[#Journal] Le 12H30 du 21 Août 2025
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00:00C'est un plaisir de vous retrouver ce jeudi 21 août 2025 sur JMT TV pour le journal de 12h30.
00:16Bonjour à tous, on ouvre cette édition avec la dénonciation d'une tentative d'exclusion des candidats du parti politique en somme pour le Gabon pour les élections locales et législatives prochaines.
00:26En effet, le parti s'insurge devant le rejet de 14 de ses candidatures sur 24 déposées. Les détails avec Zunbiève Doubounou.
00:34Le parti politique Ensemble pour le Gabon a vivement réagi ce mercredi à la publication par le ministère de l'Intérieur de la liste des candidatures retenues pour les élections législatives du 27 septembre prochain.
00:48Dans un communiqué officiel, la formation conduite par son leader dénonce de graves manquements et s'interroge sur la régularité du processus électoral.
00:59Une publication jugée tardive et pénalisante selon le communiqué parvenu à notre rédaction.
01:04EPG regrette que la liste des candidatures ait été publiée dans le quotidien.
01:09L'Union a seulement un jour de la fin du délai accordé pour le recours contentieux.
01:15Une décision qui, selon le parti, pénalise lourdement les candidats, se trouvant hors de Libreville qui n'auront donc que 24 heures pour se pouvoir devant la Cour constitutionnelle.
01:25Une situation jugée d'autant plus préoccupante que le délai de recours est considéré comme un élément essentiel de la transparence et de l'équité électorale.
01:34EPG affirme avoir déposé 24 dossiers complets de candidature avec accusé de réception.
01:40Pourtant, seuls 10 dossiers ont été validés par le ministère et un autre a été requalifié comme candidature indépendante, bien qu'ayant été introduite sous la bannière EPG.
01:52Le parti s'indigne également du fait que la Sénocéa et le ministère de l'Intérieur n'auraient pas tenu compte des dossiers complétés dans le délai supplémentaire de 48 heures qu'ils avaient eux-mêmes accordé, rejetant plusieurs candidatures sans explication aucune.
02:08Dans des termes particulièrement fermes, le mouvement politique parle d'une tentative d'exclusion et appelle les autorités au ressaisissement.
02:16EPG dénonce vigoureusement ces manquements graves et appelle le ministère de l'Intérieur et la Sénocéa au respect des textes en vigueur afin de garantir la participation de tous les candidats pour un scrutin véritablement démocratique, libre et apaisé, conclut le communiqué.
02:32A moins de six semaines du scrutin, cette contestation vient rappeler les tensions persistantes autour de la gestion du processus électoral.
02:41Reste à savoir si le ministère de l'Intérieur apportera des clarifications face à ces accusations qui pourraient nourrir la suspicion autour de l'équité du scrutin.
02:50La Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale et la société EboMAF mettent fin à leur partenariat.
02:57Une décision qui se veut sereine et concertée. Mariska Ikapi nous en dit plus.
03:03La Compagnie nationale de navigation intérieure et internationale CNI a annoncé le mercredi 20 août 2025 la fin de son partenariat avec le groupe EboMAF.
03:13Dans un communiqué officiel, la direction de la compagnie publique a présenté cette rupture comme une décision sereine et concertée,
03:20traduisant la volonté des deux parties de réorienter leurs priorités stratégiques.
03:24Elle précise toutefois que cette évolution n'aura aucune incidence sur la continuité des activités de la CNI.
03:30Selon la direction générale, cette séparation est intervenue après évaluation conjointe et en toute sérénité dans le respect des engagements pris depuis le lancement de leur collaboration.
03:39Le partenariat visait initialement à accompagner le développement du transport maritime et fluvial, un secteur stratégique pour le Gabon.
03:47Mais au terme de leur coopération, les deux entités ont jugé opportun de privilégier désormais des orientations distinctes, sans conflit apparent ni contentieux.
03:56Soucieuse de rassurer l'opinion, la CNI insiste sur le fait que ces services resteront pleinement opérationnels et que la qualité de ces prestations offertes aux usagers ne sera pas affectée.
04:07L'entreprise réaffirme son engagement en faveur de la modernisation du transport fluvial, maritime et logistique, en cohérence avec la stratégie nationale de développement.
