Amaury Brelet : «À force de vouloir acheter la paix sociale, l'état prépare la guerre civile»

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Le journaliste, Amaury Brelet, revient sur la rave-party qui a lieu en Isère. «À force de vouloir acheter la paix sociale, l'État prépare la guerre civile», analyse-t-il dans Punchline Été sur CNEWS.

Transcript

00:00C'est simplement qu'il y ait plus de fermeté de la part de l'État.

00:02Moi, j'ai lu ce communiqué où la préfète condamne, je cite,

00:07dit que l'État fera preuve de fermeté, mais en réalité, sans rien faire.

00:11Donc, ce n'est pas un communiqué, c'est un acte de capitulation.

00:14C'est-à-dire que vous avez l'État qui se couche au lieu d'agir,

00:18au lieu d'envoyer la force publique pour virer tous ces gens.

00:21Et aujourd'hui, qui peut croire sérieusement que l'État puisse lutter efficacement

00:27contre la délinquance généralisée, contre le narcotrafic,

00:31contre l'immigration illégale,

00:33quand on voit qu'il n'est même pas capable d'empêcher

00:34quelques centaines de zozots intoxiqués,

00:37et qui pour la majorité d'ailleurs ne tiennent même plus en l'air,

00:40de saccagir un champ.

00:42C'est absolument terrible, l'image qui est renvoyée de l'impuissance

00:45et du laxisme de l'État aujourd'hui.

00:47Et ça fait des années que ça dure.

00:48Et moi, je le répète sans arrêt, à force de vouloir acheter la paix sociale,

00:52l'État prépare la guerre civile.

00:57Sous-titrage Société Radio-Canada

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