- 23/05/2025
Retrouvez le replay du débat de l'Équipe de Greg du 23/05/2025.
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00:00On va parler du Paris Saint-Germain, on va écouter Luis Enrique et Marquinhos qui étaient en conférence de presse.
00:06Pas juste disputer mais gagner cette finale.
00:09C'est la meilleure des choses, c'est la meilleure des préparations qu'on peut avoir pour la semaine prochaine.
00:17Je n'ai aucun doute sur le fait que la seule finale importante pour l'instant est celle de demain.
00:22Je pense que mes joueurs ont compris le message depuis le début.
00:25Nous allons jouer contre le stade de Reims, une équipe que l'on n'a pas battue cette saison.
00:30Si quelqu'un est un peu déconcentré alors qu'on me prévienne tout de suite, je ne le ferai pas jouer.
00:34Alors je pose la question, elle peut paraître un peu étonnante.
00:36Simple répétition ou grand rendez-vous pour le PSG ?
00:40Et n'oubliez pas que Reims joue aussi son match de maintien contre Metz la semaine suivante.
00:44Ça dit quoi ? On regarde les Ardoines, nos copains ?
00:46C'est un grand rendez-vous pour Karim, c'est un grand rendez-vous pour Loïc.
00:49Le tonton qui danse là.
00:51Simple répétition pour Émilie, une répétition bien sûr, Olivier Olivier.
00:56Et un grand rendez-vous pour Romain.
00:58Ah là, on serait dans l'équipe du soir, j'aurai un super duel.
01:01Mais comme on n'y est pas, je vais vous écouter les uns après les autres.
01:03Émilie, c'est vous qui allez commencer ?
01:04Répétition.
01:06Je suis très surpris.
01:07Je n'aurais pas imaginé que ça vienne de vous, ça.
01:09Eh bien justement, vous savez pourquoi ?
01:11Parce que c'est mon avis et je suis complètement lobotomisée par cette finale de Ligue des Champions
01:16qui pour moi prend tout l'espace.
01:17Donc en fait, demain, j'ai conscience, le PSG, 15ème type de Coupe de France, etc.
01:23Néanmoins, je ne peux pas imaginer qu'on mette tous les efforts sur cette équipe du Paris Saint-Germain
01:30pour la Coupe de France et que le grand rendez-vous, ce sera la Ligue des Champions
01:33parce que c'est tellement attendu.
01:35C'est dans une semaine.
01:35Oui, mais ça ne fait pas tant de dodo que ça en fait.
01:40Là, il n'y a plus d'arguments, mais on compte tant de dodo.
01:44Moi, je change.
01:45C'est un peu en plus.
01:46J'avais pas pensé le dodo.
01:49J'avais pas pensé.
01:49T'en passent vite.
01:50Autant les journées, bon.
01:51Et j'entends la motivation de Louis-Saint-Riquet pour dire qu'effectivement,
01:55voilà, une finale après l'autre, etc.
01:57Vous ne m'enlèverez pas de l'idée que ça n'a pas quand même la même saveur.
02:00Je sais que pour certains joueurs...
02:01Ce n'est pas ma question.
02:03Ah mais pour moi, c'est une répétition.
02:05Voilà.
02:05Parce que...
02:06Si tu perds demain, ce n'est pas grave.
02:08Regardez le dessin de Faro.
02:09Regardez le dessin de Faro.
02:10PSG, Reims, la tête ailleurs.
02:12Et c'est vrai que, je le dis, le hasard du calendrier a fait que pour les deux équipes,
02:16cette finale, elle arrive.
02:17Mais je ne dis pas comme un cheveu sur la soupe, mais un peu.
02:19Alors, enfoncez le clou.
02:20Comme ça, vous leur expliquerez le football, Olivier et Emilie, Loïc et Karim.
02:24De toute façon, ce n'est pas très dur à la base.
02:25Mais là, bon...
02:25Non, mais je n'explique rien.
02:26J'ai même eu...
02:27Pour répondre, j'ai eu...
02:29Je ne savais pas, quoi.
02:31Je me dis...
02:32Ça ne m'arrange pas pour enfoncer...
02:33Non, non, non.
02:33Mais non, mais justement, parce que ça reste un grand rendez-vous.
