Passer au player
Passer au contenu principal
Passer au pied de page
Rechercher
Se connecter
Regarder en plein écran
Like
Commentaires
Favori
Partager
Ajouter à la playlist
Signaler
La RTBF diffuse le discours de Donald Trump avec un différé : «on est chez les fous !» s'insurge Pascal Praud
Europe 1
Suivre
22/01/2025
Catégorie
🗞
News
Transcription
Afficher la transcription complète de la vidéo
00:00
11h-13h sur Europe 1
00:03
Pascal Praud
00:04
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche continue de rendre certains médias notamment complètement fous, disons-le.
00:10
Après le journal Le Monde, Libération a annoncé qu'il quittait le réseau social X.
00:14
Nous vous parlions hier de chercheurs du CNRS qui sont à l'origine du compte Eloquit X pour quitter le réseau social.
00:22
Il y a d'ailleurs des questions qui ont été posées à l'Assemblée Nationale parce que le CNRS c'est votre argent.
00:26
Ils ont peut-être autre chose à faire, ces chercheurs qui cherchent, peut-être serait-il bien qu'ils trouvent
00:33
plutôt que de monter des applications avec l'argent des Français pour quitter Twitter.
00:39
Vous savez quelle est la rémunération moyenne d'un chercheur d'ailleurs permanent ? 4739 euros bruts.
00:44
Je rappelle que le CNRS est une exception française.
00:48
Des chercheurs scientifiques, pourquoi pas, mais des chercheurs sociologues qui cherchent je ne sais quoi
00:53
et qui sont effectivement plutôt dans une tendance très à gauche, ce type de chercheurs.
01:02
Ça n'existe quasiment nulle part dans le monde sauf dans l'ex-URSS.
01:07
Il y avait des chercheurs fonctionnaires.
01:09
Et puis la RTBF que je voulais vous faire entendre, qui est la radio-télévision belge,
01:15
elle a décidé lundi soir de diffuser le discours de Trump en léger différé.
01:19
L'un des responsables a parlé d'un cordon sanitaire médiatique. Écoutons.
01:24
Alors on a constaté à plusieurs reprises que Donald Trump a tenu des propos racistes, d'extrême droite,
01:30
xénophobe, d'incitation à la haine également.
01:33
Et donc nous avons décidé de diffuser ce discours avec un léger différé
01:37
pour prendre tout simplement le temps de l'analyse du décryptage.
01:41
C'est une pratique que nous appelons avec un terme technique qui s'appelle le cordon sanitaire médiatique
01:47
et qui nous permet tout simplement d'éviter de banaliser des propos d'extrême droite,
01:52
des propos d'incitation à la haine.
01:54
Il ne s'agit certainement pas de censure.
01:57
Évidemment que la RTBF ne pratique pas la censure.
01:59
Ce n'est pas pour autant, et je tiens vraiment à le préciser, que la RTBF est pro ou anti-Trump.
02:04
Nous faisons un travail impartial.
02:07
Mais comment peut-on dire cela ?
02:09
Ce sont des censeurs.
02:11
C'est effrayant.
02:13
C'est-à-dire que c'est le ministre de la Vérité, ceux qui ont lu Orwell,
02:18
et qui entendent cette dame qui s'appelle Aurélie Didier,
02:21
directrice éditoriale adjointe de l'information de la RTBF.
02:26
Vous êtes exactement dans le cœur du ministre de la Vérité.
02:30
Elle dit, je vais d'abord écouter M. Trump,
02:32
et je vais vérifier si ses paroles, ses opinions sont audibles pour mon auditoire.
02:38
On se demande d'ailleurs pourquoi, parce qu'il est assez grand, l'auditoire,
02:41
pour savoir si c'est raciste, pas raciste, intéressant, pas intéressant, etc.
02:45
Et en fonction de je ne sais quel collège qui dira si le propos est d'extrême droite ou pas,
02:52
je passerai les propos de M. Trump à l'antenne ou non.
02:56
Mais on est chez les fous.
