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  • 24/05/2025
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 23/05/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00:00Alors les invités, c'est l'équipe du soir, bonsoir à tous et bienvenue, grand week-end
00:00:19de sport qui commence puisque Monaco s'est qualifié pour la finale de l'Euroleague
00:00:23de basket, on en parle dans quelques minutes.
00:00:26Cette semaine, nous avons changé toutes les musiques, et oui, et la musique du Président,
00:00:30il est passé de Fana à Président de l'équipe du soir, mettez-nous le jingle du Président
00:00:35de l'équipe du soir, ce soir c'est Roland-Courbis, on y va.
00:00:42Président Courbis, bonsoir.
00:00:44Bonsoir messieurs-dames.
00:00:46C'est Robin Desbois.
00:00:48Et Rico Blanco de La Plata.
00:00:50J'attends.
00:00:52Merci, merci, merci, merci.
00:00:55Ah, merde, merde.
00:00:57Toi, tu t'en sors bien.
00:01:00Il paraît qu'il marque à la fin.
00:01:02Non, dans la cause, il faut les 2 plus débutés.
00:01:04Goal, goal, goal, goal.
00:01:06On s'en sort bien.
00:01:08Goal, goal, goal, goal, goal.
00:01:10Il va être déçu, notre prochain chroniqueur, on n'a pas changé son jingle parce qu'on
00:01:12l'adore.
00:01:13Rébondez, Benet.
00:01:14J'aurais aimé prendre Maradona, mais il est mort.
00:01:17C'est comme ça.
00:01:18On ne peut pas faire mieux.
00:01:19Non, non, c'est extraordinaire.
00:01:21Libre de droit également, le jingle de Karine Galli, notre petite blonde.
00:01:26Bonsoir ma Karinette.
00:01:27Bonsoir mon cher mémé, je suis rassurée parce que moi, vous savez que j'aime bien
00:01:30qu'on ne change pas les habitudes.
00:01:31Oui, parfois on était un peu obligé de changer.
00:01:34Et mémé, j'en profite, je fais des petits coucous.
00:01:36Ah, à Gassin ?
00:01:37Aussi bien sûr à Gassin, d'ailleurs j'étais dans un hôtel, ils sont fans de l'équipe
00:01:41du soir, ils m'ont dit on a changé de générique, on est perturbés, mais surtout j'embrasse
00:01:44Deren, Corinne, Emilie, Linn et toute la team Alpha.
00:01:49Ok, c'était l'équipe de basket, le sac majeur.
00:01:51Ok, très bien.
00:01:52Et libre de droit, le jingle du Fenech de l'équipe du soir d'Amixem et Lid, bonsoir.
00:01:57Bonsoir, moi j'en profite, ma dédicace habituelle, amie de la brigade des brochettes à Montreuil.
00:02:01D'accord, toujours la même quoi.
00:02:03Préparez les gars.
00:02:04C'est délicieux.
00:02:05Très très bon.
00:02:06Et Virginie est dans la place, bonsoir ma chère Virginie.
00:02:09Bonsoir mémé.
00:02:10Ah, je crois qu'elle demande son jingle, oui.
00:02:12On a un petit jingle pour Virginie, voilà, qui fait des vocalises en rédaction, donc
00:02:17voilà.
00:02:18C'est un matiné de zouk love et tout ça, avec une grande sobriété, la façon dont
00:02:23on t'invite son jingle.
00:02:24Au boulot Virginie, puisque Monaco est en finale de l'Euroleague, c'était quand même
00:02:27un événement, ça faisait 32 ans que ce n'était pas arrivé, ils ont disposé de l'Olympiakos,
00:02:31deux anciens clubs de Roland d'ailleurs, l'Olympiakos et Monaco, mais là on parle
00:02:35de basket.
00:02:36À chaque fois on nous ramène au foot, basket c'est parti, Virginie expliquez-nous ce qui
00:02:40est arrivé.
00:02:41Aucun club du championnat de France n'a réussi à faire ce que Monaco a fait ce soir depuis
00:02:45Limoges en 93.
00:02:46Fin de match monstrueuse, une passe aveugle de Mike James pour offrir un panier à Jaïté
00:02:51et leur donner 12 points d'avance au Monégasque en fin de quatrième quartant, ça sentait
00:02:55déjà très bon.
00:02:56Et puis interception décisive d'Eli Okobo qui surprend Evan Fournier, derrière il offre
00:03:01le dunk à Diallo dans la toute dernière minute.
00:03:04Victoire par 10 points d'écart de la Roca Team, 78 à 68.
00:03:09Il nous attend à son domicile, en tout cas je le suppose, c'est Erwann Abotret, bonsoir
00:03:15mon cher Erwann.
00:03:16Salut mémé, salut à tous.
00:03:18Erwann, un club français en finale de l'Euroleague, on se passe, est-ce que vous êtes ému, est-ce
00:03:24qu'il y a quelque chose, une chimie chez vous qui opère ou pas du tout Erwann ? Je
00:03:29lance ma question un peu affective.
00:03:31Mais on est complètement dans l'affection, on est complètement dans l'émotion.
00:03:35L'Euroleague, quand on est fan de basket, on suit ça chaque année, il y a eu des heures
00:03:40tellement compliquées depuis Limoges en 93 qui est le dernier champion d'Europe comme
00:03:44vous avez dit.
00:03:45Il y avait eu Lasvel qui avait fait un Final Four en 97 mais qui n'avait pas vraiment
00:03:49pu exister.
00:03:50Et depuis, on regarde les clubs français galérer, ramer un petit peu pour accéder
00:03:55à ce Final Four, ce n'était pas arrivé depuis Monaco en 2022 qu'ils l'avaient déjà
00:03:59fait.
00:04:00Et puis là, c'est plus qu'une demi-finale, c'est carrément une finale, ils ont battu
00:04:03l'Olympiakos, leader de la saison régulière, ils ont tapé aussi le MVP de la saison régulière
00:04:08Vesinkov.
00:04:09Ils ont fait un vrai grand match de basket qui restera dans l'histoire même si on espère
00:04:14que dès dimanche, ce sera un autre match historique.
00:04:16Justement, sur le contenu de ce match, Monaco s'impose, je crois qu'ils ont télémonné
00:04:20à un moment au deuxième quart temps, mais vraiment, c'est de la façon tranquille dont
00:04:24ils se sont imposés face à la tête de Cyril Dumenet.
00:04:27C'est ça qui est surprenant ce soir, non ?
00:04:29Oui, surprenant un peu et surtout très rassurant par rapport à la suite.
00:04:34On se souvient qu'il y a deux ans, face à cette même équipe de l'Olympiakos, ils font
00:04:37la même bonne première mi-temps, ils explosent complètement en deuxième mi-temps.
00:04:42Ils n'avaient marqué que trois points dans le deuxième quart temps.
00:04:44Là, on a senti que l'expérience de cette équipe, depuis quatre ans, de jouer le très
00:04:48haut de l'Euroleague avec un Final Four déjà dans les bagages, on a senti une équipe qui
00:04:52était prête.
00:04:53On a vu des leaders qui étaient prêts.
00:04:55Mike James a été magnifique de leadership par le scoring, par la passe.
00:04:59On a vu Alpha Dialo marquer 22 points et puis surtout, on a vu une œuvre collective défensive
00:05:04impressionnante pour museler la plupart des joueurs de l'Olympiakos, à part Evan Fournier
00:05:10qui a sorti un match monumental.
00:05:12Erwan, on va être en contact avec le président du fan club du joueur américain James Sarden.
00:05:19Bonsoir David Gélit.
00:05:20Bonsoir à tous.
00:05:21Je sais que le basket vous passionne.
00:05:22Vous êtes plus, on va dire, vous suivez plus l'NBA que l'Olympiakos ou non ?
00:05:25Ou vous avez un petit œil sur l'entrepreneuriat d'Europe ?
00:05:28Globalement, je suis tout, c'est vrai, mais beaucoup plus évidemment James Sarden et
00:05:31l'NBA.
00:05:32C'est vrai que ces dernières années, j'ai vu la montée en puissance de cette équipe
00:05:35de Monaco.
00:05:36Je ne suis pas quelqu'un qui regarde tous les matchs, mais j'ai regardé les matchs
00:05:39et notamment celui dont Erwan parlait avec l'effondrement à Kaonas où ils prennent
00:05:45un 27-2 au troisième quartant qui a été un traumatisme énorme.
00:05:48Et au final, on voit que ce soir, ça aurait pu être des démons pour eux et tout, mais
00:05:54j'ai été subjugué par leur maîtrise du match.
00:05:57Pour résumer, j'avais l'impression que c'était Evan Fournier contre Monaco, quoi,
00:06:01en quelque sorte.
00:06:02Parce qu'Evan Fournier, le français qui joue du côté de l'Olympiakos, a été énorme.
00:06:06Mais en même temps, s'il me permet, ils se donnent les moyens parce que quand on regarde
00:06:10leur espoir, c'est vrai qu'Erwan parle de Mike James, mais ils vont quand même chercher
00:06:13des joueurs qui ont des vécues en NBA, Daniel Tate par exemple, je le regardais quand je
00:06:18regardais la nuit, je le voyais avec Boston, c'est un intérieur, ce n'est pas un joueur
00:06:22moyen.
00:06:23Donc oui, ça fait plaisir et puis la qualité, la qualité du jeu, moi qui regardais plus
00:06:31le basket américain, moins l'EuroLeague, quand tu regardes l'EuroLeague, tu ne t'ennuies
00:06:35pas parce que ça joue bien.
00:06:37Erwan, le français Evan Fournier, qui joue à l'Olympiakos, est sorti en terrain, c'est
00:06:43l'une des images fortes, en larmes.
00:06:44Vous, vous le connaissez bien, Evan Fournier, il se dit quoi, Evan, que jamais il ne gagnera
00:06:50l'EuroLeague ? Là, il va avoir 32 ans, le train est passé ?
00:06:53Non.
00:06:54Je ne pense pas que le train soit passé, dès l'année prochaine, je pense qu'il aura
00:06:58une nouvelle chance avec cette équipe de l'Olympiakos de gagner l'EuroLeague parce
00:07:02qu'il est, de toute façon, l'Olympiakos, chaque année, fait partie des favoris, même
00:07:05si ça fait un petit moment qu'ils n'ont pas gagné.
00:07:06Evan, il a dit, cette semaine, dans une belle interview de Yann Honona dans l'équipe,
00:07:11il court après son premier titre, il a fait de grandes choses au NBA, mais il n'a rien
00:07:14gagné avec l'équipe de France, il est deux fois vice-champion olympique, mais ce n'est
00:07:17pas un titre, il n'est toujours pas aussi champion d'Europe, on espère que ce sera
00:07:20le cas sur la fin de l'été avec l'équipe de France, donc Evan Fournier, il court après
00:07:25un premier titre majeur dans sa carrière, ce ne sera pas pour cette année, donc on
00:07:28comprend toute sa frustration, il était ravi de signer à l'Olympiakos, de retrouver
00:07:33l'Europe dans cette ferveur grecque, on imagine que la déception va être monumentale
00:07:37pour quelqu'un qui est un gagneur, et on l'a vu encore dans la réaction d'Orgeuil,
00:07:42c'était l'un des seuls à essayer de sonner un petit peu la révolte côté grec.