02:37C'est une finale de Coupe de France, c'est une finale de Coupe de France.
02:39Mais il y a tellement de...
02:42Comment vous dire ?
02:42De choses bizarres dans cette finale.
02:45Oui, oui.
02:45Pour les deux équipes.
02:46Oui, oui.
02:46Et puis, plus pour les Parisiens quand même.
02:48Ça, il n'y a rien à faire.
02:49La question, elle est plutôt pour eux.
02:50Pour moi, alors, d'un point de vue, comment dire, plurement footballistique, il y a une telle supériorité du côté du Paris Saint-Germain, je ne dis pas qu'il n'y a pas de soucis.
03:00Mais bon, on les connaît, les finales de Ligue de France.
03:03Attention, Paris n'a pas battu France cette année.
03:05Oui, j'entends bien, j'entends bien.
03:06Mais bon, comment les Rémois vont arriver, sachant qu'ils sont impérativement obligés de gagner contre Metz quatre jours après, etc.
03:14C'est compliqué tout ça.
03:15Donc, de par la force parisienne qui n'aura peut-être pas beaucoup à s'employer pour gagner ce match, j'espère que non, pour qu'on ait un match et une soirée qui soit intéressante.
03:26Pas de blessure.
03:26Peut-être qu'il n'ait pas besoin de s'employer à fond.
03:29J'ai le sentiment que c'est une répétition.
03:31Alors, bien sûr, les messages de…
03:34Vous comprenez ce que dit Louis Serenquet, vous avez été coach.
03:35C'est normal, il ne peut pas dire autre chose.
03:37Louis Serenquet, il ne peut pas dire aux gars, bon les gars, vous laissez tomber demain, ce qui est important, c'est samedi prochain.
03:41Enfin, on le sait tous que c'est le plus important, quoi qu'on en dise et quoi qu'on y fasse, ça sera samedi prochain.
03:46En gros, s'ils perdaient, on leur garantissait qu'ils perdaient 5-0 samedi et qu'ils gagnaient la semaine d'après, ils signeraient quoi.
03:50Oui, non mais ils ne perdront pas 5-0.
03:51Non, mais je ne peux pas dire parce que c'est le principe de plus à l'extrême, Olivier.
03:54Non, mais voilà, c'est pour ça.
03:55Mais ça reste quand même, c'est ça pour ça que c'est difficile de répondre, ça reste quand même un moment important à la fin de la Coupe de France.
04:01Il y a une quête de trophée pour les nouveaux joueurs aussi du Paris Saint-Germain, parce que je vous dis que c'est la 15e fois qu'ils gagnent, etc.
04:05Ah bon, alors finalement, ça va être un moment donné.
04:07Viens, viens, viens, viens, viens, viens, viens, viens, viens, excusez-moi.
04:09Grégory, il n'a vraiment besoin de débattre.
04:11Finalement, je me demande qu'on joue.
04:13Mais oui, il s'auto-flagelle.
04:16Non, pas du tout.
04:17Non, pas du tout.
04:18Mais non, pas du tout, mais c'est encore de la chambre.
04:19Et puis ça fait du bien de s'auto-flageller comme ça, sans plat.
04:21C'était une émission de grande écoute familiale.
04:25Oui, mais justement, mais j'ai rien dit de...
04:28Non ?
04:28Ah bon ?
04:29Attendez, disons.
04:30S'il vous plaît.
04:31Olivier a dit comment Reims va y arriver.
04:34Eh bien, j'ai une idée sur comment Reims va y arriver, parce que Reims a posé des problèmes au PSG cette saison.
04:39Reims est la seule équipe avec Nantes et Nice qui n'a pas perdu en Ligue 1 cette saison contre le PSG.
04:44Deux fois, il y a eu deux matchs nuls en championnat, un partout à deux reprises.
04:48Il y a eu une seule victoire même depuis trois saisons en championnat.
04:51Les Parisiens butent souvent sur les Rémois.
04:55Et puis pour voir un petit peu le problème qu'a eu le PSG, c'est la possession.
04:5878% de possession lors des deux matchs en Ligue 1 cette saison.
05:01Des attaques défense et souvent, ça ne réussit pas forcément aux Parisiens.