02:58
On est chez les fous en Belgique.
03:00
Et cette dame, la manière dont elle parle, me fait peur.
03:04
Je ne sais pas vous, mais elle me fait peur.
03:06
Donc si elle veut répondre Aurélie Didier, je n'ai aucun souci.
03:10
Je ne suis pas sûr qu'elle veuille nous répondre.
03:13
Mais qui aurait décidé qu'un mot est d'extrême droite ?
03:17
C'est quoi une pensée d'extrême droite, Mme Aurélie Didier ?
03:20
C'est quand les G différaient.
03:22
Donc il y a quelqu'un, il y a un collège, qui aurait décidé ?
03:25
Il n'y avait pas d'enquête, j'imagine, il n'y avait pas de tribunal.
03:27
C'est elle qui décide, toute seule, dans son bureau, d'un propos d'extrême droite ?
03:32
Mais enfin, c'est le ministre de la Vérité.
03:35
Il y a un ministre de la Vérité chez Arouel.
03:37
Je vous assure, c'est sidérant.
03:39
Ce monde est sidérant.
03:40
Il est 12h12.
03:41
Ce n'est pas le Gorafis que vous m'avez fait entendre.
03:43
Je vous promets que, dont j'en ai parlé ce matin à 6h15,
03:46
ce sont des propos qui ont été diffusés et qui sont disponibles sur Internet.
03:48
C'est effrayant.
03:49
Et cette dame, on la voit sur Internet ?
03:51
On la voit, elle est sur un plateau télé.
03:53
Et ce que vous entendez, évidemment, c'est 40 secondes.
03:55
Mais elle en parle pendant 3 minutes.
03:57
Mais c'est effrayant.
03:59
Mais c'est effrayant.
04:00
Cette dame est juste effrayante.
04:02
Disons-le.
04:03
Ce qu'elle dit, en tout cas, est absolument effrayant.
04:05
12h12, Mesdames, Messieurs.
04:07
Est-ce que vous voulez parler, pourquoi pas, de Donald Trump ?
04:10
Allez-y.
04:11
Appelez-nous au 01 80 20 39 21.
04:15
Il est 12h12.
04:16
Vous écoutez Pascale Proévou sur Eurofaire.
04:18
Europe 1.
04:19
Pascale Proévou.
04:22
Le retour de Donald Trump à la Maison Blanche,
04:24
qui continue de rendre certains médias peut-être complètement fous.
04:27
On est avec Alexandre, je crois, qui est professeur en Belgique.
04:29
Bonjour Alexandre.
04:30
Bonjour Monsieur Proé.
04:31
C'est effrayant.
04:32
Je vous assure, ce que j'ai entendu,
04:34
c'est une des choses les plus effrayantes que j'ai entendues
04:36
dans notre métier depuis des années.
04:39
Aurélie Didier, ce qu'elle dit,
04:41
et cette dame est directrice éditoriale adjointe de l'Information.
04:44
Je vous assure, ces gens me font peur.
04:46
Ces gens me font peur.
04:47
Je ne peux pas vous dire autre chose.
04:49
Eh bien Monsieur Proé, simplement pour vous remettre dans le contexte,
04:51
vous l'avez bien dit, en Belgique francophone,
04:53
puisque la RTBF c'est coté francophone,
04:55
il y a un cordon sanitaire médiatique,
04:58
qui est un accord de principe entre les médias belges francophones,
05:01
mais il n'y a pas de règle en tant que tel.
05:03
D'ailleurs, vous devez savoir qu'à l'heure actuelle en Belgique,
05:05
il y a une polémique, notamment d'un parti qui est à droite,
05:08
qui dénonce cette attitude-là.
05:10
Donc le débat est en train de naître en Belgique francophone,
05:14
puisque la RTBF c'est coté francophone.
05:16
Et moi, à titre personnel,
05:18
je suis contre ce type de pratique.
05:20
D'ailleurs, je vais vous avouer,
05:21
je n'ai pas suivi la vestiture sur la RTBF,
05:23
mais sur CNews.
