- il y a 6 mois
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 15/06/2025.
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00:00Bonsoir à tous, c'est l'équipe du soir. Nous sommes en pleine forme dans ce dimanche soir.
00:17On va débriefer le premier match du PSG des champions d'Europe dans cette Coupe du Monde des clubs.
00:23Et je peux vous dire que ça a passionné le plateau et le PSG a déroulé 4-0 face à l'Atletico de Madrid.
00:29Il est là, mon président de l'équipe du soir, mon élégant, en pleine forme, en pleine bourse, c'est Johan Nicou.
00:34Tout va bien ?
00:35Bonsoir, ça va très bien.
00:36Vous êtes passionné ?
00:37Oui, alors c'est l'équipe du soir, 23h04. Tout va bien ?
00:40Non, vous êtes nickel.
00:41Magnifique. Je vous présente rapidement votre ville-peuple.
00:44Il y a l'italien David Aiello. Nous avons notre boulette nationale qui est très bronzée, la boulette.
00:49Et il paraît.
00:50Jérôme Alonso, oui, ça c'est le bonheur de vivre dans le sud, effectivement.
00:53Ou d'avoir beaucoup de temps libre pour golfer et jardiner.
00:56Ou les deux, beaucoup.
00:56Ou les deux, effectivement.
00:57Le dog, on voit qu'il vit dans le nord.
01:01Oh, la balle perdue.
01:03Il avait rien fait de peau.
01:05C'est tout clair que sa cheveu.
01:06Elle est très bonne.
01:07Vous êtes accordé, effectivement.
01:09Et Brett Sinclair, Giovanni Castelli.
01:11Tout va bien ?
01:11Vous êtes en pleine forme ?
01:12Magnifique.
01:14Et toutes les informations avec vous, Camille Macailly.
01:16Bonsoir, Camille.
01:16Bonsoir.
01:17On vous fait travailler d'entrée ?
01:18Le PSG, donc, qui déroule dans cette Coupe du Monde des Clubs.
01:22On le rappelle, c'était son premier match face à l'Atletico de Madrid.
01:25Et ça a été un succès facile.
01:274 à 0.
01:28Oui.
01:28Au Rose Bowl Stadium, à Pasadena, dans un stade plein, malgré la chaleur, on l'avait dit.
01:3319 minutes douées, cherche à jouer un 1-2 avec Varaschkelia.
01:36Le Georgien sur tout le monde.
01:37L'Espagnol conclut d'une frappe croisée.
01:41Belle inspiration de Gwara.
01:44Juste avant la pause, Vitinha double la mise sur une contre-attaque parisienne.
01:51Paris qui ne va pas s'arrêter là, évidemment.
01:55Le festival qui continue.
01:56Duel entre Embaï et Griezmann.
01:58Le ballon revient sur Mayoulou qui conclut 3-0.
02:01Et puis, il y aura un but en plus signé Kang Inli sur pénalty après une main de Robin Lenormand.
02:07On rappelle une bonne première victoire pour le Paris Saint-Germain.
02:10Et le prochain match pour Paris dans ce groupe B, ce sera face à Botafogo, vendredi, à 3h du matin pour les Courageux.
02:17Joël, vous serez là ?
02:18On sera là, oui.
02:19J'ai hâte.
02:20Ah bah oui, je vais faire bien.
02:21Il est qu'il se passe à 4h30, du coup.
02:23Exactement.
02:24On va aller vous proposer.
02:27Pour l'instant, on est en train de dealer ça avec notre direction.
02:30Non, on ne sait pas encore.
02:31On va voir en fait si vous êtes bon ce soir, monsieur, si vous êtes surtout emballé sur le match.
02:35C'était une première pour le PSG.
02:36On rappelle, c'est le troisième match.
02:37On a eu un piètre 0-0 avec notamment l'inter-Miami de Lionel Messi.
02:41On a eu une démonstration.
02:44Le Bayern Munich a gagné 10-0 face à Auckland City.
02:46Et puis ce soir, on a eu un entre-deux.
02:48Deux clubs qui sont des clubs majeurs des championnats européens.