05:04Et alors regardez, Karim et Loïc tremblent.
05:06Ils ne savent pas quoi vous répondre.
05:10Pourquoi ça reste quand même un grand rendez-vous ?
05:12Parce que ce que vous m'avez marqué, il n'y a pas eu d'hésitation.
05:13Parce que tu le disais Olivier, c'est la Coupe de France, c'est une finale de Coupe de France.
05:17Donc déjà d'emblée, c'est un grand rendez-vous.
05:19Vous jouez une finale pour décrocher un trophée.
05:20Et il ne faut jamais galvauder une finale et un trophée.
05:23Après, je pense que cette équipe-là, elle est programmée pour gagner tout le temps.
05:30Donc le moins de grains de sable peut vraiment rayer la machine pour cette équipe-là.
05:35Et honnêtement, demain, pour moi, il n'y a absolument aucun problème.
05:38Le PSG doit gagner, va gagner.
05:40À 99%.
05:42Et c'est ça le problème.
05:44Ils sont obligés, demain, d'être concentrés, malgré tout, pour pouvoir gagner ce match-là.
05:49Donc ce n'est pas une simple répétition.
05:50C'est un match qu'ils doivent gagner déjà demain.
05:53Ils ne sont pas dans un truc où, bon, répétition, sparring partner, ça gagne, ça perd.
05:57Le dernier championnat, presque.
05:59Non, parce qu'il peut y avoir des conséquences psychologiques.
06:01Vous perdez la finale contre Reims.
06:02Médiatique aussi.
06:03Médiatique.
06:03Vous perdez la finale contre Reims.
06:05Et l'Inter est champion ce week-end.
06:08Dans un concours de circonstances, c'est plus du tout la même.
06:11Non, on ne sait jamais.
06:11Est-ce que c'est impossible, sur le papier ?
06:13Non.
06:13Moi, je pense que le Kenape sera champion et que le BG va gagner facilement contre Reims.
06:17Mais on n'est pas à l'abri de ça.
06:19Donc ils sont obligés d'être concentrés.
06:21Et donc, de fait, ce n'est pas une répétition.
06:24Ça reste un grand rendez-vous pour eux, parce qu'ils sont obligés de gagner ce match-là.
06:28Si je puis me permettre de te répondre, parce qu'on n'a pas une question.
06:31Non, non, mais on n'a pas dit, et moi, tu vois, Émilie ou moi, on n'a pas dit qu'ils ne seront pas concentrés.
06:39Ce n'est pas ça, le problème.
06:40Pour moi, c'est pas un problème.
06:41C'est que peu importe le résultat.
06:43Ah non, non, mais une répétition, c'est-à-dire que ce n'est pas grave.
06:45La répétition, c'est pas grave.
06:46Non, une répétition, c'est que tu es prêt pour le grand show.
06:48C'est une répétition.
06:49Ils ne savent pas répéter.
06:50Ils ne connaissent pas le métier.
06:52Ils connaissent pas le métier.
06:53La répétition, je me trompe, c'est pas grave.
06:54Est-ce qu'on pourrait tous parler en même temps que personne ne comprenne ?
07:01Tu as la même concentration, toi, quand tu t'entraînes et quand tu fais un match ?
07:06Ah bah oui, quand tu sais ce que tu...
07:07Parce que, indirectement, mais parce qu'il y a quelque chose au mou.
07:11Non, mais parce qu'il y a quelque chose au mou.
07:12Ceux qui font les répétitions et après, derrière, quand ils tournent derrière la caméra,
07:16honnêtement, je ne pense pas qu'ils aient le même jeu et la même concentration.
07:18Donc là, c'est exactement pareil.
07:19À la question de Greg, je pense que c'est ce qu'il voulait dire, la répétition...
07:22On ne s'entend pas sur les...
07:23Non, mais je suis d'accord.
07:24J'ai pas la même définition que vous sur ce...
07:27J'avais pas prévu qu'on aille sur la sémantique, moi.
07:31Est-ce qu'ils vont avoir la tête ailleurs ? Est-ce qu'ils vont pas avoir peur de se blesser ?
07:34Est-ce que, finalement, une bande de France est un grand match ?