00:07:45Bon, ce n'est pas la soirée du basket grec, puisqu'après l'Olympiakos, enfin, auparavant,
00:07:49le Panathinaikos avait été éliminé par Fenerbahce, donc en finale, dimanche, c'est
00:07:55Monaco contre Fenerbahce, on regarde quelques images, vous me dites quoi, qui est le favori
00:08:01ou voilà, qui est le favori, c'est Fenerbahce ou c'est Monaco pour vous ?
00:08:06Alors, Monaco a tapé deux fois le Fener cette année, une fois chez eux de 30 points,
00:08:12je ne suis pas sûr qu'on puisse prendre ce match trop en référence parce que c'était
00:08:15un non-match complet, et ils ont battu chez eux à domicile de 10 points, donc il y a
00:08:19certainement un avantage psychologique, maintenant pour moi, ça va être très ouvert, de toute
00:08:23façon, cette équipe de Monaco, pour moi, elle a fait une demi-finale d'un futur champion,
00:08:27elle a montré qu'elle avait les reins solides, qu'elle avait une profondeur de banque,
00:08:31qu'elle était parfaitement coachée par Spannoulis, qui est un coach qui a gagné
00:08:34cette Euroleague en tant que joueur, qui est arrivé en cours d'année et qui a remis
00:08:38beaucoup de passing game, on se passe beaucoup plus la balle côté Monaco, ça va être
00:08:42très ouvert en face, une équipe aussi très solide, très dure, qui met beaucoup de moyens,
00:08:46mais honnêtement, j'ai envie de dire que c'est du 50-50, et comme on est français,
00:08:49on va dire 49-51 pour Monaco.
00:08:51Ok, merci beaucoup, Erwann Abotra, qui était en direct de son domicile, qui est en lévitation,
00:08:56qui a mis une petite option sur la victoire de Monaco, en tout cas en plateau, on est
00:09:00tous fans de Monaco, merci Erwann, très bonne soirée.
00:09:02Juste un petit mot sur les dates, là, parce que là, il y a des choses, les planètes
00:09:07commencent à s'opérer, on est en 93, on est le 15 avril, le CSP Limoges gagne l'Euroleague,
00:09:1341 jours plus tard, l'OM gagne la Ligue des champions, jamais depuis, ni en basket, ni
00:09:18en football, un club français n'a gagné, est-ce que vous croyez à ce genre de message,
00:09:25d'augure ? Il y a Munich en plus ! Et en plus, il y a Munich, et en plus, ce n'est
00:09:30pas Milan, mais c'est l'Inter, c'est juste pour faire parler ? Si c'est validé,
00:09:36on dira que ça s'est vérifié, mais là, au moment où on est, il ne faudra pas faire
00:09:40de défaite non plus.
00:09:41Vous croyez souvent des supporters à tout ça ? Il y a une sorte de fausse croyance
00:09:46ou alors c'est juste histoire de raconter des choses ? Evidemment, ce ne sont pas des
00:09:50choses qui sont rationnelles.
00:09:51Il faudra raconter des histoires, tu as les deux clubs de Milan, tu as les deux français
00:09:57qui se détestent, le PSG et le Marseille, et tu as Munich, même si ce n'est pas les
00:10:00mêmes stades, tout le monde avait projeté ça dès les demi-finales en fait, mais bon
00:10:04après vous avez les mêmes qui vous expliquent que quand l'Argentine est championne du monde,
00:10:08il y a je ne sais pas qui qui gagne l'Eurovision, enfin vous pouvez toujours trouver quelque
00:10:11chose.
00:10:12L'Eurovision, ce n'est jamais la France.
00:10:13Non, mais quand l'Argentine gagne la coupe du monde, l'histoire du pape aussi, tu trouves
00:10:19toujours quelque chose.
00:10:20Qu'est-ce que c'est que l'histoire du pape ? Ça m'a échappé ça.
00:10:22La dernière fois qu'un pape a été intronisé, il y a eu un truc là.
00:10:28Il y a eu un truc, il s'est passé un truc.
00:10:30Mais par contre, qui est au MV Troll en 2020 ?
00:10:33Non, mais peut-être c'est moi.
00:10:34Non, il n'y a pas.
00:10:35Demandez à Roland.
00:10:36Demandez à Jackson Richardson.
00:10:37Pourquoi ? Parce que Roland, il est plus dans la superstition.
00:10:39Roland, vous êtes superstitieux, est-ce que parfois ça arrive comme ça dans vos causeries
00:10:43qu'il y ait des choses ou alors vous y pensez intérieurement ?
00:10:46Ça me paraît être une évidence, mais ce n'est pas pour autant que tu devines toujours
00:10:51les choses.
00:10:52Mais c'est vrai qu'il y a des concours de circonstances, des coïncidences qui font
00:10:56que tu es obligé, quand tu es supporter, de te rassurer avec justement des petits détails
00:11:02qui te réconfortent.
00:11:03Mais après, quand on voit à quoi tient un match et quand on voit comment Paris Saint-Germain
00:11:10s'est qualifié contre Aston Villa et contre Liverpool, tu peux faire tous les calculs
00:11:14d'après dans tous les détails que tu veux.
00:11:16Quelques archives à présent, la une de l'équipe, vous vous souvenez, les jours de gloire avec
00:11:20la tête de Basile Boli, c'était la une de l'équipe, on peut vous la remontrer.
00:11:24On était le 27 mai 1993, donc au lendemain de cette victoire encore historique et à
00:11:30jamais historique.
00:11:31Et puis, si on remonte la machine, 41 jours avant, le CSP est titré, c'est quoi le titre ?
00:11:38Faut tout.
00:11:39Le jour de gloire.
00:11:40Le jour de gloire.
00:11:41Il y a deux jours de gloire.
00:11:42Donc voilà.
00:11:43On verra si le titre de l'équipe, lundi, ce sera le jour de gloire.
00:11:47Vous êtes en train de dire qu'ils n'étaient pas très inspirés à l'époque.
00:11:50Ah non, pas du tout.
00:11:52Non, non.
00:11:53Il n'y avait aucune malice de ma part.
00:11:56Mais à noter que la typographie n'est pas exactement la même, c'est peut-être un signe.
00:12:00Donc il faudra, si une des deux équipes gagne, celle qui joue en premier, il faudra faire
00:12:04deux typographies différentes pour qu'elles puissent coller exactement à ce qu'on vient de dire.
00:12:10La technique du journal vous écoute, mon cher Nabil.
00:12:13Je suis plutôt un moquettiste qu'un maquettiste.
00:12:16Oui, bravo.
00:12:17Virginie, il y avait un duel à distance ce soir en CRL.
00:12:21Dernier mot pour le Napoli qui a remporté le championnat.
00:12:24Vous faites un petit plaisir.
00:12:26On passe d'un stade à un autre.
00:12:28Le match de l'Inter, le match du Napoli et puis la consécration du Napoli.
00:12:31On vous écoute.
00:12:32Allez-y pour le show.
00:12:33On va se mettre en condition.
00:12:34On va revivre le scénario de la soirée.
00:12:36Naples est premier de série A devant l'Inter avant le coup d'envoi.
00:12:38Mais n'a qu'un point d'avance.
00:12:39Tout se joue sur cette double confrontation.
00:12:41L'ambiance est magnifique.
00:12:42C'est parti.
00:12:43Première action à la dixième.
00:12:44C'est Spinazzola pour Guilmour et Politano reprend.
00:12:48Ça part au-dessus, mais les hostilités sont lancées.
00:12:52Petite musique dix minutes plus tard.
00:12:54Ça s'active à com' avec un corner et l'ouverture du score de Vrij à la vingtième.
00:12:58Un nouveau but sur coup de pied arrêté pour les Milanais qui repasse.
00:13:02Regardez devant au classement à ce moment-là.
00:13:04Ils sont virtuellement champions, mais il reste encore beaucoup de temps.
00:13:07Rien n'est fait ni d'un côté ni de l'autre.
00:13:10D'autant qu'en parallèle, Naples continue de pousser.
00:13:12Ça part côté droit avec Politano qui trouve Spinazzola.
00:13:15Une tentative, deux tentatives.
00:13:17Ça chauffe sur les buts Cagliari, mais ça ne rentre toujours pas.
00:13:20Ça retente trois minutes plus tard.
00:13:22Politano encore à la baguette.
00:13:23Il trouve McTominay qui lâche un magnifique ciseau.
00:13:26Rien que ça.
00:13:27Il a mis tout le public napolitain en folie.
00:13:29On est à la 42ème.
00:13:31Incroyable bijou qui redonne l'avantage à Naples dans cette course parallèle.
00:13:37Regardez ça.
00:13:43On retourne à Côte d'Azur avec une faute grotesque de Pepe Reina.
00:13:48Il loupe totalement sa sortie en voulant tacler Taremi.
00:13:51L'arbitre est tout de suite appelé par la VAR pour revoir les images.
00:13:55Au bout de quelques secondes, sa décision est prise.
00:13:57Le gardien espagnol termine sa carrière sur un carton rouge.
00:14:02C'était son dernier match ce soir.
00:14:04Il sort évidemment sous un tonnerre d'applaudissements acclamés par tout son public.
00:14:09Mais on repart à Naples.
00:14:10Pas le temps de respirer.
00:14:11Ça frappe fort dès le retour des vestiaires.
00:14:13Avec un très long dégagement de Ramani pour Lukaku.
00:14:17Le belge se projette vite et il va tout seul.
00:14:20Il résiste à Adopo avant de tromper Chéry et d'embraser le stade d'Eguardo Maradona.
00:14:25Petit mot sympa au passage.
00:14:27Tendez l'oreille, c'est tout en délicatesse.
00:14:30Voilà, c'est le feu autour du stade.
00:14:35Littéralement au sens propre du terme.
00:14:37Des dizaines de feux d'artifice explosent dans tous les sens.
00:14:40On revoit le magnifique numéro de Romelu Lukaku.
00:14:44Et dans la même minute à Côme, mais vraiment instantanément,
00:14:47Tarimi trouve Correa dans la surface.
00:14:49Il feinte la frappe du gauche pour s'emmener le ballon sur son pied droit avant d'ouvrir.
00:14:53Le break est fait.
00:14:54Ça fait 2-0 sur les deux pelouses.
00:14:56Et c'est donc le Napoli d'Antonio Conte qui termine champion de Serie A cette saison.
00:15:00Le quatrième titre de son histoire.
00:15:0287-90 évidemment sous Maradona.
00:15:06Et puis 2023 et donc 2025.
00:15:09Quand même, de remporter le championnat lors de la dernière journée,
00:15:13c'est quand même un scénario extraordinaire.
00:15:16C'est exceptionnel.
00:15:18Et de voir qu'entre le premier et le second il n'y a qu'un point, c'est bien aussi.