02:52Le PSG champion d'Europe face à l'Atletico de Madrid.
02:54Est-ce que ça vous a plu quand même ?
02:55Moi, j'ai vraiment un parfum de match ou de toute fin de saison ou de matchs amicaux de début de saison.
03:01Les précaires.
03:02Je vous ai donné que c'est la seule saison que j'ai eue.
03:04Moi, je ne vous cache pas que s'il n'y a pas le PSG, ce truc-là, je ne regarde pas un match.
03:07Oui, mais si vous n'êtes pas payé ce soir.
03:09Non, mais au-delà de ça, sérieux, j'ai une atmosphère.
03:12Tu n'as pas regardé Auckland ?
03:13Tu n'as pas regardé Auckland ?
03:16Non, ni à l'alli d'inter-Miami.
03:18Désolé.
03:18Vous n'avez rien raté sur l'inter-Miami.
03:20Il paraît.
03:21Mais ce soir, oui, Paris fait un très bon match.
03:24Il n'y a pas de débat là-dessus.
03:25Mais je n'arrive pas à rentrer dedans.
03:26Cette compétition, pour moi, c'est le parfum que j'avais aujourd'hui.
03:29C'est entre le match amical de fin de saison et celui du mois d'août où on joue avec les merguez à côté.
03:34Il y a un truc qui ne rend pas service à la rencontre.
03:39Déjà, c'est l'horaire.
03:41C'est-à-dire que pour les joueurs, là, on était en plein cagnard.
03:44Il y avait un ressenti 35.
03:45Quand tu sais qu'ils en sont pour beaucoup, 50e match, c'est compliqué.
03:50On rappelle que le match a commencé à midi, heure locale.
03:54Franchement, c'est une fournaise.
03:56On l'a vu, la pelouse, elle n'était pas très basse.
03:58Donc, le ballon était ralenti.
04:00Et sur les deux premiers gros plans qu'on voit de l'Atlético de Madrid,
04:04tu vois Clément Langlais et Robin Lenormand, ils ont du mal à respirer.
04:07Donc, déjà, c'est une compétition qui arrive en bout de saison.
04:11La programmation, l'état de la pelouse.
04:14Comme Jérôme, tu as l'impression que tu as un côté de tournée.
04:16Stéphane, ça ne rend pas service à la compétition.
04:19Moi, ce qui m'a vraiment choqué, c'est surtout la captation.
04:21C'était très loin.
04:23Complètement, Karine.
04:23Parce que le stage...
04:25Non, Johan, vous n'avez pas vu le match ?
04:26J'ai l'impression que c'était filmé de très loin.
04:28Mais moi, de loin, ça ne va pas marquer.
04:29Je l'ai remarqué aussi, ça m'a choqué débat.
04:32Il y a deux éléments, Karine, sur ça.
04:36Vous me suivez, David.
04:37Ça m'a choqué tout de suite, parce que le plan large, en fait, est hyper large.
04:41C'est le seul qui est sérieux, le pauvre.
04:44Je vais essayer quand même de...
04:45Non, mais moi aussi, ça m'a choqué, cette réalisation super large.
04:48Et l'autre point qui va un petit peu dans les éléments qu'ont cité Joe,
04:51c'est le public.
04:52C'est qu'on sent bien qu'on n'est pas dans un stade de foot.
04:54C'est un peu...
04:55Tu es dans une ambiance un petit peu pop-corn, foot US.
04:57Tu n'es pas dans un match, tu vois, censé être Coupe du Monde.
05:00Si tu restes sur l'intitulé Coupe du Monde,
05:02tu n'es pas du tout dans une ambiance passionnée ou quoi ?
05:06Et puis, en plus, c'est un public américain.
05:07Tu crées une compétition après 70 matchs des mecs à midi.
05:11Non, mais à midi, c'est 40 degrés.
05:13C'est pour nous, les diffuseurs.
05:15Ah, ben oui, les bons, d'accord.
05:16C'est les diffuseurs.
05:17Bien sûr, j'entends bien.