07:38Bah, en fait, je pose une excellente question.
07:40Vous validez par toute une bande de gens.
07:41Bah, vous allez sur le vent.
07:43Mettez-moi.
07:44Mais c'est vrai, répétition par répétition.
07:47On répond à la question et puis...
07:48Alors là, c'est mort.
07:50Ah non, c'est lui qui s'en va.
07:51Ah, pardon.
07:54C'est quoi cette musique, pour le vent ?
07:55C'est la nouvelle musique, elle est dansante.
07:57Elle est très bien, elle est moins chère.
08:00Oui, bonsoir.
08:01Bonsoir.
08:02Je suis désolé, mais comment...
08:04Moi, je crois pas une seconde qu'ils puissent le mettre.
08:06Je dis pas au même niveau, mais...
08:08Ils ont forcément cette finale la semaine prochaine dans la tête.
08:12Même ne serait-ce qu'au niveau de l'impact, pour pas se blesser.
08:14Là, ils sont à un match disputé, peut-être le match de leur vie.
08:17Oui.
08:18Alors, ils pensent à la finale de la Ligue des Champions.
08:20Mais ils pensent aussi à quelque chose qui est très important,
08:22dont on t'en va pas parler encore, c'est le triplé.
08:24C'est-à-dire qu'au-delà de marquer l'histoire
08:25en remportant la première Ligue des Champions
08:27de l'histoire du Paris Saint-Germain,
08:28ils veulent aussi marquer l'histoire du foot français en se disant
08:30« On est la seule équipe, même en Europe,
08:33à faire le triplé cette année,
08:34à gagner tous les titres qu'on a eus à disputer. »
08:37C'est pour ça que la Coupe du Monde des Clubs,
08:38même pour le PSG, est importante.
08:39S'ils gagnent cette Ligue des Champions,
08:41ils veulent continuer en se disant « Sur une saison,
08:43on a fait une saison qu'on ne refra peut-être plus jamais
08:45en gagnant tout ce qu'on a pu gagner. »
08:47Et cette histoire de triplé,
08:49chez les joueurs, c'est une notion très importante.
08:51C'est pour ça que demain, c'est tout sauf une répétition.
08:53C'est un match qu'il faut gagner.
08:54C'est un grand rendez-vous en dessous de la Ligue des Champions.
08:56Mais c'est un grand rendez-vous et un titre à aller chercher.
08:59Revenez, Karim, on ne va pas vous laisser trop longtemps.
09:01C'est une fois le boss, c'est vrai.
09:03Mais une finale de Coupe de France,
09:05normalement, on dit « C'est la plus belle compétition française,
09:07elle est là. »
09:07Là, il faut bien reconnaître.
09:08Et là, maintenant, je ne cherche même plus à vous diviser.
09:10Ce PSG Reims en affiche elle-même,
09:13avec ce que vivent les deux clubs,
09:15franchement, Émilie, c'est inimaginable.
09:18C'est le petit truc en plus de cette saison folle du foot français.
09:21Le petit truc en plus qui fait
09:23que ça a rajouté de la dramaturgie à ce match.
09:25où, en fait, il n'y en aurait peut-être pas eu à la base
09:27si vous aviez vu juste l'affiche PSG Reims en disant « OK ».
09:29Oui, genre Reims, 15e, PSG éliminé en demi.
09:32On aurait dit « Merci bien, terminez, bonsoir et on regardera à la télé ».
09:35Et là, pas du tout, je trouve,
09:36parce que ça rapporte encore plus de saveurs à cette saison incroyable.
09:40Et qu'au final, on s'attache aussi aux joueurs et moi
09:43en disant « Mais qu'est-ce qu'ils vont faire dans cette situation-là ? »
09:45Ils ont une semaine de l'enfer.
09:47C'est pareil, ils vont complètement zapper le barrage.
09:49C'est une finale de coupe.
09:50Pour les joueurs, c'est ça.
09:51Mais c'est là où je pense que personne ne peut être d'accord
09:56et chacun a son état d'esprit entre
09:58qu'est-ce que tu privilégies, entre sur le moment
10:01et en même temps, est-ce que tu veux sauver ta peau ?
10:02C'est pas la question.
