le monsieur le secrétaire général de la santé de l'Union africaine
03:10avant de se prouver les paroles.
03:12Tout ceci était curieux de savoir, c'est quoi notre pays,
03:18comment le pays est en train de se transformer.
03:23Et sincèrement, à chaque une de nos rencontres,
03:26ce qui a émerveillé beaucoup nos interlocuteurs,
03:31c'est le changement de paradigme qui est prêt de s'opérer dans notre pays.
03:34C'est ce qui est à l'actif de chacun d'entre vous, parce que chacun apporte sa pierre à l'édition nationale.
03:46Donc nous voudrons, au nom de la mission que nous conduisons, vous dire merci.
03:51Quand on se retourne, puisqu'il n'est pas trop commun, on se retourne,
03:57il faut souvent que nous puissions, très rapidement, dire c'est quoi les nouvelles preuves du pays.
04:03Il y en a qui sont là depuis un peu plus longtemps, d'autres moins,
04:08mais il faut que vous puissiez savoir qu'est-ce qui a un peu le passé dans notre pays.
04:12On ne va pas tirer sur vous aujourd'hui.
04:18Non.
04:20On ne va pas critiquer qu'il y a tant de choses aujourd'hui.
04:23On partira de le faire.
04:25Et le faire.
04:29Une soigne est sûre.
04:31Le rassemblement des guerres, c'est la seule volonté de notre chef.
04:35Quand nous sommes ensemble.
04:39Quand nous sommes venus.
04:40Tout est bien possible.
04:44On ne parlera pas de politique ici.
04:47On parlera de notre pays.
04:50Chacun de sa production sera appelé comment c'est un peu le passé.
04:55C'est important de pouvoir se parler.
04:57Sortir, direz à nos éclats.
05:01Parce que dans nos téléphones,
05:03on y met souvent ce que nous voulons.
05:07Et très bientôt, malheureusement,
05:09chacun a son canal d'information par son téléphone.
05:14On ne va pas les défaits.
05:16C'est vérifié que ce sera venu.
05:22D'abord,
05:25l'équipe que le président vous m'a dit
05:27trouver à fond de lui,
05:28l'interdiction formelle pour nous
05:31de tirer des promesses.
05:33Ce qu'il ne peut pas faire,
05:35il ne dit pas.
05:35Et ce qu'il dit, il fera.
05:36Bravo.
05:42A commencer le 5 septembre 2019.
05:47La première phase,
05:49c'était d'éviter les erreurs du passé.
05:52Pour éviter les erreurs du passé,
05:58il a été imaginé qu'il y avait
05:59exactement besoin
06:00à l'effort de 5 choses.
06:04C'était la rectification institutionnelle.
06:08C'était la répandation de l'État.
06:09C'était le rassemblement,
06:12le réinvestissement de notre pays
06:14et notre réconciliation.
06:15C'est là qu'il a été mis à la disposition
06:21du Québec qui est exactement
06:22de cet état de 2029.
06:27Pour nous, il fallait faire la rectification.
06:30Il fallait donner à notre pays
06:31des institutions fortes
06:33qui peuvent résister au temps
06:35et à la tentation des hommes.
06:36Et le plus grand document
06:41en termes de rectification institutionnelle,
06:45c'est la constitution sociale.
06:47Absolument.
06:49À l'époque,
06:50on ne pouvait pas aller
06:53à un scrutin.
06:56Parce que, historiquement,
06:58toutes les contestations,
07:00tout ce qu'il y a eu dans
07:01l'élection à l'État,
07:02les Guinéens n'ont pas dormi
07:04parce que les gens ne se sont pas rencontrés
07:05à la rue.
07:07Vérité.
07:07La situation n'est pas une vérité.
07:09Absolument.
07:10Parce que souvent,
07:11ce qui était rémenté,
07:13c'est que le fichier électoral
07:14était grandiu.
07:16Nous le savons aujourd'hui
07:17parce que toutes les questions
07:20des dédouillements,
07:21quand vous voyez les chiffres réels,
07:23c'est un retour
07:24de 2 millions de guéens.