05:18On rappelle en tout cas que le PSG a parfaitement réussi cette entrée en liste
05:21parce que le PSG veut tout gagner
05:23après avoir eu cette première ligue d'échantement dans son histoire.
05:26Ils veulent aussi inscrire le premier nom sur cette Coupe du Monde des Clubs.
05:29Alors, est-ce que, malgré tout ce que l'on vient de dire,
05:32c'est une nouvelle démonstration du PSG que vous avez pu voir ce soir ?
05:35Habillage à l'américaine.
05:36Ludo ?
05:37Oui.
05:37Oui.
05:38Giovanni ?
05:39Même si Atletico a été redoutable,
05:41c'est quand même une grande démonstration du PSG, oui.
05:44J'ai un deuxième oui.
05:45Oui, complètement, oui.
05:46Un troisième oui.
05:47Oh non, un quatrième oui.
05:49Les enchères montent.
05:50Oui, oui.
05:52Ah bah oui.
05:52Double, double, double.
05:54Président, c'est vrai qu'on a du mal à comprendre au départ l'intérêt de cette compétition,
06:01mais par contre, la vérité, c'est que le PSG joue ça à fond.
06:04Non, malgré tout ce qu'on a dit, c'est vrai que le PSG était largement au-dessus de l'Atletico
06:09de Madrid, comme ça aurait pu l'être pendant la deuxième partie de saison.
06:14Je pense qu'ils sont sur la lignée de ce qu'ils ont fait précédemment.
06:17Ils sont concentrés, ils restent dans l'esprit du jeu, même s'il y a beaucoup de choses
06:22qui ont été dites sur le fait qu'ils ne peuvent pas mettre autant de vitesse par rapport
06:27à cette chaleur.
06:28Je pense qu'ils doivent arroser la pelouse, mais ça doit sécher hyper vite.
06:32On voit un expert en pelouse, là.
06:34Et oui, parce qu'on le voyait de large, de loin.
06:37Il y a un vrai écart entre les deux équipes ce soir et ça montre encore cette puissance
06:42du PSG.
06:43Ludo, on rit, mais c'est vrai que moi, je suis bluffé par les Parisiens.
06:46Ils n'ont pas eu de vacances.
06:48Ils étaient en équipe nationale après avoir gagné la Ligue des Champions.
06:52On leur dit que vous allez partir au bout du monde jouer une compétition et ils sont
06:56encore au taquet.
06:57Franchement, là, c'est sidérant.
06:59Je suis admiratif.
07:00Honnêtement, on a du mal à rentrer.
07:04On rentre aussi dans cette compétition parce qu'on a parlé des affiches aussi.
07:09Là, c'est le premier match un peu sympa qui te donne…
07:12C'est une vraie affiche.
07:13Où tu sens l'odeur du sang.
07:15Tu te dis, au début, finalement, non.
07:19Quand ils sortent des vestiaires.
07:21Tu mets deux matchs avant qui ne te donnent pas vraiment le ton, en tout cas, pour rentrer
07:25dans la compétition.
07:26Là, il y avait une vraie affiche.
07:28Il va falloir commencer à dire que ce n'est pas les adversaires qui déjouent.
07:32En fait, c'est le PSG qui éteint son adversaire à chaque fois parce que ça avait été
07:35le cas pour l'Inter.
07:36C'est le cas pour l'Atletico.
07:37Donc, ce ne sont pas les adversaires qui sont mauvais.
07:39En fait, c'est Paris qui a ce rouleau compresseur constant.
07:43Et honnêtement, j'étais encore bluffé de la manière dont ils sont impliqués, sérieux,
07:48les principes de jeu.
07:50Franchement, moi qui étais joueur, alors pas jusqu'à ce niveau-là, mais tu gagnes
07:58la Ligue des champions.
07:59Puis c'est à Los Angeles, il y a plein de choses à faire à Los Angeles.
08:02Tu as envie de te dire, putain, tu as envie de me faire un petit 3-4 jours avec les copains
08:06pour qu'on puisse en profiter, les vacances.