05:24
J'en profite pour faire de la pub.
05:26
Et donc, bien sûr, c'est assez particulier.
05:29
C'est propre à la Belgique,
05:31
où, en effet, plusieurs personnes intellectuelles
05:35
estiment que, sous certaines conditions,
05:37
mais relativement subjectives,
05:39
certaines personnes n'ont pas droit à la parole,
05:42
en direct, dans les médias.
05:44
Et la RTBF pratique ce principe.
05:46
Je sais bien que, pour vous, en France, ça vous choque.
05:49
Ce que je comprends, je partage votre point de vue.
05:51
Je vais prendre votre propre exemple, monsieur Pro.
05:53
Je pense que, si vous étiez journaliste en Belgique,
05:56
on ne vous interrogerait pas,
05:58
parce que, pour ces principes-là,
06:00
vous êtes considéré comme d'extrême droite.
06:02
Je fais référence au maire de Charleroi,
06:05
que votre chaîne CNews avait, il y a quelques mois,
06:08
l'année dernière, voulu interroger.
06:11
D'accord ?
06:12
Il avait refusé de s'exprimer sur votre antenne,
06:15
sous prétexte que vous étiez d'extrême droite.
06:17
Donc, voilà.
06:18
On est là-dessus, en Belgique, francophone,
06:20
aujourd'hui, malheureusement.
06:21
Où, en effet, on a une gauche qui estime
06:24
ce qui serait bon ou pas bon de dire.
06:27
Et que, pour des propos qu'on aurait tenus,
06:29
on peut être classé d'extrême droite.
06:31
Tout à fait.
06:32
Et donc, là, c'est un problème.
06:33
Je suis d'accord avec vous.
06:34
Je suis d'accord avec vous.
06:35
C'est un problème.
06:37
Moi, je dis toujours la même chose.
06:39
Mon engagement politique, il peut être multiple.
06:43
C'est-à-dire que je peux me retrouver
06:45
sur certains sujets avec les progressistes,
06:47
et notamment, souvent, sur les sujets de société.
06:49
On en a parfois parlé.
06:51
La PMA, la GPA, des choses comme ça.
06:53
Le mariage pour tous.
06:55
Je me retrouve plutôt dans le camp des progressistes,
06:58
sur le plan économique.
06:59
Moi, il y a des tas, mieux ça marche.
07:01
Donc, je me retrouve plutôt du côté des libéraux.
07:05
Parce qu'effectivement, je trouve qu'il y a trop d'impôts.
07:07
Ce que disait Mark Twatty tout à l'heure.
07:09
Je pense que c'est souvent la meilleure solution.
07:12
Et c'est vrai même que, parfois,
07:14
de mettre trop de filets de protection,
07:19
ce n'est pas forcément une bonne chose pour les uns et les autres.
07:22
Je suis parfaitement d'accord avec vous.
07:24
Et j'ai envie, en revanche, de défendre l'identité française,
07:28
son histoire, sa culture.
07:30
Mais j'ai l'impression que beaucoup de gens, d'ailleurs, sont comme moi.
07:32
Donc, ils se retrouvent dans des positions politiques
07:35
où ils font le grand écart, parfois,
07:38
entre des positions qu'ils retrouvent dans des partis différents.
07:42
Et c'est pour ça que moi, je ne suis pas militant.
07:44
Je suis journaliste, tout simplement.
07:46
Mais je suis d'accord avec vous.
07:48
M. Prot, vous prêchez avec un convaincu.
07:50
Moi, je vous explique comment ça fonctionne en Belgique.
07:53
D'ailleurs, moi, je vous le dis.
07:54
Moi, vous, je n'ai aucun...
07:56
Dans le cadre de mon cours, il m'est arrivé de parler de vous.
07:58
J'ai eu le débat avec les élèves.
08:00
Des élèves me disent qu'il est d'extrême-droite.
08:02
Mais je dis, écoutez, je vous demande de faire une synthèse.