00:15:22Inter était parti pour faire le triplé.
00:15:24Et puis finalement, ils n'auront peut-être rien.
00:15:26Naples est dans une situation où c'est attendu.
00:15:29Ils jouent chez eux. Il suffit qu'ils gagnent.
00:15:31Ça dépend d'eux.
00:15:32L'intensité n'était pas la même chose.
00:15:34Ça avait été inversé peut-être avec le match à l'extérieur.
00:15:37La pression aurait été différente.
00:15:39Là, c'était logique.
00:15:40On ne peut pas imaginer que Naples, en ayant fait cette saison,
00:15:45allait perdre le dernier match contre Cagliari.
00:15:48Roland, c'est ce que vous nous disiez.
00:15:50C'est qu'Inter a laissé passer sa balle de match les deux week-ends.
00:15:53Oui, d'accord.
00:15:55Je maintiens aussi ma vision des choses.
00:15:58On parlait, on faisait les comparaisons, les petits détails de ce qui se passait en 1993.
00:16:03Mais bon, en 1993, il fallait être champion pour jouer la Champions League.
00:16:06Là, ce n'est pas la catastrophe.
00:16:08Ils ne vont pas se suicider du côté de l'Inter.
00:16:10Ils vont jouer la Champions League la saison prochaine.
00:16:12On est dans une époque où le quatrième du pays peut gagner la Champions League.
00:16:16Donc maintenant, ils se préparent pour la finale.
00:16:20Le gros problème pour eux, ce n'est pas d'avoir terminé second à un point de Naples.
00:16:25C'est d'essayer de récupérer l'Ottawo Martinez.
00:16:28Il n'a pas joué ce soir.
00:16:29Pour faire la meilleure équipe possible.
00:16:32Et avoir, eux aussi, leur chance de pouvoir gagner cette Champions League.
00:16:36Ils ont perdu le titre.
00:16:37Quand on voit les images à Côme, ils sont abattus quand même.
00:16:42Ils ne sont pas sortis sereins, tranquilles.
00:16:44En disant que ce n'est pas grave, on n'est que deuxième.
00:16:46Surtout qu'ils ont eu le lead toute la saison.
00:16:48Ils ont pris un coup de vieux.
00:16:50Il y aura un truc à digérer.
00:16:52Ah oui, il y aura un truc à digérer, complètement.
00:16:54Donc, c'était un petit truc pour Paris.
00:16:56Ils doivent ressasser, même pas ce match-là.
00:16:58Parce qu'ils savaient que ça ne dépendait pas d'eux.
00:17:00Mais le match précédent, où ils auraient dû gagner.
00:17:02Ils ont eu huit jours pour les relever.
00:17:05Perdre le Scudetto, c'est terrible pour eux.
00:17:08Parce que c'est une armada.
00:17:10Et là, Nappes, je suis désolé, je les ai un peu suivis.
00:17:13Leur effectif est moyen.
00:17:15Ils ont perdu aussi.
00:17:17Mais c'est la surprise.
00:17:19La Juve est derrière, le Milan assez cool.
00:17:21La Talenta est troisième.
00:17:23C'est compliqué pour eux.
00:17:25Ils avaient un effectif très moyen.
00:17:27Et puis, ça marque toute une vie.
00:17:29J'ai entendu qu'il y avait 53 écrans géants dans Nappes.
00:17:34Ils attendaient entre 500 000 et 1 million de personnes.
00:17:38Il faut arrêter de banaliser les titres de champions.
00:17:42Au moins dans certains pays.
00:17:44En France, on peut toujours discuter.
00:17:46Vu la différence de budget.
00:17:48Mais là, c'est un coup de trafalgar.
00:17:50C'est exceptionnel.
00:17:52T'as beaucoup de joueurs, je suis désolé.
00:17:54Moi, j'en connaissais deux ou trois, pas plus.
00:17:56Je ne dis pas que ce sont des smicards.
00:17:58Mais pratiquement.
00:18:00T'as l'Okaku.
00:18:02Tu ne les connais pas.
00:18:04Les arrière-latéraux, les centraux.
00:18:07Je ne te parle pas professionnel.
00:18:09Mais même, on dit ça.
00:18:11Personne ne veut entendre.
00:18:13Je rigole ou bien ?
00:18:15Il va jouer à Liverpool.
00:18:17Il va jouer au Barça.
00:18:19Je crois que tu le souhaites.
00:18:21Ils perdent le Barça au mois de janvier.
00:18:23Ils ont quand même su profiter d'une année
00:18:26où le mardi, mercredi et jeudi,
00:18:28tu es devant la télé,
00:18:30en train de regarder les rivaux.
00:18:32Bravo Nappe qui a su profiter de cette situation.
00:18:36Je les félicite.
00:18:38Mais je pense que c'est l'Inter
00:18:40qui, à un moment, avec des blessures,
00:18:42a gâché sa fin de championnat.
00:18:44La fête va continuer.
00:18:46La Gazzetta Neosport annonce une parade géante
00:18:49lundi prochain.
00:18:51Le budget alloué par la mairie de Naples,
00:18:54950 000 euros.
00:18:56Une très belle fête qui va être organisée
00:18:58dans quelques minutes.
00:19:00Suite de l'équipe du soir,
00:19:02avec Paris Reims notamment.
00:19:05Dans 8 jours,
00:19:07parce qu'on n'a pas passé les 12 coups de minuit,
00:19:10ça sera la finale avec des champions PSG-Inter.
00:19:13Depuis sa qualification contre le Barça,
00:19:16l'Inter doit batailler ce championnat
00:19:19pour tenter en vain de rattraper le Napoli
00:19:22qui a été sacré.
00:19:24En face, Paris est champion depuis un bon moment.
00:19:27Louis-Cédric Ayé a géré la fatigue psychologique
00:19:30qui compte pour lui.
00:19:33Qu'est-ce qu'il se passe ?
00:19:35Je me levais tôt le matin pour rouler.
00:19:38Le plus bel exemple, c'est la semaine dernière
00:19:41où Cédric Ayé a accordé une semaine de repos
00:19:44à 7 cadres du vestiaire.
00:19:46Plus les autres membres ont eu 3 jours de repos.
00:19:49Paris a-t-il un avantage sur l'Inter ?
00:19:52On lui a posé la question.
00:19:54Cédric Ayé a fait un bon travail.
00:19:56C'est un bon travail.
00:19:58C'est un bon travail.
00:20:00C'est un bon travail.
00:20:02C'est un bon travail.
00:20:04Louis-Cédric Ayé a répondu.
00:20:06Écoutez-le.
00:20:30Et dont Louis-Henriquet à sortir de cette ornière grâce au chroniqueur de l'été du soir.
00:20:37Paris devrait être plus frais que l'Inter, on part de cette hypothèse-là.
00:20:41Est-ce que c'est un avantage important ?
00:20:44Roland-Courbis, vous me dites que ce n'est pas un avantage important, c'est très important.
00:20:48Oui, parce que je pense que les joueurs du PSG sont déjà beaucoup plus jeunes.
00:20:56Quand on les voit avec la gestion qu'il y a eu de se partager le boulot et pas toujours les 11 mêmes qui ont joué,
00:21:05et c'est un changement de notre époque, il a su s'en servir.
00:21:08Et quand je les vois cavaler comme des lapins, je me dis qu'en plus de ça, il y a une récupération.
00:21:15Parce qu'il y a aussi un match qui est un match important, ce n'est pas un match comme le final de la Coupe de France.
00:21:22Ça reste un événement, mais pas un événement aussi important qu'une Champions League.
00:21:27Donc je regarde ça avec beaucoup d'attention.
00:21:30Mais je pense que si on est à la place de Luis Henrique, l'inquiétude c'est là où il y a les blessures.
00:21:37Donc le fait après d'avoir laissé du repos, ça dépend d'un joueur, ça dépendra pendant ce repos.
00:21:44Il y en a qui s'entraîneront individuellement, il y en a qui ne feront rien parce qu'ils ont peut-être fait beaucoup plus que d'autres.
00:21:51Donc c'est pratiquement impossible de pouvoir répondre.
00:21:54C'est très important quand même, vous nous avez dit.
00:21:58Oui, très important.
00:22:00Vous, Raymond, vous étiez perdu. Vous étiez un peu paumé.
00:22:04C'est comme Luis Henrique, on ne sait pas.
00:22:06Ce ne sont pas les effets que ça va faire.
00:22:08Quand on voit l'Inter à jouer aujourd'hui, finalement ils auront deux jours de plus de récupération que le PSG sur le match.
00:22:19Parce que le PSG va jouer demain.
00:22:21Demain, il y a 24 heures de différence.
00:22:23Ils ont sur une semaine, si les matchs se répétaient tous les trois jours.
00:22:27Oui, mais Raymond, le match de l'Inter, c'est un match où pratiquement on sait que Naples, sauf s'il ne gagne pas contre Cagliari, c'est terminé.
00:22:39Alors que demain, il y a 24 heures de différence, ok.
00:22:43Mais c'est surtout quand même, même si c'est contre une équipe très moyenne de Reims, ça reste une finale de coupe.
00:22:50Et la finale de coupe, je ne vais pas te la prendre, c'est un événement extraordinaire pour un joueur de football.
00:22:56C'est peut-être un événement extraordinaire quand il y a deux équipes qui sont à peu près équilibrées.
00:23:00Mais là, je ne pense pas que ça va être...
00:23:03Il y a un match à faire.
00:23:05Paris va faire un match.
00:23:07Ce n'est pas un match pour moi qui sera plus intensif que les autres matchs de championnat qu'ils ont fait.
00:23:13Ces derniers temps.
00:23:15Est-ce que le fait de jouer ce match-là...
00:23:18Oui, c'est une finale, il y a la pression, il y a le président de la République.
00:23:21Non, il ne viendra pas pour serrer les mains.
00:23:23Oui, je ne pense pas.
00:23:25Mais il y a une forme de pression.
00:23:27Mais il n'y aura pas d'effort particulier.
00:23:31Ça ne sera pas une intensité extrême qui fait qu'ils vont être lessivés après cette finale.
00:23:38Et les deux auront une semaine entière.
00:23:41Moi, dans ces cas-là, je préfère la situation où les joueurs jouent tous les matchs-là.
00:23:50L'Inter a fait tourner.
00:23:53Ça fait qu'il y a des joueurs qui ont joué il y a quatre jours, cinq jours, le dernier match de championnat,
00:23:58qui ne vont pas rejouer avant la semaine prochaine.
00:24:01Et là, ça ne me gêne plus.
00:24:03Je préfère ce qu'était Enrique.
00:24:05Une semaine, semaine, semaine.
00:24:07Et une semaine, c'était l'équipe qui jouait.
00:24:09Il n'a pas fait changer.
00:24:11C'est eux qui ont joué.
00:24:13On fait des changements dans le match.
00:24:15Mais c'est l'équipe, c'est la structure qui commence.
00:24:17Non, mais moi, ce que je vois surtout, c'est que tu as l'Inter.
