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Détention de Samuel Sarr_ après 4 évacuations, la justice demande une expertise médicale...
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11/04/2025
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00:00
Alors Babacar Kevé, ce point est en l'affaire Samuel Sarr.
00:05
Nous avons dit à l'affaire Samuel Sarr, Aïda,
00:08
qui a été très hausse,
00:10
car elle a été en train de se faire des histoires.
00:13
Quand elle a été évoquée, le 24 août,
00:15
on a été évoquée par la mandat de dépôt.
00:17
Si elle a été évoquée par les gens,
00:20
elle a été évoquée par les gens.
00:22
Elle a été transférée à son pavillon spécial pour lui dire qu'elle a été évoquée.
00:28
C'est un avocat et des médecins qui l'ont fait de sorte pour qu'elle soit en dehors des cellules.
00:37
Parce qu'il n'y a pas d'adoption pour qu'elle soit en dehors des cellules.
00:41
Il n'y a pas d'adoption pour qu'elle soit en dehors des cellules.
00:46
Mais il n'y a pas besoin de l'hôpital d'un pavillon spécial.
00:51
Il n'y a pas d'adoption pour qu'elle soit en dehors des médecins.
00:56
Il a besoin d'un bénéfice avec des médecins qui se déroule.
01:01
Ce qui est contre-expertise est la même chose de la personne.
01:06
En suivant les Décadements, il n'y a pas d'adoption pour qu'elle soit en dehors des cellules.
01:10
Il n'y a pas d'adoption pour qu'elle soit en dehors des cellules.
01:13
Mais aujourd'hui, il y a un document qui a été réalisé par le docteur Adama Diop.
01:17
Il a fait des recherches pour qu'elle soit en dehors des cellules.
01:21
où on était désigné au bureau de Saito et ce qui nous avons remis de la campagne pour ce travail.
01:31
Et nous avons écouté les essais de la société pour qu'il ait une compétition des conseils d'administration.
01:45
Et nous avons apprécié les appels à notre société et les déposés.
01:49
C'est un dossier que nous avons vu plusieurs fois que l'avocat a été agitée
01:56
et a dit qu'il a donné la liberté provisoire de son client Mohamed
02:00
et qu'il a dit qu'il s'agissait dans l'oreille malgré l'état de santé
02:04
et qu'il a été empiré de plus en plus.
02:07
Oui, si vous regardez cette situation,
02:11
nous avons dit qu'il a dit qu'il a été alarmé de la presse
02:21
parce qu'il n'y a pas d'une personne qui est arrivée.
02:24
Il a été tiré la sonnette d'alarme comme on l'a dit.
02:29
Peut-être que la situation est alarmante.
02:33
Mais ce qui nous a dit, c'est que le juge d'instruction
02:38
est un état de santé et est-il compatible avec la situation carcérale.
02:43
Nous avons dit qu'au bout d'un processus,
02:46
les décisions ne peuvent pas prendre.
02:49
Parce qu'au-delà de l'incarcération aussi,
02:51
il y a des moyens qui peuvent aussi mettre le sous-contrôle judiciaire,
02:55
les bracelets électroniques.
02:57
Il y a des moyens qui peuvent aussi mettre le sous-contrôle judiciaire.
02:59
Il y a des moyens qui peuvent aussi mettre le sous-contrôle judiciaire.
03:02
Le juge d'instruction ne peut pas être à la disposition de la justice.
03:05
Je pense qu'au-delà de l'incarcément,
03:08
ils peuvent avoir confiance à la justice.
03:10
Peut-être que la décision sera prise par rapport à Birmi.
03:13
Mais ce qui est aussi,
03:14
c'est que Birmi,
03:15
c'est qu'il y a de l'incarcément.
03:17
Parce que,
03:18
Samuel Saab,
03:19
qui ne peut pas être enclenchée par rapport à Birmi.
03:21
Mais,
03:22
il y a aussi une question de Birmi.
03:24
Parce que,
03:26
Samuel Saab,
03:28
il y a des procédures contre la justice.
03:32
Il y a des procédures contre la justice.
03:33
Il y a des procédures.
03:35
Il y a des procédures,
03:36
c'est un peu différent.
03:37
Il y a des procédures.
03:38
Par contre,
03:39
si le niveau d'aller aussi,
03:40
c'est qu'une entreprise qui est une zone d'énergie et nous.
03:43
...
03:44
ou en Afrique.
03:45
Donc,
03:46
Il y aurait toujours lieu d'être contentifié entre lui et l'État du Sénégal.
03:51
Donc, c'est une plainte au sein d'une entreprise qui est là et qui est très bien.
03:56
Donc, il y a des gens qui ont fait le travail.
03:58
Donc, il faut qu'il y ait une stratégie stratégique.
04:03
Il y a une énergie, mais aussi, il y a des nationalités.
04:09
Donc, c'est tout ce qui est très bien.
