A force de faire des cibles des journalistes de CNews, de les désigner comme des ennemis ou d'affirmer que Cnews est une chaîne "d'extrême droite" comme l'a fit Delphine Ernotte, hier la patronne de France Télévisions, forcément des individus bas de plafond, décide de passer à l'acte physiquement. C'est ce qui est arrivé hier, lors de la mobilisation parisienne.
Un journaliste de CNews a en effet été reconnu dans la manifestation d'hier puis attaqué, frappé, projeté au sol par des individus masqués, Place de la Nation.
Un comportement inadmissible qui devrait déclencher des communiqués de protestation de toutes les rédactions de France, mais une fois de plus c'est le silence radio, car il s'agit de Cnews.
A noter également que des journalistes de CNews ont été identifiés et menacés également à Lyon et Rennes, mais fort heureusement sans passage à l'acte.
00:00C'est ça la réalité, un caméraman agressé, une caméra détériorée, C'est News ciblé,
00:29mon confrère n'est pas une victime collatérale lors d'échanges de tirs entre forces de l'ordre et manifestants, mon confrère n'est pas une victime collatérale des violences de l'ultra-gauche mais bien visée car il appartient à la rédaction de C'est News.
00:44Alors Madame Ernotte et les autres, sachez-le, C'est News est la première chaîne Info de France, que ça vous déplaise ou pas, la chaîne de toutes les opinions et c'est peut-être ça qui gêne la patronne du service public de télévision
00:56que vous êtes obligé de payer par vos impôts la télévision publique, on est obligé de la payer avec nos impôts et elle devrait s'astreindre à l'impartialité, ce qui n'est pas le cas, ce qui n'est pas toujours le cas.
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