Martigues a tenu le Paris FC en échec ce vendredi soir (1-1) dans un Turcan comble, mais la victoire de Clermont le replonge dans la zone rouge avant la dernière journée. Il faudra ramener un résultat de Lorient.
On a beau avoir l'habitude de voir ces images à chaque fin de saison, le contraste est toujours aussi saisissant. Quand les joueurs du Paris FC ont explosé de joie réunis au milieu du terrain pour célébrer la montée en Ligue 1, quelques instants après le coup de sifflet final le temps d'avoir confirmation que Metz n'avait fait que match nul à Rodez (3-3), ceux du FC Martigues (https://www.laprovence.com/article/sports/9802299837004514/football-ligue-2-martigues-paris-fc-le-mini-clasico-qui-va-electriser-le-stade-francis-turcan), eux, étaient éparpillés un peu partout.
Têtes basses, Karim Tlili ou Samir Belloumou sont allés discuter avec quelques supporters, les autres sont rentrés aux vestiaires doucement, et après une soirée passée dans le bruit et la fureur d'un match au couteau joué dans un stade Francis-Turcan archi-comble, on n'entendait alors plus que la grosse centaine de Parisiens qui chantait à tue-tête "On est en Ligue 1".
On a beau avoir l'habitude de voir ces images à chaque fin de saison, le contraste est toujours aussi saisissant. Quand les joueurs du Paris FC ont explosé de joie réunis au milieu du terrain pour célébrer la montée en Ligue 1, quelques instants après le coup de sifflet final le temps d'avoir confirmation que Metz n'avait fait que match nul à Rodez (3-3), ceux du FC Martigues (https://www.laprovence.com/article/sports/9802299837004514/football-ligue-2-martigues-paris-fc-le-mini-clasico-qui-va-electriser-le-stade-francis-turcan), eux, étaient éparpillés un peu partout.
Têtes basses, Karim Tlili ou Samir Belloumou sont allés discuter avec quelques supporters, les autres sont rentrés aux vestiaires doucement, et après une soirée passée dans le bruit et la fureur d'un match au couteau joué dans un stade Francis-Turcan archi-comble, on n'entendait alors plus que la grosse centaine de Parisiens qui chantait à tue-tête "On est en Ligue 1".
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00:00Moi, j'ai récupéré une équipe dans un état catastrophique.
00:03Incapable de lutter, incapable de produire du jeu et relégué.
00:09Aujourd'hui, nous sommes à la course au midi.
00:30Tout va se jouer peut-être à la dernière journée, il s'avère que tout va se jouer la dernière journée.
00:36Aujourd'hui, le contexte fait que ce n'est pas une bonne performance mathématique,
00:40mais sportivement, c'est une très belle perf.
00:42Je ne peux pas ne pas féliciter tes joueurs.
00:43Je veux dire, aujourd'hui, moi, je n'ai rien à dire aux gars.
00:45Ils ont été au max, ils ont donné le maximum, ils ont répondu au même niveau, bec à bec, mètre par mètre.
00:53Il n'y a rien à dire.
00:54Après, c'est le football, il y a clairement qui bagarre.
00:56Et puis, tu vas aller bagarrer, boxer jusqu'à la fin.
01:00Aujourd'hui, Marti est une équipe de Ligue 2 qui peut rivaliser avec n'importe qui.
01:05C'est déjà bien.
01:06Après, aller, boxer à Lorient, ça sera autre chose.
01:12Mais sur un match, encore une fois, tout peut arriver.
01:14Tout peut arriver, on le montre aujourd'hui.
01:21C'est bien pour nous qu'ils battent Lorient.
01:24Et puis, comme je l'ai dit précédemment, pour Hakim, parce qu'il a fait un travail remarquable.
01:30Donc, s'il peut aller gagner à Lorient pour lui déjà, et si nous, on arrive à gagner à Jaccio,
01:36on sera content.
01:37Je serai content pour le titre et je serai content pour Marti et pour Hakim.
01:41Merci.
01:42Merci.
01:43Merci.
01:44Merci.
01:45Merci.
01:46Merci.
01:47Merci.