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Le spécialiste terroriste et renseignements, Claude Moniquet, revient sur les nouvelles mesures prises par le Royaume-Uni. Il dévoile : «12% des détenus britanniques étaient d'origine étrangère. Le Royaume-Uni ne voit aucune raison qu'ils continuent à bénéficier des lois et de l'aide britannique», dans La Matinale Été sur CNEWS. 

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Transcription
00:00Oui, bonjour Mickaël. Alors oui, effectivement, déjà le nom du programme dit tout. Il s'agit d'expulser des criminels condamnés dès leur condamnation en première instance et avant qu'ils puissent faire appel, sachant qu'ils pourront faire appel, bien entendu, mais par visioconférence et depuis leur pays d'origine, depuis une prison probablement de leur pays d'origine.
00:20Alors effectivement, c'est un programme qui va être étendu à 15 nouveaux pays, ce qui veut dire que 23 pays désormais ont signé cet accord avec la Grande-Bretagne, dont la Bulgarie, l'Australie, l'Inde, l'Indonésie, le Liban, l'Albanie, la Pologne, la Roumanie.
00:36Pour une raison très simple, en fait, 12% des détenus britanniques en septembre dernier, 12% des détenus britanniques, soit 10 400 détenus, étaient d'origine étrangère et le Royaume-Uni ne voit aucune raison qu'ils continuent à avoir commis des délits ou des crimes à bénéficier des lois britanniques et de l'aide britannique, entre autres à l'immigration.
00:58Il faut savoir aussi que les détenus les plus dangereux, condamnés pour terrorisme et pour meurtre, ne sont pas concernés.
01:05Ils resteront dans les prisons britanniques de manière à rester sous le contrôle strict de l'État anglais.

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