08:04
C'est dans le cadre d'une synthèse.
08:06
Je vous demande de faire une synthèse en quoi vous avez du succès
08:08
sur votre chaîne CNews.
08:10
J'ai repris des éléments objectifs.
08:12
Des élèves qui me disent, vous parlez de quelqu'un d'extrême-droite.
08:15
Non !
08:16
Si maintenant, je suis un sujet de thèse, effectivement, en Belgique,
08:20
là, vous m'inquiétez.
08:23
Mais vous savez, dans ces cas-là, je dis toujours la même chose.
08:25
Je veux bien aller parler aux uns et aux autres.
08:29
Qu'on me dise simplement un mot.
08:31
Vous savez...
08:33
Ecoutez, je fais cette émission l'heure des pros depuis 2016.
08:38
Bon, que je sache, personne n'a porté plainte contre moi,
08:42
ou en tout cas m'a fait condamner pour un propos d'extrême-droite,
08:46
ou de racisme, ou que sais-je.
08:48
Il n'y a qu'une chose qui est importante dans notre métier,
08:51
c'est la loi.
08:52
C'est tout.
08:53
Les opinions.
08:54
Il n'y a pas de bonnes ou de mauvaises opinions.
08:56
Il n'y a qu'une opinion, il n'y a que...
08:58
Voilà, ça n'a pas de sens pour moi.
09:01
Toutes les opinions, elles sont audibles, entendables,
09:05
sauf, je le répète, celles qui sont condamnées par la loi.
09:10
Donc ça, c'est une règle qu'a mise le législateur.
09:12
Pour le reste, et le modérateur que je suis,
09:15
il permet à tout le monde de s'exprimer,
09:17
sauf, et c'est là que j'interviens,
09:20
si je pense qu'il franchit la loi,
09:23
et qu'à ce moment-là, le modérateur que je suis doit le signaler.
09:25
Laurent Tessier voulait qu'on écoute un deuxième passage
09:29
de cette dame Aurélie Didier,
09:31
directrice éditoriale adjointe de l'information de la RTBF lundi soir,
09:35
et qui expliquait pourquoi Trump serait en léger différé.
09:38
C'est-à-dire que, vous vous rendez compte, en léger différé,
09:40
c'est-à-dire qu'il y a une sorte de comité de gens autour d'une table
09:43
qui dit « Ah ben, ça, ce qu'il a dit, faudrait peut-être pas l'écouter, en fait. »
09:46
« Faudrait peut-être pas l'écouter. »
09:48
Alors, j'imagine que tout le discours a été, comment dire,
09:51
a été diffusé, parce qu'il n'y avait pas de matière à le couper,
09:55
mais sur le principe que, je trouve ça absolument incroyable,
10:00
ahurissant, dangereux.
10:01
Écoutons ce qu'elle disait en plus, cette dame.
10:05
Alors, en fait, on a croisé des analyses de plusieurs experts
10:09
sur l'extrême droite, sur les radicalismes,
10:11
et ils se rejoignent sur plusieurs éléments d'analyse,
10:13
notamment le racisme,
10:15
puisque Donald Trump a considéré, par exemple,
10:18
que les migrants mangent des chiens ou mangent des chats,
10:21
puisqu'il s'est exprimé également sur le fait qu'il ne reconnaissait pas
10:25
le résultat de la dernière élection présidentielle,
10:28
ce qui est quand même une remise en question,
10:30
également, du système démocratique américain.
10:34
Il a également invité ses partisans, en 2021, on s'en souvient,
10:37
à prendre d'assaut le Capitale.
10:39
Et puis, il tient des propos régulièrement misogynes,
10:42
notamment d'insultes à l'égard des femmes.
10:44
Et donc, tout cela fait que nous avons décidé
10:46
de ne pas diffuser son discours en direct.
10:49
Et cette dame dit qu'elle n'est pas du tout militante.
10:51
À part ça, elle n'est pas du tout militante.
