Passer au playerPasser au contenu principal
  • il y a 7 mois
«On ne peut plus considérer qu'il s'agit de simples faits divers. C'est un fait de société. Il faut tout reconstruire», déplore Georges Fenech.

Catégorie

🗞
News
Transcription
00:00Il a lucidement fait le constat que ces comportements de mineurs, gravissimes, avec armes, qu'on voit régulièrement, malheureusement, on ne peut plus considérer qu'il s'agissait de ces simples faits divers.
00:13La répétition, en fait, a fait société. La circulation des armes blanches, la perte de l'autorité, le sentiment d'impunité, je ne sais pas ce qui arrivera à celui-ci.
00:23Est-ce qu'on ne déclarera pas des fois cette faculté intellectuelle abolie ? Il échappera peut-être à une sanction.
00:30Ou peut-être, si on reconnaît ces facultés, quand même une partie qui bénéficiera de l'excuse de minorité, bien entendu.
00:37Donc, vous voyez, on est dans une société aujourd'hui, il faut tout reconstruire, comme l'a dit M. Retailleau.
00:42Reconstruire, reconstruire, c'est-à-dire reconstruire une société qui tienne debout.
00:46Oui, mais ça veut dire quoi ?
00:48Vaste chantier.
00:49Ça veut dire quoi précisément ?
00:50Ça veut dire, vous le savez très bien, rétablir d'abord l'autorité, que la peur change de camp,
00:57que ce soit plus du côté de l'enseignant, mais du côté des élèves qui perturbent,
01:01que la peur passe du côté des trafiquants et non pas du côté des surveillants pénitentiaires.
01:05Enfin, on voit bien que tout est inversé aujourd'hui.
01:07Donc, il faut rétablir l'autorité.
01:09Il faut des sanctions très fermes.
01:11Il faut que l'autorité, il faut que l'État se ressaisisse.
01:13Sous-titrage Société Radio-Canada
Écris le tout premier commentaire
Ajoute ton commentaire

Recommandations