Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • il y a 4 jours

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00ARABEL
00:00Et dans votre carrefour de l'information, on parle d'un sujet qui concerne à tous les bruxellois la lutte contre les dépôts clandestins,
00:10les sacs poubelles sortis n'importe quand et pour y remédier.
00:14Bruxelles Propreté en collaboration avec 15 communes lance une grande opération appelée le triathlon de la propreté.
00:20Une action qui mêle sensibilisation, surveillance et sanctions et qui s'étale sur 40 jours dans chaque commune.
00:25Alors quels sont les objectifs, les étapes concrètes et surtout les résultats attendus ?
00:29Et pour nous en parler, nous avons le plaisir de recevoir Adèle Lassouli, porte-parole de Bruxelles Propreté. Bonjour.
00:34Bonjour Tariq Labi.
00:35Merci d'être avec M. Rabel. Alors on va directement dans le vif du sujet.
00:38Pour commencer, est-ce que vous pouvez nous expliquer qu'est-ce que c'est exactement ce fameux triathlon de la propreté lancé par Bruxelles Propreté et les communes impliquées ?
00:46Alors d'abord, pourquoi avoir choisi ceux-là bien évidemment ?
00:48Oui, alors je vais vous l'expliquer tout de suite. Mais d'abord, ça part d'un constat.
00:51Un constat qu'on est beaucoup de Bruxellois à partager, c'est que la propreté à Bruxelles n'est pas optimale.
00:57En tout cas, elle n'est pas optimale partout, pas de la même façon, pas aux mêmes endroits.
01:00Et la propreté, ça fait partie des préoccupations majeures des Bruxelloises et des Bruxellois.
01:06Toutes les enquêtes de sécurité régionale pointent ce problème de malpropreté.
01:11Et devant même la consommation d'alcool ou de stupéfiants sur la voie publique,
01:16c'est la propreté qui figure parmi les préoccupations majeures des Bruxellois en termes d'insécurité ou de perception de cette insécurité.
01:25Donc le triathlon veut véritablement travailler sur cette question-là et principalement pour lutter contre deux phénomènes qu'on observe très souvent à Bruxelles.
01:36C'est la sortie anarchique des sacs poubelles.
01:39Donc certaines personnes, elles sont très nombreuses, malheureusement, les sortent en dehors des heures réglementaires.
01:44Et alors c'est les dépôts clandestins.
01:47Ça c'est aussi malheureusement un des sports régionaux favori.
01:52On va y revenir dans quelques instants.
01:55Alors ce triathlon dure environ 40 jours par commune.
01:58Disons quelles sont les principales étapes prévues pendant cette période ?
02:01Et quels sont les objectifs concrets et précis de la campagne ?
02:04Alors si on a choisi le terme triathlon, c'est par analogie avec la discipline sportive parce qu'en fait, ce triathlon d'apropreté comporte véritablement trois phases importantes, trois piliers importants.
02:15Le premier pilier, c'est le comptage.
02:18On choisit un quartier donné dans une commune donnée et on fait des comptages très ciblés pour voir combien de sacs poubelles sont abandonnés de manière anarchique sur les rues.
02:29On met également des rubans autour des dépôts clandestins comme si c'était une scène de crime, ce qu'on appelle le phénomène de rubalise.
02:37Donc on met des rubans autour des dépôts clandestins et alors on informe le public, les habitants de ce quartier donné, du démarrage, du triathlon dans leur quartier.
02:47Ça c'est vraiment la toute première phase qui est réalisée en collaboration avec les communes, donc avec les gardiens de la paix, avec les agents communaux.
02:55La deuxième phase, c'est véritablement la phase de sensibilisation où là, il y a un travail de porte à porte.
03:01On sonne aux portes des riverains, on essaye d'aller les rencontrer quand c'est possible, quand ce n'est pas possible et qu'ils ne sont pas présents
03:07puisque ça se fait généralement les week-ends et les samedis en particulier pour nous assurer un taux d'ouverture de porte le plus important possible.
