- il y a 4 mois
La dernière compagne de Cédric Jubillar a été, comme prévu, entendue par les gendarmes. Elle a confirmé avoir recueilli les aveux de Cédric Jubillar, ce qu'elle avait raconté dans la presse. L'audition a duré quatre heures. Mais elle n'a constitué ni révolution ni tournant, confie une source proche du dossier. On en parle avec : Pierre-Olivier Dentan, envoyé spécial BFMTV, à la gendarmerie d'Auch (Gers). Boris Kharlamoff, journaliste police-justice BFMTV. Maître Carole Masliah, avocate pénaliste au barreau de Paris. Et Jacques-Charles Fombonne, général en retraite de la gendarmerie nationale, consultant police-justice BFMTV.
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00:00L'affaire Jubilard, la dernière compagne de Cédric Jubilard, a été comme prévu entendue par les gendarmes.
00:07Ça s'est passé ce matin et elle a confirmé avoir recueilli les aveux de Cédric Jubilard, ce qu'elle avait raconté dans la presse.
00:13On va retrouver sur place pour BFM TV Pierre-Olivier Dantan devant la gendarmerie de Hoche dans le Gers.
00:19L'audition aura duré environ 4 heures.
00:22Oui Olivier et cette ex-petite amie de Cédric Jubilard que nous appellerons Justine,
00:26elle a été auditionnée ici à la gendarmerie de Hoche, auditionnée par les gendarmes de la section de recherche de Toulouse.
00:33Cette audition a donc duré 4 heures, vous l'avez dit, mais elle n'a constitué ni révolution ni tournant, nous confie une source proche du dossier.
00:41Ce qu'on est sûr, c'est que Justine a confirmé aux gendarmes avoir recueilli les aveux de Cédric Jubilard lorsqu'elle le visitait lors des parloirs.
00:49Elle assure donc que Cédric Jubilard lui a confirmé avoir étranglé mortellement sa femme Delphine.
00:55En plus de ça, elle assure que Cédric lui a confirmé avoir enterré le corps de Delphine à une quinzaine de kilomètres au sud de la ville d'Albi,
01:03lors d'une exploitation agricole. Malheureusement, les précisions sont insuffisantes pour savoir exactement où est localisé le corps de Delphine.
01:10Ce qui va se passer maintenant, c'est que ces gendarmes de la section de recherche de Toulouse,
01:14ils vont devoir rendre un rapport avant le 31 juillet à la présidente de la cour d'assises du Tarn,
01:19parce qu'elle avait demandé un supplément d'information dans cette affaire.
01:25Et ce qui va se passer par la suite, enfin, c'est ce procès qui aura lieu le 22 septembre à la cour d'assises du Tarn, à Albi.
01:32Merci Pierre-Olivier Dantan avec Corentin Guistot pour les images.
01:36Boris Karlamoff, elle a été cohérente. C'est d'ailleurs ce que dit son avocat.
01:40Ma cliente a été cohérente avec elle-même. Elle a redit aux enquêteurs ce qu'elle avait pu dire à la presse.
01:45Absolument. Et elle a donc confirmé avoir recueilli les aveux de Cédric Jubilard.
01:49On va rappeler le contexte. Celle que l'on prénommera Justine était la seule visiteuse en détention de Cédric Jubilard,
01:56mis à part forcément ses avocats.
01:59Et elle a recueilli ses aveux sur une période allant de février à la mi-juin.
02:02Donc c'est encore tout frais.
02:04Souvenez-vous, début juillet, elle s'était épanchée auprès de confrères en presse écrite.
02:08Elle avait notamment livré une interview dans un quotidien national.
02:12Elle avait raconté avec précision et circonstance les détails de ses conversations avec Cédric Jubilard,
02:18qui lui a donc avoué avoir étranglé Delphine en mimant les gestes sur sa nouvelle compagne lors d'un parloir.
02:25Les faits, ils auraient eu lieu dans la maison, dans le salon, toujours selon ses prétendues confidences.