07:26Puisqu'il est grandiu
07:27à la hauteur de 2 millions de guéens.
07:32Il fallait donner la paix ordinaire
07:35à travers le processus électoral.
07:37Notre mission a été donnée
07:39de faire un ressentissement
07:41de la population.
07:45Parce que,
07:45d'après le ressentissement
07:46a été lancé,
07:47toute la population
07:49qui est,
07:50à l'intérêt du pays
07:51comme hors du pays,
07:52a répondu massiquement.
07:55On connaît exactement,
07:56plus ou moins,
07:58combien il y a de Guiné,
08:00de 10 ans à X.
08:02Ce qui pouvait continuer,
08:07la partie des votants
08:08a été extraite
08:09pour donner le fichier électoral.
08:12Nous sommes,
08:12après les 6 millions,
08:145,5 millions,
08:15un peu plus de 6,5 millions,
08:17votants aujourd'hui.
08:18Donc,
08:22dans la méthode,
08:25il fallait
08:25la révolutionnaire,
08:26il fallait donner une constitution,
08:28pour avoir une constitution,
08:29il fallait avoir un fichier.
08:30Pour avoir un fichier,
08:31il fallait faire un ressentissement.
08:32indépendamment de ça,
08:36l'organe législatif
08:38a été mis à contribution
08:39pour aller auprès de la population,
08:44pour réveillir leur avis.
08:46Mais le premier décis
08:47a été fait
08:47dans le chef de l'État lui-même,
08:49où l'on appelle
08:50la fuite de responsabilité,
08:51des droits de défense
08:52et de sécurité,
08:53en organisant
08:54une concertation.
08:56La diaspora a été représentée
08:58à cette concertation.
09:00Les moments ont été produits.
09:01Mais l'organe législatif
09:04est allé au bord d'acte
09:05de la population.
09:05C'est l'une et même à nous plager
09:06pour demander aux Guinées
09:08comment on voulait
09:10que la Guinée
09:11soit désoré s'est gérée.
09:13C'est pas bon
09:13l'organisation de notre Guinée.
09:16La production a été faite,
09:18ça a été concilié.
09:19Il y a eu des débats,
09:20il y a eu des forums,
09:22il y a eu des missions.
09:25Le premier document
09:26a été produit.
09:28Le chef de l'État
09:29a amené à cause
09:30des équipes sur le terrain
09:32pour aller les mettre
09:33de ce projet
09:33à la coordination
09:34pour savoir
09:35est-ce que
09:36ce que vous avez dit
09:37c'est ce qui se trouve
09:38dans ce document.
09:42On a eu des retours.
09:44Ces retours ont été
09:45volégés.
09:46Après la correction,
09:47ça a été ramené
09:48encore une fois
09:48à la coordination
09:49pour dire
09:51si la correction
09:52pouvait le proposer,
09:53est-ce que ça a été intégré.
09:54Et au-delà de ça,
09:57tout le désert
09:58a été mis en place
09:59et n'est pas là.
10:00Ce travail a été mis
10:01à leur disposition
10:02pour voir
10:03est-ce que c'est exactement
10:04ce qui a été dit
10:06et ce qui a été
10:06matériel de l'État.
10:08Puis,
10:09un projet de constitution
10:11a été réuni
10:12au chef de l'État
10:13qui a pris la décision
10:14de lui donner
10:15à son premier ministre
10:16pour que le gouvernement
10:17en fasse
10:18la vulgarisation
10:19partout
10:20où besoin était.
10:21les missions
10:22a été faites
10:23ici même
10:24même au État
10:25et partout
10:26à l'État.
10:27Ça a pris du temps
10:28mais il fallait
10:29que les Guinéens
10:30comprennent
10:31exactement
10:32ce pourquoi
10:33ils devraient voter
10:35dans les jours
10:36à venir.
10:38Ça a pris du temps.
10:39Ça, c'est super aspiré.
10:44Concernant
10:45la ratification
10:46des intérêts
10:46institutionnels,
10:48mais je suis quand même
10:48content
10:49que eux
10:50de l'éveil
10:52des consciences
10:53suscitées
10:54à travers le monde.