00:24:20Après les deux matchs, les deux demi-finales devant le Barça, ils ont eu des blessés.
00:24:24Tu as des mecs comme Pavard, Lotharo, Martinez, on ne sait pas.
00:24:27Ils sont morts.
00:24:28Ils arrivent fatigués.
00:24:29Je suis désolé.
00:24:30Le Paris-Saint-Germain, c'est du billard.
00:24:32C'est du bibi pour moi.
00:24:33Pas pour gagner, mais pour arriver avec la fin.
00:24:36Lotharo, il était blessé au deuxième match.
00:24:38Oui, mais il est revenu.
00:24:39Pavard aussi, il était à son retour.
00:24:41Il a marqué un but et il a fait marquer l'autre.
00:24:43La fin du championnat de Paris-Saint-Germain, ce n'est pas du tout la même que la fin du championnat de l'Inter.
00:24:48Le Paris-Saint-Germain, ça fait trois mois qu'ils sont un champion.
00:24:52Et les derniers matchs, ça a été des matchs amicaux pour le Paris-Saint-Germain.
00:25:01Et pour moi, le souci du Paris-Saint-Germain, le souci numéro un, et je touche du bois pour ne pas lui porter la scoumouche,
00:25:07c'est que Dembélé ne se blesse pas.
00:25:09Moi, pour revenir sur Lotharo, il a dit je ne veux pas passer d'examen, sinon on me met, je ne joue pas.
00:25:15Donc, il voulait y être un bandage à l'ancienne.
00:25:18Parce que ça arrivait, à notre époque, on ne passait pas de radio alors que tu savais que tu avais une fracture.
00:25:23C'est un truc de dingue.
00:25:24Aujourd'hui, ça n'existerait pas.
00:25:26Fracture, fracture.
00:25:27Trait de fracture, pas un truc où vous avez la jambe.
00:25:29J'ai joué un huitième avec une fracture de côte, j'en étais sûr.
00:25:33Non, non, mais je n'ai rien fait.
00:25:35Bandage, infiltration.
00:25:37Mais je n'ai jamais passé une radio.
00:25:39Je l'ai passée après, j'avais une fracture.
00:25:40Je n'ai pas à graver pendant le match puisque je n'ai rien fait.
00:25:43Mais tout ça pour te dire que c'était comme ça à l'époque.
00:25:46Aujourd'hui, ce qui est incroyable, à l'Inter, ce match était tellement important que même le corps médical a dit on ne fait rien.
00:25:53On lui fait confiance.
00:25:55Tu imagines le poids du joueur.
00:25:56Après, il fait le pénalty, il marque un but.
00:25:58Mais pour revenir, cette équipe est quand même fatiguée.
00:26:00Il y a beaucoup d'interrogations.
00:26:01Et la jeunesse du PSG plaide pour elle.
00:26:03Moi, après, ça sera une finale.
00:26:05L'Inter, c'est l'Inter.
00:26:06Virginie, à propos de la Ligue des champions, il y a des petites choses à annoncer à nos téléspectateurs sur la chaîne d'équipe.
00:26:10Demain, événement.
00:26:12La finale de la Ligue des champions féminine entre Barcelone, vainqueur des deux précédentes éditions, et Arsenal qui a renversé l'Olympique lyonnais dans une demi-finale complètement folle.
00:26:22Très belle affiche à suivre chez nous dès 17h45.
00:26:25Ça va se passer à Lisbonne, dans ce stade, le stade José Alvalade.
00:26:29Avec, côté catalan, la double ballon d'or en titre.
00:26:33Aïtana Bonmati, qui refuse le statut de favori.
00:26:37On l'écoute.
00:26:43D'un côté, je pense que c'est normal que l'on nous colle l'étiquette de favorite.
00:26:47Mais nous savons l'importance du match de demain.
00:26:49On sait que c'est une finale contre un nouvel adversaire qui ne va pas être facile et qui est loin d'être acquise.
00:26:54On se doit de la jouer comme il faut.
00:26:56Mais les deux équipes peuvent gagner.
00:27:00Et c'est demain, c'est chez nous.
00:27:01Finale Ligue des champions féminine entre Arsenal et le Barça.
00:27:07Virginie, événement ce soir.
00:27:09Historique Monaco disputera la finale de l'Euroleague.
00:27:11Un succès contre l'Olympiakos, 78 à 68.
00:27:15Oui, il se qualifie pour la finale.
00:27:17Ce qu'aucun club du championnat de France n'a réussi à faire depuis Limoges en 1993.
00:27:22Fin de match monstrueuse des Monegasques.
00:27:24La passe aveugle de Mike James pour offrir un panneau à JT et leur donner 12 points d'avance en fin de quatrième quartant.
00:27:30Ça sentait déjà très bon.
00:27:32Et puis l'interception décisive d'Eli Okobo qui surprend Evan Fournier.
00:27:36Derrière, il offre le dunk à Diallo dans la toute dernière minute.
00:27:39Victoire par 10 points d'écart de la Roca Team, 78 à 68.
00:27:44Et Monaco affrontera dimanche en finale les Turcs de Federbahce.
00:27:47Les Turcs ont éliminé les champions en titre, le Palatinaikos.
00:27:50Le score, vous l'annoncez.
00:27:52Oui, les champions en titre éliminés.
00:27:54On est tout le match d'ailleurs par des Turcs qui ont mitraillé avant de fermer le rideau.
00:27:58Matt Coulomb les met à plus 7 sur ce tir à 3 points.
00:28:01Il reste 1 minute 37 de jeu.
00:28:04Et puis Biberovic va les mettre à plus 10 à 30 secondes du buzzer.
00:28:07Score final, 82-76 d'Evan Hall.
00:28:11Termine meilleur marqueur de la rencontre avec 18 points.
00:28:13Pas de deuxième challenge européen pour Lyon.
00:28:16Le loup battu, mangé en finale par les Anglais de Baraff.
00:28:19La marche était beaucoup trop haute.
00:28:21Le loup a été surclassé tout simplement.
00:28:23Ils n'ont été devant qu'en tout début de match, les Lyonnais.
00:28:25Et lorsqu'ils se sont retrouvés en supériorité numérique en fin de première période,
00:28:29ils n'ont pas su en profiter.
00:28:31Ils prennent totalement la marée en deuxième mi-temps.
00:28:34Le score est lourd, 37-12.
00:28:36Ils n'ont inscrit que 2 essais contre 4 pour les Anglais titrés.
00:28:39Eric, il y a eu un essai refusé à Lyon, un essai justifié.
00:28:43Et d'après vous, une faute d'arbitrage dont on va beaucoup parler.
00:28:46Oui, parce qu'il y a Ander Hill qui a fait un gros plaquage à vitesse quand même.
00:28:51Il s'est engagé sur l'arrière de Lyon.
00:28:54Et il y a eu carton jaune.
00:28:56Et pour moi, il y a un carton rouge.
00:28:58On verra demain les journaux.
00:28:59Je n'ai pas lu la presse, les commentaires.
00:29:01Mais c'était très violent.
00:29:02Ils se sont retrouvés à 13.
00:29:04Mais là, Lyon n'a pas su marquer dans les 10 minutes.
00:29:06Ils ont relâché des ballons proches des lignes.
00:29:09C'était arbitré par une femme d'ailleurs.
00:29:11Donc j'espère qu'elle ne sera pas non plus mise au pilori.
00:29:14Si beaucoup de gens pensent qu'elle aurait dû.
00:29:15Surtout qu'elle a très bien arbitré.
00:29:17Elle a fait appel à la vidéo.
00:29:18Après, Lyon a perdu dans les collisions.
00:29:20Ils ont été dans la densité athlétique, physique.
00:29:23Ils ont perdu des ballons.
00:29:25Ils n'étaient malheureusement pas invités.
00:29:27Ils étaient trop courts.
00:29:28Ils n'ont pas su marquer à 13 contre 15.
00:29:30Après, Bass, c'est le premier de l'équipe d'Angleterre.
00:29:32Il y a des internationaux.
00:29:34Ander Hill, c'est un fauve.
00:29:36Il a deux cendriers à la place des oreilles.
00:29:37Tu l'as vu ?
00:29:38Oui, j'ai arrêté de fumer.
00:29:40Mais en effet, j'ai marqué.
00:29:41Mais ça fait peur.
00:29:43Ils ont gagné logiquement.
00:29:45Autre match de rugby, c'est le quart de finale.
00:29:47Barrage de Pro D2 pour accéder en top 14
00:29:49entre Colombie et Montauban.
00:29:51Là, du suspense.
00:29:52Match renversant.
00:29:53Puisque les vainqueurs, Montauban,
00:29:55étaient menés 17 à 0
00:29:57après 17 minutes dans la partie.
00:30:00Ils se sont donc arrachés.
00:30:02C'est le cas de le dire.
00:30:03Pour rejoindre Brive en demi-finale,
00:30:05ils gagnent grâce au drop de leur demi-ouverture
00:30:07Thomas Fortunel à la 79ème.
00:30:10Victoire 26-23.
00:30:11En Italie, le Scudetto,
00:30:13le titre de champion d'Italie pour le Napoli.
00:30:15C'était l'une des ouvertures de l'équipe du soir.
00:30:17Et la joie, la célébration, forcément,
00:30:19des hommes d'Antonio Conte
00:30:21qui sont champions de Serie A ce soir.
00:30:23Ça démarre d'abord à Comme
00:30:25avec un corner et l'ouverture du score de Vrij.
00:30:27À la 20ème, un nouveau but sur coup de pied arrêté
00:30:29pour l'Inter
00:30:31qui repasse devant au classement à ce moment-là.
00:30:33Ils sont virtuellement champions.
00:30:35Il reste beaucoup de temps.
00:30:36Il n'y a un effet ni d'un côté ni de l'autre.
00:30:38D'autant qu'à la 42ème,
00:30:39Paulitano à la baguette.
00:30:41Trouve McTominay qui lâche un magnifique ciseau.
00:30:44Pas le temps de respirer à Naples.
00:30:46Après un long dégagement de Ramani pour Lukaku,
00:30:49le Belge se projette vite.
00:30:50Il y va tout seul.
00:30:51Dans la même minute, à Comme,
00:30:53Taremi trouve Correa dans la surface.
00:30:54Ça fait 2-0 sur les deux pelouses.
00:30:56Et c'est Naples qui est champion ce soir.
00:30:58Pour la quatrième fois de son histoire,
00:31:00Moussala a sa petite idée sur l'identité du futur ballon d'or.
00:31:02De qui s'agit-il ?
00:31:04Eh bien lui, tout simplement.
00:31:05Ah oui, d'accord.
00:31:06C'est ce qu'il a dit à Sky Sports.
00:31:08C'est l'attaquant de Liverpool,
00:31:09vainqueur de la Première Ligue cette saison,
00:31:11et qui a prolongé récemment.
00:31:12Écoutez.
00:31:17Je dirais que je n'ai jamais vécu de saison comme celle-ci
00:31:19en gagnant un trophée majeur.