10:03C'est pas parce que tu joues la finale à fond
10:07que tu vas perdre mercredi.
10:09En plus, c'est jeudi.
10:11Et au contraire, je pense que ça peut même les galvaniser.
10:13Imaginons que demain, ils fassent un énorme match
10:16et que ça aille en prolongue et que le PSG la gagne quand même.
10:19Franchement, en termes de confiance,
10:20ça leur rapporte tellement pour le match de jeudi prochain.
10:23En même temps, quand tu vois Rhin jouer contre Messe,
10:27jeudi, tu te dis « Bouh, il y a quelque chose. »
10:31En même temps, les Messeins, ils seraient ravis
10:32que ça aille en prolongue sur le jeu.
10:33Je ne suis pas de la même manière.
10:34Là, ils jouent avec la pétoche, ils ne sont pas bien.
10:36Il n'y a aucun souci.
10:36Là, une fin de Coupe de France, tu es libéré.
10:38Il n'y a aucun souci.
10:39Non, non, mais il n'y a aucun souci.
10:39Par contre, si vous en prenez cinq.
10:41Oui, mais c'est ce qui est écrit sur le papier.
10:45Donc, au final, ils se concentreront après derrière sur le match.
10:47Mais ça ne peut être que bénéfique pour eux, je pense.
10:49Ils ont tout à gagner.
10:50Loïc a parlé d'histoire pour les Parisiens
10:52sur le fait de faire un triplé en France,
10:54championnat, Coupe et Ligue des Champions.
10:56Reims aussi a envie de réécrire l'histoire.
10:58Peut-être regarder le dernier titre pour les Rémois
11:00parce qu'eux aussi, ils ont quelque chose à jouer.
11:021962, ça fait donc 63 ans
11:04que le stade de Reims n'a pas gagné.
11:06Il y a eu une grande époque il y a très longtemps.
11:07Mais depuis, il ne s'est quasiment rien passé
11:08à part des titres de champions de Ligue 2.
11:10Donc, on parle du PSG.
11:11Reims aussi joue gros, tout simplement.
11:13Évidemment.
11:15Franchement, cette finale-là...
11:16Vous avez joué une finale de Coupe de France ?
11:17Je l'ai gagnée.
11:19Vous voulez que je vous colle au plafond ?
11:22En fait, vraiment, ce soir, c'est tout en premier degré.
11:26Ah ben, je suis désolé.
11:28Alors, Olivier, suite à vos victoires...
11:29J'y fais, j'y fonce.
11:30J'aime bien, je mors.
11:31Avec Strasbourg, souvenez-vous.
11:32C'est déjà surprenant qu'il s'en rappelle en plus.
11:35Ah non, Metz, pardon.
11:36Oh, la quête.
11:37Vous êtes vraiment...
11:38Et il doit y aller.
11:39Franchement, il doit y aller.
11:40Parce que c'est un manque de respect.
11:41On ne peut pas mettre tout le monde sur le banc
11:42après une demi-heure d'émission.
11:43Ah bon, d'accord.
11:44Oh, sale gosse.
11:45C'est un sale gosse.
11:46Et finale de Coupe de France,
11:47on dit toujours que c'est un match à part,
11:48une excitation à part.
11:49C'est vrai, c'est encore ?
11:50Mais tous les matchs...
11:51Pour moi, tous les matchs de Coupe de France
11:52sont un match...
11:53C'est un match totalement différent.
11:54Non, mais parce qu'ils ont rajouté
11:55encore des matchs avec des champions.
11:57Ils ont joué des matchs pour maintien.
11:58Ils ont un barrage.
11:59J'ai du mal, moi, à me projeter.
12:01Comment ?
12:02Ce n'est pas une belle édition.
12:03On peut le reconnaître.
12:04Cette année, quand même,
12:05ce n'est pas une édition de la Coupe de France
12:06qui est énorme.
12:07En termes de jeu,
12:08même les gros éliminés par des petits,
12:10ça n'a pas été des matchs...
12:11En plus, ils ont arrivé à la prolongation.
12:12Super.
12:13Oui, voilà.
12:13De toute façon, on est toujours contre.
12:15Évidemment.
12:15C'est terrible.