10:56Non seulement
10:57les Guinéens
10:57mettent des amis
10:58et pleurent
10:59la guillotine.
11:01Le taux de participation
11:02à ce scrutin
11:03est exceptionnel.
11:04Il n'a jamais
11:05été appelé
11:06à guillotine.
11:10Si vous appelez
11:126%
11:12de 6 millions
11:13d'exemple
11:14sont allés
11:15se prononcer
11:16sur le projet
11:16de constitution.
11:1796%,
11:2299%
11:23se sont prononcés
11:24pour le but.
11:28Le même
11:29important
11:30c'est que
11:31c'est la première fois
11:32en Guinée
11:32qu'on organise
11:34des sélections
11:34en Guinée
11:35et à l'Église
11:36sans qu'il est
11:37une seule
11:38pure
11:38de l'échecité,
11:39sans qu'il est
11:40un seul
11:40mouvement social,
11:41sans qu'il est
11:43un seul
11:43soldat
11:43de son plaisir,
11:44sans qu'il est
11:45un seul
11:45de l'échecité.
11:46Vérité !
11:48C'est la couleur
11:51de la maturité
11:52que notre pays
11:53a à l'aise.
11:55Un pays
11:56ne peut pas
11:57se développer
11:57dans la paix.
11:59La paix
11:59c'est les citoyens
12:00qui se la donnent.
12:02Nous l'avons compris.
12:04Et ceci aide
12:04beaucoup
12:05les dirigeants
12:07du pays.
12:08En tête,
12:09M. le chef
12:10de l'État.
12:11Le deuxième point
12:12est la réfrontation
12:14de l'État.
12:16C'est la moralisation
12:17de la vie publique.
12:19Responsabiliser
12:20la législation
12:20et l'historique
12:21l'autorité
12:22de l'État.
12:24C'est une réalité
12:25aujourd'hui à l'État.
12:27Quand nous avons
12:27un parti
12:28dans ces 8 milliards,
12:29on réfléchit beaucoup,
12:30souvent on récite
12:32même la patière
12:32pour être sûr
12:33de nous.
12:35Même si nous sommes
12:36en train de signer,
12:37il ne doit pas
12:37nous envoyer
12:38la prière.
12:40Le chef de l'État
12:41a dit et redit
12:42sa mère
12:43les prendraient là-bas.
12:45Il y a preuve
12:46de sanction
12:47de cas d'administration
12:48pour la même vie.
12:50Hors politique.
12:54Aujourd'hui,
12:54l'État existe.
12:56Un État,
12:57c'est deux choses,
12:59c'est l'homme
12:59et la vérité.
13:02Quand nous voulons
13:03les deux soldats
13:03aux garanties,
13:05les citoyens
13:05d'un gouvernement
13:06montent à la vie
13:07de la nation.
13:08Aujourd'hui,
13:09on est en train
13:09de devenir
13:10un pays transvers
13:11sans équivoque.
13:14Bravo !
13:18Un pays transvers
13:19sans équivoque.
13:22Notre dignité
13:22en train de le trouver.
13:24On disait tout à l'heure
13:25à la prime
13:26de la nation du pays.
13:27La première dignité
13:28c'est que nous avons
13:29des ressources en Guinée,
13:30mais les ressources
13:31de nous ne profitaient pas.
13:33Il y avait plus de 300
13:34permis milliers
13:34à reculter des Guinées,
13:36frauduleusement.
13:38Bravo !
13:40Le chef de l'État
13:42a pris la décision
13:42pour la de nous.
13:45Quand les Guinées
13:45n'avaient pas
13:46c'est très loin d'être,
13:47il faut faire le sale boulot.
13:49Le sale boulot,
13:50c'est faire
13:51un cercle
13:51des politiques
13:52de Colombes-Affaires.
13:53Voilà !
13:55Quand vous décidez
13:57de réciter
13:57300 permis milliers,
13:59on vient vous dire
14:00que je n'en vais
14:00pas offert à tout l'État.
14:03Parce que ça touche
14:04à beaucoup d'intérêt
14:05et ça parle
14:06de beaucoup de villes
14:07de l'âge.