00:31:21Je pense que c'est ma meilleure chance de l'avoir
00:31:22pendant que je suis au club,
00:31:23grâce à cette incroyable année et ce trophée.
00:31:27La campagne a déjà démarré.
00:31:29Il a raison.
00:31:30Il a raison, mais c'est le champion.
00:31:31Il fait une super saison en Première Ligue.
00:31:33Mais pour moi, il n'est pas totalement éliminé.
00:31:35Mais il y a l'image des deux matchs contre le PSG
00:31:36où il est complètement passé à colère.
00:31:38Si vous avez une finale 0-0,
00:31:40PSG-Inter, ça joue aux pénalties,
00:31:42personne ne surnage.
00:31:43Pourquoi il ne serait pas concerné
00:31:45par une possibilité de gagner le ballon d'or ?
00:31:47Parce que ce que lui fait en Première Ligue,
00:31:49c'est absolument stratosphérique.
00:31:51Il bat tous les records.
00:31:52Il repousse toutes les limites.
00:31:53Encore, Yamal va encore faire au moins deux matchs
00:31:55avec l'équipe d'Espagne.
00:31:57Donc, on va le voir.
00:31:58Le problème, c'est qu'il y a l'image
00:31:59de ces deux matchs face au PSG.
00:32:01Je ne dis pas qu'il est...
00:32:03Pour moi, c'est Yamal.
00:32:05Un moment, il pense...
00:32:06Un moment, c'est deux matchs.
00:32:08C'est deux matchs, mais c'est Yamal.
00:32:10C'est l'identité qui m'intéresse.
00:32:11Je vais quand même terminer.
00:32:13Je ne dis pas qu'il est favori.
00:32:14Il l'était pendant un moment.
00:32:16Il l'était très longtemps.
00:32:18Il l'était avant les deux rencontres face à Paris.
00:32:20Sauf ce que vous ne mesurez pas,
00:32:21c'est que lui, aujourd'hui,
00:32:22il est inscrit dans l'imaginaire de beaucoup de gens
00:32:24en Afrique, en Asie.
00:32:25Et la Première Ligue est beaucoup plus puissante
00:32:27que beaucoup d'autres championnats.
00:32:28Donc, je pense qu'il n'est pas totalement éliminé.
00:32:30Je ne dis pas qu'il va gagner le ballon d'or.
00:32:32Vous m'auriez dit il y a trois mois.
00:32:33Je vous aurais dit évidemment que c'est lui.
00:32:34Mais pour moi, il n'est pas éliminé.
00:32:36Les buts de Yamal sont passés dans le monde entier.
00:32:38Après, il y en a...
00:32:39Yamal, il s'est fait sortir par l'Inter.
00:32:41Il a surnagé dans ce match-là.
00:32:44Il y a quand même la Coupe du Monde des Clubs.
00:32:46Il est plutôt cinquième.
00:32:48Plutôt cinquième que premier.
00:32:50Non, je dis qu'il y a quand même la Coupe du Monde des Clubs
00:32:52qui peut se distribuer.
00:32:54Même si on dit que ça va être important.
00:32:56Ça va être regardé dans le monde entier.
00:32:58Et une chose sur cela, j'ai vu,
00:33:00à un but près parce que je ne sais pas,
00:33:01il est en concurrence avec Mbappé
00:33:03pour être soulié d'or européen.
00:33:05Mais il n'a pas marqué depuis longtemps.
00:33:07Moi, je pensais qu'il allait marquer.
00:33:08Mais dernièrement, sur les matchs que j'ai vus jouer d'Iverpool,
00:33:11il est neutre.
00:33:13Donc, il n'en profite pas.
00:33:15Il n'est pas suisse, il est égyptien.
00:33:16Je ne peux pas t'assumer ça.
00:33:17Je crois qu'il a fait...
00:33:18Après, peut-être je me tombe ou je ne me rappelle pas bien.
00:33:21Je crois qu'il a fait les six mois
00:33:23les plus élevés de sa carrière.
00:33:25C'est les six premiers mois de cette saison.
00:33:28Et dans la période où, justement,
00:33:31le Paris Saint-Germain a rencontré l'Iverpool,
00:33:33l'Iverpool, à l'image de ce joueur-là,
00:33:37était quand même, pour moi, nettement moins bon
00:33:39que l'Iverpool qui a été époustouflant.
00:33:42Premier aussi sur les 36...
00:33:45Le classement.
00:33:46Donc, cette équipe-là...
00:33:48On en reparlera.
00:33:49Après, on en reparlera,
00:33:50mais je pense que le président a eu le mot de la fin.
00:33:53C'est bien, mais...
00:33:54Ça l'a fait, quoi, en fait.
00:33:55Voilà.
00:33:56Final sur le Giro.
00:33:57Le mot de la fin pour Mats Pedersen.
00:33:59Quatrième victoire du Danois qui coiffe Romain Bardet
00:34:02sur le poteau.
00:34:03C'est le Français qui avait lancé l'attaque
00:34:05sur cette treizième étape à 9 km.
00:34:07Finalement rattrapé par le peloton à 500 m de l'arrivée.
00:34:11La dernière pente lui a été fatale.
00:34:12Et c'est le moment que Pedersen a choisi
00:34:14pour accélérer son coup de pédale en duel avec Van Aert.
00:34:17Il a eu le dernier mot en s'imposant devant le Belge
00:34:19et le maillon rose, Isaac Del Toro.
00:34:21J'en ai mal pour eux.
00:34:22On les voit les cuisses.
00:34:23Caroline Garcia annonce sa retraite aujourd'hui.
00:34:25Elle a fait sur ses réseaux sociaux ce vendredi matin
00:34:28en précisant qu'elle partira dans quelques semaines.
00:34:30Donc elle fera quand même Roland-Garros.
00:34:32Elle a donné quelques détails à Quentin Moinet
00:34:34du journal L'Équipe.
00:34:35Mon corps et mes aspirations personnelles me le demandent.
00:34:37Pour être super compétitive à très haut niveau,
00:34:39tu dois faire énormément de choses,
00:34:41comme voyager tout le temps.
00:34:42Je n'ai plus les réserves physiques et émotionnelles.
00:34:44Je n'ai plus la force à l'intérieur de moi
00:34:46de faire tout ce que j'ai fait pendant 16 ans.
00:34:48Elle dit aussi qu'elle veut terminer la saison,
00:34:50obtenir une wild card pour jouer Wimbledon
00:34:52et pourquoi pas faire l'US Open aussi.
00:34:54Ce serait cool.
00:34:55Ce sont ses mots.
00:34:56Vous l'aimez bien Caroline Garcia.
00:34:58On n'en peut pas parler.
00:34:59À un moment, elle a gagné le Masters.
00:35:01Elle a eu deux frics.
00:35:022017-22 de mémoire.
00:35:04Elle pouvait jouer dans les 10 meilleures joueuses du monde,
00:35:07mais il fallait qu'elle soit prête physiquement et mentalement.
00:35:09Elle a eu trop de blessures.
00:35:11Fragile un peu psychologiquement.
00:35:13Frustrée quand elle n'arrivait pas.
00:35:15J'ai vu pas mal de matchs.
00:35:16Je ne peux pas te les citer,
00:35:18mais quand même un paquet.
00:35:19Elle craquait à un moment donné.
00:35:20Elle était en perdition.
00:35:21Elle n'arrivait pas.
00:35:22Elle a changé d'entraîneur.
00:35:24D'après ce que j'ai cru comprendre,
00:35:26elle veut tourner la page,
00:35:27mais elle est jeune quand même.
00:35:29J'ai appris qu'elle allait se marier,
00:35:31si j'ai bien entendu.
00:35:32Tu es invité au mariage ?
00:35:33Non, je ne suis pas invité,
00:35:34mais je lis Closer de temps en temps.
00:35:38C'est une grande championne.
00:35:39Ça a été une des meilleures.
00:35:40Malheureusement, elle a quand même gagné un Masters.
00:35:42Oui, un Masters.
00:35:43Ce n'est quand même pas rien.
00:35:45Djokovic a l'occasion de remporter en fin de tournoi.
00:35:48Il est en finale à Genève.
00:35:49Il rattrape tout son début de saison sur Terre Badjule.
00:35:52Il fait mieux que l'an dernier sur le tournoi suisse
00:35:54où il avait été battu en demi.
00:35:56Il écarte le Britannique Cameron Norrie en trois manches
00:35:58pour aller jouer sa première finale depuis les JO de Paris
00:36:01sur cette surface.
00:36:02Il affrontera l'une de ses proies favorites,
00:36:04Hubert Urquax, en sept confrontations.
00:36:07Il l'a battu à chaque fois.
00:36:08Les mondiaux de ping-pong,
00:36:09les frères Lebrun sont en demi.
00:36:10Ils ont dominé la paire suédoise,
00:36:12Mathias Falck et Christiane Carlson en quart cet après-midi.
00:36:16Victoire en quatre manches.
00:36:17Il leur faudra battre un duo taïwanais ce samedi
00:36:19pour aller jouer le sacre.
00:36:20Dans tous les cas,
00:36:21c'est une deuxième médaille assurée pour la France à Doha
00:36:24puisqu'Estéban Dore et Florian Bourasso
00:36:26se sont qualifiés pour les demi aussi.
00:36:28En revanche, ils ne les joueront pas.
00:36:30Malheureusement, ils sont forfaits.
00:36:32Estéban s'étant blessé aux genoux
00:36:34en célébrant la victoire hier.
00:36:36Oui, vous nous racontiez cette histoire.
00:36:38C'est terrible.
00:36:39Une blessure conne.
00:36:40Là, c'est vraiment con.
00:36:41Merci Virginie.
00:36:43Bordeaux, champion d'Europe,
00:36:44Northampton-Bordeaux, ce samedi, 15h45,
00:36:47Cardiff pour la grande finale de la grande Coupe d'Europe,
00:36:51la Ligue des champions en rugby.
00:36:53Voyez-vous Bordeaux gagner cette Coupe des champions ?
00:36:56Il a répondu oui.
00:36:57Et oui, Morico, vous êtes réquisitionné.
00:37:00Une minute pour convaincre.
00:37:01L'intensité lumineuse baisse.
00:37:02Le chronomètre et le compte à rebours sont programmés.
00:37:05Et je vous passe la main.
00:37:07Mais pour l'instant, je ne vois pas le compte à rebours.
00:37:09Oui, je les vois gagner parce que c'est des équipes
00:37:13qui se ressemblent.
00:37:14Mais l'UBB a quand même pris de l'expérience.
00:37:17Ils ont une énorme équipe.
00:37:19Le paquet d'avant est très solide.
00:37:20Leurs trois amis aussi, avec Diaby, Samu, qui vont démarrer.
00:37:24Et Petit, un ancien deux amis en trois amis.
00:37:27Ils ont une ligne arrière qui est magnifique
00:37:29avec les ailiers du 15 de France, Penau et Bielle Biarré.
00:37:32Loulou, la brocante, le roi d'évasion.
00:37:34Penau, c'est un cheval.