04:13
Mais je pense fondamentalement que,
04:15
d'ici un peu seulement, il faut que l'enquête soit la décision,
04:18
que l'enquête soit la décision et que l'enquête soit la décision.
04:23
Alors, Babakar, pourquoi est-ce que l'enquête soit la décision de Samuel Saad?
04:27
Oui, si on peut le faire, peut-être qu'on peut le faire.
04:30
Pourquoi? Parce que, si tu penses que c'est Saad, mais pas Saad, Bari,
04:33
le juge qui s'appelle Bari, est le meilleur dossier.
04:36
Parce qu'il a aussi une décision favorable.
04:38
Donc, il a eu l'affirmation que le professeur Maïmoun Ndour a été déposée.
04:43
Il a été désigné le professeur Maïmoun Ndour.
04:46
Pour que l'on puisse me faire attention.
04:48
C'est ce que tu as vu.
04:49
C'est l'autorilité de l'ordinance pour que l'on puisse le faire.
04:52
Pour que l'on puisse le faire.
04:54
C'est un certificat pour que l'on puisse le faire.
04:56
Donc, tout dépendra de ce qui est désigné.
04:59
Il doit lui faire l'expertise.
05:01
Au-delà, ils sont venus à l'enquête.
05:03
Pour qu'il puisse l'enquête.
05:05
Pour qu'il puisse le faire.
05:06
Il a été déposé le dossier.
05:08
Et quand on a fait le mandat de dépôt le 24 octobre et maintenant.
05:12
J'ai demandé quatre fois pour qu'il soit le pavillon spécial.
05:15
Donc, le médecin doit être de manière permanente.
05:18
Sous-surveillance.
05:19
C'est un cardiologue qui doit être au quotidien.
05:22
C'est une situation de santé.
05:25
C'est ce que j'ai appris.
05:27
Donc, il faut louer le pavillon.
05:29
Il a été à l'hôpital local.
05:31
Il va être à l'hôpital.
05:32
Il va être à l'hôpital.
05:33
Il va peut-être que le sangthème va détériorer.
05:35
Il va être à l'hôpital.
05:36
Et ce qu'on peut faire.
05:38
Mais si tu as l'expert,
05:41
il va être à l'hôpital.
05:43
Il va lui donner un peu de temps.
05:45
Il va lui mettre tout le temps.
05:47
Il va lui mettre sur la table pour le pour et le contre.
05:49
Il va lui donner un médecin.
05:51
Mais il va lui donner un peu d'avantages.
05:53
Il va lui donner un peu équitable.
05:56
Donc, si vous avez fait pour le pour et le contre.
05:58
Il va lui donner une chose pour lui donner.
06:00
Il va essayer de le décéder.
06:01
Mais à l'hôpital, il a été décédé.
06:02
En plus, il a été décédé.
06:05
Après, le résultat.
06:08
Il pouvait la trancher.
06:10
Il avait rappelé que Mbiremou,
06:12
c'était dans l'affaire WEST AFRICA ENERGY.
06:13
Il avait l'opposé dans les pays.
06:15
On a fait pour le déposé un plan.
06:17
C'est pour d'autres 8 milliards de Français.
06:20
C'est un plan.
06:22
Il avait de l'éforisme.
06:26
Et le président ne devait d'avoir des questions.
06:28
C'est ce qu'il y a dans le cadre de l'Energie, mais il y a des contre-accusés.
06:33
Il y a une autre analyse dans le cadre des finances et une autre entreprise.
06:42
Il y a des fausses, mais il n'y a pas de fausses.
06:48
Mais il n'y a pas de fausses.
06:51
Il n'y a pas de fausses, mais il n'y a pas de fausses.
07:04
Pourtant, il n'y a pas de fausses politiques.
07:09
Il n'y a pas de fausses politiques.
07:13
Qu'est-ce qu'on peut faire?
07:15
Je ne pense pas que la Russie est un opposant.
07:19
Avant de la cause, il faut donner des destes politiques du premier plan.
07:25
Pourtant, il n'y a pas d'attitude.
07:27
Ce n'est plus qu'une ministre de l'Energie.
07:31
Donc, il n'y aurais pas des vous-même d'attitude l'อะ.
07:36
qui n'ont pas eu l'acte politique.
07:40
Et si on a posé un acte politique,
07:45
il y a un parti politique, mais tout le monde sait.
07:49
Je ne sais pas le parti politique.
07:51
Mais il n'y a pas eu de candidats à ses élections.
07:55
Mais il ne faut pas être un homme politique de premier plan.
07:59
Même si un homme politique de premier plan,
08:02
il n'y a pas eu d'opposé.
08:04
D'ailleurs, il n'y a pas eu de style.
08:06
Il n'y a pas eu d'opposé,
08:08
par exemple, pour gêner le pouvoir actuel.
08:10
Ou peut-être qu'il n'y a pas eu de candidats politiquement.