14:10Il ne peut pas être
14:11corrompue et réciter
14:1230 ans perdu.
14:13Ce n'est pas possible.
14:15La fédérale,
14:15l'État,
14:16on est là,
14:16vous attend.
14:17N'est-ce pas ?
14:18Absolument.
14:18Vous ne pourriez pas
14:19assise en train
14:20d'être vendus.
14:21C'est faux.
14:22C'est faux !
14:23C'est faux !
14:24C'est faux !
14:25C'est faux !
14:26C'est faux !
14:27C'est faux !
14:36C'est faux !
14:40C'est faux !
14:41C'est faux !
14:44C'est faux !
14:45Le projet Simanou
14:46d'entraper.
14:47Simanou est installé
14:48à plus de 20 ans.
14:49C'est faux !
14:49C'est faux !
14:50Donc, il n'avait 0%
14:51de part de participation.
14:54Alors que le code
14:55qui est prévole,
14:5615% de participation
14:58pour l'État.
15:00Donc, il n'avait 0% !
15:01On a mis fin au projet pour dire que si le projet est dans le terrain, on peut le mettre en place.
15:08Bravo !
15:09Bravo !
15:10Il faut aussi savoir qu'on parle de Simon, c'est quatre choses.
15:15C'est la Lille, c'est les rails, le port et l'Asie.
15:19Dans chacun de ces projets, il y a 50%.
15:22Le 50% est le premier jour de l'exploitation.
15:27On n'attend pas de finir le projet pour l'étudier à la Guinée de l'Ouest.
15:33Donc c'était le premier jour.
15:39Je ne parle pas de raison que quand nous avons voulu nous attaquer
15:42sous l'éducation du siècle de l'État du projet,
15:46il nous a été promis une fois émergés.
15:51Nous avons un ami d'un somme d'argent loin de l'imagination.
15:56Il fallait choisir un de sa personne et la patrie.
16:00Notre chef a fait le choix de choisir la patrie.
16:03Bravo !
16:04Bravo !
16:05Merci !
16:06Ce projet est le plus d'un projet minier au mois d'aujourd'hui.
16:12À cette année, tout à fait, je me ferme l'hier.
16:14Bravo !
16:15Un des revenus du projet recommandé à tomber.
16:21On aura environ deux tiers de notre budget personnel aujourd'hui
16:26quand on est venu de ce projet.
16:28Qu'est-ce qu'on va faire ?
16:30Qu'est-ce qu'on va faire de ces carrières ?
16:32Il faut aussi passer aux générations futures.
16:35N'est-ce pas ?
16:36Parce que la guise, c'est que nous, grand-père, nous sommes morts,
16:39nous ne crois pas qu'ils veulent décéder.
16:41Nous, mais aussi nos enfants, nous avons des petits enfants.
16:45Il faut sécuriser de la vie.
16:47Donc, un fonds souverain est en train d'être mis en place
16:51pour que dès que l'exploitation des instruments commence,
16:55que les revenus de ce projet-là tombent dans ce fonds souverain.
17:02Donc, ce carrières va être mis là pour permettre,
17:05vous connaissez mieux que moi, quand il y a 10 francs,
17:08tu peux aller appréter 100 francs de départ.
17:10N'est-ce pas ?
17:12Oui.
17:13Donc, quand nous aurons, dans nos caisses, 10 milliards,
17:18ça veut dire qu'on va détruire 20 milliards de richesses.
17:21Et 20 milliards, ça peut faire beaucoup de choses dans notre pays.
17:25C'est-ce pas ?
17:26Oui.
17:27Il faut être important, je ne sais pas,
17:29il faut pas aller imprimer avant.
17:31Le Président, on va y trouver avec le Président
17:33de plus de 1000 km de haut de rond en 3 ans.
17:36Bravo !
17:37Bravo !
17:38À suivre, monsieur.
17:40Le Président, on va y trouver avec le Président de plus de 2000 km du district.
17:50Bravo !
17:52Le Président, on va y trouver un studio qui a créé Simondou Academy.
17:58Simondou Academy veut dire quoi ?