00:37:35Il marque quand il veut.
00:37:37Donc, Jalibert, il marche sur l'eau avec Loukou.
00:37:42En face, c'est une bonne équipe.
00:37:43Ils ont fait un expo en battant le Leinster.
00:37:45J'ai vu le match 37-32.
00:37:46Donc, ils ont des arguments.
00:37:48Ils ont des ferrailleurs devant.
00:37:50Ils ont des mecs derrière.
00:37:51Mitchell a la charnière Smith à l'ouverture.
00:37:53Ça tient la route.
00:37:54Ça se joue en équipe d'Angleterre.
00:37:55Freeman à l'aile.
00:37:56Mais quelque part, aujourd'hui, tu vois Bordeaux gagner
00:37:59parce qu'ils ont battu le stade Toulousain.
00:38:01C'est leur année.
00:38:02Alors, ça sera peut-être la première fois
00:38:03qu'ils lèveront le trophée.
00:38:04Les premières fois, on s'en souvient toujours.
00:38:06C'est comme en amour.
00:38:07Ça sera l'amour ouf, l'amour rugby.
00:38:10Ah ouais !
00:38:13J'ai l'impression que…
00:38:14Je vais quand même passer dans les rangs.
00:38:16Qui est capable de déjouer le prono d'Éric Blanc ?
00:38:20Est-ce que vous êtes capable ?
00:38:21Est-ce que vous avez un ou deux arguments ?
00:38:23Karim Ghali, oui ou non ?
00:38:25Vous voyez peut-être un truc ?
00:38:26Non, mais Éric en a parlé.
00:38:28C'est qu'effectivement, on parle de l'exploit du côté de Bordeaux.
00:38:30Mais de l'autre côté, il y a aussi l'exploit en sortant le Leinster.
00:38:33Donc, finalement, les deux équipes qui s'affrontent
00:38:35ont chacun un exploit.
00:38:36Une en tapant Toulouse et une en tapant le Leinster.
00:38:39Mais effectivement, Bordeaux,
00:38:41t'as l'impression que c'est l'année ou jamais.
00:38:43Non, mais Northampton 2011,
00:38:46ils perdent devant le Leinster dans une finale de folie.
00:38:49Ils menaient et la mi-temps, c'était à l'époque de Driscoll.
00:38:51Là, ils sont neuvièmes du championnat.
00:38:53Ils ont des arguments.
00:38:54Ils ont des joueurs.
00:38:55Aujourd'hui, t'as l'équipe de France pratiquement derrière,
00:38:57même s'ils partagent avec le stade toulousain.
00:38:59Donc, t'as deux porteurs au centre avec Moé Fana.
00:39:02Donc, un joue en équipe de France.
00:39:04Enfin, je ne vois pas qu'ils passent à côté.
00:39:07Ils assumeront.
00:39:08Ce sera un jeu avec des équipes galopantes.
00:39:10Moi, je vois un gros score.
00:39:11Fleuve des deux côtés.
00:39:12Je vois un rugby, surtout à Carnif, toit fermé.
00:39:15On l'a vu encore ce soir avec Lyon-Basse.
00:39:18Ça ne va pas fermer le jeu,
00:39:19même s'il y aura du jeu au pied.
00:39:21Je vois Bordeaux s'imposer.
00:39:22Il peut neuler dans quelle histoire ?
00:39:24Vous avez un argument opposé à Eric, non ?
00:39:28Aucun, il est vraiment au-dessus de la mêlée.
00:39:30Raymond, vous faites totalement confiance.
00:39:35Attendez, Roland, vous me dites que l'exploit du Leinster,
00:39:41vous avez un doute.
00:39:43Dorsanton l'a-t-il digéré ?
00:39:45Non, ça aussi, mais pas sur l'exploit.
00:39:49J'ai trouvé extraordinaire de gagner ce match-là,
00:39:53un plus magnifique 37-32.
00:39:56Alors, on s'est quand même aperçu,
00:39:58ce n'est pas nouveau,
00:40:00que c'est plus facile,
00:40:03c'est moins compliqué pour une équipe de football
00:40:06de pouvoir récupérer.
00:40:08En ce qui concerne le rubis,
00:40:10je vois quand même que les bonnes équipes
00:40:13sont évidemment avec des bons joueurs,
00:40:15mais aussi avec beaucoup de joueurs.
00:40:17Et je ne m'imagine pas,
00:40:19c'est même pas que je ne m'imagine pas Bordeaux ne pas gagner,
00:40:22je ne m'imagine pas cette équipe-là battre Bordeaux.
00:40:26Je pense que dans la deuxième période,
00:40:28Bordeaux, ils vont les massacrer.
00:40:306 victoires françaises en 29 finales,
00:40:32peut-être une treizième demain,
00:40:34c'est ce qu'on souhaite au Bordelais.
00:40:366 finales 100% franco-françaises,
00:40:3822 fois sur 29,
00:40:40il y a eu au moins un club français en finale
00:40:42de cette Ligue des champions,
00:40:44de cette Coupe des champions.
00:40:46Vous vous dites,
00:40:48comment expliquer cette supériorité française ?
00:40:50Vous n'avez qu'un mot, enfin deux,
00:40:52c'est le top 14.
00:40:54C'est-à-dire que je pense que
00:40:56quand on est passionné de football,
00:40:58on regarde ce qui se passe en Angleterre,
00:41:00entre l'argent, les sponsors,
00:41:02les droits télé, etc.,
00:41:04si on pouvait être comme eux.
00:41:06Je pense que la vision du rugby pour les autres,
00:41:08notre top 14,
00:41:10c'est exactement comme nous,
00:41:12on est en train de regarder la première Ligue.
00:41:14Et la différence que j'ai,
00:41:16parce que je laisse traîner mes oreilles
00:41:18et j'ai la chance de connaître
00:41:20des garçons qui sont passionnés de rugby,
00:41:22il y en a déjà un ici,
00:41:24il y en a dans Moscato,
00:41:26il y a Denis Charvet et tout,
00:41:28et il y a quand même
00:41:30l'effectif des clubs français
00:41:32de notre top 14,
00:41:34c'est 35, 40 et des fois
00:41:36même plus de 40.
00:41:38Les autres, paraît-il, à l'étranger,
00:41:40c'est 25, 30.
00:41:42Donc quand on sait qu'il y a les changements
00:41:44de la deuxième période qui font 9 fois sur 10
00:41:46la différence, quand on voit que
00:41:48pour les pronostics, 9 fois sur 10
00:41:50quand tu reçois, tu gagnes.
00:41:52Il y a quand même aussi
00:41:54une réflexion de se dire
00:41:56on est supérieur
00:41:58aux autres pays en rugby,
00:42:00malheureusement pas en football.
00:42:02Non mais Roland, il a raison.
00:42:04Top 14, c'est le pognon qui ruisselle.
00:42:06Donc les meilleurs joueurs viennent, les Anglais,
00:42:08eux ils souffrent. Il y a eu deux rétrogradations financières.
00:42:10Northampton, c'est une ville
00:42:12qui avait un très bon papier dans l'équipe
00:42:14de Duffy qui est partie là-bas.
00:42:16Touché par les crises.
00:42:18Ils s'appuient énormément
00:42:20sur l'académie, sur les jeunes,
00:42:22ils n'ont pas de profondeur.
00:42:24Ok, ils ont battu le Leinster avec 3 essais de Freeman
00:42:26en bout de ligne, 1m91, 103kg,
00:42:28qui sera en face de Loulou, la brocante.
00:42:30Donc on verra bien ce qui va se passer
00:42:32mais ce que je veux te dire c'est que
00:42:34le Leinster, je pense qu'ils ont fait
00:42:36un complexe de supériorité.
00:42:38Ils avaient mis 50 points au tour précédent,
00:42:40ils se voyaient en finale, tout le monde annonçait
00:42:42voir Leinster, Toulouse, moi le premier.
00:42:44Si les Bordelais ont coûté votre minute pour convaincre,
00:42:46ils vont prendre le boulard aussi.
00:42:48Ils ne peuvent pas que ça tourne au vinaigre.
00:42:50C'est unilatéral.
00:42:52Ils sont focus dessus, ils ont bien fait tourner
00:42:54en top 14 au match précédent.
00:42:56Maintenant c'est une très bonne équipe en face.
00:42:58Ils ont des moyens et surtout surveiller,
00:43:00si vous regardez, Pollock, ce jeune
00:43:02de 20 ans, un peu arrogant,
00:43:04le bandeau, blondinet,
00:43:06qui plaque, qui ralentit les ballons dans les rugs
00:43:08et tout. Il y a Kemené aussi, un autre 3ème IEL,
00:43:10il y a quand même des joueurs internationaux.
00:43:12Moi je pense qu'il y aura 10-12 points
00:43:14d'écart mais on va voir beaucoup d'essais,
00:43:16il y aura beaucoup de volume de jeu.
00:43:18Mais si, mais si, mais si !
00:43:20Mais oui !
00:43:22Je ne mérite rien, parce qu'on est en France
00:43:24et les mecs ne vont pas voter contre le bébé.
00:43:26En France, on est capable de tout.
00:43:28Je vous fais un PSG-Barça,
00:43:30on fait la Ligue des Champions.
00:43:32Ils ont de la chance, le PSG,
00:43:34de ne pas nous jouer, je te le dis.
00:43:36C'est une chance de jouer l'inter pour eux.
00:43:38Eric, merci, à tout de suite.
00:43:40PSG-Reims, finale demain de la Coupe de France,
00:43:42enfin demain, ce samedi,
00:43:443 classes d'écart entre Paris, ultra-favoris,
00:43:46cette Coupe de France sous l'air QSI,
00:43:48puis Reims qui jouera sa survie en Léguin,
00:43:50match de barrage jeudi contre Metz.
00:43:52Est-ce un événement ou une simple répétition ?
00:43:54En vue, évidemment, de la grande finale
00:43:56de la Ligue des Champions,
00:43:58Paris-Inter, 4 chroniqueurs ne sont pas d'accord,
00:44:00il y a un événement et simple répétition.
00:44:02Jingle, on y va !
00:44:06Un événement, pour la gauche du plateau,
00:44:08Nabil Djelit et Karim Ghali.
00:44:10Nabil, je crois que la dame
00:44:12veut toujours commencer.
00:44:14Elle peut même prendre plus de 30 secondes.
00:44:16Ok, très bien, simple répétition,
00:44:18Raymond et son adjoint.
00:44:20L'adjoint commence ?
00:44:22Non, Eric va commencer, comme ça,
00:44:24il n'aura rien à dire, il aura tout réglé.
00:44:26C'est un super duel avec deux feignants.
00:44:30Un événement, Karim Ghali,
00:44:32vous avez la main.
00:44:34Bien sûr qu'une finale de Coupe de France reste un événement,
00:44:36c'est la province qui monte à Paris,
00:44:38le Stade de Reims n'a rien gagné depuis 91.
00:44:40Souvenez-vous, quand Nantes a gagné la Coupe de France,
00:44:42quand Rennes a gagné, c'était magique.
