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  • il y a 3 mois
«Les black-blocs cassent au nom de l’idéologie nauséabonde d’extrême gauche», a estimé Eric Henry, délégué national Alliance police, ce jeudi 21 août sur CNEWS dans Punchline Eté. 

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Transcription
00:00Beaucoup de choses auxquelles l'alliance polynationale adhère ont été dites.
00:04Je rappelle, et vous l'avez fait, en 2023,
00:07non seulement il y a eu des dégradations au sein de la salle Les Pas Perdus,
00:10mais également il y a eu des drapeaux français qui avaient été enlevés, piétinés.
00:14Le festival de rue Dorillac, comme beaucoup de festivals, de manifestations,
00:20et les lieux de convergence des anarchistes et autres black blocs.
00:23180 000 visiteurs, en gros, sur l'ensemble du festival, sur la durée du festival.
00:29D'accord ? 180 000 visiteurs attendus, 300 artistes, 300 black blocs,
00:34voilà, cagoulés, vous l'avez dit, masqués, qui risquent des barricades,
00:38qui incendient des poubelles, des commerces, des mobiliers urbains,
00:41qui balancent des pavés sur mes collègues policiers, CRS, voilà.
00:45Et, au nom de quoi, au nom de quelle idéologie ?
00:48L'idéologie nozéabonde de l'extrême gauche qui vise à se mettre au bord d'Elysée.
00:52Et, la question qui se pose, et vous l'avez bien posée,
00:54c'est, est-ce que c'est, je dirais, l'entrée en matière de ce qui nous attend le 10 septembre,
01:01parce qu'on sait qu'il y a une volonté par ces anarchistes black blocs
01:06et qui est soutenue par la France Insoumise,
01:08d'ailleurs le seul parti politique qui les soutient et qui essaie de récupérer
01:10cette contestation, cette colère, enfin, en tout cas,
01:13ces rassemblements qui devraient avoir lieu le 10 septembre,
01:18en dehors de tout cadre politique ou syndical.
01:20Donc, mes collègues ont fait face, évidemment, à des individus extrêmement violents.
01:25Je rappelle qu'il y avait une compagnie de CRS qui était là,
01:27heureusement, on a une dizaine de blessés, ça aurait pu être encore beaucoup plus grave.
01:31Il y a trois sections de CRS qui arrivent sur place,
01:35justement, pour renforcer les défectifs.
01:38Aurillac, vous l'avez rappelé ?
01:40Ville paisible, effectivement.
01:41Ville paisible, en Auvergne.
01:43On ne dit pas que telle scène puisse avoir lieu à Aurillac.
01:45Exactement.
01:4626 500 habitants.
01:49Et qu'est-ce qu'on voit ?
01:50On voit des individus qui viennent, mais pas pour la culture.
01:55On en pense.
01:55Est-ce qu'on veut le festival de rue ?
01:56D'ailleurs, il faudrait demander aux habitants,
01:58parce qu'ils se l'ont marre.
01:59Tous les ans, c'est la même chose.
02:00Alors, tous les ans, il y a de la tension.
02:01Cette année, c'est bien plus exacerbée, bien plus grave.
02:03Mais bon, ils viennent pour quoi ?
02:05Ils viennent pour casser, pour brûler.
02:07Tout autre chose que la culture.
02:09Bien sûr.
02:10C'est ça, c'est l'un des problèmes.
02:13Et à chaque fois, une manifestation sportive, culturelle,
02:16mémorielle, tout ce qu'on veut,
02:17certains, pour les mêmes,
02:20cette minorité hurlante, d'extrême-gauche,
02:22radicalisée, qui vient pour casser,
02:24et non pas pour faire quoi que ce soit d'autre.
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