18:00Les meilleurs enfants en tant qu'entre eux, ça se connaît,
18:03des données et l'opportunité de étudier, dans les meilleurs éclatifs,
18:06pour que le Guinée, qui pourra être aidé à avoir paré dans toutes les grandes écoles du monde,
18:14puisse participer au développement de notre pays.
18:17Parce que nous avons fait pour que le capital humain est la plus grande richesse du pays.
18:23Il faudrait que l'apprendre à la Guinée puisse extraordinaire et puisse dans toutes les institutions du monde.
18:30C'est déjà fait.
18:34Je vous encourage.
18:36Qu'est-ce qu'il y a de mieux que la fête ?
18:41Rien.
18:43C'est le objectif du troisième point que le Président vient à la décision du but qu'on appelle le rassemblement.
18:51Il est du nord, du sud, de l'est et de l'ouest.
18:57Il faut qu'on parle du sud qui est.
18:59Le pays a fait quelque chose, les États-Unis.
19:02Quand on se réveille le matin, chacun n'a plus qu'à aller travailler, n'est-ce pas ?
19:06Oui.
19:06Quand il y a des fois, on prononce le nom de la trompage de l'ici.
19:10Quoi ?
19:11C'est parce que la politique n'est pas le premier métier ici.
19:18Quand la politique devient le premier métier dans les pays, on monte les uns contre les autres.
19:23Il faut créer de l'emploi.
19:32Au niveau de la fonction de l'année dernière, il n'y a pas eu l'emploi.
19:35Au niveau du projet Simonneau, il y a eu soixante mille emplois créés.
19:44C'est vrai qu'il y a des chiffres, on ne l'a dit pas.
19:47Ceux qui mangent sur la guillée ne vont pas aller brancher.
19:51Le premier Simonneau a déjà créé soixante mille emplois en ligne.
19:54C'est vrai qu'il y a des chiffres.
19:55Quand on va créer et à construire, quand on sait qu'on ne va pas avoir de la richesse,
20:07il faut évacuer le risque du pays pour que les investisseurs n'ont pas peur d'envoyer leur argent.
20:12Quand tu veux envoyer ton arrière quelque part, quand tu veux investir dans l'air polié, c'est normal,
20:18tu évalues le risque.
20:19Si le risque est grand, on garde ton arrière.
20:22On a fait l'exercice de dérisquer notre pays.
20:26Pas à faire n'importe quelle alliance de nos anciens.
20:29On est allé avec SMQI.
20:33C'est une alliance reconnue mondialement pour sa rigueur.
20:37Tous les grands pays du monde se demandent par cette alliance.
20:40Ils sont venus faire des décisions.
20:44Le procédure a été très long.
20:46On va vous débarquer les détails.
20:48Aujourd'hui, la notation souveraine de notre pays, c'est deux plus avec une caractéristique spasme.
20:59Désormais, les yeux fermés, tous les investisseurs peuvent venir à guider.
21:04Vous pleurez.
21:05Si vous pleurez.
21:06Et je parle où Air France, c'est-à-dire tout le temps plein.
21:13Tout le temps plein.
21:15Il y a souvent Air France qui assure des jours peu de vols à l'argent sur la guillée.
21:19Le pays a un débit qui est très stable.
21:29Quand nous le disons, ce n'est pas la place, c'est les chiffres.
21:33Les chiffres, ce n'est pas ce qu'il est produit d'eau.
21:35C'est les grandes institutions internationales.
21:37C'est-à-dire qu'il n'y a pas de vols à l'argent sur la guillée.
21:43Il y a pas de vols à l'argent sur la guillée.
21:45La banque mondiale de l'infemile, c'est-à-dire qu'il n'y a pas de vols à la guillée.
21:48Quand on n'est pas rouleux dans la guillée, les chiffres vont être prononcés.
21:55Et ces chiffres-là, on vous dira comment il faut soit candidat.
21:59Mais la bonne nouvelle est que aujourd'hui, grâce à la rive de notre chef,
22:04nous sommes aujourd'hui la deuxième éprimée de la plus fracouche de l'EU.
22:07Nous visons les croissants à deux chiffres en 2020.
22:23Il va se soutenir sur plusieurs années.