00:44:44Quand il y avait la Coupe de la Ligue, quand Guingamp l'a gagné, c'était magique.
00:44:46Si demain, le PSG venait à perdre,
00:44:48la finale, ce sera un événement,
00:44:50parce que ce n'est jamais arrivé sous l'air QSI.
00:44:52Et si Reims venait à gagner,
00:44:54ce serait également un énorme événement.
00:44:56Une Coupe de France, ça ne peut pas être banalisé.
00:44:58C'est la fête du football.
00:45:00La Coupe de France, c'est la coupe la plus ancienne
00:45:02que l'on a sur le sol hexagonal.
00:45:04Je trouve ça gênant qu'on puisse
00:45:06banaliser un tel moment d'histoire.
00:45:08Une défaite, quand même,
00:45:10qui n'est pas une défaite, mais haut tir au but,
00:45:122019 contre le Stade Rennais, en Coupe de France.
00:45:14Ce n'est pas une défaite.
00:45:16J'ai vu les visages des Parisiens,
00:45:18ils avaient quand même mauvaise répétition.
00:45:20Ces arguments, oui,
00:45:22c'est toujours un événement, la Coupe de France.
00:45:24Sauf qu'aujourd'hui, on a bien compris que la Ligue des Champions
00:45:26c'était supérieur.
00:45:28Luis Henrique fait reposer des joueurs,
00:45:30il va mettre sa meilleure équipe
00:45:32en fonction du score, il va tourner derrière.
00:45:34Donc c'est quand même une répétition,
00:45:36c'est un match obligatoire qu'il faut bien passer
00:45:38pour se projeter sur la très grande compétition.
00:45:40La Coupe de France, aujourd'hui,
00:45:42Reims doit jouer le jeudi
00:45:44son maintien en Ligue 1.
00:45:46Donc ils ont le truillot à mettre à zéro.
00:45:48Je dis que, malheureusement pour eux,
00:45:50ça passe après.
00:45:52On revient à gauche, où la gauche est un événement.
00:45:54Je trouve que c'est un manque de respect pour Reims.
00:45:56Parce qu'en fait, dans le football, zéro chance, ça n'existe pas.
00:45:58D'ailleurs, il y a même parfois des exploits dans le football.
00:46:00Ça arrive.
00:46:02Déjà, d'un point de vue sportif,
00:46:04Paris Saint-Germain est grandement favori,
00:46:06mais on a déjà vu parfois des choses incroyables.
00:46:08Et puis, il y a le poids de l'événement,
00:46:10le protocole, l'intensité émotionnelle,
00:46:12le Stade de France,
00:46:14les supporters qui montent,
00:46:16et tout ça, pour moi, ça crée une ambiance
00:46:18différente des autres matchs.
00:46:20Raymond, à vous de jouer.
00:46:22Simple répétition, pourquoi ?
00:46:24Personne n'a dit que la finale de la Coupe de France n'était pas un événement.
00:46:26C'est un événement, la finale de la Coupe de France.
00:46:28Mais là, on est en train de parler d'un événement pour savoir
00:46:30si Reims a une chance
00:46:32de gagner ce match-là, si j'ai bien compris.
00:46:34Et ils n'ont strictement aucune chance de gagner ce match-là.
00:46:36Ils ont joué il y a 3 jours,
00:46:38ils vont rejouer dans 4 jours.
00:46:40Ils vivent comme ça, avec la troule,
00:46:42parce que le plus important, c'est
00:46:44le match dans 4 jours
00:46:46contre Metz.
00:46:48Ça ne peut pas être un événement sportif.
00:46:50C'est un événement, parce que c'est la Coupe de France,
00:46:52mais pas au niveau du résultat.
00:46:54Je...
00:46:56Raymond, vous êtes grand en temps.
00:46:58Faites gaffe.
00:47:00C'est une demi-seconde ?
00:47:02Raymond, je t'ai trouvé plus intéressant
00:47:04que ce que je pensais au départ.
00:47:10Simple répétition.
00:47:12Vous avez le droit de lui répondre.
00:47:14Non, j'ai le droit de lui mettre un carton.
00:47:16J'ai pas demandé
00:47:18s'il fallait...
00:47:20Tu t'étais pas vendu.
00:47:22Comme ça, ce sera pour la prochaine fois.
00:47:24Le carton, il est pour vous.
00:47:26On ne demande jamais un carton pour son petit camarade.
00:47:28J'ai pas demandé s'il fallait un carton.
00:47:30J'avais le droit de lui en donner un.
00:47:32Vous n'écoutez pas ce que je dis.
00:47:34Vous m'écoutez ?
00:47:36C'est le deuxième.
00:47:38C'est un rouge pour Raymond.
00:47:40Président, à vous de jouer.
00:47:42Là, il y avait un événement.
00:47:44Là, il y avait une simple répétition.
00:47:46Avant de parler de l'événement,
00:47:48j'essaie de rappeler,
00:47:50parce que j'essaie,
00:47:52je sais pas si j'y arrive,
00:47:54d'être utile pour le football,
00:47:56que j'ai accompagné depuis l'âge de 8 ans.
00:47:58Depuis plus de 20 ans,
00:48:00je me bats sur le fait qu'une finale de Coupe de France
00:48:02ne doit pas être à 5 jours,
00:48:04à 5 journées de la fin.
00:48:06Pourquoi ? Parce que les deux finalistes,
00:48:08qu'ils gagnent ou qu'ils perdent,
00:48:103 jours après, ils ne peuvent pas être...
00:48:12Là, cette année, c'est bon ?
00:48:14Oui.
00:48:16Cette année, il y a un concours de circonstances
00:48:18qui fait qu'il y a une équipe
00:48:20qui va jouer la Champions League
00:48:228 jours après, et une autre,
00:48:24les barrages.
00:48:26Mais je reste persuadé
00:48:28que ce soit si tu gagnes
00:48:30ou si tu perds,
00:48:32le Stade de France,
00:48:34les supporters, la musique,
00:48:36même s'il y a le souci
00:48:38de la Champions League et le souci
00:48:40des barrages, ça reste pour moi
00:48:42un événement, et 3 jours après
00:48:44cet événement, on a quand même
00:48:46encore à l'intérieur un souvenir.
00:48:48Le fait que le Paris Saint-Germain
00:48:50est archi-favori,
00:48:52mais je suis le premier à le dire aussi,
00:48:54mais quand même, un match,
00:48:56on le sait, reste un match.
00:48:58Et s'il y a bien des surprises,
00:49:00c'est souvent un couple de France qui a des surprises.
00:49:02Bon, 24 heures avant cet événement
00:49:04ou cette répétition,
00:49:06on va en conférence de presse y retrouver
00:49:08des joueurs du Stade de Reims. Alors aujourd'hui,
00:49:10il y avait Yevhen Diouf, le gardien,
00:49:12puis Samba Diawara, l'entraîneur.
00:49:14Cher chroniqueur, sauras-tu découvrir
00:49:16celui qui ne croit pas à la victoire
00:49:18de son propre club ? On a fait un petit montage.
00:49:20Est-ce que c'est le gardien ? Est-ce que c'est le coach ?
00:49:22Alors on est parti d'une question très basique.
00:49:24Pensez-vous que c'est possible de gagner
00:49:26contre le Paris Saint-Germain ? Pensez-vous que c'est possible ?
00:49:28On y va. C'est tout d'abord le gardien qui débarque.
00:49:32C'est possible.
00:49:34C'est que du football, j'ai envie de dire.
00:49:36Il est évident qu'on n'est pas favori.
00:49:38Mais voilà, si on est venu ici, si on a fait
00:49:40le déplacement, c'est parce qu'on croit en nous,
00:49:42on a confiance en nous. On parle de couple,
00:49:44des surprises. En général, les surprises ont lieu
00:49:46dans les tours
00:49:48précédents, en 32e, en 16e, etc.
00:49:50C'est très rare qu'en finale,
00:49:54il y ait ce genre de surprises.
00:49:56On va essayer de se donner les moyens pour
00:49:58renverser cette équipe et pour la refaire mal.
00:50:00Ça reste un match de football
00:50:02contre
00:50:04ce qui se fait certainement de mieux
00:50:06en Europe. Je pense que
00:50:08on vit une saison difficile
00:50:10et c'est une sorte de bouffée
00:50:12d'oxygène que de disputer
00:50:14ce genre de rencontres.
00:50:16Roland, vous êtes choqué ? Je suis choqué évidemment.
00:50:18La chose principale, je ne l'entends pas,
00:50:20c'est que je ne suis pas seulement choqué,
00:50:22je suis peut-être un peu débile.
00:50:24Mais ils ont fait aller-retour
00:50:26deux fois match nul et on m'explique
00:50:28qu'il n'y a pas la possibilité de faire
00:50:30une troisième fois match nul
00:50:32avec après des concours de circonstances
00:50:34aux prolongations et pour aller au tir au but.
00:50:36Reims, ils sont invaincus
00:50:38contre le Paris Saint-Germain. Tu peux le mettre en titre.
00:50:40Oui, c'est vrai. Cette année, il y a eu deux matchs
00:50:42et vous avez raison.
00:50:44Ils ont sorti Monaco en Coupe de France.
00:50:46Sur les six derniers matchs,
00:50:48entre Paris et Reims,
00:50:50il n'y a eu qu'une seule victoire
00:50:52pour Paris sur les six derniers matchs.
00:50:54On parle dans quel contexte ?
00:50:56Je ne me rappelle plus quelle équipe jouait.
00:50:58C'était le championnat.
00:51:00On est en septembre, Paris est en rodage
00:51:02et après en janvier, on est dans
00:51:04l'entre-deux-tours puisque
00:51:06lorsque Paris affronte Reims,
00:51:08auparavant, il y a eu le match fantastique
00:51:10contre Manchester City puis quelques jours plus tard,
00:51:12c'est le match contre Stuttgart.
00:51:14C'est un peu son destin européen.
00:51:16Il y a des contextes qui sont...
00:51:18Pour la finale, ils jouent la Champions League.
00:51:20Comment pouvez-vous me dire sur le plateau ?
00:51:22Parce que nous, on a pris position
00:51:24et en face, Reims va gagner.
00:51:28Comment pouvez-vous me dire que PSG
00:51:30c'est la meilleure équipe d'Europe ?
00:51:32Elle est favorite.
00:51:34Elle adore les enfants.
00:51:36Il n'y a plus besoin de Bonne nuit les petits.
00:51:38Ne regarde pas le match alors !
00:51:40Tu vas regarder le match ?
00:51:42Je vais regarder un 4-0.
00:51:46Mais toi, tu m'as dit qu'ils allaient gagner.
00:51:56Il y a un des joueurs qui a dit
00:51:58qu'on monte et si on monte, c'est parce qu'on y croit.
00:52:00Non, c'est parce que tu es obligé de jouer.
00:52:02Il faut bien une équipe de Reims.
00:52:06Il n'y a pas de surprise en finale.
00:52:12On parle d'un PSG-Angers
00:52:14qui a marqué
00:52:16le 1-0 à la 93ème minute.