02:29Delphine n'aurait pas crié. Enfin, ce dernier l'aurait enterré dans une exploitation agricole.
02:34Cédric Jubilard aurait même situé l'endroit avec précision où il aurait enterré le corps de sa femme,
02:40à 15 kilomètres au sud de Cagnac, là où les gendarmes n'avaient pas effectué de recherche,
02:45puisqu'il avait insinué que les gendarmes se trouvaient dans le nord et que c'était bien qu'ils restent dans cette zone.
02:50Donc bref, une audition qui aura donc duré 4 heures aujourd'hui.
02:54On va voir maintenant ce que va décider la présidente de la cour d'assises du Tarn,
02:57puisqu'un rapport va lui être remis d'ici à la semaine prochaine.
03:01La date bitoire étant le 31 juillet. Est-ce qu'elle va demander des actes d'enquête supplémentaires ?
03:06Est-ce qu'elle va demander une confrontation ?
03:08Et des avocats, et notamment la Défense, peuvent aussi demander cette confrontation entre Cédric Jubilard et Justine,
03:13son ancienne compagne. Quoi qu'il en soit, cette confrontation, elle aura bel et bien lieu dans l'enceinte judiciaire
03:16à partir du 22 septembre, puisqu'il y a à ce jour un procès qui va se tenir à partir de ce moment-là.
03:21Maître Carole Messlia, bonsoir. Est-ce qu'il faut une confrontation entre Cédric Jubilard et sa dernière compagne
03:28avant le procès, ou faut-il attendre le procès qui doit se tenir dans quelques semaines maintenant ?
03:33Quelle serait la plus-value qu'une confrontation ainsi puisse être organisée ?
03:39Ça va être la parole de l'un contre la parole de l'autre. Je ne vois pas véritablement l'intérêt...
03:45Il ne peut pas être en difficulté, Cédric Jubilard, qui pour l'instant tient bon en quelque sorte.
03:49Oui, il tient bon, mais il va tenir bon jusqu'au procès. Ce qui est important de rappeler, c'est qu'on va être devant la Cour d'Assise,
03:55que c'est le principe de l'oralité des débats, que c'est aussi le principe du contradictoire et du respect.
03:59Donc la confrontation se fera devant la Cour d'Assise ?
04:01Tout à fait. Et là, en effet, ce qui est intéressant également, c'est que ça permettra aux avocats de la défense,
04:08à l'avocat général, de solliciter, de poser des questions à Justine, et de confronter véritablement les choses.
04:15Maintenant, quand le rapport va être rendu d'ici la fin du mois, sans connaître le dossier, je précise,
04:23et toujours dans le cadre de la présomption d'innocence, je ne vois pas l'opportunité pour la présidente
04:28d'ordonner des actes complémentaires. Et ce qui me semble également important,
04:33et j'insiste là-dessus, c'est que j'aimerais, en tant qu'avocat, on aimerait quand même connaître
04:37l'élément déclencheur qui fait qu'on recueille des confidences, parce que ce n'est pas des aveux,
04:42c'est des confidences de la part de son compagnon. Quel élément déclencheur pour Justine,
04:48pour se répandre ainsi dans la presse, écrite à fond ?
04:54Ce n'est pas un ami qui lui a conseillé de le faire ?
04:55C'est un ami Cyril, qu'on a déjà entendu sur l'antenne de BFM TV,
04:58qui sera par ailleurs à nouveau notre invité ce soir, qui lui a conseillé de parler aux gendarmes,
05:03elle a donc fait une déclaration auprès des services de gendarmerie, sauf à l'heure de ma part,
05:06c'est tout frais encore, c'était au mois de mai dernier, quand même.
05:08Puisqu'on va rappeler que Justine a déjà été entendue il y a quelques mois,
05:11mais c'était avant que Cédric Jubilard ne se livre à elle.
05:16Et puis vous parliez tout à l'heure à quoi bon demander des actes supplémentaires,
05:20si ce n'est prendre le risque de retarder l'ouverture du procès.
05:24– Alors je vois qu'on aille voir M. Fonbonne qui est avec nous, Jacques-Charles Fonbonne.