03:15Mais donc nous discutons avec eux des règles élémentaires, on rappelle les calendriers qui existent sur internet, qui sont disponibles,
03:22on rappelle les règles de tri également les plus élémentaires et puis on rappelle pourquoi on fait ça.
03:27Ce n'est pas pour ennuyer les gens mais c'est pour d'une part continuer à assurer la propreté du quartier dans lequel ils vivent
03:34mais aussi pour améliorer nos résultats en termes de recyclage puisque Bruxelles est tenue de respecter certains résultats.
03:40Donc ça c'est la première phase le comptage, deuxième la sensibilisation et puis la troisième phase c'est la répression et la verbalisation.
03:47Et donc là on se donne toujours quelques jours entre les premières, deuxième et troisième phases mais ça finit toujours par une verbalisation
03:53et donc on va quelque part réprimander les citoyennes et les citoyens qui sont les plus récalcitrants
04:00et qui sont finalement les plus hermétiques à ces messages qu'on essaye de marteler au quotidien.
04:06Alors Adèle Lassouli, comment vous choisissez les communes participantes ?
04:10Est-ce que c'est en fonction du nombre de dépôts clandestins, de plainte des riverains ou est-ce qu'il y a d'autres critères de sélection ?
04:16Alors ce qui est très important pour nous c'est la coordination avec les communes.
04:20C'est très très important de travailler avec les communes parce qu'il y a une répartition que vos auditeurs ou vos auditrices ne connaissent pas forcément
04:28mais Bruxelles-Propreté c'est les voiries régionales donc c'est les axes principaux, on n'est pas loin ici de la place Mésaire,
04:36c'est le boulevard Lambermont par exemple, Bruxelles-Propreté a la charge de nettoyer le boulevard Lambermont
04:42et les rues perpendiculaires, les rues communales c'est à la charge de l'autorité communale et du service-propreté.
04:49Ça grosso modo c'est la répartition et Bruxelles-Propreté se charge de collecter les sacs poubelles sur l'ensemble du territoire sans répartition aucune.
04:56Alors justement comment se passe cette coordination ? Est-ce que c'est un véritable défi sur le terrain ?
05:00Oui c'est un véritable défi parce qu'il faut d'abord pouvoir exposer le triathlon aux communes, voir s'il y a de l'intérêt
05:06et elles sont très nombreuses à avoir manifesté leur intérêt puisqu'on a 15 communes qui participent sur 19 à cette édition-ci.
05:13On a eu la commune d'Ixelles qui a eu une édition qui lui était spécialement dédiée au cimetière d'Ixelles, c'était au mois de mai, au mois de juin.
05:21Mais donc oui il faut se coordonner parce qu'en fait sur certaines étapes, les premières étapes notamment,
05:27lorsqu'on constate des sacs qui sont sortis de façon anarchique, l'idée ce n'est pas de les collecter directement.
05:35Et donc il faut pouvoir se coordonner avec les communes pour dire ok ce dépôt clandestin on va le laisser 24 heures,
05:41ces sacs on va les laisser une semaine parce que ça a des vertus pédagogiques.
05:44Donc il faut pouvoir fluidifier la communication et développer des synergies avec les communes,
05:50avoir des tableaux de bord commun et puis surtout les informer de nos interventions,
05:54qu'eux nous informent aussi de leurs interventions.
05:57Donc c'est un véritable défi mais je veux dire ça nous donne une force de frappe beaucoup plus importante
06:01parce qu'on peut compter sur les ressources humaines des communes, les agents sanctionnateurs des communes
06:06et puis nous aussi on a une vingtaine d'agents régionaux qui sont des agents sanctionnateurs
06:11et donc quand on unit toutes ces forces, on a évidemment une surface d'action qui est beaucoup plus importante
06:20et qui donne des résultats beaucoup plus marquants en faveur de la propreté à Bruxelles, ça c'est clair.
06:25Une question disons pratico-pratique, vous avez parlé d'infraction,
06:28à combien peuvent s'élever les amendes pour par exemple une sortie de sac hors horaire ou un dépôt sauvage, ça dépend ?
06:35Alors pour faire simple et en moyenne...