00:52:18C'est six seconds contre son camp.
00:52:20C'est pareil qui avait gagné.
00:52:22Si jamais 2-0 à la mi-temps,
00:52:24tu es entraîneur,
00:52:26pareil avec Raymond.
00:52:28Jeudi, tu joues.
00:52:30Si tu as mis ta meilleure équipe,
00:52:32tu les laisses au paddock.
00:52:34Tu ne vas pas les blesser
00:52:36et revenir avec trois jambes cassées.
00:52:38Tu sais me convaincre de quoi ?
00:52:40De rien, je te pose la question.
00:52:42Tu as dit que si le ballon,
00:52:44le tibial, le perronnet,
00:52:46l'éclairage qui s'éteint...
00:52:48Je vais même être d'accord avec toi.
00:52:50Et s'il y a 3-0,
00:52:52c'est encore pire.
00:52:54D'abord, je veux te poser une question.
00:52:56Parce que moi, je ne la connais pas.
00:52:58Est-ce qu'il démarre avec son équipe à Reims ?
00:53:00Est-ce qu'il met sa meilleure équipe ?
00:53:02L'Inter a fait tourner
00:53:04pour la Coupe de France.
00:53:06Il a dit tout et son contraire.
00:53:08Est-ce que c'est meilleur jeu
00:53:10ou il les protège ?
00:53:12Je pense que oui.
00:53:14Toi, tu joues la décentrée.
00:53:16Tu l'as joué pas souvent.
00:53:18Qu'est-ce que tu ferais ?
00:53:20Je réfléchirais sur le premier match
00:53:22des barrages.
00:53:24C'est comme une petite victoire.
00:53:26Derrière ça, quatre jours après,
00:53:28puisqu'ils ont repoussé du samedi au jeudi,
00:53:30on a le temps de récupérer
00:53:32sa meilleure équipe.
00:53:34Rendez-vous chez nous
00:53:36dans notre stade.
00:53:38Et à ce moment-là,
00:53:40les médecins ne vont pas passer
00:53:42une belle soirée.
00:53:44J'aurai la satisfaction
00:53:46d'avoir fait le maximum dans une finale.
00:53:48Après, par contre,
00:53:50si évidemment, à la mi-temps,
00:53:52on perd 2 ou 3-0,
00:53:54à ce moment-là,
00:53:56je pense à 200 %
00:53:58au jeudi.
00:54:00Simple répétition.
00:54:0280-20.
00:54:04Je vais le prendre en photo.
00:54:06On se revoit lundi, c'est ça ?
00:54:08Comme ça, je pourrais mettre une fois encore
00:54:10j'avais vu juste.
00:54:12Vous militez pour la victoire de Reims.
00:54:14Eric n'était pas si mauvais choix.
00:54:16C'est David contre Goliath.
00:54:18Mon empathie va toujours venir.
00:54:20Dans quelques minutes, c'est le quiz de l'équipe du soir.
00:54:22Ce soir,
00:54:24on va bosser
00:54:26la finale de la Coupe de France
00:54:28entre Paris et Reims.
00:54:30Dans quelques minutes, quiz de l'équipe du soir.
00:54:32On met les lettres.
00:54:40Retour sur le plateau
00:54:42de l'équipe du soir. Dans quelques secondes,
00:54:44le quiz va être déclenché.
00:54:46Les jokers sont pour Eric Blanc
00:54:48qui a tout gagné ce soir.
00:54:50Vous pouvez vous requalifier et éliminer.
00:54:52Être le gentil, être le méchant.
00:54:54La ligne de l'équipe, Virginie ?
00:54:56C'est une drôle de finale qui va se jouer
00:54:58entre le PSG déjà titré en Ligue 1
00:55:00qui a la tête à la finale de Ligue des Champions
00:55:02et Reims, barragiste de Ligue 1
00:55:04qui a la tête au maintien.
00:55:06La musique a retentit le thème
00:55:08du quiz.
00:55:10J'ai gagné la Coupe de France
00:55:12avec Reims
00:55:14ou avec le PSG ?
00:55:16Ce n'est pas facile.
00:55:18Les anciens ont mis en faveur
00:55:20les pronostics.
00:55:22Je suis le premier
00:55:24gagnant du loto sportif
00:55:26en 1985.
00:55:28Dominique Colonna.
00:55:30Gardien de Reims.
00:55:32Vainqueur
00:55:34de la Coupe de France
00:55:361958.
00:55:38C'est un 4 points pour Raymond Domenech.
00:55:40Je suis né à Cortet
00:55:42et je suis gardien de but.
00:55:444 points.
00:55:46Il prend la tête.
00:55:48J'ai entraîné le PSG.
00:55:50Autre joueur à découvrir.
00:55:52J'ai entraîné le PSG.
00:55:54Il a gagné la Coupe de France
00:55:56soit avec Reims
00:55:58soit avec Paris Saint-Germain.
00:56:00Lacombe.
00:56:02Guy Lacombe.
00:56:04Non, ce n'est pas lui.
00:56:06Il a joué.
00:56:08J'ai entraîné le PSG.
00:56:10Mais à Paris, je n'ai jamais
00:56:12gagné la Coupe de France.
00:56:14J'ai coaché le PSG.
00:56:16Mais à Paris, je n'ai...
00:56:18Luis Fernandez.
00:56:20Non, ce n'est pas lui.
00:56:22Il a entraîné le PSG.
00:56:24Et oui.
00:56:26Comme joueur ou comme entraîneur ?
00:56:28Comme joueur.
00:56:30Fontaine.
00:56:32J'ai entraîné le PSG.
00:56:34A Paris, je n'ai pas gagné la Coupe.
00:56:36Mais je l'ai gagné avec Reims.
00:56:38J'ai un ratio match joué-but marqué.
00:56:40En bleu, j'ai marqué 30 fois
00:56:42en matérie de sélection.
00:56:44Totorico a marqué...
00:56:462 points.
00:56:483 points.
00:56:50Mais à Paris, je n'ai jamais
00:56:52gagné la Coupe. C'était le deuxième indice.
00:56:54Non, c'est bien.
00:56:56Attention, on attaque.
00:56:58Notre partie historique.
00:57:00Carine, réveillez.
00:57:02Capitaine de mon équipe,
00:57:04c'est donc moi qui ai soulevé la Coupe.
00:57:06L'indice est vicieux.
00:57:08L'indice est large.
00:57:10J'ai aussi révolutionné
00:57:12le football français.
00:57:14Copa.
00:57:16Ce n'est pas Copa.
00:57:18Ce n'est pas Raymond Copa.
00:57:20Guardiola.
00:57:22Le gars gagne la Coupe en tant que capitaine,
00:57:24mais en tant qu'entraîneur...
00:57:26Je reviens.
00:57:28Vous ne pouvez pas revenir deux fois.
00:57:30On ne peut pas participer
00:57:32correctement ici.
00:57:34Un génie dans la veine d'un Guardiola.
00:57:36Albert Batteux.
00:57:38Il était capitaine en 50.
00:57:40C'est celui qui soulève la Coupe.
00:57:42Raymond Domenech.
00:57:44Quoi ?
00:57:46Franchement, je suis quand même bon.
00:57:48Attention mes petits, on y va.
00:57:50J'ai joué dans les deux clubs.
00:57:52Carlos Bianchi.
00:57:54C'est pas mal, mais c'est une mauvaise réponse.
00:57:56Puisque j'ai
00:57:58gagné la Coupe de France en 2016.
00:58:00Donc le gars a joué au PSG,
00:58:02a joué à Reims,
00:58:04il a gagné la Coupe de France en 2016.
00:58:06Tac Alfred.
00:58:08Tac Alfred ?
00:58:10Non.
00:58:12J'ai quitté les deux clubs
00:58:14et demain, je souhaite
00:58:16la défaite de Reims.
00:58:18J'ai quitté
00:58:20les deux clubs, mais demain,
00:58:22je souhaite la défaite de Reims.
00:58:24Ekitike.
00:58:26Hugo Ekitike, c'est dommage, mais non.
00:58:28Normal, parce que je joue
00:58:30désormais à Metz.
00:58:32Et je crois que Karine l'a.
00:58:34Vous ne l'avez plus ?
00:58:36Il joue à Metz en ce moment ?
00:58:38Oui, je joue désormais à Metz.
00:58:40C'est Benjamin Stambouli.
00:58:42Eh oui, le petit Stambouli.
00:58:44Ok.
00:58:46Autre joueur à découvrir qui a gagné la Coupe de France
00:58:48soit avec Metz, soit avec le Paris Saint-Germain.
00:58:50Là, on y va tout de suite.
00:58:52Je suis un joueur historique du Paris Saint-Germain.
00:58:56Et le deuxième indice ?
00:58:58Il a joué à Reims.
00:59:00Pas forcément.
00:59:02Soit j'ai gagné la Coupe de France,
00:59:04il y en a qui ont joué dans les deux clubs,
00:59:06mais lui, soit offert la Coupe de France,
00:59:08je suis un joueur historique du PSG.
00:59:10Thiago Silva ? Non, ce n'est pas lui.
00:59:12Il a gagné sa première Coupe de France.
00:59:14C'est le but vainqueur de la première Coupe de France.
00:59:16Qui a marqué ?
00:59:18Est-ce que vous vous souvenez ?
00:59:20Cette fameuse finale contre Saint-Étienne.
00:59:22Marquinhos.
00:59:24Mon but offre au PSG sa première Coupe de France.
00:59:26Donc, on est en 1982.
00:59:28J'en gagnerai une autre l'année suivante.
00:59:30Le gars gagne deux fois la Coupe de France.
00:59:34Le dernier, Rocheteau ?
00:59:36Ce n'est pas Dominique Rocheteau.
00:59:38Je suis, depuis 2024,
00:59:40le dauphin de Marquinhos.
00:59:42Pilorget ?
00:59:44Jean-Marc Pilorget !
00:59:46Il a gagné la première Coupe de France.
00:59:483 nœuds, 435 matchs.
00:59:50Il a été doublé par, désormais,
00:59:52l'homme le plus capé du PSG, Marquinhos.
00:59:54Un dernier pour la route.
00:59:56En Coupe de France, j'ai joué 42 matchs.
01:00:00C'est énorme.
01:00:02Je ne compte que 4 éliminations.
01:00:0442 matchs.
01:00:06Marquinhos.
01:00:08Excellente réponse de Karim Ghanéi.
01:00:10Samedi, je vise contre 1
01:00:12sur une 8e victoire.
01:00:14Vous pouvez appeler M. Coupe de France.
01:00:16C'est Raymond qui gagne le quiz.
01:00:18Il a gagné sur Colonna d'entrée.
01:00:20Il nous a climatisé d'entrée.
01:00:22Le coup du Colonna.
01:00:24Le coup du Corse.
01:00:26On vous embrasse.
01:00:28On est très à l'abord.
01:00:30Bonne soirée.
01:00:32A demain pour l'été du soir.
01:00:38...
01:00:42...

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