22:28Le taux d'endettement de notre pays est très faible.
22:32La volée qui vient s'apprise.
22:33C'est ce qui était le dollar pour l'infemile de l'infemile de la guillée.
22:38Il n'y a pas eu de variation.
22:44Quand il y a de la pollution, il n'y a pas de châtir.
22:48Vous connaissez dans les doigts.
22:50Quand il y en a, il n'y a plus de châcheur sur le marché.
22:53Le dollar va dénir dans la pollution à la guillée.
22:55Le dollar va dénir de l'infemile.
22:58Le dollar va dénir de l'infemile de l'infemile de l'infemile de l'infemile.
23:02C'est-à-dire qu'on fait la guillée.
23:03Il y a beaucoup d'autres choses.
23:10Vous parlez de notre pays.
23:12On peut prendre des jours et des jours.
23:15Et vous dire quoi ?
23:19Que les perspectives sont bonnes.
23:22Croyons à notre pays.
23:24Croyons à l'avenir de notre pays.
23:27Mais surtout, croyons aux dirigeants de notre pays.
23:29C'est-à-dire qu'il n'y a pas de châtir.
23:30C'est-à-dire qu'il n'y a pas de châtir.
23:31C'est-à-dire qu'il n'y a pas de châtir.
23:32Il n'y a pas d'être un pays qui est un pays qui servit dans la patrie.
23:39Vous le faites chacun à sa manière.
23:40Mais le patron, il le fait de façon nécessaire.
23:43Il n'a pas de jour, il n'a pas de nuit.
23:45Aujourd'hui, nous avons une constitution.
23:53Intégrée et début d'aujourd'hui, vous convociez le port électorat pour les élections présidentielles du 28 septembre.
23:59Pour que notre pays puisse sortir définitivement de la période de cette région pour amortir son développement de la capitale et de la tragédie.
24:12Merci.
24:16Qui convient vers vous pour prendre des politiques, par contre, demandez-vous que je n'ai pas son programme.
24:22Avec la base, je vous prie souci et désormais le bas de campagne avec la musique et les tichos.
24:39Refusez le bas de campagne à cause du visage de celui qui est devant vous.
24:44Refusez de faire campagne à cause de votre voisin.
24:47Vous avez votre place à guiller.
24:49Votre voix, ça compte.
24:52Bravo.
24:52Je vous remercie que vous êtes désolé.
24:55Demandez de son plan pour la guillée.
24:59Un plan, ça s'appelle un programme de développement.
25:03Les tichos ont eu la guillée.
25:04Un programme de développement.
25:09Nous savons exactement ce qui devait être la guillée.
25:13Dans sept ans.
25:15Dans sept ans.
25:16Sous-titrage Société Radio-Canada, très éclatement.
25:19Pour que nous sois un pays énergente.
25:20La décision est prochaine carrière.
25:25Les médecins, c'est notre target.
25:26On voit la peine.
25:27Pour la peine, on a donné des investissements de 200 milliards de dollars.
25:31Pour que nous sois un pays énergente, on va se faire un poursuit.
25:35Le programme va vous être obligé de regarder dans le futur de la France.
25:40Refusez de regarder des gens à cause de la beauté de vertu.
25:44L'église à qui est dans vos cœurs.
25:47Celui qui a la guillée de la chanteur est celui qui se met en place de marquer sur cette fois-là.
25:53On ne va pas monopoler davantage la parole.
26:04Tout ce qu'on peut vous dire aujourd'hui, c'est merci.
26:08Merci parce qu'on a répondu ici à Lyon, ici aux États-Unis de façon locale.
26:15Vous êtes venus massivement pour les sancler.
26:19Vous êtes venus également voter massivement.
26:21Pour apporter votre voix à la vie de votre nation.
26:26Votre voix s'accorde.
26:28Merci pour cet amour pour notre famille.
26:32Et je vous remercie.
26:34Et je vous remercie.
26:35Et je vous remercie notre chère Président.
26:43C'est pas du monde.
26:45Quand on vous voit à la rue d'Arette avec vous, c'est effectivement.
26:47Je vous remercie.
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