Brutal atterrissage. Les Olympiens, de Pablo Longoria à "Auba", les 1200 fadas entassés en parcage (https://www.laprovence.com/article/om/2314488469974114/om-rien-que-le-plaisir-de-reprendre-le-car-les-%3ChighlightSearchTerm%3Esupporters%3C/highlightSearchTerm%3E-olympiens-impatients-de-se-rendre-a-rennes), les autres éparpillés dans le Roazhon Park et ceux assis devant leur TV imaginaient tout, sauf ça. Même les moins optimistes, ceux qui ont volontairement préservé leur enthousiasme de la fièvre estivale, ne voyaient pas l'OM manquer sa rentrée (https://www.laprovence.com/article/om/4120376282408514/lom-battu-a-rennes-une-douche-froide-pour-commencer). Qui plus est de la sorte... "Contre Rennes ? J'ai ragé. Ne pas gagner, ne pas marquer, c'est une chose, mais il faut ne pas perdre. C'est une faute professionnelle", peste Mathieu, encarté au MTP et abonné de longue date au Vel'. "Je craignais ce match d'ouverture car l'engouement médiatique et numérique de la préparation était excessif", ajoute Gérard, un autre fidèle de l'OM. "Tout le monde a trop parlé, comme d'habitude on s'est monté la tête après trois bons matches amicaux en bois, souffle Jean-Pascal, depuis le Vaucluse. "J'étais super excité avant le coup d'envoi. Depuis la série documentaire ("Sans jamais rien lâcher", diffusée par le club), on est tous à fond avec le 'Chi siamo ? L'OM !', avoue Anthony, adhérent au CU84. Chi siamo ? Eh bien, une équipe qui perd (1-0), alors qu'elle est à 11 contre 10 pendant plus d'une heure. C'est ça l'OM..."
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