06:37Pour ne pas faire peur mais juste pour informer.
06:38Non, non, non, bien sûr ça peut faire mal au portefeuille, c'est-à-dire qu'aujourd'hui on est en moyenne
06:42sur toutes les infractions qui sont observées dans le cadre de ce triathlon de la propreté,
06:47on est sur 300 euros.
06:48300 euros qui vont venir évidemment gréver le budget d'un ménage s'il ne respecte pas les règles, c'est quand même dommage.
06:56Mais ça peut aller bien au-delà.
06:59Imaginons qu'on retrouve du verre dans un sac blanc, ça devient une infraction plus importante.
07:05Pourquoi ? Parce que le verre est susceptible de blesser nos agents.
07:09On a tous les jours, enfin régulièrement en tout cas, des agents qui sont blessés par des objets qui n'ont rien à faire dans le sac blanc.
07:17Ça peut être des couteaux, ça peut être du verre.
07:19Et donc là évidemment on s'expose à des amendes qui sont beaucoup plus importantes.
07:24Des sanctions mais il y a aussi l'information et la sensibilisation aussi des citoyens.
07:28Comment impliquer, disons plus concrètement, les citoyens dans tout ce dispositif de Bruxelles Propriété ?
07:35Vous avez parlé tout à l'heure de mieux les informer, signaler un problème ou mieux comprendre les règles de tri que beaucoup de gens ne connaissent pas finalement.
07:41Mais nous c'est un partenariat.
07:42C'est-à-dire que chez Bruxelles Propriété, si les citoyens ne jouent pas le jeu, nous ne pouvons pas faire notre part du job.
07:48Et donc c'est vraiment rappeler qu'il y a une nécessité d'être dans un partenariat permanent.
07:56Et moi je dis souvent, quand on me dit, oui mais Bruxelles est sale, mais je dis, bon, je pense que Bruxelles est salie.
08:02Oui, la nuance.
08:04Et la nuance est importante, c'est-à-dire qu'on peut mettre des agents 24 heures sur 24 et tous les jours,
08:10que vous obtiendrez des résultats mitigés parce que des gens viendront derrière salir.
08:15Donc tant qu'on a cette minorité agissante qui vient parasiter le cadre de vie et qui vient finalement impacter l'environnement urbain,
08:24on ne pourra pas avoir des résultats probants.
08:26Donc il faut vraiment rappeler aux gens que c'est un partenariat.
08:29On a notamment cette problématique dans des quartiers commerçants,
08:33où on sait que certains commerçants qui sont des gros producteurs de déchets,
08:37et je ne veux pas les stigmatiser dans leur ensemble,
08:40mais malheureusement on a aujourd'hui une part non négligeable de commerçants
08:43qui n'ont pas de contrat, ou alors qui ont un contrat qui est sous-estimé par rapport à leur volume réel,
08:51et ça malheureusement sur certaines chaussées, sur certaines avenues,
08:55ça génère des problèmes de propreté dont on a du mal à voir le bout.
08:59Alors vous parlez des quartiers commerçants,
09:01est-ce qu'il y a d'autres zones considérées comme plus problématiques dans notre capitale ?
09:06Et si oui, pourquoi ces zones posent-elles plus de difficultés finalement ?
09:09Alors on a travaillé ici avec les communes, et c'est là que c'était intéressant,
09:12parce que les communes, elles ont cette expertise, puisqu'elles sont en première ligne,
09:16elles sont en contact direct avec la population,
09:18et donc elles ont fait remonter des demandes.
09:21Elles ont voulu qu'on mette l'accent sur certains quartiers plutôt que d'autres, sur certains axes.
09:26Mais donc sans surprise, les quartiers qui aujourd'hui posent le plus problème,
09:29c'est les quartiers à haute densité de population.
09:31C'est des quartiers où les gens manquent parfois d'espace,
09:34c'est des quartiers où les gens vivent en appartement,
09:36et donc il ne faut pas jeter la pierre aux gens,
09:39mais il faut leur faire comprendre qu'évidemment,
09:41certains comportements en termes de production de déchets peuvent avoir des impacts.