05:27Bonsoir, général de gendarmerie contre le temps de justice de BFM TV.
05:31Le problème c'est que cette audition de la dernière campagne
05:35n'a pas permis d'en savoir plus, davantage, sur le lieu
05:38où le corps de Cédric Jubilard aurait pu être déposé.
05:41On sait que cette dernière campagne avait dit qu'il s'agissait sans doute
05:44d'une exploitation agricole près d'un chantier sur lequel travailler Cédric Jubilard,
05:49mais enfin on n'en sait pas plus.
05:50– Non, il y a effectivement deux éléments qui sont intéressants dans cette audition.
05:56Comme c'était souligné à l'instant, le premier élément c'est l'élément déclencheur.
06:00Qu'est-ce qui fait que cette jeune femme se met à parler maintenant ?
06:03Cet élément déclencheur joue évidemment directement sur la crédibilité de ses propos.
06:09Et puis, alors évidemment on ne sait pas ce qu'il y a dans l'audition,
06:12mais à partir de cette crédibilité qui a dû être examinée par les gendarmes,
06:16il y a l'exploitation de cette déclaration.
06:19À partir du moment où les éléments sont insuffisamment précis
06:23pour permettre d'autres investigations,
06:25on va dire que c'est une audition que la présidente ne pouvait pas ne pas ordonner évidemment,
06:32mais qui reste sans doute l'être morte.
06:36À cette précision près, je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce qui vient d'être dit,
06:41je pense qu'il est nécessaire d'avoir une confrontation,
06:43– Avant le procès ? – Allô, pardon ?
06:47– Avant le procès, la confrontation ?
06:49– Oui, avant le procès, de façon à ce qu'il y a un élément qui sort avant le procès,
06:54les partis puissent en avoir communication, puissent préparer leur défense,
06:58puissent préparer les éléments au moment où on va arriver devant la cour d'assises
07:01et effectivement avec l'oralité des débats.
07:03– Mais Boris Karlamov, on voit quand même que l'étau se resserre autour de Cédric Jubilard
07:10parce que ce n'est pas le premier témoignage, ça a défaveur le témoignage de la dernière compagne.
07:16Si on additionne, et c'est ce que faisait tout à l'heure Maître Batik et l'avocat de la famille de Cédric Jubilard,
07:21ça commence à faire beaucoup.
07:21– Oui, il y avait aussi, souvenez-vous, ce co-détenu qui avait affirmé avoir reçu les confidences de Cédric Jubilard,
07:26il y avait eu également une ancienne compagne, Séverine aussi,
07:30qui avait été entendue par les gendarmes, et là encore, sauf erreur de ma part,
07:33qui avait été placée en garde à vue.
07:35Elle n'avait pas été entendue dans le cadre d'une audition en ligne,
07:37mais elle avait été placée en garde à vue par la gendarmerie.
07:41Cédric Jubilard a tendance à se livrer auprès de ses proches,
07:43à se livrer auprès de ses co-détenus.
07:45Quel crédit accorder à cette parole ?
07:48La seule certitude aujourd'hui, c'est qu'on va vous le rappeler,
07:50il n'y a aucune preuve, aucune scène de crime, pas de corps.
07:54Donc il y a peu d'éléments matériels qui sont portés à notre connaissance,
07:57et forcément la justice en a, parce que sinon il n'y aurait pas ce procès
07:59qui se déroulerait à partir du 22 septembre.
08:01Mais voilà, ce sont des paroles qui sont prises par Cédric Jubilard
08:05depuis le début de cette affaire, toujours auprès de ses proches,
08:10soit en cellule, soit dans le cadre d'un parloir.
08:14Mais le crédit accordé à tout cela reste aujourd'hui la grande énigme.
08:18– Oui, moi aussi, je partage votre point de vue là-dessus,
08:22c'est très hypothétique.
08:23Ce qu'il faudrait peut-être, c'est comparer les déclarations du co-détenu
08:28avec celle de Justine, avec les repères spatio-temporels.