08:09C'est un message qui a été insufflé un peu par la direction très tôt.
08:13C'est-à-dire qu'au mois de février, moi, j'ai entendu des échos.
08:15Ça me faisait bizarre.
08:16On me disait, attention, la Coupe du Monde des clubs, on ne va pas y aller en touriste.
08:19Ils étaient, tu vois, en février, tu te dis, oh, c'est loin.
08:22Ils disaient, non, non, non, on a fait passer le message au club, à tous les étages du club.
08:25On a envoyé le message, c'est une compétition.
08:27Ils sont tous en même temps.
08:29Ils sont en voyage de noces.
08:31Ils sont en voyage de noces.
08:32C'est-à-dire que, non, mais tu sens que c'est un club qui n'est pas rassasié encore.
08:37C'est-à-dire que c'est un club qui découvre ce que c'est que de gagner une très grosse compétition
08:41et qui a envie d'en gagner d'autres et de tout refler.
08:44Et puis, il ne faut pas oublier que c'est la première aussi.
08:45Je pense qu'il y a le côté, si on peut faire une saison historique en remportant,
08:49même si pour beaucoup de personnes, ce n'est pas un trophée qui est parlant,
08:52si tu peux te dire, on est les premiers et dans la saison historique, en plus, on marque l'histoire.
08:56Il y a cette idée-là.
08:57Par rapport à tout ce qu'on se dit de l'ambiance, la fin de saison de février, c'est un objectif, ok,
09:01mais ce qu'ils ont vécu depuis, tu pourrais même te dire,
09:04aujourd'hui, je me disais, tiens, ce soir, s'ils prennent une branlée,
09:07à aucun moment, je ne pourrais les démonter.
09:09Est-ce que, franchement, ce serait même compréhensible ?
09:12Mais non, non seulement, parce que que Madrid soit mauvais, c'est une chose,
09:15mais eux, il faut leur match.
09:16L'adversaire du soir qu'on te propose, tu les écrabouilles, ce n'est pas ton problème.
09:20Mais eux, ils ont tout le temps faim, quoi.
09:24Attendez, on n'a pas encore entendu Giovanni ?
09:26Vous voulez l'entendre ?
09:26Giovanni, vous avez suivi le PSG toute la saison.
09:29Il y a encore les hommes forts qui ont marqué des points.
09:32C'est un plan de l'arbre.
09:34Je vais donner deux minutes.
09:36Deux minutes à Giovanni.
09:37C'est pas branché.
09:38C'est pas branché.
09:39J'avais une question pour Johan sur les ralentis qui étaient diffusés au mauvais moment.
09:44Ruiz a marqué.
09:47C'est un des hommes forts de la deuxième partition.
09:49Vitinha a marqué.
09:50C'est un des hommes de base aussi de Luis Enrique.
09:53Vous, vous disiez qu'ils vont être en vacances à Los Angeles
09:55ou vous pensiez vraiment que ce qu'ils nous disaient au mois de février,
09:58ça serait la réalité ?
09:59Parce qu'il y a souvent un discours et pas forcément ce qu'on voit sur le terrain.
10:03Là, c'est incroyable.
10:04Moi, je crois beaucoup que par rapport à l'ambiance et ce qui anime ce groupe-là, c'est de marquer l'histoire.
10:11Il y a la notion de plaisir aussi qui est extrêmement importante.
10:14Et honnêtement, quand tu vois tous tes coéquipiers qui font des efforts et que tu prends autant de plaisir,
10:18ça t'entraîne.
10:21Je crois beaucoup à ça.
10:23Et il y a ce truc-là où en fait, ils se sentent intouchables.
10:26Et dans le football, tout est très fragile.
10:27Tout va très vite.
10:28Quand tu sais que tu es dans un moment fort et que tu peux marquer l'histoire
10:31et rentrer dans l'histoire de ce sport avec un quintuplé,
10:35tu y vas, tu appuies, tu respires au plancher.
10:38Je pense qu'ils sont portés par ça.
10:40C'est une certitude.
10:42Mais tout ce que j'ai vu cette saison, tu le revois là.