09:46Donc on a beaucoup travaillé sur des quartiers fort fréquentés,
09:49les quartiers de la première couronne,
09:51mais aussi des quartiers de la deuxième couronne,
09:53qui sont aussi, je pense à Ascarbet,
09:55qui sont aussi concernés par le triathlon de la propreté.
09:57Les quartiers de gare, évidemment, parce qu'on a un public qui est parfois marginalisé,
10:03on a des publics alcoolisés,
10:04et donc tout cela en fait fait qu'à un moment donné,
10:08il faut pouvoir se concentrer sur des quartiers prioritaires,
10:11et c'est ce qu'on a fait ici avec le triathlon de la propreté.
10:15Alors moi je ne veux pas lister les quartiers,
10:17parce que finalement ce serait quelque part commettre un délit d'initié,
10:21et donc voilà, ces opérations doivent avoir un caractère surprise,
10:27et il faut pouvoir, sinon le triathlon n'aurait pas la même efficacité.
10:32Alors des éditions précédentes du triathlon ont déjà eu lieu,
10:35quels enseignements on peut en tirer ?
10:38Est-ce que les comportements ont un petit peu changé ?
10:40Est-ce que ça a évolué ?
10:41Oui, alors ce qui est important de rappeler,
10:43même si, et je vous remercie pour la question,
10:44c'est qu'il y a évidemment trois piliers principaux dans ce triathlon de la propreté,
10:49mais ensuite il y a encore deux phases qui arrivent,
10:53donc on fait encore un comptage, on avait fait un comptage initial,
10:57mais on fait encore un comptage et un inventaire des sacs et des dépôts clandestins,
11:01et puis après on communique tous ces résultats avec de l'affichage public.
11:05Et donc l'idée c'est vraiment d'expliquer aux gens,
11:07ben voilà, vous avez été sensibilisés,
11:10vous avez été, pour certains d'entre vous, verbalisés,
11:13quand on a pu vous identifier, et maintenant on vous informe,
11:16et on essaie de voir s'il y a eu une diminution des sacs poubelles,
11:21des dépôts clandestins entre les premières phases et les toutes dernières.
11:24Et ce qu'on a observé à Ixelles tout récemment,
11:27lors de la dernière édition du triathlon de la propreté dans le quartier du cimetière d'Ixelles,
11:32gros quartier commerçant, quartier étudiant,
11:34avec beaucoup de problématiques liées à la propreté,
11:37c'est qu'on a remarqué une diminution de l'ordre de 30% des sacs poubelles
11:41qui étaient présentés en rue de façon anarchique en dernière phase par rapport à la première.
11:45Donc ce sont des résultats intéressants.
11:47Maintenant, il faut être honnête,
11:50c'est pas un triathlon à un moment donné qui va tout changer.
11:53C'est-à-dire que c'est en combinant ces actions,
11:56en les pérennisant dans le temps,
11:58parce qu'il faut en fait organiser,
11:59et je pense que c'est vers ça que Bruxelles Propreté est en train aujourd'hui de se diriger,
12:05c'est d'organiser des actions de façon récurrente toute l'année.
12:09Parce que faire une grosse action à un moment donné,
12:12puis ne rien faire pendant un an ou deux ans,
12:14ça ne marche pas comme ça.
12:17Donc il faut pouvoir organiser des actions toute l'année,
12:19sensibiliser les Bruxelles-Ois toute l'année,
12:21et ça c'est le plus important.
12:23D'ailleurs, on a une grosse date qui est prévue ce samedi,
12:28c'est un gros festival,
12:29c'est le Festival de la Propreté,
12:31c'est le premier festival de la propreté
12:33qui est organisé par Bruxelles Propreté en collaboration et en soutien avec Faust Plus,
12:38Faust Plus qui est une ASBL qui regroupe tous les producteurs d'emballage,
12:45les entreprises productrices d'emballage.