04:17Elle a également salué la collaboration menée avec le groupe EboMAF, qualifiée d'expérience utile et enrichissante.
04:22Créée pour structurer et dynamiser le transport maritime et fluvial, la CNI entend poursuivre sa dynamique de modernisation et de diversification de ses partenariats.
04:33Elle mise sur un positionnement stratégique qui doit répondre aux besoins croissants en mobilité et en connectivité économique à l'échelle nationale et internationale.
04:42De nouvelles collaborations sont attendues dans le cadre du plan national de développement, où le transport maritime demeure un levier clé de croissance.
04:49Plus de 100 jours après l'entrée en fonction de brisqueteurs Oliguenguema, les Gabonais se sentent-ils davantage en sécurité ? Nous leur avons posé la question, on regarde.
04:58À mon avis, il n'y en a pas testé. Il y a beaucoup de choses.
05:02Lorsqu'on parle de la sécurité, madame, c'est très profond, très profond.
05:06La voix, la voix, la voix.
05:07Vous savez, le tout, ce n'est pas prendre des mesures.
05:11On le voit à la télévision, bon oui, le gouvernement fait des mesures telles.
05:15Le tout, c'est d'aller à la source.
05:17Vous savez, réellement, quels sont ceux-là qui font venir, par exemple, les stupéfiants, vous voyez.
05:23Et pour qui ? Parce que, pour qui ? Parce que c'est très important.
05:28Et puis, voilà, d'abord, à résonner ceux-là qui font venir, tout ce qui se passe.
05:36Et puis, voilà, pas d'amélioration.
05:38Pas d'amélioration.
05:39Ce qui ne concerne pas d'amélioration.
05:41Les forces de sécurité aussi, ils se doivent de faire beaucoup.
05:45Parce que quand ils arrivent, bon, mais c'est l'enfant des tels, vous voyez, hein, ils se...
05:49Non, on doit faire le travail.
05:51Tous, on doit faire le travail comme ils le font.
05:53Très, très, très certes.
05:54La majorité même de ceux qui organisent, d'abord, les ordines, les secrétés dans le pays,
05:59ce sont les étrangères.
06:00Vous n'allez pas comprendre que ce sont nos forces de sécurité, parmi eux,
06:05surtout avec le recrutement qu'ils ont eu à faire.
06:09Il y a beaucoup de voyages là-dedans.
06:10Il ne faut pas se faire, il ne faut pas se faire, il n'y a beaucoup d'étendus.
06:13Vous n'allez pas comprendre que quelqu'un qui est militaire va se permettre de braquer les civils.
06:18Lui qui est censé protéger les civils, il ne faut pas te rendre compte que c'est un corps habillé,
06:24tout seulement à braquer, ou violer les inférences, c'est sûr, à soupe.
06:28Mais à soupe, à soupe, à soupe, à soupe, à soupe de sa société, oui, bien sûr.
06:32Donc, moi, je dirais tout simplement que du côté de la secrétaire,
06:36les trois ans de la République, qui n'ont pas encore réussi, hein,
06:40là-dessus, il ne faut pas connaître le monde, qui n'a pas, parce que...
06:42Et vous avez aussi un certain nombre d'artistes gabonais qui ont une influence sur un peu le jeu.
06:49Comment vous allez comprendre, nous, un artiste qui va chanter,
06:52et il va venir me dire, tu, kaka, tu, kaka, tu, kaka, tu, kaka, tu, kaka.
06:55Forcément, le son a l'influence sur le jeu, nous, l'enfant au quartier.
06:59Les paroles comme ça, je ne sais pas pourquoi la haute autorité de la communication
07:05n'est censuré pas ce type de son, là, ce son, parce que ça, c'est déjà un artiste
07:10qui incite déjà certains jeunes à faire du bandit, c'est,
07:15« Oh, moi, je filme mon chambre, je n'ai pas le temps de quelqu'un. »
07:18Bon, vous pensez que celui qui est aussi au quartier, là-bas,
07:21quand il s'est mis à écouter ce genre de son comme ça, lui, il va dire quoi.
07:25Parce que moi, là aussi, dans sa tête, c'est, « Je filme mon chambre, je n'ai pas le temps de quelqu'un. »
07:29Donc, là, surtout des artistes comme ça, c'est les gens censurés.
07:32Ça a bien changé, puisque nous constatons une violence en milieu scolaire.
07:43Les jeunes dans les lycées qui se poignardent, les jeunes dans les lycées qui se baladent avec les drogues,
07:49parce qu'un pays, c'est la jeunesse.
07:51Quand sa jeunesse est pervertie, rien ne peut aller.
07:55On ne sait pas comment ces stupéfiants font pour rentrer dans ce pays.
07:58Donc, on se demande qui amène ces drogues dans ce pays.
08:04Maintenant, nous avons des jeunes dans les quartiers.
08:09Je ne sais pas si c'est l'éducation nationale aussi qui ne fait pas son travail,
08:12parce qu'il y a un problème de formation.
08:16On ne donne pas aux jeunes les jugements de valeur.
08:20Les jeunes, ça donne aux basse besoins.
08:23Regardez un peu les diplômés gabonais de maintenant.
08:27Un petit qui a le BPC, mais il s'exprime comme si c'était un délinquant.
08:31On peut plus faire la différence entre celui qui a la rue et celui qui va à l'école.
08:35La plupart des jeunes ont le même français, le Largo.
08:38Alors qu'à notre époque, on voyait que celui-là va à l'école,
08:41il s'exprimait quand même bien.
08:43Et l'autre qui n'allait pas à l'école, qui était à la rue,
08:45on arrivait à les dissocier.
08:47Mais aujourd'hui, ils sont pratiquement tous confondus.
08:49Donc il faut vraiment que le chef de l'État essaye un peu de taper du poing sur la table.
08:57Pour l'instant, je vais dire non, parce qu'on est toujours dans la même situation.
09:04Le viol d'enfants, c'est toujours là.
09:08On n'a pas de sécurité au niveau des quartiers.
09:12Par exemple, juste au niveau 2022, on a vraiment un manque de sécurité là-bas.
09:20Parce qu'il y a un problème de vol.
09:25Le vol, l'électricité, on n'a pas.
09:29Des fois, les lampes de l'air prennent.
09:31Des fois, tu vas avoir un mois, deux mois, trois mois, un an même.
09:34Donc, on est dans, on est toujours dans, on est dans, on est dans, on est dans.
09:38L'insécurité, après les 100 jours du chef de l'État,
09:43on ne va pas faire la critique ici,
09:46mais on fait la critique de l'insécurité, soit augmentée.
09:49Parce que de plus en plus, on parle de braquage,
09:52on parle de stupéfi, on parle de vente de drogue.
09:55Il y a toujours l'insécurité.
09:57Et il y a toujours des agents qui ne font pas bien leur travail.
10:01Et donc, pour moi, l'insécurité augmentée, c'est devenu un peu plus.
10:04Il y a des viols.
10:05Il y a des viols, il y a le vol, la dégravation, les drogues, tout ça là.
10:11Ces choses-là, il n'y avait pas ça avant.
10:12Tout le monde filme la drogue.
10:14Aujourd'hui, c'est maintenant une histoire du café.
10:16Tu viens à tel endroit, tu connais où on vend la drogue.
10:18C'est pas bon, il y a un problème.
10:20Normalement, c'est qu'il doit être fait.
10:21La première chose, moins on en a vu.
10:23On doit se sensibiliser d'abord nos forces de l'ordre.
10:25On doit les ressensibiliser.
10:27Chacun doit connaître pourquoi il a porté la tenue.
10:30Pourquoi il est agent.
10:32Et pourquoi, aujourd'hui, il est agent.
10:35Parce qu'il doit servir son pays, il doit aider.
10:37Parce que les agents aussi, ils doivent aussi amener la jeunesse à comprendre.
10:41Aujourd'hui, on voit aussi qu'on sent qu'il y a un problème.
10:44On n'a plus de loisirs.
10:46Il y a un coin qu'on appelle la baie des rois.
10:47Mais pour aller là-bas, c'est pas tout le monde, c'est cher.
10:50Voilà, et tout le monde ne peut pas aller là-bas.
10:51Il n'y a plus de stade.
10:52Il n'y a plus de championnat pour les jeunes.
10:54Il n'y a plus de concert.
10:54Il n'y a plus de concert.
10:56Comme avant, on avait les championnats au quartier, l'oxy.
10:59Il n'y a plus ça.
11:00Donc, vous voyez que les jeunes, ils ont l'objet d'aller filmer.
11:02Mais si, il n'y avait encore ça.
11:03Ça devait amener en sorte que nos frères et soeurs ne puissent pas se donner.
11:07Vous voyez aussi, les femmes aussi sont encore dans la consommation.
11:09Il y a un problème.
11:11Il y a un problème.
11:12Mais, les 100 jours du chef d'État, il n'y a rien à réduire.
11:15C'est un bâtisseur, il bâtit.
11:17Mais, pour l'insécurité, le ministère de l'Intérieur, il doit revoir, et le ministère aussi de la Justice, on doit revoir les agents corrompus.
11:25On doit les briser correctement.
11:28Pour ces agents, c'est là pour mettre l'ordre, pas pour mettre le désordre.
11:32Découvrons ce que disent nos confrères ce jeudi.
11:34En parle éducation, c'est l'agence gabonaise de presse.
11:37À quelques jours de la rentrée administrative prévue le 25 août,
11:39le ministre de l'État, ministre de l'Éducation nationale, de l'Instruction civique et de la formation professionnelle,
11:44Camille Lantoutoum-Leclerc, a présidé ce mercredi une réunion avec les partenaires sociaux du secteur éducatif.
11:50Dans un contexte marqué par des réformes pédagogiques et des préoccupations sociales persistantes,
11:55l'objectif de cette rencontre était de renforcer la coordination entre l'administration et les syndicats,
12:01d'améliorer la qualité de l'enseignement, de garantir la présence effective des enseignants et de favoriser un climat scolaire apaisé.
12:08Les échanges ont également porté sur la lutte contre les violences en milieu scolaire
12:11et sur la nécessité de resserrer les liens entre les familles et les institutions, l'étant chez le confrère.
12:16Du côté de Gabon Actu, le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale CNSS Olivier Rebieno-Pellegrin
12:24a rassemblé mardi son personnel à l'agence du Biquelé dans la commune d'Ontoum.
12:28Le rendez-vous qui fait suite aux rencontres avec les associations de retraités et les partenaires sociaux
12:33avait pour but de faire une autocritique, un bilan de l'année 2024 et dresser les perspectives d'avenir de la Caisse
12:39dont dépend la survie des milliers de retraités du secteur privé du Gabon, informe le confrère.
12:44Chez Gabon Review, en phase avec la Stratégie nationale de diversification économique et de lutte contre la pauvreté,
12:51la Société d'exploitation du tronche gabonais poursuit en 2025 la mise en œuvre de son programme
12:56Billion de création d'emplois, un dispositif qui favorise la formation, le financement
13:00et l'accompagnement des populations riveraines de la voie ferrée, avec déjà des résultats tangibles dans plusieurs localités.
13:06L'actualité est aussi hors de nos frontières.
13:10En Centrafrique, les ex-combatants du 3R en temps des retours, réclamations et réhabilitations
13:14ont dénoncé lundi du juillet ou des violations de l'accord de peine négocié à N'Djaména en avril
13:19et signé à Bangui le 10 juillet dernier.
13:22Dans une vidéo, ils disent avoir été agressés et attaqués par des mercenaires russes de Wagner
13:26un mois après la dissolution du mouvement armé.
13:29Les ex-rebelles demandent le gouvernement de trouver une solution et éviter le pire, rapporterait la France internationale.
13:34C'est tout pour l'actualité, le verbatim.
13:38Le verbatim de ce midi est de prescriteur Olivier Nguémar, président de la République, chef de gouvernement.
13:42La source est une interview accordée au journal L'Union.
13:46La lutte contre la pauvreté est au cœur de notre action.
13:49Les chiffres de la Banque mondiale reflètent un héritage douloureux, un chômage de 35 à 40 %
13:53et une dette publique dépassant 70 % du PIB.
13:57Toutefois, ce sont d'anciens chiffres que détient l'institution financière internationale qui n'a pas actualisé les nouvelles données.
14:03C'est sur ces mots du brisque-tarouli-gingéma que prend fond ce journal.
14:06Merci à vous d'avoir été nombreux à l'assure.
14:08Je vous dis à très vite sur Gabo Media Time.
14:11Au revoir.
14:11Sous-titrage Société Radio-Canada
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