10:45Moi, ce qui me frappe, c'est vraiment le bonheur qu'ils prennent.
10:47À jouer ensemble, à faire les efforts ensemble.
10:49Et tu le ressens encore aujourd'hui dans des conditions qui sont difficiles.
10:52Johan, par rapport à...
10:53C'est exactement ce que je voulais dire.
10:55Vous le direz mieux, en tant qu'au sein joueur.
10:59Il a raison, Johan, par rapport au fait, ça ne me surprend pas tant que ça.
11:03Parce que quand tu les vois, j'ai l'impression qu'ils ont du plaisir à jouer ensemble.
11:08Ils ont un style de jeu qui est vraiment maintenant ancré,
11:11même pas que dans les 11, c'est-à-dire dans les 18-20 joueurs,
11:15les mecs rentrent, ils jouent de la même manière.
11:16Donc, il y a tout ça qui fait que, quand nous, on est...
11:19Moi, j'ai le plaisir de vivre ça dans un club.
11:23Mais tu vas sur le terrain, tu ne penses pas à te dire
11:25« Ah, putain, on a fait toute la saison, on a fait 5 ans de match. »
11:27Vous oubliez vraiment la fatigue ?
11:30Moi, je pense, oui.
11:30Je pense qu'ils n'ont même pas ça en tête.
11:32Ils ne se pensent pas en se disant « Ah, putain, on a fait l'équipe d'un champion,
11:35j'aimerais être en vacances aujourd'hui. »
11:36Moi, je pense qu'ils se régalent tellement qu'ils jouent
11:38et qu'ils prendront leurs vacances.
11:40Ils espèrent le... C'est quoi, la finale 14 ?
11:41Le 13 juillet.
11:42Le 14, ils partent en vacances, ils vont souffler 3 semaines et puis voilà.
11:46Donc, tu vois, dans l'approche de droite, tu vois, il y a une équipe qui est...
11:47Je ne trouve pas plus dans la fatigue en tête.
11:49Voilà.
11:49Tu as une équipe qui pense être...
11:50Enfin, je pense que l'Atletico, tu as vraiment l'impression que les amis
11:52n'ont pas envie d'être là.
11:53Ben oui, mais l'Atletico est bouillie, là, déjà.
11:55Avant même le premier match.
11:56Tu vois, au bout de 5 minutes.
11:57Ils sont bouillis, mais Paris, ils n'ont plus joué qu'eux.
11:58Et Paris, ils ont fait...
11:59Ben oui, c'est ça qu'il faut que Jérôme...
12:00Il y a une approche...
12:01Il y a la gestion de...
12:02C'est ça que tu allais dire.
12:03Oui, mais pour le coup, là, tu ressens aussi...
12:06Et c'était assez frappant et on l'a tous vu le soir de la finale de la Ligue des Champions.
12:11Quand tu vois à quel point ils ont plané et l'Inter a plongé, là encore, tu vois
12:16que la gestion des minutes depuis le mois de février de Luis Enrique, sur la fraîcheur
12:20physique, tu le sens de manière assez importante.
12:23Et en plus, le système de Diego Simeone fait que c'est extrêmement énergivore.
12:28Donc, tu n'as pas l'alimentation.
12:29On a vu, par exemple, tes joueurs qui ont moins joué avec aussi Diego Simeone.
12:33On va parler, par exemple, d'Antoine Griezmann.
12:34Alors, vous allez me dire peut-être une question d'âge, mais sur la deuxième partie de saison,
12:36il a quand même moins joué en temps de jeu.
12:39Et là, il était fatigué, comme tout le monde.
12:41À l'Atletico, ils étaient tous rincés.
12:42Tu as une valeur absolue.
12:43Je pense que, déjà, Paris est une bien meilleure équipe que l'Atletico.
12:47Un, c'est, je pense, implacable.
12:49Deux, tu as une dynamique, comme tous les copains l'ont dit, où tu as une dynamique,
12:52où les mecs, ils ont encore faim, ils ont encore envie, ils l'approchent.
12:54Il n'y a pas de vacances, il n'y a pas de truc, on verra après.