12:16Mais la finale de Coupe de France, c'est la finale.
12:17Non, mais la finale de Coupe de France,
12:18c'est un moment...
12:20Alors oui, parce que ça implique plein de choses.
12:24Un truc tout con, par exemple.
12:26Le bonheur d'aller chercher la Coupe de France
12:27et la montrer devant tout le monde.
12:30Il y a un truc, tu vois.
12:31Ça donne des sentiments.
12:35C'est extraordinaire.
12:36Nous, on en parle toujours, les vieux,
12:37quand on se rencontre.
12:37Non, mais nous, on n'en parle aussi.
12:38On n'est pas vieux.
12:39Non, mais c'est comme ça.
12:40Tu te rappelles...
12:41Non, mais c'est un moment enthousiasmant.
12:44C'est un moment génial.
12:45Tu as l'adrégaline.
12:46C'est monté au plafond.
12:47Puis, surtout, ce qu'il ne faut jamais oublier
12:49dans ces grands moments-là,
12:51c'est que tu amènes 25 000 personnes de chez toi.
12:55Parce que les supporters, ils te suivent le jour-là.
12:57Et quand tu as une moitié de stade...
12:58Oui, mais c'est la première fois que les supporters se disent
13:00qu'est-ce qu'on fait pendant ce match-là ?
13:01Ils vont supporter leur équipe.
13:03Mais tous, même les supporters et moi,
13:04les Parisiens, je peux vous dire qu'ils ont la tête...
13:05Oui, mais d'accord.
13:06Mais quand même, ils vont vivre un moment.
13:08Non, mais ils vont y aller.
13:09Ils vont pousser pendant une heure et demie,
13:10une heure 45, mais une fois de plus.
13:12Ce qui est très particulier,
13:13alors que c'est une finale de Coupe de France,
13:14et je bois les paroles d'Olivier.
13:16Je suis d'accord.
13:17Si vous dites aux deux équipes,
13:19vous perdez ce match-là,
13:20mais la semaine prochaine, ça se passe bien,
13:22les deux vous le signent.
13:23Pas Reims.
13:24L'équipe, les dirigeants de Reims peut-être,
13:26les supporters peut-être pas.
13:26Non, mais je vous garantis.
13:27Vous dites à un supporter de Reims.
13:29Les deux l'année prochaine
13:29et avoir gagné une Coupe de France cette année.
13:31Ah oui, j'ai pas gagné le titre depuis 60 ans.
13:34J'ai pas gagné le titre depuis 60 ans.
13:36C'est dur une descente.
13:3760 ans, j'ai pas gagné le titre.
13:39Je prends un titre et je reviendrai dans 3 ans
13:41dans 4 ans en Ligue 1.
13:42Je suis à peu près persuadé
13:43qu'ils préfèrent voir leur club de Martins au Ligue 1
13:45avec une sécurité qui me répond aux Ligue 1.
13:47Coupe de France et la Ligue d'Europa.
13:49Vous allez éventuellement essayer de ronquer en prochain.
13:50Attendez, les gars,
13:51vous savez pas,
13:52quand vous descendez en Ligue 2...
13:54Mais les joueurs, Olivier,
13:54mais même les joueurs,
13:56les joueurs,
13:57quand tu descends en Ligue 2...
13:58Et puis ils vont se faire virer en plus
14:00pour une partie d'en dessous.
14:01Il y a des loin en dessous.
14:02Non, vous vous trompez.
14:03Ne me montrez pas du doigt, M. Tornzy.
14:05Vous, les ronds cuire là.
14:07De toute façon, il faut qu'on y a...
14:07Non, Olivier, il est 52.
14:09C'est lui qui est avec Dabé Campi.
14:10Non, mais ça fait rien.
14:11Mais juste quand tu descends,
14:12tu ne sais jamais quand tu remontes.
14:13Et ça, c'est un gros problème.
14:14Le titre, c'est pareil.
14:15Surtout en ce moment avec les droits télé.
14:17Allez, je dis que je vais dire.
14:18Dans un instant,
14:20je peux encore apporter beaucoup au PSG.
14:22Marquinhos, Vitinha,
14:23suivi par le Real.
14:24On en parle.
14:25A tout de suite.
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