08:12
Il n'y a pas eu de candidats.
08:14
Il n'y a pas eu de candidats politiques.
08:16
Mais la justice n'a pas eu de candidats.
08:18
Nous états d'âme,
08:20
nous avons eu la justice.
08:22
Parce qu'il n'y a pas eu le procès de Karim Ouad.
08:26
Il s'est passé au tribunal.
08:28
Il s'est passé au tribunal.
08:30
humainement,
08:32
vous l'avez fait à son atroce.
08:34
Mais l'a un homme qui s'est passé au tribunal.
08:38
Il s'est passé au tribunal pour arrêter les candidats.
08:40
Premièrement, il s'est passé au tribunal.
08:42
Il s'est passé au courant de l'EFI.
08:44
Il s'est passé au jour.
08:46
Il s'est passé à l'échoire.
08:48
On a vu que ça se compliquait.
08:50
C'est ce que j'ai dit, mais il n'y avait pas d'accord sur le site.
08:55
Mais c'est pour dire que c'est ce que je vous conseille.
08:59
Parce que pour vous mettre sous mandat de dépôt, l'idée ce n'est pas de te mettre en danger.
09:05
L'idée ce n'est pas de faire un centre de dégradé.
09:09
Mais l'idée c'est de ne pas le faire en attendant qu'ils prennent l'enquête.
09:13
Donc il y a beaucoup de choses qui ont dit que c'est pour protéger les enquêtes.
09:19
Ce n'est pas pour que vous n'avez pas de possibilité.
09:23
C'est ce qu'on peut avoir sur le mandat de dépôt.
09:25
Mais aussi la vie humaine est sacrée, inviolable aussi selon la constitution.
09:31
L'équilibre, je pense qu'on n'a pas de difficulté pour pouvoir l'avoir.
09:37
Contre une expertise médicale.
09:40
Donc je sais que si la conclusion et la parole, il va nous donner aussi.
09:44
Après, il va nous donner un enseignement.
09:48
Oui, parce que Diamoneji, il va nous donner un problème de santé.
09:56
Avec les certificats médicaux.
09:58
Oui, les certificats médicaux.
10:00
Oui, selon ses avocats.
10:02
Ils ont été ratifiés.
10:04
Ils ont été ratifiés.
10:06
Mais si ils ont été ratifiés, c'est le médecin qui a été certifié.
10:12
Ils ont été ratifiés pour les gens en demande.
10:15
Par contre, les juges ont le droit.
10:17
Ils ont été ratifiés pour faire les certifiés médicaux.
10:20
Comme nous l'avons dit dans le journal également, il y a beaucoup de gens qui le connaissent très souvent dans le travail.
10:28
Il y aura peut-être d'un homme qui est en IndiWatt, il y aura peut-être d'autres types.
10:34
Il y a des types qui ne sont pas réveillés par rapport à ceux qui le citent.
10:38
Mais comme nous l'avons dit, il y a des risques de la maladie.
10:43
C'est le paradoxe.
10:45
Le secret médical est de respecter, mais il y a des situations où les gens veulent faire des risques.
10:52
Tout est dévoilé.
10:53
Après, il y a une stratégie.
10:55
Mais bon, il y a une stratégie aussi.
10:57
Mais il y a une stratégie.
10:59
Mais il y a une stratégie, parce que dès lors que le juge d'instruction a le dossier médical, il y a un dossier.
11:06
Donc il ne faut pas forcément nous dire dans les détails que ceci et cela.
11:11
Parce que le secret médical aussi, ça me le connaît.
11:13
Mais le texte, bon, il n'y a pas de stratégie.
11:17
Mais en tout cas, il y a une stratégie.
11:19
Parce que dès que je poussais le juge pour signer une ordonnance de nomination pour un autre médecin qui a fait une certification,
11:25
C'est ce que je veux dire pour tout être comme homme, c'est qu'il faut prendre au sérieux.
11:30
Et il est dans l'obligation de jouer le rôle de l'équilibre.
11:34
Au-delà de tout ça, il faut que tu le joues dans le juge.
11:37
Il y a tous les détails par rapport à la maladie.
11:40
Il y a tous les détails par rapport à la maladie.
11:44
Après, il y a aussi le secret médical.
11:46
Oui, il y a aussi le secret médical.
11:48
Parce qu'il veut dire qu'il faut que le secret médical peut nous préserver.
11:55
Mais quand même, il faut que tu sais, comme le avocat, il faut que tu as toutes les armes que tu as,
12:04
Il faut que tu as l'utiliser pour que tu as l'utiliser pour atteindre ses objectifs.
12:11
Donc, je pense qu'aussi qu'on peut le comprendre.
12:15
Waouh, c'est ça.
12:17
C'est ça que c'est l'affaire Samuel Saar.
12:21
Donc, on va aller à deux points.
12:24
C'est ça, c'est ça.
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