08:33Est-ce qu'il y a une localisation du corps qui est possible ?
08:36Est-ce qu'il y a une spontanéité, une sincérité dans les déclarations
08:40et dans les confidences que monsieur fait ?
08:43Ou est-ce qu'il s'agit simplement d'un mytho ?
08:47Qui parle, qui raconte et concrètement, en fait, il parle à tout le monde
08:50sauf à la justice.
08:52– Oui, mais Jacques-Charles Fonbonne dit que ça serait bien une confrontation
08:55entre Jubilard et son ancienne campagne avant le procès.
08:58Sauf qu'il y a quand même un calendrier un peu serré.
09:00– Oui.
09:01– Parce que sinon, on va devoir libérer Cédric Jubilard.
09:04Il sera arrivé au terme de sa détention provisoire.
09:06On ne peut pas retenir quelqu'un en prison.
09:09– Il n'y aura pas de report.
09:10– Au bout d'un moment, on est obligé de le libérer.
09:12Donc il faut que le procès se tienne très vite là quand même.
09:14– Donc en fait, là, les magistrats sont-ils un peu coincés dans un calendrier ?
09:19– Il n'y aura pas de renvoi.
09:21– D'ailleurs, on avait demandé aux gendarmes d'entendre très vite la compagne.
09:24Ils ont jusqu'au 31 juillet, donc dans une semaine, pour remplir ce rapport.
09:28Donc on voit bien qu'on ne peut pas perdre de temps maintenant.
09:31– On ne doit pas perdre de temps parce qu'il y a un calendrier
09:33qui est très strict avec des dates butoirs.
09:36Maintenant, la question, si tant est qu'elle ait un intérêt,
09:41c'est de savoir s'il y a une confrontation qui peut être faite
09:43en amont du procès ou est-ce qu'on doit attendre le procès ?
09:46De mon point de vue, compte tenu de l'oralité des débats,
09:49de la collégialité et du fait qu'il y ait quand même beaucoup de gens,
09:52il y aura beaucoup d'interlocuteurs, il y aura les avocats de la défense,
09:55il y aura l'avocat général, il y aura également…
09:58En fait, il y aura beaucoup de monde.
10:00Donc si vous voulez, c'est ce qui est intéressant dans le débat de cour d'assises,
10:03c'est qu'il y a un véritable débat.
10:05C'est pas simplement une confrontation où il y a deux personnes
10:07qui sont l'une en face de l'autre et qui vont simplement dire
10:10« Non, mais là, c'est toi qui mens, non, c'est toi qui mens. »
10:14Et après ?
10:14Et un débat devant ce jury populaire, surtout qui, à la fin, va devoir trancher.
10:19Selon son intime conviction.
10:20Absolument.
10:21Et donc, il y a une gestuelle, il y a des regards, il y a des soupirs.
10:24Ils vont pouvoir juger.
10:25Voilà.
10:25Ce qui est surprenant, quand on n'est pas spécialiste de la justice,
10:29Jacques-Charles Fontbonne, c'est qu'on a l'impression
10:30que l'instruction n'est pas complètement encore terminée.
10:32C'est-à-dire que le dossier n'est pas encore complètement bouclé,
10:35alors que le procès est attendu dans quelques semaines.
10:37– Je vais vous faire une réponse de Normand.
10:41J'allais vous dire que l'oralité des débats qu'on soulignait à l'instant
10:45fait que l'instruction n'est pas bouclée jusqu'au moment de la décision,
10:52jusqu'au moment du verdict et même éventuellement du verdict en appel.
10:56Tous les éléments viennent nourrir cette preuve dont a besoin,
11:00au moins cette intime conviction dont a besoin les jurés pour se prononcer.
11:04il y a forcément, du point de vue de la présidente de la Cour d'assises,
11:14la nécessité d'aller au bout des doutes qui ont été levés
11:19par la déclaration de cette jeune femme.
11:22Évidemment que si ces déclarations sont imprécises,
11:26si sa crédibilité est mise en cause,
11:29ça sera certainement quelque chose qui pourra ne pas peser très lourd.
