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  • il y a 2 mois
«Pour l'Algérie, Bruno Retailleau est l'ennemi public numéro 1», affirme Judith Waintraub, grand reporter, sur CNEWS.

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Transcription
00:00Il est coincé non seulement par l'hostilité de l'Algérie.
00:06Pour l'Algérie, Rotaïo, c'est l'ennemi public numéro un.
00:09Les Algériens, les autorités algériennes disent qu'ils volent la tête de Bruno Rotaïo.
00:16Métaphoriquement, 100 ans, en tout cas pour ce qui concerne les officiels algériens.
00:21Mais c'est devenu vraiment l'enjeu du bras de fer diplomatique entre la France et l'Algérie.
00:26Donc d'une part, il y a l'Algérie, le régime algérien.
00:30Et d'autre part, il y a l'impéritie du tandem, en l'occurrence Emmanuel Macron-Jean-Noël Barraud.
00:38Je reparle de Jean-Noël Barraud, dont on a l'impression que toute son énergie est employée à contrer les efforts du ministre de l'Intérieur,
00:51a installé une épreuve de force nécessaire avec l'Algérie.
00:57Et dans le cas d'Emmanuel Macron, on sait, puisqu'il l'a dit, que cette version de la diplomatie est guidée par l'appréhension
01:07que les descendants d'Algériens en France, ou même les Algériens en France, en situation parfaitement légale,
01:13qui travaillent et qui ne posent pas de problème, se solidarisent contre les mesures prises par les autorités françaises.
01:20Or, quand ces mesures tapent la momenclatura algérienne, ce qui se passe avec ce qu'essaye de faire Bruno Retailleau,
01:29avec les avoirs immobiliers, en interdisant à des notables, en les privant de visas pour venir en France,
01:37je suis désolée, la rue algérienne française, elle applaudit.
01:41Elle n'est pas du tout solidaire de ce régime corrompu dont elle souffre.
01:50Sous-titrage Société Radio-Canada
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