12:56Là, on fait le truc.
12:58Versus une équipe qui n'a pas du tout envie d'être là et qui est bouillie.
13:01Donc, à un moment donné, l'écart sur un match est énorme.
13:0475-25, c'est-à-dire que les autres, ils ont couru après la balle pendant une heure et demie.
13:08Ils ont fait une séance de cartes plus.
13:09Ils ont fait une heure et demie de 15-15.
13:10En plus, ça, ça joue beaucoup.
13:11Parce que sur l'élément que tu donnais, Joe, sur le fait que ce PSG, on voit qu'il s'amuse,
13:14je pense, je pense que vous allez confirmer les anciens, les anciens joueurs,
13:17sur le fait de jouer comme ça, cette espèce de joga bonito,
13:20tu as des ballons qui circulent, je pense que c'est encore...
13:21Enfin, de gagner, c'est une chose, mais de gagner en jouant de cette manière,
13:25je veux dire, c'est un régal absolu quand tu es joueur de foot.
13:27Et je pense que c'est un petit peu la suré sur le gâteau.
13:29Joe, on voit les statistiques.
13:3111 tirs cadrés sur 16 tentatives.
13:34Il y a 4 buts convertis du côté du PSG.
13:37On a senti tout de suite que ça allait être une soirée fa...
13:40Qu'est-ce qu'il y a ?
13:40Joe.
13:42Alors, il s'appelle Joe, et vous, Joe, excusez-moi.
13:45Johan Miku, monsieur le président.
13:47On a senti tout de suite quand même que la soirée serait facile.
13:50Le PSG s'est rendu tout de suite le match facile.
13:52Oui, comme ils se sont rendus leurs derniers matchs faciles.
13:55C'est une continuité de ce qu'ils mettent en place depuis le début de la saison,
14:01mais vraiment depuis janvier, je trouve.
14:03Et ça ne perd pas de rythme.
14:06L'intensité est la même.
14:08Les mouvements sont les mêmes.
14:11Il y a des déplacements qui sont bien faits.
14:13Chacun sait ce qu'il a à faire.
14:15Donc, c'est beaucoup plus simple.
14:16Même courir aussi.
14:18Alors, ils ont eu le ballon beaucoup plus.
14:20Mais courir, je suis persuadé qu'ils ne courent pas forcément plus que les adversaires.
14:25Ils courent bien.
14:25Parce qu'ils courent bien.
14:26Ils courent bien.
14:27Ils courent les uns avec les autres.
14:28Quand ils défendent, s'ils pressent, ils pressent très haut.
14:31Donc, ils ont moins de courses à faire.
14:32Donc, ça fait beaucoup de choses qui font qu'aujourd'hui, ils font partie sûrement des favoris de cette compétence.
14:38À noter aussi, Karine, que tu joues quand même sans ton leader offensif.
14:42Ousmane Dembélé, blessé.
14:43Ça ne se ressent absolument pas.
14:44Gonzalo Ramos, pour le coup.
14:46Mais dans l'idée de...
14:47Il en a raté une belle.
14:48Non, je sais.
14:48Mais je parle, pour rebondir sur ce que disait Jean, je parle de travail sans ballon.
14:51En fait, le pressing sur le cadre qu'a imposé Luis Enrique.
14:55Oui, mais les process de jeu sont clairs pour tout le monde.
14:57Exactement.
14:58Et quand tu vois que Gonzalo Ramos, qui n'a pas du tout les mêmes caractéristiques et les mêmes qualités que Ousmane Dembélé,
15:03arrive à se fonder dans ce collectif, c'est assez impressionnant.
15:08Et tu n'as pas Brabantlé Barcola non plus qui sort du banc d'habitude, qui rechange aussi un petit peu la donne tactiquement.
15:14Donc, collectivement, ce qu'ils sont en train de bâtir...
15:16Maïoulou qui rentre, qui en remet un de nouveau.
15:18On rappelle qu'il avait été déjà buteur, effectivement, en finale de Ligue des Champions, le jeune Titi parisien.
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