11:32Mais je pense qu'à la différence de vos autres invités,
11:37que l'on ne peut pas prendre le risque de ne pas prendre certains actes.
11:42Une confrontation, effectivement, ça va être parole contre parole.
11:45Mais ça va se faire en face de quelques 1 ou 2 OPJ qui sont les directeurs d'enquête
11:49et qui sauront à un moment donné prendre les contradictions de l'un
11:53pour les renvoyer vers l'autre et espérer avoir quelque chose
11:56qui au moins nourrissent le débat avant qu'on rentre dans cette arène,
12:02j'allais dire, qui est la Cour d'assises.
12:03Mais ça veut dire que la vérité ne pourra éclater,
12:06espérons-le, que pendant le procès.
12:08Parce qu'on n'a pas le corps, on n'a pas d'aveu,
12:12on n'a pas de preuves formelles.
12:15Donc on doit se construire en une intime conviction.
12:18Et ce que je voudrais vous dire, c'est que,
12:22vous savez, la parole est à l'accusé la dernière minute
12:24et ce moment est un moment crucial.
12:28C'est un moment crucial parce que c'est souvent un moment de souffrance,
12:31mais un moment de vérité.
12:33Et il nous est arrivé, nous avocats,
12:35qu'au moment, la dernière minute,
12:38au cours de la parole qui est donnée à l'accusé,
12:41que ce dernier s'effondre et reconnaisse les faits.
12:44Ça ne m'est pas arrivé 50 fois.
12:46Ça m'est arrivé une fois.
12:48Ça m'est arrivé, personnellement, une fois.
12:51Et ça vaut le coup d'avoir fait une carrière pour ça.
12:54Voilà.
12:54Est-ce que la personnalité de Jubilard, de Cédric Jubilard,
12:57telle qu'on peut la découvrir depuis maintenant plusieurs années,
13:00pousse à, effectivement, un tel dénouement ?
13:02J'ai un terrible doute.
13:03Oui, parce qu'il faut reconnaître que, pour l'instant,
13:06il fait face à toutes ces accusations,
13:09ces témoignages qui sont contre lui, qui le chargent.
13:11On va rappeler qu'il est en détention provisoire depuis juin.
13:142021 ?
13:14Oui.
13:15Juin 2021.
13:16Et donc, ça va faire...
13:174 ans.
13:17Ça fait 4 ans.
13:18Ça fait 4 ans.
13:19Il peut rester jusqu'à combien de temps ?
13:20Oui, 4 ans.
13:21Là, vraiment, on est arrivé au bout du bout.
13:23On est au bout du bout.
13:24Sinon, il pourrait quand même être jugé, mais il serait libre.
13:27C'est plus compliqué.
13:29Ce n'est pas la même configuration.
13:30Ce n'est pas la même configuration quand vous arrivez libre.
13:35Jacques-Charles Fontbonne,
13:36cette affaire, elle est emblématique.
13:38Qu'est-ce qu'elle révèle, cette affaire Jubilard, ce mystère Jubilard ?
13:41Elle révèle toute la difficulté de la preuve pénale telle qu'elle est évoquée par le code de procédure pénale.
13:50C'est-à-dire que, quels sont raisonnablement les éléments dans un monde cartésien,
13:57dans un monde où l'on est bercé par la police scientifique,
14:00dans un monde où la garde à vue est un acte particulièrement encadré,
14:05qui respecte aussi bien les nécessités de l'enquête que les droits de la défense ?
14:08C'est-à-dire que, encore une affaire,
14:10des décisions que les droits de la mémoire de la mémoire de la mémoire de la mémoire.
14:15Merci.
14:16J'espère qu'il n'y a pas du tout.
14:18Je ne sais pas.
14:19Voilà.
14:19Merci.
14:21C'est-à-dire qu'il n'y a tous.
14:21S'il n'y a tous.
14:22Il n'y a tous.
14:23Je n'y a tous.
14:24Il n'y a tous.
14:25Il n'y a tous.
14:27Il n'y a tous.
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