00:00— Pour une fois, effectivement, une fois par an au moins, Chambre de Présentant et Sénat. Et il a parlé du hawkisme, il a parlé de Doge, il a parlé de cet extraordinaire, quand même, étalage et découverte...
00:15Je ne sais pas si c'est de la corruption, si c'est du gaspillage, si c'est de la bêtise ou tout ça à la fois. Des milliers de milliards de dollars engagés par l'USAID et un certain nombre d'institutions
00:27pour les motifs les plus hallucinants. On ne va pas développer. On l'a déjà fait, vous savez, dans Berkow, dans tous ces États. Mais enfin, quand même, c'était extraordinaire.
00:34Et puis il a fini sur Russie-Ukraine. Et il a dit quelque chose d'intéressant hier. Je rappelle... Vous voyez, on en a parlé partout. Donc je rappelle vendredi le clash entre le président de l'Ukraine
00:45Volodymyr Zelensky et Donald Trump et J.D. Evans, son vice-président. Zelensky, pas question, ça ne va pas du tout. L'autre lui dit, vous n'avez pas les cartes. Enfin, on ne sait ce qui est passé.
00:57Tout est rompu, mon gendre. Et puis on arrête, effectivement, les envois d'armes, l'aide, etc. aux États-Unis. Donc, Zelensky part en Europe. Et là, Kirsten Armer et Emmanuel Macron et tous les autres lui disent
01:08« Mais non, non, continuez, on est là. Et l'Europe va être là si les États-Unis abandonnent leur poste par l'H.T. municoise. Eh bien, nous serons là pour l'aider. »
01:17Simplement, il se rend compte, Zelensky, que ce qui est alloué à l'Europe est un peu minuscule, que du point de vue militaire, l'armée européenne n'a jamais existé.
01:26Et si elle existe, ça prendra quelques années. Excusez-moi. Et donc, il réfléchit, Zelensky. Et lundi... Vous voyez, ça se passe vite, de vendredi à lundi.
01:37Eh bien, Trump dit lundi « Si Zelensky ne se présente pas à la table des négociations prêt à conclure la paix, il ne sera pas là très longtemps. »
01:45Eh bien, quelques heures plus tard, Trump coupe tous les envois d'armes, l'aide, le financement, jusqu'à ce que Zelensky s'engage.
01:52Et aujourd'hui, Zelensky est prêt à s'engager en faveur d'un accord de paix. Oui, oui, il va venir, il l'a dit, pour signer les accords sur les terres rares.
02:01Il était venu pour ça, effectivement, vendredi matin. Voilà, on a perdu 4 jours. Je ne sais pas si on a perdu la face ou qui a perdu la face.
02:09Ça s'appelle quoi ? Ça s'appelle l'art du deal à la Trump. Vous voyez, il l'a montré avec les Colombiens. C'est-à-dire, voilà, on hausse les enchères.
02:17Vous voulez, vous voulez pas. On fait le rapport des forces. Voilà. Et il réussit à avoir, en quelques jours, ce que d'autres, pour d'autres domaines,
02:24n'ont pas eu depuis 10 ans, 20 ans ou 40 ans. Suivez mon regard. Vous voyez, c'est toujours intéressant de voir ce que veulent dire les nations.
02:33Et quand Charles de Gaulle, un certain Charles de Gaulle, disait que les nations n'ont pas d'amis mais ont des intérêts, il savait de quoi il parlait.
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