12:47Et donc on sera présents sur la place de Broucaire ce samedi,
12:50ce samedi 20 septembre,
12:52avec toute une série d'animations gratuites,
12:55animations autour du tri, autour du recyclage,
12:58mais aussi des animations musicales,
13:00une fanfare, des food trucks qui sont à disposition,
13:05et même un défilé de mode avec des anciennes tenues des ouvriers de propreté
13:10qui ont été complètement recyclées.
13:12Et là, le message, c'est vraiment faire comprendre aux gens
13:15qu'on peut, même avec des très vieux vêtements
13:17qui nous semblent bons pour aller à la poubelle,
13:21on peut encore faire des choses intéressantes.
13:23D'ailleurs, je rappelle que depuis le 1er janvier 2025,
13:26les vêtements ne sont plus à mettre dans le sac blanc,
13:29mais dans les bulles à textile ou dans les roci-parcs de Bruxelles Propreté.
13:33Donc venez nombreux,
13:34parce qu'en plus la météo sera de notre côté,
13:36il va faire beau samedi,
13:37et c'est à partir de 11h jusqu'à 19h, 20h,
13:42avec des concerts, des stands de musique, des fanfares,
13:45des activités gratuites pour les enfants.
13:47Les enfants pourront même monter dans les camions de Bruxelles Propreté,
13:50essayer les souffleuses, les gloutons,
13:52donc tous les appareils, tous les engins,
13:54et notre charroi qu'on utilise toute l'année
13:57pour nettoyer les rues de Bruxelles.
13:59Et donc, voilà, venez faire la fête avec nous
14:00et célébrez la propreté.
14:02Voilà, encore une dernière question,
14:03peut-être avant de nous quitter,
14:04si vous avez un conseil à donner à toutes les Bruxelloises
14:07et à tous les Bruxellois,
14:08justement, dans le cadre de toutes ces actions,
14:11de jouer le jeu et de faire l'effort.
14:13Alors oui, évidemment, de jouer le jeu,
14:15et puis je rappelle qu'on a toute une série de services
14:16qui sont à disposition des Bruxellois
14:18pour se débarrasser de leurs déchets.
14:20On essaye évidemment de s'améliorer
14:22et d'augmenter cette palette et de l'étoffer,
14:24mais il y a des réciparcs fixes qui sont là
14:26pour accueillir le public.
14:28Je pense au réciparc Demetz à Anderlecht,
14:30qui est situé vraiment sur le quai Fernand Demetz
14:32dans la prolongation du quai Marimont,
14:34tout près d'une station de métro,
14:35on n'est pas loin d'Omal.
14:37Ça, c'est une solution.
14:38On a le réciparc Buda,
14:40on a des réciparcs mobiles
14:41dans les quartiers qui viennent jusque à côté de chez vous,
14:45notamment, je pense, à Scarbeck, à Anderlecht,
14:48avec des réciparcs mobiles
14:49qui sont là de façon éphémère pendant quelques jours,
14:52mais qui sont en capacité de recevoir les déchets des Bruxellois
14:54qui ne sont pas motorisés,
14:56qui ne peuvent pas se déplacer jusqu'à un réciparc.
14:58Et puis, il y a cette solution des encombrants à domicile,
15:01puisqu'on vient chercher 3 mètres cubes devant chez soi,
15:04à la maison.
15:05C'est quand même un service qui est extraordinaire,
15:07qui est disponible une fois par an pour tous les Bruxellois.
15:10Il faut aller sur notre site internet,
15:11Bruxelles Propreté.
15:12C'est en 12 langues.
15:14Donc, il y a forcément la langue que vous parlez.
15:18C'est en français, en arabe, en espagnol, en turc, en bulgare aussi.
15:23Et donc, toutes les informations sont disponibles.
15:25Il n'y a plus qu'à.
15:26Voilà.
15:26Adèle Lassouli, porte-parole de Bruxelles Propreté.
15:29Merci pour ces précisions.
15:30Et on espère que cette campagne permettra
15:32de faire de Bruxelles une ville plus propre durablement.
15:34Merci d'avoir été avec nous.
15:35Merci pour l'invitation.
15:36Et on se retrouve dans quelques instants
15:37pour la suite de votre carrefour de l'info.
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations