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  • il y a 6 mois

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00:00Sous-titrage Société Radio-Canada
00:30There's a grit to their approach, a fight in their hearts, and basketball beauty from their leaders.
00:44The heavy favorites, so resilient, now facing their biggest test.
00:50The proud underdog, ready to show it's finally their time.
00:55Here on stage, in the NBA Finals.
01:00Les Pacers vont-ils faire le break ? Le thunder a-t-il recollé à deux partout ?
01:08Voilà les questions que tout le monde se posait hier soir au Gate Bridge Field House,
01:11où se déroulait hier soir le match 4 des finales NBA.
01:15La réponse à ces questions, c'est aujourd'hui dans NBA Extra.
01:18Bonjour à tous et bonjour à toutes.
01:19On est ravis de vous accueillir en direct, évidemment, pour revenir sur ces finales NBA passionnantes depuis le début.
01:25Bonjour Fred Weiss. Bonjour.
01:27Bonjour Christian Galton. Messieurs, on se régale depuis le début de cette finale.
01:31On rappelle où on en est avant ce match 4.
01:33Les Pacers sont frappés un grand coup en remportant le match 3.
01:38Ils avaient presque une balle de match hier soir, finalement.
01:40Quasiment, parce que s'ils étaient à 3-1, c'est vrai que ça aurait été très très compliqué pour OKC de revenir.
01:45Donc on va voir ce qui se passe.
01:47On ne se réveille pas quand on a mené 3-1, quand on va rentrer OKC de 2.
01:53Donc oui.
01:54Voilà donc pour le décor qu'il y avait avant ce match 4 que l'on a vécu tous ensemble cette nuit sur les antennes de Beansport.
02:02Un premier élément, ce sont les 5 de départ.
02:05Avec toujours cette folie, bien sûr, dans cette salle des Pacers vêtue de jaune et de bleu.
02:10Un Thierry Zaliberton qui s'était réveillé plus tôt au match 3 chez Gidius Alexander dans ses standards, bien sûr.
02:16Et donc le retour d'Isaïa Artenstein dans le 5 de départ.
02:19Le 5 de départ. Enfin, le jouet est réparé par Marbello Cris.
02:22Voilà, avec de super glou.
02:24Pas de changement, en revanche, du côté de Rick Carlyle.
02:27On prend les mêmes et on recommence.
02:29C'est le même 5 de départ depuis le début de cet incroyable run en play-off pour les Indiana Pacers.
02:35On avait dit qu'il fallait que Thierry Zaliberton démarre tôt ses matchs.
02:38Il a démarré très tôt ce match 4, à l'image des Pacers, Fred, qui ont pris les devants pour une fois.
02:45Oui, directement, ils sont bien rentrés.
02:47Ils étaient très en confiance, ils ont mis des paniers.
02:48Ils ont imposé leur rythme au début.
02:51Alors, ça n'a pas vraiment duré.
02:52Mais en tout cas, au début, ils étaient là.
02:53Ils étaient bien présents.
02:53Ça ne peut pas durer, évidemment, face au Thunder d'OkC, qui a les éléments et qui a le talent pour revenir.
03:00Lugendorce a été en interview avec Rémy.
03:02Ça ne lui a pas porté la poisse.
03:03Il a été bon hier soir.
03:05Et OkC recolle au score, même si, encore une fois, Chris, on va avoir un véritable mano à mano entre ces deux équipes pendant un long moment dans cette rencontre.
03:14Oui, Jalen Williams a tout fait pour garder OkC dans ce match.
03:20Caruso a pris le relève.
03:22Et Shea a fini.
03:24Et Shea a fini, bien sûr.
03:25Pour l'instant, on est dans le deuxième carton.
03:27Chetumgren s'est donné des deux côtés du terrain.
03:29Et pourtant, il s'est tordu la cheville en début de match.
03:32Pascal Siakam a été énorme pour les Pacers.
03:35Son meilleur match, peut-être, dans ses finales, avec 20 points, des rebonds et des passes pour un Pascal Siakam extrêmement précieux.
03:4355 partout, voici Thierry Zelliberton dans ses œuvres.
03:46C'est magnifique.
03:47Woup-de-doo !
03:48Le petit hang time.
03:4957 partout, la bagarre pour avoir le ballon.
03:52Thierry Zelliberton, encore une fois, comme souvent, dans les dernières secondes d'un moment, avec sa famille ici pour célébrer ce panier.
03:59Sa petite amie et son papa, bien sûr.
04:01Miles Turner.
04:02Oui !
04:03Ah, p'tit !
04:04Il n'a pas toujours été à droite.
04:06Non, pas toujours.
04:07Mais là, il l'a été.
04:08Et on fait bien tourner le ballon.
04:09C'est Pascal Siakam à 3 points qui va marquer et qui permet, à ce moment-là, pour les Pacers, de commencer à creuser un véritable écart.
04:17Heureusement que Chez Gidius Alexander est là pour le Thunder, pour permettre aux bleus et blancs de rester au contact.
04:24Le rebond de Caruso, toujours aussi précieux, en sortie de banc.
04:28On est à plus 7.
04:28On est dans le troisième carton.
04:30Thierry Zelliberton, ça fait plus 9 pour les Pacers.
04:33Oui, on avait peur pour la défense de O'KC parce qu'il est passé trois fois à droite.
04:38Et bien là, encore une fois, un petit passage d'Hopitopin.
04:41Plus 10, on est dans le quatrième carton.
04:43Et oui, les Pacers se mènent en début de quatrième carton.
04:46Il est magnifique ce panier, signé Alex Caruso.
04:49C'est raté pour Chez Gidius Alexander, mais Chez Tomgren a bien suivi.
04:54O'KC est repassé devant et revient au contact.
04:57On va encore avoir une folle fin de match.
04:59Un quatrième carton de fou.
05:01Les Pacers, en général, réussissent plutôt bien les quatrièmes cartons.
05:04Mais le MVP dans l'équipe d'en face, c'est Chez Gidius Alexander qui va prendre les clés de la voiture.
05:09Et le Samsonite.
05:11Il va prendre tout en main.
05:13Regardez, ça glisse par terre.
05:14Ouais, ouais, ouais, ouais.
05:16Non, on n'a rien vu.
05:17Ça suffit.
05:18Il fallait le mettre ce panier.
05:20Et il l'a mis Chez Gidius Alexander.
05:2215 points dans le quatrième carton dans les cinq dernières minutes pour le MVP de la saison régulière
05:28qui va permettre à son équipe de s'en sortir et de recoller donc à deux partout dans ses finales NBA.
05:33111 à 104, c'est le score final.
05:3535 points pour Chez Gidius Alexander qui a inscrit 131 points au total dans ses finales.
05:4127 pour Jalen Williams.
05:4320 pour Caruso en sortie de bombe.
05:45On va y revenir, bien sûr.
05:47L'énorme double-double de Chet Holmgren à 14 points et 15 rebonds.
05:51De l'autre côté, je vous le disais, Pascal Siakam est le meilleur marqueur.
05:54Ali Burton, c'est 18 points.
05:55Obitopin, c'est 17 points.
05:58Bénédicte Mathurin, c'est 8 points.
06:00Et une fin de match un petit peu compliquée.
06:02Et on va y revenir aussi comme ça.
06:04C'était le Mathurin Show.
06:06Mais il fallait que le Thunder se relance.
06:09Chez Gidius Alexander a permis au Thunder de se relancer.
06:12On va l'écouter.
06:14On savait ça quand on se réveillait cette matinée.
06:173-1 est beaucoup différent que 2-2 en retour à la maison.
06:20On a joué avec des espérations pour finir le match et c'est pourquoi on a gagné.
06:23On a essayé de maintenir la même espération en aller vers le match 5, 6 ou ce qu'il y a.
06:27Je n'ai pas de choix.
06:28Ce que je veux faire avec ce match de basketball, ce que l'équipe veut faire avec ce match de basketball,
06:33ça vient avec ça.
06:34L'on va faire tout ça, jouer tout ça et l'on va imposer sur l'autre côté.
06:38Donc, de la façon dont on le voit, de la façon dont je le vois, nous n'avons pas de choix mais de jouer tout ça.
06:41C'est une lutte d'enfant.
06:41Chaque fois que tu es sur le coureur, sur les deux côtés du coureur, ils te font travailler.
06:45Et nous aimons faire les équipes de travail.
06:48Donc, qui a imposé leur will, le meilleur de cette série, va venir sur le top.
06:51Et c'est notre objectif.
06:53Chez Gidjus Alexander qui s'est comporté comme un véritable leader.
06:5724 points au match précédent.
06:59Il a bien corrigé l'affaire chez Gidjus Alexander en réalisant un énorme quatrième carton.
07:04Il a été extrêmement précieux.
07:05Donc, avec ses 15 points dans les cinq dernières minutes, c'est du jamais vu en finale depuis 1971.
07:12Chris, c'est ce que l'on attendait de lui.
07:15Oui, parce que si tu penses, Estat, si tu vois son match après 43 minutes, tu dis, voilà, c'est...
07:22Oui, bon.
07:23Donc, oui, effectivement, clutch time, je pense qu'il a bien résumé la chose.
07:28Il y avait la volonté.
07:29Il ne voulait pas réveiller demain matin en rentrant au Casey.
07:33Ça aurait été compliqué.
07:343-1, donc il a pris les choses en main.
07:37Et surtout, je trouve que Casey a très bien joué le coup.
07:41Marc D'Agnon, voilà, rebascule en MVP parce qu'il a glissé Chez en deuxième arrière pour ne pas être à la pointe de l'attaque.
07:53Donc, voilà, c'est quelque chose qui a marché très bien.
07:55Et il a mis ses lancers francs, évidemment, parce que sur ses 15 points inscrits, il y a pas mal de lancers francs inscrits par Chez Gidjus Alexander.
08:03Dans les matchs à plus de 30 points, on est déjà à 4 points, 14 matchs à plus de 30 points dans ses playoffs pour Chez Gidjus Alexander.
08:11Comment qualifier sa performance ?
08:13Sa performance est très bonne écrit, ça a très bien résumé.
08:15Il est pas bon pendant 43 minutes, il est pas bon.
08:17Il est un humain, sauf que sur la fin, il se transcende complètement.
08:22Il met un shoot à 3 points.
08:23Alors déjà, c'est pas sa spécialité que son équipe était à 2 sur 15.
08:27Donc, ils sont catastrophiques.
08:28Mais il prend quand même le shoot, il le met et il enchaîne ce run à lui tout seul.
08:32Je crois qu'ils finissent par un 15 à 7 ou quelque chose comme ça.
08:3615, c'était lui.
08:37Donc, c'est quand même assez incroyable.
08:39Oui, ils avaient besoin de cette performance-là.
08:41Ils avaient besoin de montrer qu'il pouvait être clutch sur la fin.
08:44Et qui de plus clutch que Chez Gidjus Alexander, forcément ?
08:46Il a inscrit 15 des 16 derniers points du Thunder.
08:50Le Thunder qui a dit avoir joué avec des espoirs, finalement.
08:55Il fallait absolument gagner.
08:57C'est ce qu'on a ressenti en regardant ce match-là ?
08:59Oui, parce qu'ils n'étaient pas très fluides en attaque.
09:03Donc, ça, c'est le moins qu'on puisse dire.
09:05Mais par contre, ils ont mis en avant les qualités défensives
09:10qui ont amené jusqu'à là, qui ont fait qu'ils ont gagné 68 matchs.
09:14Tout simplement, ils ont laissé le contrôle du match en attaque à Chez.
09:20Donc, tous les joueurs, ils ont multiplié les efforts en défense
09:24avec un Chet Holmgren quand même assez important
09:29parce qu'il prend 14 rebonds.
09:31On ne parle pas de ça, mais très, très, très bien.
09:35On va en parler, bien sûr, dans ce NBA extra.
09:37On va parler de Chet Holmgren, on va parler d'Alex Caruso.
09:40On va parler des performances et des ajustements réalisés par le Thunder.
09:44pour réussir à s'imposer à l'extérieur chez les Pacers.
09:48Mais avant cela, on va avoir l'avis de nos envoyés spéciaux,
09:51Rémi, Jacques et Xavier, qui, soit un peu comme nous,
09:55trouvent que le Thunder a été enfin clutch dans ces finales NBA.
09:58Salut Marie, salut les gars, ravis de vous retrouver après ce match 4
10:03où il y a eu une sacrée clim dans cette salle
10:06après la folie qu'on a vécue en sortie de match 3.
10:09Ça va nous faire drôle de sortir après ce match 4.
10:11Ça risque d'être un petit peu plus serein après cette fin de match.
10:14Jacques, Xavier, O'Kessi a enfin, enfin pu exprimer son jeu
10:18qu'on connaissait tout au long de la saison dans cette fin de match.
10:22Et ça, Xav, c'est symbolisé peut-être par un Chez Guilis-Alexander
10:24qui a été régnant dans le temps clutch.
10:27Il fallait une réaction du MVP.
10:29On a eu la réaction du MVP,
10:30et particulièrement dans les moments les plus importants.
10:34Ils ont été menés de 9 points en quatrième quart temps.
10:37Et depuis, on connaît évidemment le talent des Pacers dans les moments clutch.
10:42Et bien là, par contre, cette fois-ci,
10:44ils se sont fait écraser par Sheik et Justin Alexander quasiment à lui seul.
10:4714 points pour Sheik contre 7 de mémoire
10:50pour l'intégralité de l'équipe des Pacers.
10:52Voilà comment O'Kessi est censé justement être la meilleure équipe dans cette série.
10:56En tout cas, c'est la meilleure équipe de la Ligue.
10:58Il fallait qu'à un moment ou à un autre, ça se voie vraiment.
11:02Là, la fin de match, c'est très très dur pour les Pacers
11:04qui, à mon avis, vont avoir du mal à s'en mettre de celle-là.
11:07Jacques, dites-moi...
11:08Quatrième quart temps, certes, 15 points pour Sheik-Gilis-Alexander.
11:11Une belle présence de Chet Holmgren au rebond
11:14avec des paniers faciles, des stops.
11:17Et l'expression des stops, c'est l'expression collective.
11:22Lugwenzorst, Lugwenzorst, Lugwenzorst,
11:24qui intercède, Caruso qui fait un match de Mammouth,
11:29J-Dub, J-Williams, Jalen Williams,
11:32qui simplifient son jeu dans le quatrième carton.
11:35Et ils se sont mis aux ordres du boss chez Gilmous-Alexander
11:39et qui a profité aussi du fait que Nembard,
11:43alors ça sera expliqué peut-être en conférence de presse,
11:47qui n'avait plus comme chien de garde Nembard,
11:49mais Nesmith,
11:50ce qui a beaucoup changé son rendement.
11:52Et puis, les trois lancés manqués par Ben Mathurin,
11:56c'est toujours difficile de citer un joueur,
11:58mais ça fait partie des choses.
11:59Ils en avaient manqué, eux, pour plier le match.
12:03Un, OK, ici.
12:04Et bien là, Undiana a rendu la même chose.
12:08Maintenant, cette finale est passionnante.
12:09Cette finale est passionnante.
12:11Et ça va nous maintenir en haleine au moins pour six matchs.
12:15Les deux équipes sont à deux matchs et championnes.
12:18Indiana, pour le premier titre de l'histoire,
12:21et OKC, pour le premier titre de la franchise, à OKC.
12:25Comme ça, tout est posé.
12:26Vous savez tout, ça fait de partout.
12:27Nous, on va aller prendre nos avions,
12:29puisqu'il y a des avions à prendre.
12:31Et on se retrouve depuis Oklahoma City.
12:33Regardez-vous, les amis.
12:34On va regarder, en effet, ce qu'il s'est passé
12:36dans le plus de détails dans ce quatrième carton.
12:38On a parlé de la performance de Shea Gidjus Alexander,
12:41qui a été bien mis en valeur.
12:43Et ils ont bien, justement, défendu,
12:45switché sur les Nimbards, les Nemsmiths, comme le disait Jacques.
12:4831 à 17 pour OKC dans ce quatrième carton.
12:51On vous a mis les pourcentages de réussite.
12:5360% pour le Thunder, 27% pour les Pacers.
12:58Il y a eu plus de lancers francs pour OKC.
13:00Il y en a eu moins pour les Pacers.
13:01Et en plus, ils ne les ont pas tous mis.
13:03Et surtout, à 3 points, 0 sur 8 pour les Pacers.
13:061 sur 3 pour l'OKC, qui, globalement, a été très maladroit à 3 points hier soir.
13:12Et malgré tout, c'est imposé.
13:13On a parlé de Shea Gidjus Alexander.
13:16Il a été accompagné, comme l'ont dit Jacques, Xavier et Rémy.
13:19Jalen Williams a sorti le grand jeu en fin de match.
13:23Il a été le lieutenant parfait de Shea Gidjus Alexander dans ces instants très importants.
13:28Oui, parce que, tout simplement, quand Shea focalise la défense,
13:33Jalen Williams, il sait.
13:35Et puis là, il sait simplifier son jeu.
13:37Il est attaqué le cercle sans cesse.
13:41Donc, voilà, ce qu'on attend de lui,
13:44c'est que cette attaque à double tête, même trois têtes,
13:48Il avait eu un petit peu plus de mal dans d'autres matchs de Jalen Williams.
13:54Là, il fait ses statistiques qu'on attend.
13:57En tout cas, on a la sensation qu'il a plus pesé dans le jeu.
14:00Oui, il a plus pesé.
14:01Mais il faut se rappeler que c'est un jeune joueur, lui aussi.
14:03C'est la première finale, évidemment.
14:04Donc, oui, il faut qu'il s'adapte.
14:05Il faut qu'il trouve les solutions.
14:07Mais Chris, quand il dit qu'il est le relais parfait de Shea,
14:10c'est exactement ça.
14:11C'est-à-dire que, normalement, celui qui monopolise le ballon, c'est Shea, évidemment.
14:15Mais dès qu'il sort, déjà, la première option, ça devient Jalen Williams.
14:19Et ensuite, il est aussi capable de prendre ses shoots, d'aller pénétrer, d'aller provoquer.
14:22En fait, il a tout en magasin offensivement.
14:24Donc, il apporte, effectivement, cette énergie et cette capacité à scorer.
14:28Il a été juste parfait en relais une nouvelle fois de Shea.
14:31On va écouter sa réaction d'après-match à Jalen Williams.
14:34Mais également, on va entendre chez Guidjus Alexander, Alex Caruso, qui a été si précieux.
14:40Et comme on va évoquer, juste après, donc, ces petits extraits de conférences de presse.
14:44Sous-titrage Société Radio-Canada.
14:45Just didn't quit I think that's been we haven't really had to show it a lot this year just with like the success we had in the regular season but we've had a lot of like ups and downs during the playoffs and we've just learned those experiences and that's something Mark is really big on us to like every game you should be able to learn and then the next game you should be able to apply something and get better at it and that's what we're trying to do every time.
15:08That's what it's all about winning especially this time of season it comes down to the moments it comes down to it's going to come down to late game every team is good it's barely going to be a blowout you know and it comes down to the moments and who's willing to make winning plays on both ends of the floor but yeah I relish those moments love the moments good or bad and I was a kid shooting on my driveway I'd count down the clock for those moments and now I get to live it so it's a blessing it's fun and I
15:38You know like I don't think I played my best game excuse me in game three I don't think I was my mentality and my focus wasn't sharp enough for being in the NBA finals to my to my liking so I wanted to make sure that I came out here and I made sure that I had a concentrated effort to play as hard as I could and to make you know as many plays to help the team win.
15:59No I mean he's a competitive monster you know clearly and he's proven that time and again over his career certainly in these playoffs but he was huge tonight you know offensively even early in the game but yeah both ends help on ball you know he's just I can't say enough about him as a competitor.
16:18Depuis le début de ces finales vous savez on aime bien évoquer le factor X de chaque match et en général il faut toujours qu'un joueur sorte de sa tanière pour permettre à son équipe de faire la différence.
16:28Alex Caruso a fait ça lors du match 2.
16:30Il a fait ça lors du match 4 une nouvelle fois son deuxième match dans ces finales à plus de 20 points.
16:35Sachez qu'en saison régulière il n'avait pas réussi de match à plus de 20 points.
16:39C'est un élément essentiel en effet dans le dispositif du Thunder.
16:43Il fallait un bon Caruso pour gagner hier.
16:45Ah oui il fallait un bon Caruso en plus il est mobile non seulement il peut mettre le shoot à 3 points regarde il va en rebond il est défensivement solide et puis voilà il peut monter la balle aussi ça c'est l'ajustement que Daniel a fait en écartant chez Guigidius il a fait monter le ballon de Caruso et J-Dub.
17:12L'esprit de compétition aussi d'Alex Caruso.
17:14Il connaît le chemin et lui il connaît le chemin et ça se voit ça se voit sur ses finales il monte son niveau alors défensivement il n'y a jamais rien à dire évidemment mais offensivement parfois il prenait pas les shoots ou il préférait faire tourner.
17:25Là on a bien compris qu'il était capable de mettre juste à 3 points que jouer dans le dos de la défense c'était sa spécialité parce qu'il le fait comme un trivot quasiment.
17:31Et ça c'est très impressionnant et cette énergie qu'il apporte à chaque fois.
17:35En fait quand t'as le ballon t'es défendu par Caruso t'es en stress parce que tu sais jamais ce qu'il est capable de faire tu sais qu'il va te mettre la pression il va te pousser à perdre le ballon.
17:43Donc magnifique Caruso vraiment des finales incroyables.
17:46Le Thunder a réussi à faire craquer les Pacers à leur propre jeu finalement parce que d'habitude on parle des Pacers dans ce genre de situation quand l'équipe adverse mène de 10 points et que les Pacers gagnent.
17:57C'est le scénario totalement inverse qui s'est déroulé hier avec des Pacers qui ont craqué et notamment Bénédicte Mathurin.
18:04Malheureusement c'est tombé sur lui avec cette flagrante qui est sifflée qui va donner un lancer franc à O'Kessi et qui va en plus permettre à O'Kessi d'avoir la possession derrière.
18:13On revoit au ralenti la faute de Bénédicte Mathurin qui a clairement pris le poignet de son adversaire.
18:19Elle y est et en plus donc derrière vous voyez le Thunder continue d'avoir le ballon.
18:23On est dans le quatrième quartan en fin de match.
18:25Heureusement il y a interception. Il y a faute sur Bénédicte Mathurin.
18:29Énorme faute et là Jalen Williams aurait pu se faire très très mal malheureusement.
18:34Il ne met pas le lancer franc alors qu'il aurait fallu mettre le lancer franc.
18:38Ok il met le deuxième Bénédicte Mathurin.
18:40Mais malheureusement qu'est-ce qui va se passer sur la remise en jeu ?
18:43Il va aller faire un strike dans la raquette.
18:46Encore une faute, encore des lancers francs pour le Thunder.
18:49Il avait été le héros du match précédent Bénédicte Mathurin.
18:53Il a un peu perdu les pédales à l'image de ses payseurs dans les moments importants.
18:56Mais lui aussi on se rappelle que c'est un jeune joueur, ses premiers playoffs.
18:59Et voilà il est inconstant.
19:01Parfois il va être magnifique, parfois il va être complètement à l'ouest.
19:04Il l'a été, il a 1 sur 4 au lancer.
19:05Il fait deux fautes comme ça qui donnent des lancers en plus.
19:08Quand tu peux revenir, tu ne reviens pas parce que Mathurin fait le Mathurin chaud.
19:12Mais en même temps quand il est très bon, on dit tous que c'est magnifique.
19:15Donc voilà c'est l'équilibre qu'il faut trouver quand on est un joueur de cet âge là.
19:17Est-ce que ces coups de sifflet peuvent faire parler un peu Chris aujourd'hui ?
19:22Non parce qu'ils sont tellement évidents.
19:25Il faut tout simplement prendre le règlement et puis tu peux le prouver à chaque fois que c'est vrai.
19:32Bon est-ce que Rick Carlyle a bien utilisé Mathurin ?
19:38Parce qu'on ne l'avait pas vu, on le met et c'est parce que Nesmith fait 6.
19:42Voilà il fait 6 fautes donc il se met dans une situation.
19:46Et il est jeune oui, c'est vrai qu'on voit qu'il a tellement envie de bien faire que voilà c'est comme ça.
19:54C'est l'expérience.
19:55J'avoue j'ai ri sur la deuxième faute.
19:57Je t'envoie vers le match, en fait on dirait qu'il veut le plaquer.
19:59L'enchaînement des événements est terrible pour Benedict Mathurin et pour les Pacers
20:04qui ont eu l'habitude de briller dans ces moments-là et qui là finalement n'ont pas réussi.
20:07Ils allaient mettre la musique de Benny Hille.
20:09C'est pas gentil ce que vous dites, c'est pas gentil du tout.
20:14Un mot aussi sur la défense de Chathamgren et sur les ajustements défensifs justement du Thunder.
20:20Parce que Chathamgren c'est quand même 15,14 rebonds et il a toujours été présent.
20:24La mobilité qu'il a eue hier en défense Fred est quand même assez impressionnante.
20:28Est-ce qu'on connaît un autre pivot dans cette ligue capable de faire ça ?
20:30Victor Wembanyama ?
20:31Victor Wembanyama, mais peut-être même moi sur l'homme.
20:34Victor est capable de récupérer après pour aller contrer.
20:36Mais tenir des incontraints comme ça, ne pas se faire passer, contester jusqu'au bout,
20:40avoir cette mobilité pour reprendre à chaque fois, aide reprendre ou switch,
20:44tenir les incontraints, franchement c'est incroyable.
20:47Alors là, MyStoneur, on s'est quand même rendu compte qu'il ne savait plus du tout où il était sur le terrain.
20:50Vraiment il était complètement perdu.
20:51Mais on voit, il tient les incontraints et tous les shoots sur lui sont compliqués
20:54parce qu'il est très très long en plus.
20:55Franchement, il a fait une défense impeccable et je me répète,
20:59qui peut faire ça en NBA ? Victor Wembanyama.
21:01Et c'est plutôt malin de changer sur tous les écrans du coup,
21:03parce qu'à chaque fois il y a ce différentiel de taille
21:05et Chet Holmgren se retrouve avec cet avantage.
21:08Oui, ce qu'on ne peut pas faire avec Artenstein.
21:10C'est pour ça que dans les moments clés, dans les match-up,
21:15il met Chet parce qu'il veut changer sur tous les écrans,
21:18de mieux contrôler devant la pointe de l'attaque.
21:22Oui, oui, c'est le jour parfait pour ça.
21:25On voulait vous montrer également un petit moment qui s'est passé dans le match
21:28qui concerne aussi Chet Holmgren.
21:30Je vous le disais, c'est tordu la cheville,
21:32assez violemment d'ailleurs dans le premier quart-temps.
21:35Et on va voir les mots de Chez Gidjus Alexander pour son pivot.
21:39À ce moment-là, pour vous montrer à quel point
21:41le MVP de la saison régulière s'est comporté comme un leader hier.
21:44J'ai dit ça à Fred Weiss aussi ce matin.
21:59Tout va bien ?
22:00C'est important ce genre de séquence
22:03parce qu'il aurait pu aussi dire
22:05j'ai trop mal, j'arrête.
22:06Et après, quand on voit toute l'activité qu'il a eue,
22:09ça a pu lui faire du bien,
22:10ça lui a permis de rester dans son match.
22:11Alors, objectivement, c'est insolide, Chet.
22:12Même si on se moque que parfois il se baisse
22:14parce qu'il a été souvent absent, c'est insolide.
22:17Souvent, il se relève.
22:18Mais c'est vrai que quand ton leader qui vient te voir,
22:19qui dit on a besoin de toi, relève-toi,
22:22et maintenant, d'un seul coup, oui,
22:22ça te donne encore plus envie d'être là,
22:24d'être présent et de répondre.
22:25Donc, les deux font une super activité.
22:28Chet qui se relève et le leader qui vient te parler
22:31et qui fait les bons ajustements aussi.
22:32En fait, leader, ça ne veut pas dire marquer des points.
22:35Ça veut dire que globalement,
22:37parce qu'il ne fait pas une passe,
22:39chez Guiljus, zéro passe.
22:42Mais le fait, comme Fred l'a dit,
22:44que c'est chez Guiljus qui lui dit
22:46on a besoin de toi, get up.
22:48Non, non, c'est hyper important.
22:50On est leader jusqu'au bout.
22:52Est-ce que les Pacers ont eu peur de gagner hier ?
22:55Franchement, j'ai eu un peu cette impression.
22:57J'ai eu un peu cette impression
22:58parce qu'ils ont arrêté de jouer,
22:59c'était moins fluide.
23:00Alors oui, les conditions ont fait aussi
23:01que c'était plus compliqué.
23:02Parce que du côté d'Ok6,
23:03ça marquait des paniers.
23:04Il y avait des lancés francs,
23:05donc tu as moins de courses.
23:06Et c'est sur la course qu'ils sont les meilleurs
23:07et qu'ils peuvent prendre cette défense d'Ok6
23:09à son propre piège.
23:11Mais c'est vrai qu'on a eu l'impression
23:12qu'ils étaient moins en confiance,
23:14un peu moins solidaires,
23:15une seule passe décisive dans le dernier quartan
23:16alors qu'il y en avait 20 jusque-là.
23:18Donc on a vraiment l'impression
23:19qu'ils ont peur de gagner.
23:21Je n'aime pas cette expression,
23:22mais un peu de pression.
23:24Ils ont sorti la pression.
23:25Oui, parce qu'au milieu du troisième quartan,
23:27quand ils sont à plus 10,
23:29je crois qu'ils pensent
23:30qu'ils vont gagner le match.
23:32Ils n'ont pas peur.
23:33Ils jouent, ils déroulent.
23:35Mais la défense d'Ok6
23:38a serré, serré
23:39et c'est devenu moins facile.
23:43Donc oui, oui, non,
23:44mais je pense qu'ils ont tout simplement eu...
23:48Ah, je ne sais pas.
23:50C'est bizarre.
23:53Un peu de se dire
23:54que si on gagne celui-là,
23:55il ne nous en manque plus qu'un.
23:56Ça met de la pression un peu dans la tête.
23:57Ça te fait un peu rêver.
23:58Genre, on va le faire,
23:59mais on est en train de le faire.
24:00En fait, dans le troisième quartan,
24:01tu es sur ta continuité.
24:03Tu avances, tu contues.
24:03Et là, tu te dis,
24:04on touche au but.
24:05On est 7 points en avant.
24:06S'il reste 12 minutes,
24:07tu peux te poser des questions.
24:08Alors, je ne dis pas
24:09ce qui s'est passé
24:09parce qu'effectivement,
24:10Chris a raison.
24:11Ok, si il a monté son niveau défensif
24:12de manière magnifique.
24:14Mais il y a peut-être
24:14un peu de ça aussi.
24:15Toujours le problème
24:16d'être devant,
24:17d'être chassé.
24:20Ils ne sont pas habitués à ça.
24:22Ils sont habitués
24:22d'être chasseurs.
24:23C'est ça un peu.
24:23Finalement, hier soir,
24:24pour les Pacers.
24:25Les réactions, justement,
24:26du côté des Pacers
24:27après cette défaite à domicile.
24:29Je pense que,
24:31moi, personnellement,
24:33je peux être un peu
24:33pour nous,
24:34comme un groupe.
24:35Nous avons de plus
24:36plus de plus de plus
24:36dans la stretch.
24:3717 points,
24:384th quarter,
24:39pour l'offensive
24:40success que nous avons
24:41all game,
24:42je pense que
24:42ça a fait
24:43que nous avons
24:45de plus de plus
24:45de plus de plus.
24:46Et je pense que
24:46ça commence avec moi.
24:48Oui, nous avons
24:48de plus de plus
24:49pour la fin.
24:50Je suis en train de
24:51plus d'être
24:51dans un environnement.
24:52Nous avons de plus
24:52de plus de plus.
24:53Et pour nous,
24:54nous avons de plus
24:55de plus de plus
24:55de plus.
24:55Nous avons de plus
24:56de plus de plus.
24:56on down there.
24:56So,
24:57we've got to be
24:58ready to go.
25:00And we've got
25:01a couple of days
25:01to sit on this,
25:02watch film,
25:02see if we can
25:02get better.
25:03And yeah,
25:05I'm excited
25:05about the challenge.
25:06This series
25:06is going to come
25:07down to the basics.
25:09And our inability
25:10to effectively rebound
25:12when we needed to
25:13is the biggest thing.
25:15You know,
25:1543 to 33
25:17and a bunch
25:18of second chance
25:19points,
25:20you know,
25:21made it difficult
25:23and in the end
25:24impossible.
25:25so we get
25:26a bounce back.
25:28I don't need
25:29to motivate
25:29these guys.
25:30I think they have
25:32a sense of where
25:33they are.
25:36But, you know,
25:37this kind of a challenge
25:38is going to have
25:39extreme highs
25:40and extreme lows.
25:41And this is a low
25:42right now.
25:43And we're going
25:44to have to bounce
25:44back from it.
25:45Voilà,
25:45donc pour le résumé
25:46de ce match 4
25:47dans ces finales
25:48NBA qui vont se
25:49poursuivre.
25:49On va faire le point
25:50sur le calendrier
25:50dans un instant,
25:51mais il me faut
25:52un MVP,
25:53messieurs,
25:53pour cette soirée,
25:55mais le suspense
25:55est insoutenable.
25:57Shay,
25:58mais big up
25:58à Caruso quand même.
25:59Gros big up
26:00à Caruso.
26:00C'est bien gentil
26:01pour Alice.
26:02Shay,
26:02bah oui,
26:03tu mets 15 points
26:04dans les 5 dernières minutes
26:05et t'es évidemment MVP,
26:06surtout quand ton équipe
26:07gagne.
26:0812 sur 24,
26:093 rebonds,
26:093 styles.
26:10Et oui,
26:11Shay Gidjus,
26:11Alexander a encore
26:12tiré des lancers francs,
26:13mais les amis,
26:14c'était peut-être
26:14ça le plus important.
26:15Voici le top 5.
26:16Sous-titrage Société Radio-Canada
26:22à Caruso.
26:23C'est le piton de
26:28mitopine.
26:29C'est le piton de mitopine.
26:38Oh les belles,
26:39c'est là aussi,
26:39maintenant il faut finir,
26:40voilà.
26:41Elle est quasiment aveugle.
26:42Sous-titrage Société Radio-Canada
26:57Sous-titrage Société Radio-Canada
26:59Sous-titrage Société Radio-Canada
27:12Alors le programme,
27:39il y aura un match 5
27:40et un match 6.
27:41On va d'abord se retrouver
27:42pour le match 5,
27:43messieurs.
27:44Ça sera,
27:44et ça va arriver très vite,
27:46puisque ce sera dans la nuit
27:47de lundi à mardi,
27:49ce match 5,
27:50à 2h30 du matin,
27:51vous avez connu
27:52et vous savez la mécanique,
27:5412h45 lundi
27:55pour le preview
27:56sur place,
27:57de retour donc
27:57au Thunder
27:58à avoir pris
27:59pas mal d'avions
28:00pour ces messieurs.
28:01Et nous,
28:01on se retrouve mardi
28:02à 12h45
28:03pour savoir
28:03qui prend l'avantage
28:05dans ces finales.
28:06Il y aura un match 6,
28:07ce match 6,
28:08ce sera vendredi.
28:10dans la nuit de jeudi
28:11à vendredi,
28:12pour être bien précise.
28:14Le match 7,
28:14on a peut-être
28:15le temps d'en parler,
28:16mais on a le sentiment
28:16quand même,
28:17messieurs,
28:17que ces finales vont durer.
28:19Bon,
28:19on va aller au match 7.
28:20Chris l'a dit tout à l'heure
28:21et je suis tout à fait d'accord avec lui.
28:22Oui,
28:22oui,
28:22oui,
28:237.
28:24Match 7,
28:25les chasseurs,
28:25tout ça,
28:26les interactions,
28:27tout ça.
28:28On ne casse pas les jouets.
28:29On ne rappelle pas
28:30que c'est OKC
28:32qui a l'avantage du terrain.
28:34Donc ces finales
28:35se terminera en tour
28:36peut-être
28:36lors d'un match 7
28:37à OKC.
28:39À OKC
28:39où c'est la fête
28:40puisque tout le monde
28:41a profité,
28:42bien sûr,
28:43de cette victoire
28:44au Peacom Center.
28:45Il y a toujours
28:45cette watch party
28:46comme a pu le faire
28:48le Paris Saint-Germain
28:49pour la finale
28:49de Ligue des Champions,
28:50par exemple,
28:50au Indianapolis
28:51pour les matchs
28:52des Pacers
28:53au début de ces finales.
28:54C'était plein à craquer
28:54comme d'habitude.
28:56Il y a de l'ambiance
28:56pour ces deux finales
28:57dans les deux salles
28:58même si on avait
28:59la sensation
28:59qu'il y avait
29:00un peu plus de bruit
29:01au Gain Bridgefield House.
29:03On verra
29:03la réaction du public
29:05au Peacom Center
29:06pour ce match 5.
29:07Et comme d'habitude,
29:08tout le monde était
29:09à l'aéroport.
29:10Ce sont des images habituelles
29:11pour accueillir
29:12les héros
29:13du match 4
29:14pour leur dire
29:15qu'on est là
29:15avec vous,
29:16derrière vous.
29:17Toujours sympa
29:18de voir quand même
29:19que le public
29:20suit son équipe.
29:20Oui,
29:21c'est coutume
29:22aux Etats-Unis
29:23dès que l'avion
29:25arrive,
29:26même en France
29:27parce qu'on l'a vu
29:28avec le PSG.
29:29Exactement,
29:30décidément,
29:30c'est la fête
29:31un petit peu partout.
29:32Voilà donc
29:33pour ces finales NBA.
29:34On va faire une pause
29:35dans NBA X3
29:36et se retrouver
29:36dans un instant
29:37pour parler
29:38des coachs.
29:39On va revenir
29:39notamment sur
29:40la très belle carrière
29:41et la retraite
29:43de Greg Popovich.
29:44Mais on va faire
29:44un point aussi
29:45sur l'enquête
29:46autour du coach
29:47des Knicks
29:47parce qu'ils sont
29:48toujours en discussion
29:49avec pas mal de monde.
29:50en tout cas,
29:51ils cherchent
29:51avec des gens
29:52avec qui parler
29:52surtout.
29:53On se retrouve
29:54dans un instant.
29:55à tout de suite.
30:08On est toujours
30:09dans NBA X3
30:10avec Chris Singleton.
30:11Le sourire
30:12de Chris Singleton.
30:13Le sourire
30:14de Fred Bates.
30:14Je vous rappelle
30:16qu'il y a de partout
30:17dans les finales NBA
30:18et que l'on repart
30:19à Oklahoma City
30:20pour le match 5
30:21que l'on vivra
30:21la semaine prochaine
30:22bien évidemment.
30:23Et les questions
30:23de ces finales NBA
30:24dans le podcast
30:25NBA Extra.
30:26Un nouvel épisode
30:27va sortir aujourd'hui.
30:29Chris Singleton
30:30est en guest star
30:31pour nous donner
30:31son analyse.
30:32Sur quoi Chris
30:33aujourd'hui ?
30:33On a parlé du match
30:34et puis le coach
30:38des Knicks.
30:39Aussi ?
30:40Oui.
30:41Et éventuellement,
30:42Kevin Durant,
30:43il va où ?
30:45Il va où ?
30:45Il fait quoi ?
30:46Il tweet beaucoup
30:46Kevin Durant.
30:47Et on a parlé
30:49de Boston aussi.
30:50Comme il a des rumeurs
30:51que le nouvel propriétaire
30:53ne veut pas sortir
30:54de sa portefeuille.
30:57Ça va bouger.
30:58Ça va bouger.
30:58Vous avez vu également
30:59que Russell Weisbrook
31:00a décliné sa player option.
31:02Il sera donc free agent
31:03d'ici quelques jours.
31:05On verra où ira
31:06Russell Weisbrook.
31:06Tout ça est évoqué
31:08bien sûr dans le podcast
31:09NBA Extra
31:10à retrouver
31:10sur toutes les plateformes
31:11d'écoute disponibles
31:13et gratuits.
31:15Bien entendu.
31:16Nous, on va parler
31:16du coach d'Enix.
31:18Mais qui est-il ?
31:18Qui sera-t-il ?
31:19On ne sait plus
31:19où est-ce qu'ils en sont.
31:20Avec qui parle-t-il ?
31:21Quel coach pour l'Enix
31:22Tom Thibodeau a été remercié
31:24il y a quelques jours maintenant ?
31:25On pensait qu'ils avaient
31:26un peu préparé le coup.
31:27Le dossier, oui.
31:29Pas du tout.
31:29En tout cas,
31:30c'est la sensation
31:31qu'on donne
31:31parce qu'ils ont voulu discuter
31:33avec Ibi Duka,
31:33Chris Finn,
31:34Jason Kidd,
31:35Quinn Snyder,
31:35Billy Donovan.
31:36Les franchises
31:37qui embauchent ces coachs
31:38ont dit non.
31:39Ce qui est assez normal.
31:40Du coup,
31:40ils sont autorisés
31:41à discuter évidemment
31:42avec des gens libres
31:43que sont Taylor Jenkins
31:44et Mike Brown.
31:45Taylor Jenkins
31:46a été remercié
31:47quelques jours
31:47avant la fin
31:48de la saison régulière
31:49par les mêmes fils Grizzlies
31:50alors qu'il avait quand même
31:51réussi plutôt son coup
31:52avec cette jeune équipe.
31:54Mike Brown
31:55lui a été remercié
31:55au mois de décembre
31:56par les Sacramento Kings
31:57alors qu'il avait ramené
31:59à la franchise
32:00en play-off
32:00l'année dernière
32:01après 17 ans d'attente.
32:03Mais les Knicks
32:04savent-ils où ils vont ?
32:05On a le sentiment
32:06que tout ça
32:06est un petit peu improvisé.
32:08Non,
32:08ils savent exactement
32:09où ils vont.
32:09Ils vont rappeler
32:10ton petit boteau.
32:12Depuis le début,
32:13on kiffe ton travail
32:14et tu vas revenir.
32:15Non, non,
32:15je pense qu'ils sont
32:16un peu perdus.
32:17Effectivement,
32:18ça paraît surprenant
32:19de virer son coach
32:20et de ne pas avoir
32:22de plan B établi.
32:24J'imagine qu'ils pensaient
32:25vraiment pouvoir
32:25contacter les coachs
32:26des équipes adverses
32:27sauf que...
32:28Ah non !
32:29Logiquement,
32:29c'est un coach
32:30qui performe,
32:31tu as envie de garder.
32:32Je ne comprends pas
32:33trop très bien
32:33où ils vont.
32:35Si on me demandait,
32:36je pense que Taylor Jenkins
32:36c'est peut-être
32:37celui qui me plaît
32:38plus dans ceux
32:38qui restent.
32:39Mais je ne sais pas
32:41s'il aura les reins insolites
32:42parce que c'est difficile.
32:43New York,
32:43c'est la grande ville.
32:44Il faut vraiment
32:45un personnage particulier.
32:47S'il veut venir à Limoges,
32:48nous, on le prend.
32:49Mais je pense que New York,
32:51ça doit être un vrai challenge.
32:52Mais c'est quand même compliqué.
32:53On rappelle que Mike Malone,
32:54l'ancien coach des Nuggets,
32:56est libre aussi.
32:56Pour l'instant,
32:57il ne discute pas
32:57avec lui.
32:58Christo,
32:59on est là-dessus ?
33:00À mon avis,
33:00c'est...
33:01Oui,
33:01je ne pense pas
33:02que Chris Finch,
33:03c'est le style de la maison.
33:05Voilà,
33:05il a du mal à...
33:08Chris Finch,
33:09non.
33:09Il ne discute pas
33:10avec Chris Finch.
33:11Ah oui,
33:11Taylor Jenkins.
33:13Mais c'est pas vrai.
33:14Oui,
33:15mais c'est pareil.
33:16C'est le même.
33:17C'est le même.
33:18Voilà.
33:19Donc,
33:19je crois que Mike Brown,
33:21pour moi,
33:22il a l'estime,
33:24je pense,
33:25des joueurs de l'NBA.
33:26avec le Cavs,
33:29il était coach de l'année,
33:30avec les Kings,
33:31coach de l'année.
33:33Donc,
33:33c'est le plus crédible.
33:35Très beau CV,
33:35en effet,
33:36pour Mike Brown.
33:38Mais il va falloir
33:39réussir à trouver
33:40une solution
33:40pour ces Nix.
33:42Les discussions se poursuivent
33:43ou les non-discussions
33:44se poursuivent.
33:45On parle de Chris Singleton,
33:46peut-être.
33:47Oui,
33:47ce serait pas mal.
33:48C'est un ami,
33:49on a des places.
33:50Moi,
33:50je pense que même,
33:51il a le charisme
33:52pour New York.
33:54Très,
33:54très loin.
33:55Vous comprenez
33:55qu'il se soit séparé
33:57de Tom Thibodeau ?
33:58Non.
33:59Enfin,
33:59pas comme ça.
34:00Si,
34:00encore une fois,
34:00si c'est préparé,
34:01si tu as envie
34:01de faire autre chose,
34:02alors déjà,
34:03sur le papier,
34:03ça paraît bizarre
34:04parce que ce qu'il a proposé
34:05Tom Thibodeau,
34:05c'est les meilleures saisons
34:06depuis longtemps à New York.
34:07Donc,
34:07tu te dis,
34:08tu as envie de continuer,
34:08tu as envie de voir
34:09ce que ça peut donner
34:09à 200%.
34:11Mais après,
34:12si tu te sépares,
34:12tu sais pourquoi tu te sépares,
34:14parce que tu as un coach
34:14que tu as en tête
34:15depuis longtemps
34:16et que tu veux absolument subir.
34:17Si tu n'as pas de plan B,
34:18ça paraît complètement fou.
34:21Moi,
34:21je trouve qu'il y a une année
34:23où ils pouvaient attendre,
34:25voir si,
34:26voilà,
34:27les Knicks
34:27pouvaient refaire une saison.
34:30Mais le système Thibodeau
34:31n'aurait pas changé.
34:32Il aurait continué
34:33à utiliser
34:34six joueurs et demi
34:35en play-off
34:35et il serait arrivé rincé.
34:37Il est arrivé en fin de compte
34:38parce que c'est mauvais
34:38comme performance.
34:39Est-ce que New York
34:40n'a pas plus d'ambition ?
34:41Je ne sais pas,
34:42mais ça faisait combien de temps
34:43que ce n'était pas arrivé ?
34:44À un moment,
34:44il faut aussi se constater
34:46ce qui est arrivé.
34:48et l'évolution de l'équipe.
34:49Donc oui,
34:50peut-être qu'avec Thibodeau,
34:51tu n'étais pas champion,
34:52mais au moins,
34:52tu as une stabilité.
34:53Oui,
34:54et puis il était à l'image
34:55de New York.
34:56C'est,
34:57voilà,
34:58dur,
34:59dur,
34:59dur comme de cuir.
35:02Oui,
35:03non,
35:03non.
35:04Non,
35:04non,
35:04ce n'était pas une bonne idée.
35:06On verra ce que l'avenir
35:07réserve aux New York Knicks
35:08qui,
35:08en effet,
35:09ont été finalistes
35:10de conférences
35:11avec Tom Thibodeau.
35:12C'était face aux Pacers
35:14et à suivre,
35:15évidemment,
35:15sur Beansport.
35:16Puisque l'on parle des coachs,
35:18on voulait rendre hommage
35:19à l'un des plus grands coachs
35:20de l'histoire de la NBA.
35:21Greg Popovich,
35:22vous le savez,
35:23a tiré sa révérence
35:24il y a quelques semaines.
35:26Il a souffert d'un AVC
35:27au mois de novembre.
35:27Il espérait revenir.
35:29Ça n'a pas été le cas.
35:30C'est donc la fin d'une ère
35:31pour les San Antonio Sports
35:33et plus globalement
35:33pour la NBA.
35:35Greg Popovich a quand même
35:36réussi tout
35:37à San Antonio.
35:38Il a gagné énormément de titres,
35:40cinq fois champion,
35:41trois fois coach de hier,
35:43quatre fois coach all-star,
35:45des médailles d'or
35:46également olympiques.
35:47Il a été intronosé
35:48au Hall of Fame
35:49il y a deux ans.
35:51La fin d'une ère
35:52donc pour Greg Popovich
35:53et pour la NBA.
35:55Retour sur l'incroyable carrière
35:57de Greg Popovich
35:58avec Tony Masson
35:59et Tony Pasquignon.
36:00Il est le symbole
36:14de toute cette génération
36:15victorieuse.
36:16Le visage de cette franchise
36:24qui gagne.
36:24C'est officiel.
36:43Greg Popovich
36:44n'est plus coach NBA
36:45mais son nom lui
36:46est à jamais associé
36:48aux plus grandes heures
36:49de ce sport.
36:50Une aventure
36:53dans le Texas
36:53qui prend racine
36:54en 1994.
36:55Greg Popovich
36:56est alors nommé
36:57vice-président
36:58des opérations basket
36:59d'une franchise
37:00vierge de trophées.
37:01Deux ans plus tard,
37:02en décembre 1996,
37:03lui et le board
37:04décident de virer
37:05le coach en place.
37:06Popovich
37:06se nomme lui-même
37:07à la succession.
37:09Décision controversée
37:10à l'époque
37:10et des débuts
37:11loin de faire
37:12l'unanimité.
37:13Premier virage
37:15en 1997,
37:16San Antonio
37:17prend en numéro
37:181 de draft
37:19Tim Duncan
37:19un choix
37:20qui devient
37:21la base
37:21de l'histoire Popovich.
37:23En deux ans,
37:23il emmène les Spurs
37:24tout en haut
37:25une finale
37:25pour l'histoire
37:26contre l'Enix,
37:26le premier sac
37:27de la franchise.
37:35Jusqu'en 2019,
37:37Popovich emmènera
37:38toujours les Spurs
37:39sans play-off,
37:40soit 22 années
37:41consécutives.
37:44Son début de règne
37:44est proche
37:45de la perfection.
37:472003,
37:482005,
37:492007,
37:50San Antonio
37:51devient l'une
37:51des plus grandes
37:52marques du sport
37:53américain.
37:54Popovich
37:55gère de main
37:56de maître
37:56les talents
37:57qu'il a à disposition
37:58et surtout
38:00le trio
38:01le plus dominant
38:01de cette ligue.
38:03Le nom de Popovich
38:04sera toujours associé
38:05à celui de Tim Duncan,
38:06Manu Ginobili,
38:07Tony Parker.
38:12Le coach
38:13s'installe
38:13comme un personnage
38:14majeur,
38:15un incontournable
38:16de la ligue.
38:16Pendant des décennies,
38:17il offre des moments
38:18de légende
38:19et surtout propose
38:19une maîtrise totale
38:20de l'exercice média.
38:21You still gotta have
38:23some fun
38:23even if you lose,
38:24you know,
38:25come on,
38:26it's basketball,
38:26yeah,
38:27we wanted to win,
38:27but, you know,
38:28I want to laugh too.
38:30What was the key?
38:31I think they were
38:32looking at your suit.
38:33You did a great job,
38:34but I'd rather have
38:35your dad standing here.
38:37That's great,
38:38we miss you.
38:40What?
38:41Think about the Hornets
38:42two years ago?
38:43We want your fanny
38:44back on the court,
38:45but I promise
38:46I'll be nice.
38:47This is the first time
38:51I've enjoyed
38:53doing this ridiculous
38:54interview we're required
38:55to do,
38:56it's because you're here
38:57and you're back with us.
38:58Welcome back,
38:59baby.
38:59Thank you.
39:01Sa légende devient
39:02incontestable en 2014.
39:05Cette année-là,
39:05Greg Popovich
39:06est élu coach de l'année
39:07pour la troisième fois
39:08de sa carrière
39:08et les sports se produisent
39:10un basket incroyable.
39:12San Antonio
39:13et Revanchar,
39:14en finale,
39:15contre le hit
39:15de LeBron James,
39:16les coéquipiers
39:17de Kawhi Leonard,
39:18Boris Diaw
39:18ou encore Tony Parker
39:19sont affamés
39:20et réalisent des finales
39:21incroyables
39:22pour remporter
39:22le cinquième titre
39:24de l'histoire
39:24de la franchise.
39:26Pop aura connu
39:27toutes les distinctions,
39:28toutes les récompenses
39:29individuelles ou collectives,
39:30que ce soit avec les Spurs
39:31ou Team USA.
39:33Il connaît aussi
39:34la fin de cycle incroyable
39:35de son Big Three.
39:36En 2018,
39:37sa femme décède
39:38mais Popovich
39:38continue son chemin
39:39avec les Spurs.
39:41Le 11 mars 2022,
39:42il devient la référence ultime,
39:43le coach avec le plus
39:44de victoires en saison régulière.
39:46En 2023,
39:47il regoutte au numéro 1
39:48de draft avec Victor Wembanyama.
39:50Toute la ville
39:51se remet à rêver
39:52mais la santé du coach
39:53se dégrade à deux reprises.
39:55C'est l'heure
39:56pour Coach Pop
39:56de tourner définitivement
39:58la page des parquets
39:58sans pour autant
40:00rester loin de ses Spurs.
40:01Énumérer son palmarès
40:05serait presque trop peu
40:06par rapport à l'impact
40:07qu'il laissera
40:08dans cette Ligue.
40:10Popovich
40:10vient de refermer
40:11le livre de sa carrière
40:12mais sa légende,
40:14elle,
40:14est plus que jamais
40:15encore en train
40:16de s'écrire.
40:16Et on aurait adoré
40:21voir Greg Popovich
40:22soulever un titre de champion
40:23aux côtés de Victor Wembanyama.
40:25L'histoire n'est pas
40:26totalement terminée
40:27pour Greg Popovich
40:28puisqu'il est directeur
40:29des opérations basket
40:30à Saint-Antonio.
40:31Un titre honorifique
40:32bien entendu
40:33pour lui.
40:34Mais c'était quoi
40:35Greg Popovich
40:36pour vous ?
40:37Pour en avoir parlé
40:38à beaucoup de joueurs,
40:39c'est quelqu'un
40:39qui parlait beaucoup
40:40justement avec ses joueurs
40:40qui échangeait,
40:41qui parlait d'autres choses
40:42que du basket
40:43parce que c'était
40:43quelqu'un de très cultivé,
40:44c'est quelqu'un
40:45qui était passionné,
40:46c'est quelqu'un
40:46qui était passionnant.
40:47Il faut regarder
40:48son arbre généalogique
40:49d'entraîneur.
40:49C'est-à-dire que
40:50quand tu pars de Greg Popovich,
40:51en fait,
40:51tu as tous les entraîneurs NBA
40:52ou quasiment
40:53qui sont passés par lui
40:54et qui ont appris
40:55le basket grâce à lui.
40:56Donc Popovich,
40:58c'est le basket
40:59dans le monde
41:00et c'est le basket
41:00en NBA principalement.
41:07ce ballon qui bougeait,
41:09qui était...
41:10Le premier Spurs basketball.
41:11Voilà,
41:11le Spurs basketball,
41:13c'est lui
41:13qui l'a mis en place.
41:15Tout le monde
41:15a essayé de le copier
41:17mais il ne pouvait pas.
41:19Non, mais pour moi,
41:19c'est un professeur
41:21du basket
41:21qui a appris
41:22beaucoup de monde
41:24comment il fallait
41:26regarder le collectif.
41:27Et qui a énormément
41:28légué, Fred,
41:29il fait bien de le mentionner.
41:30Beaucoup de coachs
41:31ont été formés
41:32par Greg Popovich
41:33ou se sont inspirés de lui.
41:35Quel est pour vous
41:35le coach ?
41:36Il leur semble le plus
41:37aujourd'hui ?
41:38C'est difficile
41:39parce que honnêtement
41:40ce serait trop compliqué
41:41à expliquer
41:41mais quand je pense
41:42à Steve Kerr,
41:43je pense à Popovich
41:43en fait.
41:44J'ai vraiment
41:44cette impression-là.
41:45Alors il y en a
41:45certainement d'autres
41:46mais le premier
41:47qui vienne comme ça
41:47sans réfléchir
41:48c'est Steve Kerr
41:49parce que le jeu
41:50qui a joué
41:52qui s'en est inspiré
41:53ça se voit
41:54et le ballon
41:54qui circule bien
41:55à Golden State
41:55c'est quand même
41:56un jeu assez léché
41:56c'est un jeu super sympa
41:58donc je dirais
41:59Steve Kerr comme ça
42:00mais vraiment
42:00sans réfléchir
42:01plus que ça.
42:02Et Carlisle
42:03parce que c'est
42:04tout simplement
42:05le collectif
42:06qui épice
42:07une manière
42:08de transmettre
42:09à ses joueurs
42:10il est dur
42:11quand il faut
42:12il est à côté d'eux
42:14quand il le faut
42:15donc oui oui.
42:17Et on rappelle
42:18que Tony Parker
42:19a vécu à ses côtés
42:20Tony Parker
42:21qui ressort
42:21un nouveau livre
42:22ici ça s'appelle
42:23Au-delà de tous mes rêves
42:24il est bien sûr
42:25question de Greg Popovich
42:26dedans c'est écrit
42:27avec notre collègue
42:29et confrère
42:30David Loriaux
42:30l'excellent David Loriaux
42:31de l'équipe
42:32c'est édité
42:33chez Solar
42:34voilà si vous avez
42:35envie d'en savoir
42:36un petit peu plus
42:36sur l'un des plus
42:37grands joueurs
42:38de l'histoire
42:38des Spurs
42:39qui a été intronisé
42:40Hall of Fame
42:40aux côtés d'ailleurs
42:41de Greg Popovich
42:43puisque l'on parle de lui
42:44un mot sur l'avenir
42:44des Spurs
42:45c'est Mick Johnson
42:46qui va lui succéder
42:48Victor Wembangiama
42:48est là
42:49on attend beaucoup de choses
42:50de cette équipe
42:51des Spurs
42:51l'année prochaine.
42:52Oui on va voir
42:53avec le draft
42:54donc ils ont deux
42:55deux piques
42:56Ce fameux choix numéro 2
42:57on ne sait pas
42:57où il va aller
42:58ils ont deux piques
42:58dans le top 15
42:59je crois
43:00donc à partir de là
43:02est-ce qu'on va
43:03reconstruire
43:03est-ce qu'on va
43:04aller chercher le titre
43:06KD
43:08Ah oui c'est vrai
43:09et encore lui
43:11on parle encore de lui
43:12Il y a beaucoup de choses
43:13mais il faut se rendre compte
43:13quand même
43:13que les Spurs
43:14viennent d'enchaîner
43:14deux rookies de l'année
43:15de suite
43:16qui est quand même
43:17assez extraordinaire
43:18ça veut dire
43:18que tu as un bivier de jeunes
43:19donc tu peux échanger aussi
43:20pour avoir une star
43:21donc maintenant
43:22ça va être important
43:23les décisions qu'ils prennent
43:23on sait que normalement
43:24on est plutôt conservateur
43:26du côté de San Antonio
43:26et qu'on construit
43:28sauf que quand les opportunités
43:29sont énormes
43:30pourquoi ne pas bouger
43:31Il paraît que le trade
43:32de Kevin Durant
43:33c'est déjà fait
43:33Il paraît que ce n'est pas vrai
43:35non plus
43:35il y a vraiment
43:37tous les sons de cloche
43:38par rapport à ça
43:38Faisons un point
43:39sur ces rumeurs
43:39mon cher trade
43:40Non
43:40il y a des sons de cloche
43:42qui divergent
43:42par rapport à ça
43:43j'ai vu que le trade
43:44a été fait d'un côté
43:45et de l'autre
43:45finalement ça ne les intéresse
43:46plus non plus
43:46donc ça paraît très compliqué
43:48on le saura
43:49quand on le saura
43:49On le saura
43:50quand on le saura
43:50ça c'est bien résumé
43:51là ça sera
43:52les derniers mots
43:53Rendez-vous pour le match 5
43:58de ces finales NBA
43:59la semaine prochaine
44:00il y aura même un match 6
44:02on vous l'a dit
44:02en fin de semaine prochaine
44:04Le match 5
44:05c'est dans la nuit
44:05de lundi à mardi
44:062h30 du matin
44:07le preview
44:07c'est lundi à 12h45
44:09avec nos envoyés spéciaux
44:10nous on sera là
44:11tous les trois
44:12mardi à 12h45
44:14pour vous débriefer
44:15donc ces magnifiques finales
44:16qui prendra l'avantage
44:18la réponse bien sûr
44:19le club Euroespoir
44:20ouvre ses portes
44:21à 20h30 ce soir
44:22pour le France-Georgie
44:24c'est à 21h
44:25sur Beansport 1
44:26je vous rappelle également
44:28qu'il y a de la NHL
44:29la Stanley Cup
44:30est à vivre aussi
44:31sur nos antennes
44:32et là aussi
44:32c'est très serré
44:33avec les Panthers
44:35qui sont opposés
44:36aux Oilers d'Edmonton
44:38c'est situé à 2h du matin
44:402-2 pour l'instant
44:41là aussi
44:41c'est très serré
44:42on ne sait pas
44:43qui va prendre l'avantage
44:43etc etc
44:44bref
44:45c'est complètement fou
44:46ce mode 20
44:46c'est complètement dingue
44:48merci messieurs
44:49j'espère que tu auras ton train
44:51mon cher Fred
44:52c'est une très bonne journée
44:55sur Beansport
44:56et à la semaine prochaine
44:57pour la suite
44:57Sous-titrage Société Radio-Canada
45:01Sous-titrage Société Radio-Canada
45:05Sous-titrage Société Radio-Canada
45:09Sous-titrage Société Radio-Canada
45:13Sous-titrage Société Radio-Canada
45:17Sous-titrage Société Radio-Canada
45:21Sous-titrage Société Radio-Canada
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