10:53
Elle reprend toutes les fake news sur tous les sujets,
10:56
mais elle n'est pas du tout militante.
10:58
Mais elle est très étonnante, cette dame Aurélie Didier.
11:01
Elle a une personnalité influente dans la société belge,
11:06
Monsieur Alexandre,
11:08
et je rappelle que vous êtes professeur d'histoire en Belgique.
11:11
Elle est connue du grand public belge, cette dame ?
11:15
Oui, on en entend parler.
11:17
Maintenant, vous devez savoir que le paysage médiatique belge,
11:19
je sais bien que pour vous, Français, ça vous choque.
11:21
En tout cas, pour la Belgique francophone,
11:23
on a deux grands médias télévisuels.
11:25
Donc, on a l'RTBF, le service public, RTL TVI,
11:29
je dirais l'équivalent chez vous de TF1, par exemple.
11:32
Et chaque fois, ils vont dans le même sens.
11:34
Pour la presse écrite, c'est la même chose.
11:35
Vous prenez Le Soir et La Libre Belgique,
11:37
les deux grands quotidiens belges, c'est la même chose.
11:39
Donc, oui, elle est relativement connue.
11:41
Maintenant, ce que je trouve ahurissant avec elle, Monsieur Praud,
11:43
je vais prendre un exemple de l'actualité belge.
11:45
Une conférence organisée par la droite belge
11:47
à l'Université libre de Bruxelles,
11:49
en novembre dernier,
11:51
où des manifestants d'extrême gauche
11:53
s'en prennent violemment.
11:54
J'ai un ami qui était là,
11:56
qui font la queue pour assister à la conférence
11:58
et que ces personnes sont insultées,
12:00
intimidées parce qu'elles veulent assister à la conférence.
12:02
L'RTBF n'en parle pas.
12:04
Et ça, c'est interpellant.
12:06
Là, je rejoins Gilles-William Gonladen en France.
12:08
On est dans l'aspect France Inter version belge.
12:11
Pas un mot là-dessus pour l'RTBF.
12:13
Simplement, des manifestants.
12:15
J'ai un ami qui était là.
12:17
Ils ont lancé des fumigènes pour intimider
12:19
ces personnes d'assister à la conférence.
12:21
Et je le répète, pas organisée par l'extrême droite.
12:23
Organisée par la droite belge,
12:25
un parti démocratique, le mouvement réformateur.
12:27
C'est interpellant.
12:29
La venue de Monsieur Bardella chez nous, pareil,
12:31
pas un mot là-dessus. Les manifestants étaient très agressifs.
12:33
Mais non, on disait que les manifestants avaient raison.
12:35
Et on était près des institutions belges.
12:37
C'est ça qui est interpellant.
12:39
La Belgique, c'est aussi le pays qui n'a pas pu
12:41
organiser la rencontre
12:43
Belgique-Israël sur son
12:45
propre sol.
12:47
Il a fallu que ce match de football
12:49
soit
12:51
et lieu en Hongrie.
12:53
Je crois qu'il a été à Debrecen, me semble-t-il,
12:55
de mémoire.
12:57
Et c'est, à mon avis, unique
12:59
qu'un État souverain
13:01
ne puisse même pas organiser
13:03
sur son sol une rencontre
13:05
de sport entre,
13:07
en l'occurrence, la Belgique
13:09
et Israël.
13:11
Merci beaucoup,
13:13
Monsieur le Professeur.
13:15
Dites à vos élèves que
13:17
je viendrai avec plaisir les voir.
13:19
Je vous invite avec grand plaisir.
13:21
J'ai pas trop le temps,
13:23
malheureusement, parce que du lundi
13:25
au vendredi,
13:27
je n'irai pas jusque-là.
13:29
Venez nous voir, si vous voulez.
13:31
C'est pas très loin, en train.
13:33
Les retours l'après-midi, c'est faisable.
13:35
Oui, un dimanche après-midi, je vais y aller.
13:37
Non, pendant la semaine, entre deux émissions.
13:39
Vous êtes au courant qu'il fait un petit peu de télévision ?
13:41
Je sais, aussi, le soir.
13:43
Vous remettez la personne ?
13:45
Il est 11h26,
13:47
je veux pas qu'on soit en retard. A tout de suite.
Recommandations
2:55
|
À suivre
Discours de Donald Trump : «La RTBF a mis en place un cordon médiatique sanitaire», s'étonne Pascal Praud
Europe 1
23/01/2025
1:33
Discours de Trump en léger différé : «C'est effrayant», le coup de gueule de Pascal Praud contre la RTBF
Europe 1
22/01/2025
2:12
Édito Pascal Praud - La RTBF censure Donald Trump : «Cette séquence est effrayante mais instructive de notre temps»
Europe 1
23/01/2025
9:13
Le discours de Donald Trump retransmis en léger différé par la RTBF, le «cordon sanitaire médiatique»
Europe 1
23/01/2025
2:01
Pascal Praud et vous - Discours de Trump en léger différé sur la RTBF : un député belge dénonce «une politique de la pensée inacceptable»
Europe 1
23/01/2025
5:05
La RTBF diffuse le discours de Donald Trump en différé : «Si la RTBF ne veut plus faire de journalisme, libre à elle, mais je ne suis pas sûr que ce soit payant en termes d’audience», réagit Louis Hausalter
Europe 1
22/01/2025
23:01
Psychose à la RTBF pour le discours de Donald Trump : L’Heure des Pros du 23/01/2025
Europe 1
23/01/2025
2:28
Édito Pascal Praud - Le discours de Donald Trump comparé à ceux de nos politiques : «C'est le jour et la nuit»
Europe 1
21/01/2025
2:09
L'édito de Pascal Praud : «La RTBF censure Donald Trump»
CNEWS
23/01/2025
16:07
Punchline - Donald Trump/RTBF, un discours diffusé en différé
Europe 1
23/01/2025
1:39
Le show Trump : «On avait l'impression que le sherif arrivait dans Notre-Dame», ironise Pascal Praud
Europe 1
il y a 5 jours
2:04
Diffusion de l’investiture de Trump en différé : la décision de la RTBF fait polémique
Sudinfo.be
23/01/2025
2:04
L'édito de Pascal Praud : «Paiements dissimulés : Donald Trump déclaré coupable»
CNEWS
31/05/2024
1:52
L'édito de Pascal Praud : «Donald Trump : les raisons de sa victoire»
CNEWS
07/11/2024
13:02
Punchline - Donald Trump accuse Vladimir Poutine de «jouer avec le feu»
Europe 1
28/05/2025
0:59
"Personne n'ose lui rentrer dans la gueule" : Pascal Praud atomise Kylian Mbappé dans "L'heure des pros" après ses déclarations contre le RN
Puremedias
05/07/2024
3:06
Édito Pascal Praud : «Il existe des motivations réelles pour voter Trump»
Europe 1
06/11/2024
2:49
L'édito de Pascal Praud : «Donald Trump : "une victoire jamais vue"»
CNEWS
06/11/2024
1:49
Pascal Praud : "France Inter, c'est de la propagande !"
Puremedias
19/10/2020
1:40
L'édito de Pascal Praud : «Donald Trump / Marine Le Pen : même combat ?»
CNEWS
05/11/2024
0:37
Pascal Praud et vous - Élection de Donald Trump : «Il est imbuvable, mais il parle de sujets qui rassemblent», analyse une auditrice
Europe 1
07/11/2024
1:57
L'édito de Pascal Praud : «Ukraine : Donald Trump fait-il la loi ?»
CNEWS
25/02/2025
0:52
Le discours violent de Donald Trump à L'ONU
OhMyMag FR
04/02/2022
3:46
Guerre Iran - Israël : «Donald Trump est hors des clous», constate Pascal Praud
Europe 1
24/06/2025
0:46
Poutine félicite Trump avant son investiture, se dit "ouvert au dialogue"
Agence France-Presse
20/01/2025